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Résultats élections américaines 2024 | La justice américaine inculpe un "agent de l'Iran" pour un projet d'assassinat de Trump

Donald Trump a décroché pour la seconde fois les clés de la Maison-Blanche. Suivez les suites de ce scrutin historique en direct avec L'Echo.
  • Trump et Abbas se sont parlé au téléphone, annonce la présidence palestinienne

    Donald Trump et le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, se sont entretenus au téléphone, le président élu américain s'engageant à œuvrer "pour mettre fin à la guerre", a annoncé vendredi la présidence palestinienne.

    Lors de cet échange, le président Abbas a souhaité la réussite de Donald Trump et s'est dit prêt à travailler avec lui "pour parvenir à une paix juste et complète fondée sur la légitimité internationale", a indiqué la présidence dans un communiqué.  

    De son côté, M. Trump, qui retrouvera la Maison-Blanche le 20 janvier, a souligné qu'il "œuvrerait pour mettre fin à la guerre" et qu'il était "prêt à travailler avec le président Abbas et les parties concernées dans la région et dans le monde pour instaurer la paix dans la région", a-t-on précisé de même source.  

  • Elon Musk a participé à l'appel entre Zelensky et Trump après sa victoire

    Elon Musk, l'homme le plus riche du monde, a participé à l'appel mercredi entre le président ukrainien Volodymyr Zelensky et Donald Trump, après la victoire de ce dernier à la présidentielle américaine, a indiqué vendredi à l'AFP un responsable au sein de la présidence ukrainienne.  

    "Je peux le confirmer", a indiqué ce responsable, sous couvert d'anonymat, interrogé sur une information du média américain Axios. Une autre source ukrainienne haut placée a affirmé à l'AFP que Donald Trump avait "passé le téléphone" à Elon Musk qui a ensuite parlé "brièvement" avec M. Zelensky. 

     "Trump lui a donné le téléphone, ils étaient ensemble quelque part. Le Président (ukrainien) l'a remercié pour les Starlinks (les systèmes de liaison satellite fournis par Elon Musk à l'Ukraine, NDLR)", a indiqué cette source. "Ils ont parlé brièvement. Mais la conversation principale était bien sûr avec Trump", a-t-elle ajouté. 

  • La justice américaine inculpe un "agent de l'Iran" pour un projet d'assassinat de Trump

    Le ministère américain de la Justice a annoncé vendredi l'inculpation d'un "agent de l'Iran" accusé d'avoir reçu l'ordre de Téhéran d'organiser un projet d'assassinat de Donald Trump

    Farhad Shakeri, un Afghan de 51 ans résidant en Iran après avoir passé 14 ans en prison aux États-Unis, est accusé d'avoir recruté des criminels de droit commun pour le compte des Gardiens de la révolution, l'armée idéologique de la République islamique, selon des documents judiciaires.  

    "Peu d'acteurs dans le monde représentent une aussi grave menace pour la sécurité nationale des États-Unis que l'Iran", a déclaré le ministre de la Justice, Merrick Garland, dans un communiqué de ses services.  

  • Brief spécial | Donald Trump au pouvoir: quel impact sur l'économie américaine et mondiale?

    Que vont devenir les États-Unis sous Donald Trump? L'économie mondiale s'apprête-t-elle à connaître un bouleversement suite à son retour au pouvoir? Entre-t-on dans une période de guerre commerciale entre les États-Unis et le reste du monde? Quels seront les effets sur la géopolitique?

    Toutes ces questions, et bien d'autres, sont abordées dans cet épisode spécial du Brief, aux côtés de deux spécialistes des États-Unis: Amine Aït-Chaalal, enseignant en relations internationales à l'Institut de sciences politiques Louvain-Europe, et Frank Vranken, le chef stratégiste de la banque Edmond de Rothschild.

  • Le dollar porté par "l'effet Trump", malgré la baisse des taux de la Fed

    Le dollar retrouve de la vigueur ce vendredi, de nouveau porté par "l'effet Trump", et ce, malgré la baisse des taux américains par la Fed, qui avait été largement anticipée. Vers 11h15 (heure belge), la devise américaine se relevait de 0,27% face à l'euro, à 1,0776 dollar, et remontait de 0,20% face à la livre, à 1,2960 dollar.

  • Les réformes économiques dans l'UE "encore plus urgentes" après l'élection de Trump, selon Draghi

    Les réformes économiques dans l'Union européenne sont devenues "encore plus urgentes" après l'élection de Donald Trump aux États-Unis, a averti, ce vendredi, l'ancien Premier ministre italien Mario Draghi, venu présenter ses propositions aux dirigeants des Vingt-Sept réunis en sommet à Budapest.

    Mario Draghi a publié, début septembre, un rapport pour relancer la croissance dans une Europe qui décroche par rapport aux États-Unis. "Les recommandations de ce rapport étaient déjà urgentes, compte tenu de la situation économique dans laquelle nous nous trouvons aujourd'hui. Elles sont devenues encore plus urgentes après les élections américaines", a-t-il déclaré à son arrivée.

  • Donald Trump remporte également l'état-clé du Nevada

    Donald Trump a également remporté l'état pivot du Nevada, confortant ainsi encore un peu plus sa victoire, indiquent CNN et NBC après deux jours de dépouillements. Le candidat républicain comptabilise désormais 301 grands électeurs.

    Seuls manquent encore les résultats pour l'Arizona, mais, là aussi, l'ancien président devance la candidate démocrate Kamala Harris.

    Il y a quatre ans, la plupart des voix du Nevada étaient allées à Joe Biden.

  • Donald Trump choisit Susie Wiles comme cheffe de cabinet

    Donald Trump, vainqueur de l'élection présidentielle aux États-Unis, a annoncé, jeudi, la nomination de Susie Wiles au poste de chef de cabinet de la Maison-Blanche. Susie Wiles, qui a dirigé avec Chris LaCivita la campagne électorale du président-élu, deviendra la première femme à occuper cette fonction.

    "Susie Wiles vient de m'aider à remporter l'une des plus grandes victoires politiques de l'histoire des États-Unis et elle a fait partie intégrante de mes campagnes réussies en 2016 et 2020", a dit Donald Trump dans un communiqué.

    Donald Trump choisit actuellement les membres de sa nouvelle administration, au rang desquels figurent certains de ses fidèles déjà présents lors de son premier mandat (2017-2021), selon quatre sources. 

    Discrète, pondérée, nuancée, réfléchie, Susie Wiles est une femme de l'ombre diablement efficace à laquelle Donald Trump doit beaucoup.
    Discrète, pondérée, nuancée, réfléchie, Susie Wiles est une femme de l'ombre diablement efficace à laquelle Donald Trump doit beaucoup. ©REUTERS
  • Le patron de la Fed ne démissionnera pas, même si Donald Trump le lui demande

    Le président de la Réserve fédérale (Fed), Jerome Powell, a assuré jeudi qu'il ne démissionnerait pas, même si le président élu Donald Trump le lui demandait. Le milliardaire républicain s'en est pris à lui à plusieurs reprises, alors qu'il l'avait nommé à ce poste durant son premier mandat, l'accusant notamment de chercher à favoriser Kamala Harris, la candidate démocrate malheureuse, par ses décisions, et sous-entendant qu'il le remplacerait s'il était de nouveau élu. Il avait cependant revu ses propos, assurant dans un second temps qu'il laisserait Jerome Powell aller jusqu'au terme de son mandat.

    Donald Trump n'a légalement pas la capacité de le renvoyer, ni même aucun des membres du collège des gouverneurs de la Fed, a assuré le président de l'institution.

    Le mandat de Jerome Powell en tant que président de la Fed court jusqu'en mai 2026 et il restera, par ailleurs, membre du collège des gouverneurs de l'institution jusqu'à fin janvier 2028. Les gouverneurs de la Fed sont nommés pour un mandat de 14 ans, et le président de l'institution pour un mandat de quatre ans.

    Jerome Powell avait été nommé à la tête de la Fed par Donald Trump en 2018 et choisi par son successeur, Joe Biden, en 2022, pour rester à la tête de l'institution quatre années supplémentaires.

  • La Californie se prépare à lutter contre les politiques "illégales" de Trump

    La Californie va convoquer une session d'urgence de son parlement pour se préparer à lutter contre d'éventuelles politiques "illégales" de Donald Trump, notamment concernant l'avortement, l'immigration et le changement climatique, a annoncé jeudi son gouverneur, Gavin Newsom. "Les libertés qui nous sont chères en Californie sont attaquées, et nous ne resterons pas inactifs", a déclaré le démocrate dans un communiqué.  

    Donald Trump a été réélu à la Maison-Blanche avec un programme promettant des expulsions massives d'immigrés clandestins, et un désengagement des énergies renouvelables au profit du secteur pétrolier.

    Les défenseurs du droit à l'avortement attendent également les résultats complets des élections de mardi avec inquiétude. Car si le parti républicain contrôle à la fois le Sénat et la Chambre des représentants, il pourrait adopter des restrictions nationales, voire une interdiction pure et simple de l'IVG. 

  • L'élection n'aura "pas d'effet à court terme" sur les décisions de la Fed, dit Powell

    Le résultat de l'élection présidentielle américaine, qui a vu la victoire de l'ex-président Donald Trump, n'aura "pas d'effet à court terme" sur les décisions prises par la banque centrale américaine, la Réserve fédérale (Fed), en termes de politique monétaire, a assuré jeudi le président de l'institution, Jerome Powell.

    "Nous ne savons pas quel sera le calendrier et le type de réformes à venir et donc non ne savons pas quels peuvent être les effets sur l'économie. Nous ne devinons pas, nous ne spéculons pas, nous ne supposons pas", a expliqué M. Powell.

    La Fed a abaissé jeudi son principal taux directeur d'un quart de point de pourcentage, le plaçant dans la fourchette de 4,50-4,75%, une décision prise à l'unanimité, au lendemain de la réélection de Donald Trump à la Maison Blanche. 

    ©EPA


  • Trump a eu de "bonnes conversations" avec les dirigeants de l'UE, du Mexique et d'Israël

    Le futur président américain Donald Trump a téléphoné jeudi à plusieurs chefs d'État à la tête de pays qui entretiennent des relations étroites avec les États-Unis. Le républicain de 78 ans a notamment discuté avec la présidente mexicaine, la présidente de Commission européenne et le président israélien.Tous ont déclaré avoir eu une "bonne conversation" avec Donald Trump.  

    La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré avoir eu une "excellente" discussion avec le républicain, au cours de laquelle elle l'a félicité pour son élection. "Nous nous réjouissons de renforcer les liens entre l'UE et les États-Unis et de travailler ensemble sur les défis géopolitiques", a écrit Mme Von der Leyen sur X (ex-Twitter). "Nous avons parlé de défense, de l'Ukraine, de commerce et d'énergie." 

    Le président israélien Isaac Herzog a de son côté souhaité à Trump beaucoup de succès "au nom du peuple israélien", indique son cabinet. La présidente du Mexique, Claudia Sheinbaum, a quant à elle évoqué sur les réseaux sociaux une conversation téléphonique "très cordiale" avec Donald Trump. 

  • Trump n'empêchera pas la France et l'UE de rester "pleinement mobilisées" sur le climat

    L'Union européenne et la France resteront "complètement mobilisées et engagées sur le climat" quelle que soit l'attitude des États-Unis avec le retour de Donald Trump au pouvoir, a assuré jeudi l'entourage de la ministre française de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, à quelques jours de la COP29 à Bakou.

    "Il y a un signal politique qui a été envoyé par l'élection de Donald Trump, mais je ne peux pas imaginer qu'on baisse l'ambition collective et la mobilisation collective", a poursuivi la même source auprès de journalistes. 

    "Parce que ce qui a été bien reconnu par exemple dans l'accord de Dubaï (2023), c'est le consensus scientifique : on doit baisser par exemple nos émissions de 43% (d'ici 2030) si on veut respecter la limite des 1,5°C sur laquelle on s'est mis d'accord lors de l'accord de Paris et qu'on a constamment réitérée depuis", a-t-on fait valoir. 

  • Poutine se dit "prêt à reprendre le contact" avec Trump

    Le président russe Vladimir Poutine s'est dit jeudi "prêt à reprendre le contact" avec Donald Trump après la victoire du républicain à la présidentielle américaine, pour laquelle il l'a félicité.  

    "Si quelqu'un veut reprendre contact, cela ne me dérange pas. Je suis prêt", a déclaré M. Poutine lors d'un forum, à propos de M. Trump. "Je voudrais profiter de cette occasion pour le féliciter pour son élection à la présidence des États-Unis". 

  • Les défis du parti démocrate après la défaite face à Trump

    Le renouveau du parti démocrate nécessite d’écarter les vieilles dynasties de la côte Est et de renoncer à jouer la seule carte des minorités.

  • Joe Biden promet une transition "pacifique et ordonnée"

    Le président sortant des États-Unis, Joe Biden, a promis ce jeudi une transition "pacifique et ordonnée" lors de sa première allocution depuis la victoire de Donald Trump lors de l'élection présidentielle qui s'est tenue ce mardi.

    Il a indiqué avoir appelé son successeur à la Maison-Blanche, qui fut aussi son prédécesseur, pour le féliciter. Il a également précisé avoir contacté sa vice-présidente Kamala Harris pour lui dire qu'elle devait être fière de sa campagne.

    ©REUTERS

    Joe Biden a par ailleurs souligné la solidité du système électoral américain, "équitable et fiable", alors que le président élu avait contesté sa défaite en 2020 et a multiplié les accusations contre celui-ci jusqu'à sa victoire.

    Se voulant rassembleur avant de tirer sa révérence, Joe Biden a exprimé sa volonté de faire "baisser les tensions politiques" dans le pays au cours des 74 jours qui le sépare de l'Inauguration Day, le 20 janvier prochain, au cours duquel il cèdera le témoin à Donald Trump.

    Joe Biden a également estimé que sa présidence "historique" avait "changé l'Amérique".

  • Analyse | Pourquoi les banques américaines se réjouissent du programme de Donald Trump

    C'est probablement le secteur économique qui se réjouit le plus du résultat des élections américaines. Mercredi, après la confirmation du retour de Donald Trump à la présidence des États-Unis, les géants de la finance se sont envolés à Wall Street, bon nombre d'entre eux clôturant à de nouveaux records.

    Les grandes banques se réjouissent: pendant sa campagne, Donald Trump a promis de réduire l'impôt sur les sociétés et de desserrer la vis des régulations qui pèsent sur le secteur financier.

  • Donald Trump, sa famille, ses amis: voici la garde rapprochée qui devrait le suivre à la Maison-Blanche

    Donald Trump va choisir, dans les prochaines semaines, ceux qui vont l'appuyer dans l'exercice de son second mandat à la Maison-Blanche. On avait vu et revu ces hommes et femmes durant le premier mandat (2017-2021) de Donald Trump. Mais d'autres personnalités se sont greffées au sillage du milliardaire durant sa renaissance.

    Le milliardaire Elon Musk pourrait diriger une commission dont le but serait de réduire les dépenses fédérales.
    Le milliardaire Elon Musk pourrait diriger une commission dont le but serait de réduire les dépenses fédérales. ©AFP
  • Le chef de l'Otan veut discuter avec Trump de la "menace" Russie/Corée du Nord

    Le secrétaire général de l'Otan Mark Rutte a affirmé ce jeudi vouloir discuter avec le président américain élu Donald Trump de la "menace" que représente le renforcement des liens entre la Russie et la Corée du Nord. "J'ai hâte de m'asseoir avec le président Trump et de voir comment nous allons collectivement nous assurer que nous faisons face à cette menace", a-t-il déclaré à son arrivée au sommet de la Communauté politique européenne, qui rassemble une quarantaine de dirigeants à Budapest.

    Le nouveau patron de l'Otan s'est particulièrement inquiété du rapprochement entre la Russie et la Corée du Nord, l'Iran et la Chine.

    "La Russie doit payer pour cela. L'une des choses qu'elle fait est de livrer de la technologie à la Corée du Nord, qui menace désormais l'avenir, le continent américain, l'Europe continentale, mais aussi nos partenaires de l'Indo-Pacifique", a-t-il affirmé devant la presse, soulignant qu'il s'agissait de "développements dangereux".

  • Data | Le basculement des électeurs noirs et latinos décisif pour la victoire de Trump

    Avec la victoire de Donald Trump, qui a pu atteindre les 270 grands électeurs nécessaires, c'est une vague rouge qui a déferlé sur les États-Unis ce mercredi. Mais au-delà du résultat global, nous avons voulu comprendre ce qui a pu contribuer au succès du nouveau président. Une nette progression des électeurs noirs et latinos et un enracinement dans l'Amérique pauvre, rurale et peu éduquée ont permis à Trump de remporter l'élection.

  • Xi Jinping espère que la Chine et les États-Unis vont "s'entendre" après l'élection de Trump

    Le président chinois Xi Jinping a adressé jeudi ses félicitations au président élu américain Donald Trump et dit espérer que les deux pays vont "s'entendre" et "gérer correctement leurs divergences" après des années de tensions bilatérales.

    La victoire sans appel du candidat républicain pourrait modifier les relations sino-américaines, tendues par nombre de sujets comme le statut de Taïwan, le commerce, les droits humains ou encore la rivalité dans les hautes technologiques.

    "L'histoire a démontré que la Chine et les États-Unis bénéficient d'une coopération et perdent d'une confrontation", a indiqué le chef d'État chinois au président élu américain, selon un compte-rendu publié par la télévision étatique chinoise CCTV. 

    "Une relation sino-américaine stable, saine et durable est conforme aux intérêts communs des deux pays et aux attentes de la communauté internationale."

    Xi Jinping
    Président chinois

    Alors que Donald Trump a promis d'imposer des droits de douane de 60% sur tous les produits chinois entrant dans son pays, la porte-parole du ministère des Affaires étrangères Mao Ning a déclaré "qu'il n'y aurait pas de gagnants dans une guerre commerciale, qui ne serait pas non plus favorable au monde".

  • Analyse | Sécurité, économie: le retour de Trump secoue les intérêts stratégiques des Européens

    Pour les dirigeants européens, il n'y avait qu'une manière de réagir à la victoire de Donald Trump, mercredi: lui adresser des félicitations chaleureuses et assorties de vœux de fructueuse collaboration. Ça tombait sous le sens pour ses amis politiques, au premier rang desquels Viktor Orban. C'était un geste diplomatique incontournable pour les autres qui, comme Ursula von der Leyen, ont acté la victoire du républicain avant qu'elle ne soit confirmée.

    L'Europe se prépare désormais à voir ses intérêts sécuritaires et commerciaux mis à mal avec le retour au pouvoir d'un Donald Trump plus isolationniste que jamais.

    Sur cette image prise au forum de Davos en 2020, la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, serre la main de Donald Trump, alors 45ᵉ Président des États-Unis. Elle lui a proposé mercredi de travailler pour un "agenda transatlantique fort".
    Sur cette image prise au forum de Davos en 2020, la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, serre la main de Donald Trump, alors 45ᵉ Président des États-Unis. Elle lui a proposé mercredi de travailler pour un "agenda transatlantique fort". ©REUTERS
  • Droits de douane à 20%: Donald Trump pourrait-il nuire aux entreprises belges?

    Donald Trump pourrait mettre en place une série de mesures protectionnistes visant à donner la priorité à la production sur le sol américain. Il a évoqué à plusieurs reprises une "taxe universelle" de 10% à 20% sur les produits importés aux États-Unis, taxe qui pourrait même aller jusqu'à 60% sur les produits chinois. Les droits de douane sur les produits belges exportés aux États-Unis pourraient bientôt augmenter.

    Les entreprises belges sont-elles inquiètes? L'Echo a sondé plusieurs secteurs et entreprises tournés vers les États-Unis.

  • Joe Biden va s'adresser aux Américains pour la transition avec Trump

    Joe Biden s'adressera ce jeudi aux Américains pour préparer la transition jusqu'au 20 janvier avec son pire ennemi politique, le président élu Donald Trump qui a battu sans appel Kamala Harris.

    Dans une configuration qu'il n'avait peut-être pas imaginée, le président sortant de 81 ans, qui avait laissé sa place en juillet à sa vice-présidente pour représenter les démocrates, doit s'exprimer solennellement à 11h (17h heure belge) depuis la roseraie de la Maison-Blanche. Il doit y "parler des résultats de l'élection et de la transition" avec la prochaine administration républicaine, selon la présidence.

    Depuis sa victoire, Donald Trump, 45e et bientôt 47e président des États-Unis, a été félicité par Joe Biden qui l'avait défait en novembre 2020. M. Biden a invité le républicain à la Maison-Blanche à une date non précisée.

    Les deux hommes sont réputés se détester et s'étaient accrochés à la télévision le 27 juin lors de leur unique débat, calamiteux pour le démocrate, qui avait précipité le retrait de sa course à un second mandat.

  • Le point à 23h

    Donald Trump a été élu pour un second mandat à la tête des États-Unis. Le républicain a remporté 292 grands électeurs, contre 226 pour la démocrate Kamala Harris.

    Le milliardaire a devancé la vice-présidente dans plusieurs États clés, avec la Caroline du Nord (16), la Géorgie (16), le Wisconsin (10), le Michigan (15) et la Pennsylvanie (19) dans son escarcelle. Les résultats en Arizona (11) et dans le Nevada (6) ne sont pas encore définitifs, mais ils ne pourront plus changer l'issue de l'élection. 

    Les républicains ont repris le contrôle du Sénat américain, qui était aux mains des démocrates, en gagnant au moins 52 sièges sur 100. Pour ce qui concerne la Chambre des représentants (435 membres), les résultats définitifs ne sont pas encore connus, mais les républicains ont toutes les raisons d'être optimistes: ils ont déjà verrouillé 201 sièges, contre 186 pour les démocrates. 

    "Alors que les résultats continuent de tomber, il est clair que, comme nous le prédisions, les républicains sont sur le point d'obtenir le contrôle de la Maison-Blanche, du Sénat et de la Chambre", a déclaré Mike Johnson, actuel leader républicain à la chambre basse.

  • Kamala Harris concède sa défaite, mais appelle les démocrates à "continuer le combat"

    La vice-présidente et candidate démocrate à la Maison-Blanche Kamala Harris s'est adressée à ses partisans et aux Américains ce mercredi. Se disant fière de la campagne qu'elle a menée, elle a concédé sa défaite et a appelé les démocrates à "accepter les résultats". Elle a promis "une transition pacifique".

    Dans un discours volontariste, Kamala Harris a demandé à ses soutiens de "continuer le combat" pour les droits des femmes, contre la violence par armes à feu et pour la dignité que tout individu mérite.

    "Le résultat de cette élection n'est pas ce que nous voulions, pas ce pour quoi nous nous sommes battus, pas ce pour quoi nous avons voté", a déclaré la vice-présidente lors d'un discours, affirmant que la "lumière de la promesse de l'Amérique brillera toujours (...) tant que nous n'abandonnons pas et que nous continuons à nous battre". 

    Elle a insisté sur l'importance de respecter les règles démocratiques. "Ce n'est pas le moment de baisser les bras, c'est le moment de remonter les manches", a-t-elle encore ajouté. 

    ©EPA
  • Joe Biden félicite Donald Trump et l'invite à la Maison-Blanche

    Le président Joe Biden a "félicité" Donald Trump et l'a "invité" à la Maison-Blanche, a indiqué l'exécutif américain mercredi.  

    Le dirigeant démocrate de 81 ans "s'adressera à la nation" jeudi pour évoquer les résultats de l'élection et la période de transition, a précisé la Maison-Blanche. 

  • "Tout va bien aller" pour le Canada après la victoire de Donald Trump, assure Ottawa

    Ottawa a cherché à rassurer les Canadiens "inquiets" mercredi quant à l'avenir des relations entre leur pays et les États-Unis avec le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche.  

    "Ça fait bien longtemps qu'on se prépare pour cette possibilité et on est prêt", a déclaré le Premier ministre Justin Trudeau face aux journalistes.  

    "On va recommencer à s'engager à fond avec l'équipe de Donald (Trump) pour s'assurer qu'on est en train de bâtir un monde meilleur pour les Canadiens, pour les Américains, et pour tout le monde", a souligné Justin Trudeau, notant que le climat mondial "est devenu encore plus difficile et plus complexe" que lors de son premier mandat. 

  • Kamala Harris a appelé Donald Trump pour le féliciter de sa victoire

    Kamala Harris a appelé Donald Trump mercredi pour le féliciter pour sa victoire à l'élection présidentielle, a indiqué un conseiller de la candidate démocrate.  

    La vice-présidente, qui, avec cet appel, reconnaît sa défaite, a évoqué avec le futur président l'importance d'une passation pacifique du pouvoir et d'être un président pour tous les Américains, a ajouté ce conseiller qui s'est exprimé sous couvert de l'anonymat. 

  • Donald Trump remporte également l'État du Michigan

    Le candidat républicain Donald Trump, qui a déjà atteint le seuil fatidique des 270 grands électeurs pour assurer son élection à la Maison-Blanche, a également remporté l'État du Michigan, selon les projections de Associated Press et Fox News. 

    Le Great Lakes State, peuplé de quelque dix millions d'habitants, compte pour 15 grands électeurs. Donald Trump a ainsi déjà sécurisé le vote de 292 d'entre eux.

  • La Russie jugera Trump sur ses "actes", en particulier sur le soutien à l'Ukraine

    Moscou jugera Donald Trump sur ses "actes", en particulier concernant l'éventuelle diminution du soutien américain à l'Ukraine. Un espoir caressé par certains Russes mercredi, après la victoire électorale du milliardaire.  

    "Nous avons répété à maintes reprises que les États-Unis étaient en mesure de permettre la fin de ce conflit" et Donald Trump sera jugé "sur des actes concrets", a relevé le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.  

    Selon lui, ce sont les États-Unis qui "alimentent ce conflit" car ils fournissent armes et argent à l'Ukraine depuis que la Russie s'est lancée à l'assaut de ce pays voisin le 24 février 2022.  

    Le Président sortant, Joe Biden, a été le principal soutien des Ukrainiens, notamment via des livraisons massives d'armements, leur donnant les moyens de résister à une armée russe bien plus puissante.  

    Donald Trump n'a cessé pendant la campagne électorale de dénoncer les montants faramineux débloqués par Washington et a promis d'imposer la paix "en 24 heures" pour mettre fin aux combats déclenchés par le président russe Vladimir Poutine. 

  • Après sa défaite, Kamala Harris s'exprimera dans la soirée

    L'actuelle vice-présidente des États-Unis et candidate malheureuse au poste suprême, Kamala Harris, prononcera un discours vers 22h00 heure belge mercredi soir, ont rapporté les médias CNN et Reuters sur la base de sources anonymes.  Mme Harris devrait s'exprimer depuis l'université Howard, où elle a passé la nuit électorale.   

    Elle doit également appeler Donald Trump pour reconnaître sa défaite, a indiqué une source à CNN.  

    Ce dernier a été élu 47e président des États-Unis avec 277 grands électeurs sur les 538 que compte le collège, selon un décompte provisoire. 

  • La Chine félicite Trump pour sa victoire à la présidentielle américaine

    La Chine a félicité mercredi Donald Trump pour sa victoire à la présidentielle américaine, par la voix du ministère des Affaires étrangères.  

    "Nous respectons le choix du peuple américain et adressons nos félicitations à M. Trump pour son élection à la présidence" américaine, ont écrit les Affaires étrangères chinoises dans un communiqué. 

    Pendant la campagne, Donald Trump a martelé qu'il imposerait des droits de douane de 60% sur les importations en provenance de l'empire du Milieu. La Chine constitue le troisième partenaire commercial des États-Unis, après le Mexique et le Canada, mais devant l'Union européenne.

  • Voici les actions qui profitent de la victoire de Donald Trump

    Tesla ou les banques US profitent de la victoire de Donald Trump suite aux élections présidentielles américaines. Les renouvelables sont, par contre, délaissées.

  • Résultats toujours incomplets à la Chambre des représentants

    En marge de l'élection présidentielle, les 435 sièges de la Chambre des représentants étaient également remis en jeu. À 16h ce mercredi, les résultats partiels donnent 198 strapontins aux républicains, contre 180 pour les démocrates, la majorité étant fixée à 218 sièges.

    Si le Great Old Party remporte la chambre basse du Congrès, alors qu'il domine déjà au Sénat, Donald Trump aura une grande marge de manœuvre pour mener sa politique pendant au moins deux ans, jusqu'aux élections de mi-mandat.

  • L'ambassade américaine à Londres maculée de peinture orange après la victoire de Trump

    Des membres du groupe militant pour le climat Just Stop Oil ont maculé de peinture orange un mur de l'ambassade américaine à Londres, au Royaume-Uni, mercredi matin.  

    Les faits se sont produits peu de temps après le discours prononcé par Donald Trump depuis le QG de campagne des républicains en Floride, au cours duquel il a revendiqué sa victoire à l'élection.  

    La police locale a confirmé que deux hommes, âgés de 25 et 72 ans, avaient été appréhendés, suspectés d'avoir endommagé et détruit des biens. "Nos agents ont interpellé deux hommes en quelques minutes pour les empêcher de causer d'autres dégâts", a déclaré un porte-parole de la police, Andy Valentine. 

  • Zelensky espère que Trump aidera l'Ukraine à obtenir une "paix juste"

    Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a félicité Donald Trump mercredi pour "son impressionnante victoire" à la présidentielle américaine, espérant que son élection aidera l'Ukraine à obtenir une "paix juste".  

    "J'apprécie l'engagement du président Trump en faveur de l'approche 'la paix par la force' dans les affaires mondiales. C'est exactement le principe qui peut concrètement rapprocher l'Ukraine d'une paix juste", a réagi M. Zelensky, après que le républicain eut revendiqué sa victoire. 

    "Je me souviens de notre formidable rencontre avec le président Trump en septembre, au cours de laquelle nous avons discuté en détail du partenariat stratégique entre l'Ukraine et les États-Unis, du plan de victoire et des moyens de mettre un terme à l'agression russe contre l'Ukraine", a-t-il également écrit sur X. 

    M. Trump a martelé à maintes reprises pouvoir imposer une paix en Ukraine en "24 heures", sans jamais expliquer comment, mais en décriant l'ampleur de l'aide versée à Kiev pour résister à l'invasion russe.  

  • La Commission européenne "confiante" quant à la poursuite du partenariat transatlantique

    L'Union européenne et les États-Unis ont "une relation historique aux racines profondes" et "très intensive", un lien qui va "bien plus loin que les résultats d'une élection, quelle qu'elle soit", a indiqué mercredi le porte-parole en chef de la Commission européenne.  

    Interrogée mercredi quant aux perspectives de la future collaboration avec l'administration Trump, la Commission est restée prudente et a préféré souligner la force du lien transatlantique. "Nous sommes des partenaires commerciaux et d'investissement majeurs. Nous travaillons ensemble sur des problématiques à travers le monde... Nous sommes confiants quant à la poursuite de ce partenariat transatlantique", a répondu le porte-parole Eric Mamer aux journalistes.   

    Parallèlement, l'UE ne déviera pas de ses propres objectifs, même si les États-Unis prennent un virage divergent, a-t-il assuré. C'est le cas en matière de lutte contre le réchauffement climatique, ou encore en matière de soutien à l'Ukraine, en vue de restaurer son intégrité territoriale et sa souveraineté: "Nous allons avant tout continuer de travailler à nos propres priorités". 

  • J.D. Vance, un inquiétant vice-président en embuscade

    Donald Trump a 78 ans. Il n'est pas déraisonnable de s'interroger sur le positionnement politique de J.D Vance, son vice-président qui sera promu au cas où le plus vieux président élu de l'histoire des États-Unis venait à rencontrer des problèmes de santé.

    Lire notre portrait du 50e vice-président de l'histoire des Etats-Unis.

    ©AFP
  • Une pluie de félicitations internationales pour Donald Trump

    De nombreux dirigeants étrangers, ainsi que les chefs de l'UE et de l'Otan, ont félicité mercredi Donald Trump après sa victoire à la présidentielle américaine.

    Le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a été l’un des premiers à réagir et à saluer "le plus grand retour de l’histoire". Cette victoire marque, selon lui, "un réengagement puissant dans la grande alliance" avec Israël.

    "La Belgique se réjouit de pouvoir continuer à renforcer le lien transatlantique", a déclaré de son côté le Premier ministre belge Alexander De Croo dans un court message sur "X".

    Le président français Emmanuel Macron a, lui aussi, félicité Donald Trump dans un message sur X. Il s'est dit "prêt à travailler ensemble (...) Avec vos convictions et avec les miennes. Avec respect et ambition. Pour plus de paix et de prospérité".

    Le Premier ministre britannique Keir Starmer a salué le républicain pour sa "victoire électorale historique". "En tant qu'alliés les plus proches, nous nous tenons côte à côte pour la défense de nos valeurs partagées de liberté, démocratie et libre entreprise", a déclaré le dirigeant travailliste dans un communiqué.

    La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a de son côté adressé ses "chaleureuses" félicitations à Donald Trump et réaffirmé l'importance du "partenariat entre les peuples" européen et américain, imitée peu après par le président du Conseil européen Charles Michel. "L'UE a hâte de poursuivre sa coopération constructive" avec les États-Unis, a relevé ce dernier sur le même réseau social.

    Le "leadership" de Donald Trump "sera à nouveau un élément clé pour garder notre Alliance forte. J'ai hâte de travailler avec lui à nouveau pour faire progresser la paix en renforçant l'Otan", a déclaré le secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte, dans un communiqué.

    Félicitant lui aussi le candidat républicain, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dit espérer que ce dernier aidera l'Ukraine à obtenir une "paix juste". 

    De son côté, le Kremlin a indiqué qu'il jugerait une nouvelle présidence de Donald Trump sur ses "actes", précisant que le président russe Vladimir Poutine n'avait pas prévu de le féliciter. La Russie "ne nourrit aucune illusion" sur Donald Trump mais "travaillera" avec lui tout en poursuivant "tous ses objectifs" en Ukraine, a prévenu la diplomatie russe.

    La Chine a, elle, déclaré espérer une "coexistence pacifique" avec les États-Unis.

  • Voici les actions qui profitent de la victoire de Donald Trump

    Tesla ou les banques US profitent de la victoire de Donald Trump suite aux élections présidentielles américaines. Les renouvelables sont, par contre, délaissées.

    Elon Musk, le patron de Tesla est devenu un allié de Donald Trump.
    Elon Musk, le patron de Tesla est devenu un allié de Donald Trump. ©REUTERS
  • Analyse | Pourquoi Harris n'a pas fait le poids face à Trump

    Donald Trump tenait donc la recette de la victoire, et ni ses excès ni l'offre de stabilité que proposait Kamala Harris n'auront suffi à le faire dérailler de sa course vers un second mandat de président des États-Unis. La mobilisation des démocrates pour le respect de la démocratie et des droits des femmes n'aura pas fait le poids face à la demande de changement d'un électorat trumpiste remonté contre la hausse du coût de la vie et conquis par la promesse que tous les problèmes seront réglés.

    Kamala Harris, partie avec le handicap d'être entrée très tardivement dans la course, avait la mission difficile de devoir incarner un renouveau tout en restant la vice-présidente des États-Unis. Mais elle sera restée dans la roue de Joe Biden, défendant son bilan.

    Restée dans la roue de Joe Biden, peinant à incarner le renouveau qu'elle prétendait apporter, Kamala Harris et son discours rassembleur n'auront pas convaincu face à Donald Trump.
    Restée dans la roue de Joe Biden, peinant à incarner le renouveau qu'elle prétendait apporter, Kamala Harris et son discours rassembleur n'auront pas convaincu face à Donald Trump. ©via REUTERS
  • Quid des procès de Donald Trump?

    Le nouveau président américain Donald Trump est impliqué dans plusieurs affaires au pénal, et il pourrait rapidement prendre des décisions touchant ses propres dossiers judiciaires. Dès qu'il sera investi, il pourra ainsi ordonner l'arrêt des poursuites fédérales à son encontre.

    Seule l'affaire Stormy Daniels ne dépend pas du niveau fédéral, mais de la justice de l'État de New York. Cela implique qu'un président ne peut y toucher. Donald Trump a ici été reconnu coupable de 34 délits de falsification de documents comptables. Le prononcé de la peine est prévu le 26 novembre. Il pourrait être condamné à de la prison ferme, mais un sursis probatoire semble plus probable.

    ► Lire aussi | La face cachée des promesses de Donald Trump

  • Portrait | J.D. Vance, un inquiétant vice-président en embuscade

    Donald Trump, futur président des États-Unis, a 78 ans. Pourra-t-il assurer son mandat présidentiel de quatre ans? Si pas, les clefs de la Maison-Blanche reviendraient alors au vice-président, J.D. Vance. Vu ces circonstances, Vance peut en rêver dans un avenir proche. Si ce n'est cette fois, il sera pressenti pour l'élection suivante.

    Qu'est-ce que cet ancien marine, diplômé en droit de l'université de Yale, a en magasin?

    ©AFP
  • Le Kremlin jugera une nouvelle présidence Trump sur "ses actes"

    Le Kremlin a indiqué mercredi que le président russe Vladimir Poutine ne prévoyait pas de féliciter Donald Trump, qui a revendiqué sa victoire à la présidentielle américaine, précisant que ce dernier serait jugé sur ses "actes".

    "Je ne sais rien d'un projet du président (russe) de féliciter Trump pour l'élection. N'oublions pas que nous parlons d'un pays hostile qui est directement et indirectement impliqué dans une guerre contre notre État", a dit le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov en référence au conflit en Ukraine déclenché par Moscou en février 2022.   

    Les relations russo-américaines sont au plus bas depuis que la Russie s'est lancée à l'assaut de l'Ukraine, le Kremlin reprochant aux Occidentaux leur soutien à leur allié ukrainien.

    "Il est pratiquement impossible que les relations se détériorent davantage. Elles sont à leur plus bas niveau historique. S'agissant de ce qu'il adviendra, tout dépendra des dirigeants américains."

    Dmitri Peskov
    Porte-parole du Kremlin

    Donald Trump a martelé à maintes reprises pouvoir imposer la paix en Ukraine en "24 heures", sans jamais expliquer comment il comptait s'y prendre, mais en fustigeant l'ampleur de l'aide versée à Kiev. Il a aussi tenu des propos flatteurs à l'égard de Vladimir Poutine. Dès lors, en Europe comme en Ukraine, la crainte est de voir Donald Trump forcer l'Ukraine à négocier avec la Russie dans des conditions très favorables à Moscou.

  • Malgré la percée de Trump, le droit à l'avortement étendu dans plusieurs États

    Des référendums en faveur du droit à l'avortement étaient organisés mardi en parallèle de l'élection présidentielle américaine. Le 'oui' l'a emporté dans plusieurs États, dont l'Arizona et le Missouri, mais pas en Floride.

    En Arizona, où les électeurs se sont prononcés en faveur du droit à l'avortement, il sera possible de réaliser une IVG jusqu'à 24 semaines de grossesse, contre 15 semaines actuellement.
    En Arizona, où les électeurs se sont prononcés en faveur du droit à l'avortement, il sera possible de réaliser une IVG jusqu'à 24 semaines de grossesse, contre 15 semaines actuellement. ©REUTERS
  • Édito | Élections américaines: le triomphe des pulsions

    La victoire de Donald Trump mettra la démocratie américaine sous pression. Ses conséquences se feront toutefois ressentir bien au-delà des frontières des États-Unis.

    "Bienvenue dans un monde où la guerre commerciale deviendra la norme."

    Quentin Joris
    Responsable du service Économie/politique
  • Donald Trump officiellement élu président des États-Unis

    Le candidat républicain Donald Trump devient le 47e président des États-Unis, selon l'Associated Press, CNN et NBC.

    Le milliardaire a remporté 277 grands électeurs, contre 219 pour sa rivale démocrate, la vice-présidente Kamala Harris. Pour remporter l'élection présidentielle, un candidat doit atteindre le seuil des 270 voix au Collège électoral, qui compte 538 grands électeurs. 

    Donald Trump a été donné vainqueur en Géorgie, en Caroline du Nord et surtout en Pennsylvanie, le plus crucial des sept États décisifs. Les résultats de plusieurs autres swing states, dont le Michigan, le Nevada, l'Arizona et l'Alaska sont encore attendus, mais ne pourront plus changer l'issue de l'élection. 

  • L'action du groupe Tesla d'Elon Musk, soutien de Trump, bondit de près de 13% dans les échanges d'avant-séance

    L'action de Tesla, propriété d'Elon Musk, grimpe de près de 13% dans les échanges d'avant-séance à Wall Street ce mercredi, porté par le soutien affiché par le milliardaire à Donald Trump, dont la victoire à l'élection présidentielle américaine se dessine.

    Vers 10h10 (heure belge), le titre du constructeur automobile prenait 12,93% à 283,97 dollars dans les contrats à terme sur l'indice Nasdaq, qui donnent une indication des tendances avant le début de la séance.

  • Alexander De Croo félicite Donald Trump

    Le Premier ministre belge Alexander De Croo a félicité le républicain Donald Trump, qui a revendiqué la victoire dans la course à la Maison-Blanche, également annoncée par la chaîne Fox News. "Félicitations au président élu @realDonaldTrump. La Belgique se réjouit de pouvoir continuer à renforcer le lien transatlantique. Des alliances solides seront nécessaires pour relever les défis mondiaux actuels et assurer notre prospérité", a déclaré le Premier ministre sur "X".

  • Analyse | Le Trump trade s'empare des marchés

    Les bourses européennes ont démarré la séance dans le vert, Donald Trump étant en bonne voie pour l'emporter. De quoi aussi doper le dollar, le bitcoin et les taux.

    Les indices américains sont annoncés en forte hausse, alors que Donald Trump se dirige vers la Maison-Blanche.
    Les indices américains sont annoncés en forte hausse, alors que Donald Trump se dirige vers la Maison-Blanche. ©REUTERS
  • Une carte révélatrice

    Si l'on se concentre sur les "counties", ces départements à l'intérieur des États, Donald Trump est en avance ou a remporté 80% du territoire. Une vague rouge.

  • Emmanuel Macron félicite Donald Trump et se dit "prêt à travailler ensemble"

    Emmanuel Macron a adressé ses "félicitations" au "président Donald Trump", se disant "prêt à travailler ensemble comme nous avons su le faire durant quatre années" lors du premier mandat du républicain. "Avec vos convictions et avec les miennes. Avec respect et ambition. Pour plus de paix et de prospérité", a ajouté le président français sur X.

    Il est le premier dirigeant d'un grand pays occidental à féliciter Donald Trump, juste après qu'il ait revendiqué la victoire dans la course à la Maison-Blanche, également annoncée par la chaîne Fox News.

  • "Nous allons réparer notre pays", annonce Donald Trump devant ses partisans

    Dans un discours à ses supporters à West Palm Beach, en Floride, Donald Trump a revendiqué sa victoire, avançant que les républicains vont "réparer notre pays", et "Make America Great Again", en remerciant les électeurs de Pennsylvanie, de Géorgie et de Caroline du Nord.

    "C'est un mouvement comme on n'en a jamais vu auparavant. Il n'y a jamais eu quelque chose comme ça dans ce pays. (...) On va aider notre pays à guérir. On va réparer nos frontières, on va tout réparer", a-t-il déclaré.

    ©REUTERS
  • Donald Trump remporte l'État clé de Pennsylvanie, la victoire se dessine

    Donald Trump a remporté une victoire cruciale dans l'État clé de Pennsylvanie, gros lot en termes de grands électeurs (19) et l'un des plus disputés de la course à la présidentielle, selon les projections des médias américains CNN et NBC.

    Le républicain s'y était imposé d'un rien en 2016, et Joe Biden l'avait repris sur le fil en 2020. Sa rivale cette année, la démocrate Kamala Harris, avait terminé sa campagne dans cet État, sans lequel ses chances d'élection s'amenuisent grandement.

  • Fox News déclare Donald Trump vainqueur de l'élection présidentielle, seul média à ce stade

    Selon les projections du média pro-républicain Fox News, Donald Trump aurait remporté l'élection présidentielle américaine, battant sa rivale Kamala Harris et couronnant un retour politique stupéfiant, quatre ans après son départ de la Maison-Blanche. Il est pour l'instant le seul média à s'être prononcé, alors que tous les résultats ne sont pas encore connus.

    Donald Trump fait actuellement la course en tête avec 248 grands électeurs, contre 214 pour Kamala Harris, mais tous les bulletins n'ont pas encore été dépouillés.

  • Le droit à l'IVG sera inscrit dans la constitution à New York, au Maryland et au Colorado

    Dans les États de New York, du Maryland et du Colorado, les électeurs ont voté en faveur de l'inscription du droit à l'avortement dans la constitution de leur État, rapportent Associated Press et le New York Times.

    Au Maryland, l'amendement garantit la protection des patients et du personnel de santé contre d'éventuelles poursuites judiciaires liées à l'interdiction de l'avortement dans d'autres États.

    À New York, l'amendement portant sur l'égalité des droits en élargit les conditions, en ajoutant l'appartenance ethnique, l'âge, le handicap, l'orientation sexuelle, l'identité de genre et la grossesse.

    Au Colorado, une interruption volontaire de grossesse (IVG) est possible à tout moment. La mesure qui a gagné le référendum abroge aussi l'interdiction de financer l'avortement au niveau de l'État et au niveau local, et permet d'utiliser Medicaid et d'autres programmes gouvernementaux pour financer une procédure.

    Une dizaine d'États doivent se prononcer lors de ce scrutin présidentiel sur le droit à l'avortement, ce qui s'est avéré une question clivante au cœur de la campagne électorale américaine. Presque tous les référendums organisés sur le sujet visent à consacrer le droit à l'avortement dans des États où il est resté légal, ou bien à revenir sur des restrictions ou des interdictions adoptées depuis 2022.

  • Analyse | Tanguy Struye (UCL): "Ce sera très, très difficile pour Kamala Harris de l'emporter"

    Le retard de Kamala Harris paraît difficile à combler, alors que tous les bulletins ne sont pas encore dépouillés. Qu'est-ce qui explique cet engouement pour Trump? Tanguy Struye (UCL) explique le processus.

    Les supportrices de la candidate démocrate Kamala Harris sont inquiètes.
    Les supportrices de la candidate démocrate Kamala Harris sont inquiètes. ©REUTERS
  • Le Brief | Belle avance pour Donald Trump à l'élection américaine

  • Victoire d'un référendum en faveur du droit à l'avortement en Arizona

    Un référendum en faveur du droit à l'avortement, organisé en Arizona en parallèle de l'élection présidentielle américaine, a recueilli assez de voix pour l'emporter, selon des médias américains. L'amendement réinstaure la possibilité de réaliser un avortement jusqu'à la viabilité du fœtus (environ 24 semaines de grossesse) au lieu de 15 semaines actuellement.

    L'Arizona est un État-clé pour le résultat de l'élection présidentielle, et les démocrates espèrent que le référendum aura encouragé leurs électeurs à se rendre aux urnes et à voter du même coup pour leur candidate Kamala Harris.

    Des défenseuses du droit à l'avortement se serrent dans les bras après la victoire d'un référendum en faveur du droit à l'IVG en Arizona.
    Des défenseuses du droit à l'avortement se serrent dans les bras après la victoire d'un référendum en faveur du droit à l'IVG en Arizona. ©REUTERS
  • Record du bitcoin à 75.000 dollars, propulsé par l'éventualité d'une victoire de Trump

    Le bitcoin a dépassé pour la toute première fois la barre des 75.000 dollars ce mercredi, dopé par la perspective d'un assouplissement réglementaire favorable aux monnaies numériques en cas de victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle américaine.

    Après avoir dépassé son dernier sommet absolu remontant à mars dernier (73.797,98 dollars), la première devise numérique par la capitalisation s'est élevée à 75.005 dollars vers 4h08 (heure belge), soit une hausse de quelque 8%.

  • Kamala Harris ne s'exprimera pas dans la nuit, annonce un conseiller

    La candidate démocrate Kamala Harris ne s'adressera pas à ses partisans dans la nuit, mais devrait prendre la parole le lendemain, a déclaré Cedric Richmond, conseiller de sa campagne, alors que les résultats des élections continuent de tomber dans tout le pays.

    Son annonce intervient après que l'ex-président Donald Trump a remporté deux des États clés du scrutin: la Caroline du Nord (16 grands électeurs) et la Géorgie (16 grands électeurs).

  • Trump remporte l'État clé de Géorgie, deuxième revers pour Harris

    Donald Trump a remporté l'État de Géorgie, l'un des plus disputés de la course à la Maison-Blanche, selon les médias NBC et CNN. Le républicain inflige ainsi un nouveau revers à sa rivale Kamala Harris, après avoir déjà gagné la Caroline du Nord (16 grands électeurs).

    La Géorgie, État situé au nord de la Floride, qui compte une importante population afro-américaine, avait été remportée de peu par Joe Biden en 2020. Cet État apporte 16 grands électeurs à Donald Trump.

    Une partisane de Donald Trump en pleurs après que le candidat républicain a remporté l'État de Géorgie, lors de la soirée de veille du Parti républicain à Las Vegas.
    Une partisane de Donald Trump en pleurs après que le candidat républicain a remporté l'État de Géorgie, lors de la soirée de veille du Parti républicain à Las Vegas. ©EPA
  • Les républicains prennent le contrôle du Sénat, suspense à la Chambre des représentants

    Les républicains ont obtenu la majorité au Sénat américain face aux démocrates grâce à leur victoire en Virginie-Occidentale et dans l'Ohio, garantissant au parti de Donald Trump de contrôler au moins l'une des deux chambres du Congrès l'an prochain. Aucun des deux partis ne semblait avoir un avantage clair dans la bataille pour la Chambre des représentants, que les républicains contrôlent actuellement avec une marge étroite.

    Avec leur victoire au Sénat, les républicains pourront donner des marges de manœuvre plus larges à Donald Trump s'il est élu à la Maison-Blanche ou bloquer une grande partie du programme de la démocrate Kamala Harris si elle devait l'emporter.

    D'après les projections des médias américains, le républicain Jim Justice a remporté le siège de sénateur en Virginie-Occidentale, en reprenant le siège précédemment occupé par Joe Manchin, un démocrate devenu indépendant. Dans l'Ohio, le républicain Bernie Moreno est donné en tête face au démocrate sortant Sherrod Brown. Ces deux victoires permettent au Grand Old Party de disposer d'au moins 51 sièges contre 49 pour le camp démocrate au Sénat, d'autres résultats étant encore attendus.

    Les républicains ont une chance d'élargir encore leur majorité au Sénat s'ils gagnent dans le Montana et dans plusieurs États du Midwest. Il est toutefois peu probable qu'ils obtiennent la majorité de 60 voix nécessaire pour faire avancer la plupart des textes législatifs au sein de la chambre.

    À la Chambre des représentants, où les républicains disposent actuellement d'une courte majorité de 220 sièges à 212, l'issue du scrutin était encore incertaine. Le parti de Donald Trump a repris trois sièges aux démocrates en Caroline du Nord, où il avait redessiné les circonscriptions à leur avantage, tandis que les démocrates ont pris le contrôle d'un siège détenu par les républicains en Alabama. Les démocrates doivent maintenant remporter au moins six sièges pour prendre le contrôle des 435 sièges de la Chambre.

  • Le camp Harris concentre ses espoirs sur les trois États clés du "mur bleu"

    La directrice de campagne de Kamala Harris a reconnu mardi soir que le "chemin le plus clair" pour l'emporter passait par le Wisconsin, la Pennsylvanie et le Michigan, soit seulement trois États clés sur les sept en jeu, selon un message à ses équipes obtenu par l'AFP.

    "C'est une course extrêmement serrée", écrit Jen O'Malley Dillon, qui ne mentionne ni la Géorgie ni la Caroline du nord (sud-est), en soulignant qu'il fallait attendre d'en savoir plus sur l'Arizona et le Nevada (sud-ouest), où les bureaux de vote viennent de fermer.

    Reste donc le "mur bleu", de la couleur du parti démocrate, à savoir le Michigan, le Wisconsin et la Pennsylvanie, des États situés dans le nord-est du pays et dans la région des Grands lacs. "Nous avons toujours su que notre chemin le plus clair vers les 270 grands électeurs (NDLR: le seuil à dépasser pour l'emporter dans ce scrutin au suffrage indirect) passe par les États du mur bleu. Nous sommes contents de ce que nous y voyons", assure-t-elle.

  • Trump remporte la Caroline du Nord

    Donald Trump vient de remporter la Caroline du Nord (16), premier swing state à tomber. Il confirme ainsi son avance et affiche désormais 230 grands électeurs, contre 187 pour Kamala Harris. Il ne lui en manque plus que 40 pour accéder à la Maison-Blanche.

    ©AFP
  • La bataille fait rage dans les swing states

    Kamala Harris et Donald Trump sont au coude-à-coude dans les swing states, avec un avantage tout de même pour le républicain, qui est en tête en Géorgie (16 grands électeurs), et Caroline du Nord (16) et dans le Wisconsin (10), tandis qu'Harris est devant dans le Michigan (15).

    Plus que jamais, l'élection devrait se jouer en Pennsylvanie (19), où les chiffres sont extrêmement serrés à ce stade.

  • Échec d'un référendum pour lever des restrictions à l'avortement en Floride

    Un référendum d'initiative citoyenne en faveur du droit à l'avortement, organisé en Floride en parallèle de l'élection présidentielle américaine, n'a pas recueilli assez de voix pour l'emporter, selon des médias américains. L'amendement visait à réinstaurer la possibilité de réaliser un avortement jusqu'à la viabilité du fœtus (environ 24 semaines de grossesse), au lieu de six semaines actuellement.

    Il n'a recueilli que 57% de "oui" sur les 60% nécessaires pour être adopté - le seuil le plus haut des dix États américains où des référendums sur la question étaient organisés mardi.

    L'interdiction locale de l'IVG au-delà de la sixième semaine de grossesse (hormis quelques exceptions), entrée en vigueur en mai dernier, devrait donc être maintenue.

  • L'affaire est pliée selon Elon Musk

    Elon Musk, fervent supporter de Trump, semble très confiant, comme l'en atteste son dernier tweet: "game, set, match".

  • Kamala Harris remporte la Californie et Washington selon les premières projections

    Kamala Harris est en tête en Californie (54 grands électeurs) et dans l'État de Washington (12) alors que les bureaux de votes de l'ouest des États-Unis viennent de fermer.

    Cela donne donc 179 grands électeurs pour Harris et 214 pour Trump à ce stade.

  • Le premier point sur les résultats

    Donald Trump fait la course en tête depuis le début de la nuit, avec 198 grands électeurs, contre 112 pour Kamala Harris.

    Donald Trump a remporté à ce stade: Alabama (9), Arkansas (6), Caroline du Sud (9), Dakota du Nord (3), Dakota du Sud (3), Floride (30), Indiana (11), Kansas (6), Kentucky (8), Louisiane (8), Missouri (10), Mississippi (6), Montana (4), Ohio (17), Oklahoma (7), Tennessee (11), Texas (40), Utah (6), Virginie-Occidentale (4), Wyoming (3).

    Kamala Harris a elle remportée:Colorado (10), Illinois (19, Maryland (10), Massachusetts (11), New York (28), Delaware (3), Rhode Island (4), Vermont (3), Washington D.C. (3)

    Pour le moment, aucun candidat n'a remporté un "Swing State", État-clé pouvant basculer tant d'un côté que de l'autre, et donc décisif pour le résultat final de l'élection.

  • Trump remporte l'Ohio et trois autres États, Harris gagne le Colorado

    Donald Trump a remporté mardi les États de l'Ohio, du Kansas, du Montana et de l'Utah, tandis que sa rivale Kamala Harris est? elle? donnée victorieuse dans le Colorado, selon les projections de grands médias américains.

    L'Ohio, déjà remporté par le républicain en 2016 et 2020, apporte pas moins de 17 grands électeurs à Donald Trump. Aucun résultat n'est encore tombé pour les sept États-clés susceptibles de faire basculer le résultat de l'élection. 

  • Bonjour à toutes et tous, here we go!

    Bonjour et bienvenue dans ce live consacré à la présidentielle américaine. Les premiers résultats viennent de tomber, faisons le point ensemble, en direct.

    ©AFP

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