Publicité

VanHaren poursuit son développement en Belgique

©ANP

Le leader néerlandais des chaussures arrivé en Belgique début 2017, a décidé de continuer son expansion. VanHaren veut s'attaquer au marché wallon courant 2019.

A l'occasion de la présentation de ses résultats financiers, le chausseur néerlandais VanHaren a décidé de poursuivre son expansion en Belgique. Si l'entreprise respecte son agenda, 11 nouveaux magasins devraient ouvrir prochainement. L'enseigne compte également s'attaquer au marché wallon dans le courant de l'année 2019. Arrivée début 2017, l'entreprise compte aujourd’hui 5 magasins et un site de vente en ligne.

7 millions
Les ventes ont augmenté de 6% en 2017
Avec 7 millions de paires de chaussures vendues, les ventes ont augmenté de 6%

Contrairement à d'autres entreprises concurrentes comme Schoenenreus et Scapino qui ont fait faillite l'année dernière, VanHaren se porte plutôt bien avec un chiffre d'affaires estimé autour de 190 millions d'euros et une augmentation des ventes de 6% grâce à la vente en 2017 de 67 millions de paires de chaussures. D'ailleurs, ses volontés expansionnistes ne s'arrêtent pas à la Belgique.

Publicité

Aux Pays-Bas, après avoir déjà ouvert trois nouveaux commerces en 2017 et agrandi 8 de ses 143 sites que l'entreprise compte à travers le pays, VanHaren, compte encore ouvrir des nouveaux magasins.

L'expansion de VanHaren confirme que le secteur du commerce de détail ne se porte pas si mal que ça. En 2015, alors que Brantano, la chaîne belge de magasins de chaussures, était au bord du gouffre, les 50 millions d'euros injectés par le groupe de mode FNG dans la rénovation des 105 magasins portent leurs fruits. Aujourd'hui, FNG table sur une croissance du chiffre d'affaires d'au moins 20%. 

Publicité
En 2024, le gaz russe transitant par l'Ukraine représente encore 5% du total des importations de l'UE, contre 11% en 2021.
Le gaz russe donne un nouveau coup de chaud aux prix énergétiques européens
La fin d'un contrat permettant le transit de gaz russe par l'Ukraine rajoute une couche de pression sur les prix du gaz, déjà poussés vers le haut par la baisse des importations de GNL, l'utilisation des stocks et le froid.
Messages sponsorisés