Lancé mi-décembre en Belgique, Digi a tiré vers le bas les prix du marché. Au point de se demander comment son modèle est viable. La recette du groupe? Une organisation efficace et des marges plus faibles, assure Digi.
L'opérateur va regrouper BICS, Telesign et Route Mobile dans une même entité, baptisée Proximus Global. Sa valorisation atteint les 3,1 milliards d'euros. Presque deux fois plus que la capitalisation boursière actuelle de Proximus.
L'opérateur flamand annonce avoir trouvé un successeur à Erik Van den Enden. La nouvelle directrice financière prendra ses fonctions le 1ᵉʳ janvier prochain.
Après Orange avec sa marque Hey!, Proximus tombe désormais, dans certains cas, en dessous des tarifs du nouveau venu Digi avec sa filiale Mobile Vikings.
L'opérateur a lancé ce lundi son offre d'internet haut débit par satellite. La Belgique étant largement couverte, ce type d'offre vise un nombre restreint de clients.
Le quatrième opérateur secoue le marché des télécoms avec une offre à prix plancher. Mais le challenger doit maintenant déployer son réseau et vaincre la résistance au changement du consommateur belge. Pour Digi, le plus dur est à venir.
La marque Hey! d'Orange proposera, dès le 18 décembre, une offre semblable à son nouveau concurrent Digi: appels et SMS illimités et 15 GB d'internet mobile pour un prix de 5 euros par mois.
Le quatrième opérateur fait ses débuts officiels ce mercredi. Pour son lancement, Digi se contente d'une offre mobile à 5 euros par mois et l'internet fixe à 10 euros par mois. Il respecte sa promesse d'être l'opérateur le moins cher de Belgique.
Dès le 1ᵉʳ mai 2025, 200 travailleurs du call center et 79 de l'IT quitteront Telenet. Ils seront tous repris aux mêmes conditions chez des sous-traitants. Telenet explique vouloir simplifier sa structure. La sous-traitance n'est pas neuve pour l'opérateur.
La capitalisation boursière du groupe de télécommunications Proximus est tombée ce mercredi sous le seuil symbolique des 2 milliards d'euros, une première depuis son IPO.
Ce mardi, le Parlement fédéral a demandé des comptes au CEO de Proximus. L'exercice est indispensable. Mais pour être audible, le pouvoir public doit garder une ligne cohérente dans sa critique.
Ce mardi, Guillaume Boutin, le patron de Proximus, a été auditionné au Parlement. Il a notamment répondu aux critiques sur le cours de bourse de l'opérateur.
Estimant que des transactions artificielles auraient pu être effectuées par Proximus dans le cadre du rachat d'un opérateur indien, la N-VA veut faire réaliser un audit externe sur l'opérateur.
L'opérateur a annoncé la vente de ses 267 pylônes installés au Luxembourg à un fonds international. Cette opération s'intègre dans le plan de désinvestissement de 500 millions d'euros du groupe.
Le CEO de Proximus est sous le feu des critiques du MR et de la N-VA, estomaqués par l'évolution du cours de l'entreprise. Elle a perdu 75% de sa valeur en cinq ans. Logique? Analyse de la stratégie d'un patron, visiblement incompris des politiques et du marché.
Attaqué par le MR et la N-VA, Guillaume Boutin, le CEO de Proximus, souhaite être entendu par le Parlement fédéral. Pour le patron, les critiques sont basées sur des informations erronées.
La N-VA souhaite "réévaluer" la position de Guillaume Boutin, CEO de Proximus. Les libéraux francophones appellent également à un changement de direction au sein du groupe.
La semaine dernière, l’Europe a dévoilé 16 nouveaux projets de recherche sur la 6G qui seront subventionnés. En trois ans, 500 millions d’euros ont déjà été investis, mais la note finale devrait dépasser les 900 millions d’euros.
Proximus est sur le point de mettre sa filiale Be-Mobile à l'encan, connue pour son service 4411. Le groupe télécoms a entamé les premières étapes de ce processus, a appris notre rédaction.