Soutenu par une demande sans cesse croissante, le marché de l’immobilier locatif recèle un fort potentiel. Surtout si l’on privilégie les biens neufs, préviennent David Béghin et Olivier Remacle chez Thomas & Piron. Du respect des normes à la rentabilité, le neuf présente en effet une série d’avantages décisifs à court, moyen et long termes.
“Les logements neufs répondent à un ensemble de critères devenus essentiels sur le marché actuel”, assure David Béghin, Manager des ventes d’appartements de Thomas & Piron Bâtiment. “Confortables et sûrs, les biens que nous édifions respectent les exigences écologiques les plus strictes, et ce, dès leur construction, dont l’empreinte carbone est maîtrisée.
Leurs équipements sont majoritairement non consommateurs d’énergies fossiles. Ils sont dotés, selon les cas, de pompes à chaleur, de systèmes de géothermie et de récupération des eaux de pluie, de chauffage par le sol, de panneaux photovoltaïques individuels, etc., et sont classés entre A et A++.”
“Les logements neufs répondent à un ensemble de critères devenus essentiels sur le marché actuel”
Un tel niveau de performance énergétique, particulièrement apprécié des candidats-locataires, se révèle très difficile à atteindre en rénovation. Et quasiment impossible à maintenir à moyen et long termes: en effet, les exigences de plus en plus élevées des PEB conduisent souvent les propriétaires de logements anciens à répéter des travaux afin d’atteindre des normes en constantes évolutions.
“Le tout engendre des frais non négligeables et une charge mentale importante, dont on ne réalise pas l’ampleur à l’achat”, prévient Olivier Remacle, Manager des ventes de maisons de Thomas & Piron Home. “Le cas échéant, il faut obtenir l’accord de la copropriété, parfois des autorisations car certaines parties peuvent être classées… Les propriétaires-bailleurs doivent fréquemment puiser dans le fonds de réserve – lequel reste acquis à la copropriété en cas de revente. Tout cela diminue mécaniquement la rentabilité de leur investissement.” poursuit David Béghin.
Par contraste, aucun fonds de réserve ne doit être constitué pendant cinq ans lorsqu’on achète du neuf, qui bénéficie de surcroît de la garantie décennale. “Sur 15 ans, le neuf peut procurer une plus-value de 20%, assortie d’un rendement locatif qui au final offriront une plus grande rentabilité que certains produits financiers, reprend David Béghin. “La différence avec un bien rénové s’établit autour de 5 à 8 points en faveur du neuf, ce qui absorbe largement le différentiel de prix d’achat.”, ajoute Olivier Remacle.
“la part de propriétaires de leur logement, traditionnellement élevée en Belgique – autour de 70% –, va tendre vers la moyenne de nos voisins, autour de 50%.”
Avantage patrimonial
De surcroît, le neuf s’inscrit mieux dans une stratégie patrimoniale de “bon père de famille”, notamment parce que les promoteurs prennent désormais soin de concevoir des quartiers entiers – espaces verts conviviaux et commodités compris – accessibles aux personnes à mobilité réduite. Les biens concernés sont particulièrement recherchés.
“De plus, un ensemble de facteurs oriente structurellement la demande à la hausse”, analyse Olivier Remacle. “Je pense par exemple à la raréfaction du foncier, ainsi qu’à la tendance, très perceptible depuis la crise sanitaire, d’une partie de la population à choisir de ne pas devenir propriétaire. Ces locataires de long terme préfèrent ne pas s’endetter, pour consacrer une part accrue de leurs revenus à leur bien-être, à leurs loisirs, etc.
Tout le contexte macroéconomique a fait augmenter le ‘ticket d’entrée’ vers l’achat immobilier. Bref, la part de propriétaires de leur logement, traditionnellement élevée en Belgique – autour de 70% –, va tendre vers la moyenne de nos voisins, autour de 50%.”
Besoin d'un complément d'information sur les investissements immobiliers ?
Rendez-vous sur thomas-piron.eu et découvrez toutes les options proposées.