Fin du live
C'est la fin de ce live, merci à tous de nous avoir suivis.
Retrouvez toute l'actualité de la guerre entre Israël et le Hamas en direct ce week-end sur notre site.
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L'agence onusienne pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) a appelé vendredi à évacuer plusieurs de ses écoles où des Palestiniens se sont réfugiés à Gaza ville, jugeant que les lieux "ne sont plus sûrs" après avoir reçu un avertissement israélien.
"Nous avons été informés par Israël de la nécessité d'évacuer ces infrastructures aussi vite que possible", a indiqué l'Unrwa dans un communiqué. "Nous avons fait ce que nous avons pu pour protester et rejeter cette décision, mais la conclusion est que dorénavant nos infrastructures ne sont plus sûres", a regretté l'agence, appelant à une évacuation "immédiate".
Le Hamas palestinien a affirmé vendredi qu'il travaillait avec des "médiateurs" pour libérer les otages "civils" qu'il a enlevés lors de son attaque sur le territoire israélien le 7 octobre et qu'il détient depuis dans la bande de Gaza.
Dans un communiqué publié après la libération de deux otages américaines, le mouvement islamiste palestinien a affirmé qu'il "travaille avec tous les médiateurs impliqués pour mettre en oeuvre la décision du mouvement de clore le dossier des (otages) civils quand les circonstances sécuritaires le permettent".
Du Caire à Bagdad en passant par Tunis, des dizaines de milliers de personnes ont manifesté vendredi dans plusieurs pays arabes et musulmans en soutien aux Palestiniens de la bande de Gaza.
Au Caire, des dizaines de milliers de manifestants, dont quelques milliers sur l'emblématique place Tahrir, ont scandé "Pain, liberté, Palestine arabe" et "Le peuple veut la chute d'Israël", détournant les deux principaux slogans de la "révolution" de 2011 qui renversa le président Hosni Moubarak.
A Bagdad, quelques milliers de personnes ont manifesté, dont de nombreux sympathisants du Hachd al-Chaabi, une coalition de factions armées proches de l'Iran, ennemi juré d'Israël et soutien du Hamas.
La colère a aussi grondé en Jordanie, pays voisin d'Israël auquel il est lié par un traité de paix. Dans la capitale Amman, plus de 5.000 personnes rassemblées devant la grande mosquée Husseini ont scandé "Ouvrez les frontières pour soutenir le peuple palestinien".
En Iran, quelques centaines de personnes ont manifesté dans la soirée à Téhéran en scandant: "Mort à l'Amérique" et "Mort à Israël".
A travers le Liban, plusieurs milliers de personnes ont défilé, notamment à Beyrouth où un cortège s'est dirigé vers le camp de réfugiés palestiniens de Chatila.
A Tunis, des milliers de manifestants ont convergé devant l'ambassade de France, pays accusé de soutenir Israël dans sa guerre contre le Hamas.
Au Maroc, les manifestations en soutien aux Palestiniens se sont poursuivies pour la troisième journée consécutive. Des centaines de personnes se sont rassemblées à Rabat pour dénoncer "le déplacement des Palestiniens de Gaza" et encourager "la résistance" pour "la libération de la Palestine occupée".
A Bahreïn, petit pays du Golfe, environ 2.000 personnes ont lancé "Mort à Israël!" et "Mort à l'Amérique" dans la mosquée Diraz.
Les Brigades Al Qassam ont relâché deux otages de nationalité américaine, une femme et sa fille, "pour des raisons humanitaires" après une médiation du Qatar, a annoncé vendredi un porte-parole de la branche armée du Hamas.
Selon une source de Reuters, les deux otages ont été remis au Comité international de la Croix-Rouge (CICR). Cette libération a été confirmée de source israélienne, rapportent plusieurs médias. Abou Obeida, porte-parole des Brigades Al Qassam, a justifié ces libérations par des "motifs humanitaires et pour prouver au peuple américain et au monde que les déclarations du président Biden et de son administration fasciste sont fausses et sans fondement".
Le gouvernement israélien a annoncé que les deux otages américaines étaient bien arrivées en Israël. Le bureau du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a indiqué dans un communiqué que les deux femmes, Judith Tai Raanan et Natalie Shoshana Raanan, "ont été libérées des mains de l'organisation terroriste Hamas" et se "dirigent vers un point de rendez-vous militaire du centre du pays, où les attendent les membres de leur famille".
Les préparatifs de l'invasion de Gaza sont terminés, selon un général israélien, alors que la guerre menace de s'étendre au nord. Les manifestations se multiplient pour demander la fin des bombardements sur l'enclave.
Israël, considéré aux yeux de la loi internationale comme la force occupante dans la bande de Gaza, s'est fixé comme but de guerre de mettre "fin" à ses "responsabilités" sur ce territoire et créer une "nouvelle réalité sécuritaire" pour les Israéliens, a affirmé vendredi le ministre de la Défense, Yoav Gallant.
"Il y aura trois étapes" à l'opération en cours, a déclaré M. Galant. La première étape étant la "campagne militaire" de frappes aériennes et "plus tard des manoeuvres ayant pour objectif de neutraliser les terroristes et les infrastructures du Hamas".
La deuxième étape est décrite comme des "opérations à basse intensité pour éliminer les dernières poches de résistance" et obtenir "un terrain sécuritaire complètement différent", a ajouté Yoav Gallant, précisant que cela ne prendra pas "un jour, ni une semaine, ni même un mois".
"La troisième impliquera la fin des responsabilités d'Israël sur le sort de la bande de Gaza et la mise en place d'une nouvelle réalité sécuritaire pour les citoyens d'Israël".
Brussels Airlines n'opérera pas de vols réguliers vers Tel-Aviv, en Israël, jusqu'au 31 octobre inclus, a indiqué la compagnie aérienne vendredi soir.
À l'instar d'autres transporteurs, notamment au sein du groupe Lufthansa, Brussels Airlines a décidé il y a près de deux semaines, pour raisons de sécurité, d'annuler ses vols réguliers à destination et en provenance de Tel-Aviv à la suite de la nouvelle flambée de violences consécutive à l'attaque du mouvement terroriste Hamas contre Israël. Les vols étaient jusqu'ici annulés jusqu'au 22 octobre mais la mesure est donc prolongée au minimum jusqu'au 31 octobre inclus.
Ce vendredi, la Belgique a conseillé à ses ressortissants de quitter le Liban "le plus vite possible" suite à l'escalade du conflit au Proche-Orient. Qu'est-il en train de s'y passer, et comment le pays est-il lié au conflit entre Israël et le Hamas? Quelles sont les conséquences possibles pour la géopolitique mondiale?
> On fait le point sur le sujet dans notre article
► Lire aussi | Le ministre israélien de la Défense laisse entendre que l'offensive terrestre se rapproche
Joe Biden demande au Congrès américain une énorme rallonge budgétaire de plus de 105 milliards de dollars pour à la fois aider Israël et l'Ukraine et répondre aux arrivées de migrants à la frontière sud des États-Unis, a annoncé vendredi la Maison-Blanche.
Le président démocrate, qui aura du mal à trouver un consensus politique avec des républicains en pleine crise, réclame 61,4 milliards de dollars (dont 30 seraient dépensés en armement) pour l'effort de guerre ukrainien, 14,3 milliards (dont 10,6 en armement) pour venir en aide à Israël, un peu plus de 9 milliards pour répondre à des crises humanitaires y compris à Gaza, et un peu plus de 12 milliards pour renforcer la frontière avec le Mexique ainsi que lutter contre le trafic de fentanyl.
Le président du Conseil européen Charles Michel se rendra en Égypte samedi, a-t-il indiqué jeudi à Washington, appelant à soutenir ce pays qui partage une frontière avec la bande de Gaza, bombardée par Israël depuis l'attaque meurtrière du Hamas.
"L'Égypte a besoin de soutien, soutenons donc l'Égypte", a déclaré Charles Michel. Il a précisé qu'il se rendrait en Égypte samedi pour y rencontrer le président Abdel Fattah al-Sissi.
La compagnie aérienne nationale libanaise, la Middle East Airlines (MEA), va réduire de moitié ses vols en raison de la tension avec Israël, a annoncé son CEO vendredi tandis que de nouveaux pays appellent leurs ressortissants à quitter le Liban.
"A partir de dimanche, nous allons fonctionner avec environ huit avions sur un total de 22 appareils commerciaux", a déclaré le CEO de la compagnie nationale, Mohammad al-Hout, à l'aéroport international de Beyrouth. Il a souligné que cette décision était due aux craintes "des compagnies d'assurance" de voir le conflit s'étendre, et qui ont par conséquent augmenté leurs tarifs.
Des dizaines de milliers d'Égyptiens sont descendus dans la rue vendredi pour apporter leur soutien aux Palestiniens à Gaza, dont quelques milliers sur l'emblématique place Tahrir du Caire, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Au 14e jour de la guerre entre Israël et le Hamas au pouvoir à Gaza, des rassemblements ont également lieu dans la plupart des villes d'Égypte, ont rapporté les médias locaux.
L'armée israélienne a estimé que "la majorité des otages" kidnappés par le Hamas durant son attaque du 7 octobre étaient "vivants". "Sur les quelque 200 otages qui se trouvent actuellement dans la bande de Gaza, plus de 20 d'entre eux sont des mineurs, entre 10 et 20 d'entre eux ont plus de 60 ans, la majorité des otages sont vivants", a indiqué le porte-parole, qui n'a pas donné plus de détail sur ce point.
Selon la même source, des cadavres ont également été emmenés dans la bande de Gaza par les islamistes palestiniens lors de leur attaque sanglante lancée à l'aube du 7 octobre sur le sol israélien en bordure de la bande de Gaza.
Par ailleurs, de 100 à 200 Israéliens sont désormais considérés comme "disparus" depuis l'attaque, comparé aux 3.000 décomptés au premier jour de la guerre. "Ce nombre a considérablement diminué" à mesure que l'armée a confirmé leurs emplacements.
"À l'heure actuelle, l'armée israélienne mène toujours des opérations pour retrouver et localiser les corps à proximité de la bande de Gaza."
"Compte tenu des risques d'escalade du conflit au Proche-Orient, la ministre des Affaires étrangères Hadja Lahbib, en concertation avec le gouvernement, a pris la décision de modifier l'avis de voyage au Liban", annonce son cabinet ce vendredi, confirmant une information diffusée plus tôt par la ministre de la Défense Ludivine Dedonder.
"Il est dorénavant demandé aux Belges sur place de quitter le pays aussi vite que possible."
"Selon nos informations, la situation pourrait se détériorer très rapidement. Des vols commerciaux sont toujours disponibles à l'heure actuelle. Les Affaires étrangères sont pleinement mobilisées pour informer et soutenir les Belges sur place", complète-t-elle.
Depuis lundi, tout voyage non-essentiel vers le Liban était déjà déconseillé.
D'autres pays ont déjà appelé leurs ressortissants à quitter le Liban: États-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Arabie saoudite ou encore Canada.
Israël a décidé ce vendredi d'évacuer la ville de Kyriat Shmona, à sa frontière avec le Liban.
Les camions d'aide doivent être acheminés vers la bande de Gaza le plus rapidement possible, a déclaré ce vendredi le secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, lors d'une visite du point de passage de Rafah qui connecte l'enclave palestinienne et l'Égypte.
S'exprimant du côté égyptien de la frontière, António Guterres a appelé à ce qu'un nombre significatif de camions entrent à Gaza chaque jour et à ce que les vérifications de l'aide soient effectuées de manière pratique et rapide. "Nous travaillons activement avec toutes les parties pour nous assurer que les conditions d'acheminement de l'aide soient levées", a-t-il déclaré.
Le gouvernement israélien a approuvé des mesures d'urgence qui devraient conduire à la fermeture de la chaîne d'information Al Jazeera, rapportent plusieurs médias israéliens ce vendredi.
Officiellement, il s'agit d'une loi qui interdit les chaînes d'information portant atteinte à la sécurité nationale. Le week-end dernier, le ministre israélien des Communications, Shlomo Karai, avait déjà annoncé son intention d'interdire le bureau local de la chaîne qatarie. Il avait alors qualifié Al Jazeera de "porte-voix de la propagande". Selon lui, la couverture de la guerre par la chaîne inciterait les téléspectateurs à s'opposer à Israël. En exposant des images de soldats israéliens, la chaîne d'information les mettrait également en danger.
L'aide humanitaire internationale devrait pouvoir entrer dans la bande de Gaza "demain (samedi) ou dans ces eaux-là", a déclaré le responsable des situations d'urgence de l'ONU, Martin Griffiths.
"Nous sommes en négociations approfondies et avancées avec toutes les parties concernées pour garantir qu'une opération d'aide à Gaza démarre le plus rapidement possible."
Toute escalade ou même poursuite de l'action militaire d'Israël à Gaza sera "catastrophique" pour la population locale, a estimé ce vendredi le Haut commissaire des Nations unies pour les réfugiés, Filippo Grandi.
"Je peux vous dire avec certitude que toute nouvelle escalade ou même poursuite des activités militaires sera tout simplement catastrophique pour la population de Gaza"
Les avions de guerre israéliens ont attaqué plus de 100 positions du Hamas dans la bande de Gaza dans la nuit, selon les informations de l'armée israélienne. Un tunnel, des dépôts d'armes et des dizaines de centres de commandement ont été bombardés, selon Tsahal.
Un "terroriste" qui avait participé à l'attaque sanglante du Hamas à la frontière entre Israël et Gaza il y a quinze jours aurait été éliminé et l'armée a déjoué une attaque à la roquette contre un avion de chasse israélien.
Des installations et des armes du Hamas ont été détruites dans une mosquée de Jabalia, au nord de la ville, qui, selon Israël, servait de poste d'observation et de zone de transit.
Israël va évacuer la ville de Kyriat Shmona, à sa frontière avec le Liban sous haute tension depuis l'attaque lancée par le Hamas le 7 octobre, a annoncé l'armée israélienne ce vendredi.
Les autorités israéliennes "ont annoncé la mise en œuvre d'un plan pour évacuer les habitants" de cette ville d'environ 25.000 habitants "dans des maisons d'accueil financées par l'État", a indiqué l'armée dans un communiqué.
Joe Biden va demander, ce vendredi au Congrès américain, de financer "en urgence" une aide à Israël et à l'Ukraine, "nos partenaires essentiels", a-t-il déclaré jeudi lors d'un discours solennel à la nation.
"C'est un investissement intelligent" qui apportera davantage de sécurité aux Américains "pour des générations", a ajouté le président américain. Le Hamas palestinien et le président russe Vladimir Poutine "veulent tous les deux complétement anéantir une démocratie voisine", a aussi déclaré Joe Biden depuis la Maison-Blanche.
L'agence de notation Moody's a annoncé jeudi qu'elle soumettait la notation de la dette à long terme d'Israël, actuellement A1, à un examen, en vue d'une dégradation, après le déclenchement de la guerre avec le Hamas.
"Cet examen a été déclenché par le conflit inattendu et violent entre Israël et le Hamas. La conséquence la plus importante est le coût humain (...). Cette annonce de notation aborde les implications de crédit des événements récents."
Les Palestiniens de Gaza espèrent l'arrivée de l'aide humanitaire ce vendredi, après plus de dix jours de siège par Israël qui se prépare toujours à une offensive terrestre et poursuit ses bombardements.
La chaîne égyptienne AlQahera News, proche du renseignement égyptien, a affirmé jeudi soir que le point de passage de Rafah, entre l'Égypte et la bande de Gaza, le seul qui ne soit pas contrôlé par Israël, ouvrirait ce vendredi. Les convois d'aide humanitaire, qui attendent de se rendre dans cette enclave exiguë où vivent 2,4 millions de Palestiniens, sont bloqués depuis des jours à Rafah, alors que le conflit entre dans sa 14e journée.
Des blocs de béton installés par les Égyptiens après les bombardements d'Israël sur leur frontière avec Gaza assiégée ont été enlevés, a indiqué vendredi à l'AFP une source de sécurité égyptienne, semblant indiquer un passage prochain de l'aide humanitaire.
Le ministre israélien de la Défense a dit aux soldats de Tsahal qu'ils verront bientôt Gaza "de l'intérieur", laissant croire à une invasion imminente. L'UE appelle à une "pause humanitaire".
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Le Parlement européen a voté une résolution condamnant les attaques terroristes du Hamas contre Israël, tout en se déclarant préoccupé par la situation humanitaire à Gaza.
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