Le ferroviaire est un acteur majeur de la mobilité verte. Une dimension chère aux jeunes collaborateurs de Thalys. Deux d’entre eux témoignent de leur quotidien dans cette société qui opère dans quatre pays… et dans une ambiance conviviale.
“Cela fait presque dix ans que je travaille chez Thalys. Depuis mon arrivée, j’ai occupé six postes différents”, se félicite Gogo Mashinda, 35 ans, Head of Finance and Accounting chez Thalys. “Arrivé au grade d’officer, je suis aujourd’hui à la tête d’une équipe de cinq personnes.”
Arrivé au grade d’officer, je suis aujourd’hui à la tête d’une équipe de cinq personnes
Lucie Jeunemaître, Strategic Project Manager de 32 ans, acquiesce: “De mon côté, j’ai eu la chance de travailler sur quatre projets transversaux dépendant de trois directions distinctes, allant de la refonte de l’offre commerciale à la maintenance des rames. Je peux constater l’impact des actions que je mets en place sur notre clientèle, comme le programme de fi délité par exemple. Ce qui n’était pas du tout le cas dans mon rôle précèdent au sein d’une entreprise dans le secteur de la distribution. Actuellement, je m’occupe du rapprochement avec Eurostar, qui rendrait la nouvelle entité encore plus internationale: on passerait de 10 à 40 nationalités!”
Thalys permet à ses collaborateurs de grandir personnellement et professionnellement
Voyager de façon verte
Les possibilités d’évolution rapide font aussi partie des atouts de l’entreprise, au sein de laquelle les deux jeunes gens assurent trouver “un engagement vers un but commun: Nous sommes tous persuadés que le train a un très bel avenir et on veut développer son potentiel, en tant que moyen de transport respectueux de l’environnement. On peut voyager de façon ‘verte’, ça change tout… Et tout le monde au sein de Thalys œuvre dans ce sens, avec le soutien d’un management proche et bienveillant.”
“Nous bénéficions de l’expertise de nos n+1, de leur vision à long terme”, souligne Gogo Mashinda. “Ici, j’ai pu aborder des thématiques auxquelles je ne connaissais rien, comme la distribution numérique, l’e-commerce… J’ai appris à identifier les besoins et les contraintes et cela a confirmé ma conviction que la pratique est l’une des meilleures méthodes d’apprentissage! Certains peuvent penser que le ferroviaire constitue un domaine techniquement ardu ou inaccessible mais c’est loin d’être le cas. C’est un secteur qui vous off re de nombreuses possibilités d’évolution et qui vous permet d’élargir vos connaissances et compétences. Et puis, rien n’est impossible quand vous êtes entouré d’une équipe motivée.”
“Les bureaux étant idéalement situés près de la gare du Midi, il est très facile d’y accéder, même si vous ne résidez pas à Bruxelles”, relève Gogo Mashinda. “Personnellement, j’habite à Liège et avec le Thalys, je ne mets que 45 minutes pour arriver sur place.”
“Pour un jeune qui débarque sur le marché du travail, il est souvent difficile de choisir une carrière”, avance Lucie Jeunemaître. “On a tendance à avoir peur de s’enfermer dans un secteur. Ici, j’ai été recrutée sur base de mon profil et de mon potentiel et l’entreprise me permet de grandir tant professionnellement que personnellement. J’ai, par exemple, suivi chez Thalys des formations de pleine conscience, de développement personnel, etc., qui ne me servent pas qu’au travail.”
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