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Les marchés dans le rouge vif, le Nasdaq perd plus de 4% | Chute du pétrole

Les confinements en Chine, la guerre en Ukraine et les menaces que l'inflation fait peser sur l'activité économique plombent le moral des investisseurs. Les marchés européens et américains ont tous deux clôturé dans le rouge vif, le Nasdaq perdant plus de 4%.
  • À suivre ce mardi

    C'est ici que se termine ce live, merci à tous de nous avoir suivis. Ce mardi, les intervenants de marché prendront connaissance de l'indice ZEW qui mesure le moral des investisseurs allemands. Détachement de coupon en ING et KBC. Bayer, Munich Re et Porsche au rapport.

  • Wall Street dévisse encore, technologie et énergie en tête

    La Bourse de New York a encore dévissé, plombée par les valeurs de la technologie et de l'énergie, reflétant les inquiétudes autour de l'inflation, de la réponse de la banque centrale américaine (Fed) et d'une possible récession. Le Dow Jones a lâché 1,99% à 32.245,57 points. Le Nasdaq a plongé de 4,29% sous les 12.000 points pour la première fois depuis novembre 2020, à 11.623,25 points. Le seuil technique de 4.000 points du S&P 500 n'a pas tenu, l'indice plongeant de 3,20% à 3.991,35 points, au plus bas depuis un an.

    La baisse des marchés d'actions a concerné l'ensemble des secteurs, comme en témoigne la baisse des 11 compartiments de S&P. Côté valeurs, on retiendra notamment le recul d'Apple qui a perdu 3,08% contribuant nettement aux baisses accusées par le Nasdaq et le S&P 500. Amazon a lâché 5,21% et Tesla 9,07%. Dans les semi-conducteurs, AMD et Nvidia ont cédé plus de 9%. Les valeurs pétrolières, secteur le plus en forme depuis le début de l'année et donc également sujet à des prises de bénéfices, ont lâché 8,30% au sein du S&P. Exxon a terminé en baisse de 7,81%, Chevron de 6,63% et Occidental Petroleum a chuté de 10,92%.

    Sur le marché obligataire, le papier à dix ans a cédé 8,6 points de base pour s'établir à 3,0377% après avoir touché en séance son niveau le plus élevé depuis novembre 2018. Son homologue à cinq ans, a reculé de 9,5 points de base à 2,9506%.

  • Les marchés US terminent dans le rouge

    Le Dow Jones a perdu 1,99% à 32.245,57 points.

    Le Nasdaq a cédé 4,29% à 11.623,25 points.

    Le S&P 500 a lâché 3,20% à 3.991,36 points.

  • Le Nasdaq perd à présent plus de 4%

    Wall Street pique un peu plus du nez en cette fin de séance, le Nasdaq perdant plus de 4%.Le S&P 500 lâche plus de 3%, tandis que le Dow en cède un peu moins de 2%.

  • Le pétrole étouffé par le dollar fort et la peur d'une récession

    Les cours du pétrole ont piqué du nez ce lundi, sous l'effet de l'irrésistible ascension du dollar et des craintes de récession liées aux confinements en Chine mais aussi au ralentissement d'autres économies.

    Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juillet a plongé de 5,73%, pour clôturer à 105,94 dollars. Quant au baril de West Texas Intermediate (WTI) américain, il a lui concédé 6,08%, à 103,09 dollars.

  • Philip Morris veut racheter le suédois Match

    Le suédois Match annonce être en discussions avec son concurrent américain Philip Morris en vue d'un possible rachat, confirmant une information divulguée plus tôt par le Wall Street Journal.

    Si les négociations progressent, rien ne permet d'en prédire l'issue, a dit Philip Morris, le fabricant des cigarettes Marlboro, dans un communiqué distinct. Match est valorisé autour de 121 milliards de couronnes (11,37 milliards d'euros) à la Bourse de Stockholm.

    Philip Morris avance d'un peu plus de 2% à Wall Street.

  • Wall Street toujours dans le rouge vif

    Les indices ne bougent toutefois que très peu depuis la clôture des bourses européennes.

  • Le pétrole chute de plus de 6%

    Les cours du pétrole sont pénalisés à la fois par la vigueur du dollar et les inquiétudes sur la demande chinoise, les autorités de Shanghaï étant susceptibles de maintenir les restrictions sanitaires jusqu'à la fin du mois par crainte d'un rebond des infections par le coronavirus, ont rapporté plusieurs sources.

    Le baril de Brent abandonne 6,11% à 106,30 dollars le baril et celui du brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) de 6,46% à 103,42 dollars

  • L'euro avance

    Le dollar s'apprécie de 0,20% face à un panier de devises internationales, bénéficiant à la fois de la remontée des rendements obligataires américains et de son statut d'actif refuge dans la crainte du ralentissement économique en Chine. L'indice mesurant les fluctuations du billet vert a touché ce lundi un sommet depuis juillet 2002 après avoir gagné près de 9% depuis le début de l'année.

    L'euro, en hausse de 0,09%, se traite à 1,0563 dollar. La livre sterling, pour sa part, a atteint son plus bas niveau en près de deux ans face au dollar, à 1,2258.

  • La tendance du jour

  • Aucun secteur épargné par la chute des actions

    En Europe, aucun grand compartiment du Stoxx 600 n'a échappé au repli des marchés d'actions, les ressources de base (-3,2%), l'énergie (-4,6%) et les nouvelles technologies (-3,5%) accusant l'une des plus fortes baisses sur fond de chute des cours du minerai de fer, de craintes sur la demande chinoise et de remontée des rendements obligataires.

    Dans les "techs", Atos, Capgemini, SAP et Worldline ont reflué de 1% à 4,7%. Infineon, en baisse de 6%, a lui pâti de prévisions annuelles jugées sans surprise. Dans les matières premières, ArcelorMittal, Rio Tinto, Glencore et Anglo American ont cédé de 1% à 5,9%. Les groupes de luxe, très dépendants de la Chine, ont également été délaissés, à l'image de Kering (-3,3%), LVMH (-3,4%) ou encore Richemont (-4%). 

  • Première utilisation sur l’homme du neurostimulateur implantable d'ONWARD

    Cette première implantation est une étape importante dans le développement de la technologie de neurostimulation implantable d’ONWARD afin d’aider les personnes atteintes de lésions de la moelle épinière.

    La société de technologie médicale annonce par ailleurs le recrutement du premier patient de l'étude HemON pour la première utilisation chez l'homme du générateur d'impulsions implantable (GPI ou IPG) d’ARCIM, conçu pour stimuler la moelle épinière afin de rétablir le mouvement et la mobilité autonome chez les personnes souffrant de lésions de la moelle épinière et d'autres pathologies affectant la mobilité.

  • Cofinimmo investit dans deux maisons de repos et de soins en Belgique

    Cofinimmo a signé un accord concernant l’acquisition de deux maisons de repos et de soins en Belgique. Le premier site, d’une valeur d’environ 20 millions d'euros, est situé à Grimbergen (Brabant flamand). Le second site, d’une valeur d’environ 5 millions d'euros, se situe à Mont-de-l’Enclus (Hainaut).

    L’acquisition de la société détenant le site brabançon aura lieu après l’achèvement de la construction actuellement en cours, en principe au premier trimestre 2023. Celle du site hennuyer s’est concrétisée par apport en nature des actions d’une société. Dans ce contexte, 39.933 nouvelles actions ont été émises.

  • L'Europe finit dans le rouge, les taux d'intérêt et la Chine pèsent

    Les bourses européennes ont terminé en baisse, dans un contexte d'aversion au risque liée notamment à des anticipations de hausse de taux et aux craintes de l'impact de la crise sanitaire en Chine. À Paris, le CAC 40 a fini en baisse de 2,75% à 6.086,02 points. Le Footsie britannique a abandonné 2,32% et le Dax allemand 2,15%. L'indice EuroStoxx 50 a reflué de 2,82%, le FTSEurofirst 300 de 2,75% et le Stoxx 600 de 2,9%. Face à une inflation galopante, la plupart des traders tablent sur un relèvement de 75 points de base des taux de la Réserve fédérale américaine en juin après une hausse d'un demi-point la semaine dernière.

    Dans la zone euro, les marchés monétaires anticipent une hausse de près de 95 points de base du taux de dépôt de la Banque centrale européenne (BCE) d'ici la fin d'année. Dans une interview publiée samedi, Robert Holzmann, membre du conseil des gouverneurs de la BCE, a jugé approprié deux ou trois hausses de taux cette année. Les données de l'inflation aux Etats-Unis, en Chine, en Allemagne et en France pour le mois d'avril seront publiés mercredi. Le rendement des emprunts d'Etat américains à dix ans a atteint ce lundi en séance un plus haut depuis novembre 2018 à 3,2%, mais il reculait légèrement à la clôture des bourses européennes.

    "Il y a certainement de la chasse aux bonnes affaires", a expliqué Tom di Galoma, directeur général de Seaport Global Holdings, pour expliquer cette volatilité. Le rendement du Bund allemand de même échéance a fini quasiment stable à 1,092% après avoir, lui aussi touché en séance un pic depuis août 2014 à 1,189%. Le taux de l'OAT française à dix ans a légèrement progressé à 1,633%.

  • VGP parmi les plus nets reculs du Bel 20 depuis le 1er janvier

  • Le Bel 20 s'effondre de plus de 3%

    L'indice phare de la Bourse de Bruxelles a terminé en baisse de 3,42% à 3.883,77 points. Aucune valeur n'est parvenue à terminer dans le vert.

    C'est VGP qui signe la plus grosse chute de la journée, perdant 9,01%. Suivent Warehouses de Pauw (-5,66%), argenx (-5,57%), D'Ieteren (-4,68%), KBC (-4,65%) et Sofina (-4,52%).

  • Europe | Closing Bell

    Bel 20: -3,42%

    FTSE 100: -2,10%

    DAX: -1,99%

    CAC 40: -2,48%

  • Le Nasdaq accélère sa chute

    Il perd désormais 3,57%, tandis que le Dow et le S&P 500 reculent de 1,76% et 2,70%.

  • Bostic (Fed) pour deux ou trois hausses de taux d'un demi-point dans un premier temps

    La Réserve fédérale américaine (Fed) peut s'en tenir à des augmentations d'un demi-point de ses taux d'intérêt lors de ses deux ou trois prochaines réunions de politique monétaire, puis évaluer leur effet sur l'économie et l'inflation avant de décider si de nouvelles hausses sont nécessaires, a déclaré ce lundi Raphael Bostic, le président de l'antenne d'Atlanta. Le relèvement de 50 points de base de la fourchette de taux des fonds fédéraux ("fed funds"), portés entre 0,75% et 1% la semaine dernière, "est déjà une décision assez agressive", a-t-il dit à Bloomberg.

    "Je ne pense pas que nous ayons besoin d'agir encore plus agressivement", a-t-il ajouté, semblant exclure une hausse de 75 points de base telle qu'attendue par les marchés. "Je pense que nous pouvons rester sur ce rythme et cette cadence et réellement observer comment les marchés évoluent (...)", a-t-il poursuivi. "Nous allons bouger, peut-être deux fois, peut-être trois, observer comment l'économie réagit, voir si l'inflation continue de se rapprocher plus près de notre objectif de 2%, alors nous pourrons faire une pause et évaluer la situation."

  • Rivian chute après une grosse vente d'actions par Ford

    Le fabricant de pick-up, SUV et camionnettes électriques Rivian chute de 13,03% à 25,04 dollars à Wall Street après des informations de presse affirmant que l'un de ses plus gros actionnaires, Ford, avait cédé un gros paquet d'actions à un prix bradé. Peu après son entrée en Bourse en novembre, le titre avait grimpé jusqu'à 172 dollars, valorisant alors Rivian à 152 milliards de dollars, soit plus que Ford ou General Motors.

    Cette performance a un temps gonflé les résultats de deux de ses plus importants actionnaires, Amazon et Ford, qui possédaient respectivement 17,7% et 11,4% de Rivian fin 2021. Mais l'action de la jeune société, qui n'a livré ses premiers véhicules qu'en septembre, a depuis fortement chuté alors qu'elle peine à accélérer sa production. Aussi dès que Ford a été autorisé à le faire, à la fin de la période de 180 jours lui interdisant de céder des actions après l'introduction en Bourse, le constructeur a décidé de céder une partie de ses titres, affirme la chaîne d'informations financières CNBC. 

  • Les grand noms du numérique souffrent

    Le niveau élevé des taux d'intérêt plombent les valeurs technologiques, qui ont besoin de taux bas pour le financement de leur croissance et la valorisation de leurs bénéfices à long terme. A New York, les géants tels que Alphabet (-1,52%), Amazon (-1,59%) ou Twitter (-1,47%) baissent.

    En Europe, Dassault Systèmes chute de 3,43%, Deliveroo de 4,74%, Delivery Hero de 7,61%. Côté semi-conducteurs, Infineon perd 3,48%, après avoir légèrement augmenté ses prévisions annuelles, STMicroelectronics cède 1,47%, ASML lâche 4,60% et AMD 2,79%. 

    Uber perd également 1,61%. Son patron Dara Khosrowshahi a annoncé d'importantes réductions de coûts pour juguler la dégringolade du titre à la Bourse new-yorkaise, dans un courriel envoyé dimanche aux employés de l'entreprise et publié lundi par CNBC. 

  • Le pétrole en baisse

    Les prix du pétrole fléchissent, lestés par les craintes d'un ralentissement de la demande chinoise en raison de la flambée épidémique que connaît actuellement le pays.

    Le baril de Brent à échéance juillet recule de 2,49% à 109,71 dollars, celui du WTI pour livraison juin de 2,93% à 106,57 dollars.

  • La chute du bitcoin se poursuit

    Le bitcoin poursuit sa correction, plombé par l'aversion au risque des investisseurs: il recule de 3,37% à 33.090 dollars, une chute de plus de 8% en trois jours.

  • Le dollar reste fort

    L'euro recule de 0,14% contre le billet vert, à 1,0537 dollar.

    De son côté, la roupie indienne plonge à un plus bas historique face au billet vert, s'échangeant à 77,46 roupies pour un dollar, plombée par l'inflation et de la politique monétaire américaine.

  • Wall Street ouvre en baisse, les rendements obligataires montent

    La Bourse de New York a ouvert en baisse, la montée des rendements obligataires pesant sur les actions dans un contexte de craintes d'une accélération du resserrement monétaire aux Etats-Unis et d'un ralentissement économique en Chine. Le Dow Jones perd 1,2% à 32.505,95 points. Le S&P 500 recule de 1,3% à 4.065,83 points. Le Nasdaq, qui a enregistré vendredi une cinquième semaine consécutive de baisse, la plus longue série hebdomadaire de pertes depuis le quatrième trimestre 2012, cède encore 1,4% à 11.965,05. L'indice, riche en valeurs technologiques, souffre des anticipations de hausse de taux.

    Après un relèvement de 50 points de base des taux de la Réserve fédérale américaine la semaine dernière, la plupart des traders tablent sur une nouvelle progression de 75 points du coût du crédit lors de la réunion en juin de la banque centrale face à une inflation galopante. Les chiffres des prix à la consommation aux Etats-Unis pour le mois d'avril seront publiés mercredi. "Les marchés se concentrent sur les taux d'intérêt à long terme. Plus ils montent, plus ils craignent une récession ou une stagflation", explique Christopher Grisanti, stratège actions chez MAI Capital Management.

    Côté valeurs, les géants du numérique tels que Microsoft, Amazon, Apple, Alphabet, Meta et Tesla reculent de 1,5% à 4,5%. L'indice du secteur des hautes technologiques perd 1,6%. Le rendement des bons du Trésor à dix ans avance parallèlement à 3,12%, après avoir touché en séance un sommet depuis novembre 2018 à 3,2%. Cela ne profite pas aux banques, Morgan Stanley cédant 1,5% et l'indice sectoriel 1,2% dans un contexte d'aplatissement de la courbe des taux, le rendement des Treasuries à cinq ans (3,007%) étant pratiquement au même niveau que celui du dix ans.

  • Les marchés US ouvrent dans le rouge

    Le Dow Jones perd 1,36% à 32.452,26 points.

    Le Nasdaq lâche 1,68% à 11.940,70 points.

    Le S&P 500 cède 1,54% à 4.060,03 points.

  • Update 3 | Le point sur la tendance boursière

    Wall Street devrait nettement reculer à l'ouverture et les bourses européennes sont en baisse, tandis que les rendements obligataires remontent avec les inquiétudes concernant l'inflation et le resserrement de la politique des banques centrales.

    Les contrats à terme sur indices donnent une baisse de 1,12% pour le Dow Jones, de 1,5% pour le Standard & Poor's-500 et de 2% pour le Nasdaq.

    En Europe, les pertes varient entre 1,25% à Amsterdam et 2,35% à Bruxelles. L'Euro Stoxx 50 est indiqué en recul de 1,6% et le Stoxx 600 abandonnerait 1,64%.

    La perspective de nouvelles hausses des taux d'intérêt pour lutter contre l'inflation fait souffrir les actions mondiales et les marchés obligataires où les rendements souverains ont atteint de nouveaux plus hauts.

    Outre le durcissement des conditions monétaires, les effets indirects de la guerre en Ukraine et le renforcement d'une politique anti-Covid-19 en Chine renforcent les craintes d'un net ralentissement de l'économie mondiale.

    L'indice Sentix du moral des investisseurs en zone euro est au plus bas depuis juin 2020, à -22,6 en mai, reculant pour le troisième mois consécutif alors que l'impact de la crise en Ukraine sur l'économie apparaît de plus en plus clairement.

  • Lagarde refuse d'indexer les salaires du personnel de la BCE

    Christine Lagarde, la présidente de la Banque centrale européenne (BCE), refuse d'instaurer une indexation automatique des salaires pour le personnel de l'institution. "L'indexation des salaires sur l'inflation n'est ni souhaitable ni prévue", a-t-elle déclaré dans un e-mail au personnel.

    Lagarde dit comprendre que certains sont déçus de l'augmentation de salaire de cette année, mais note que les futures augmentations de salaire devraient être "raisonnables". Le personnel de la BCE a reçu une augmentation de 1,48% en janvier. En Allemagne, où siège la BCE, l'inflation a atteint 7,4%.


  • UBS: "Investir en actions n'est attractif nul part en ce moment"

    "La prime de risque actuelle des actions n'a pas jamais été aussi faible au cours de la dernière décennie", a déclaré Evan Brown, stratège en chef chez UBS Asset Management. "Cela signifie que les investisseurs ne sont pas suffisamment rémunérés pour une contraction soudaine de la croissance ou une inflation qui devient incontrôlable." Brown pense que les actions ne sont pas vraiment attrayantes partout dans le monde en ce moment.

  • Recul surprise de la quantité d'argent déposée sur les comptes d'épargne

    La quantité d'argent déposée sur les comptes d'épargne a clairement diminué en mars, selon les chiffres de la Banque nationale. Il est toutefois prématuré de mettre en avant la seule hausse du coût de la vie pour justifier ce phénomène, estime la BNB.

    300,7 milliards d'euros
    Moins d'argent déposé sur les comptes d'épargne
    En mars, 300,7 milliards d'euros se trouvaient sur des comptes d'épargne réglementés. C'est 656 millions d'euros de moins qu'en février. Il s'agit de la première baisse depuis près d'un semestre.

    En mars, 300,7 milliards d'euros se trouvaient sur des comptes d'épargne réglementés. C'est 656 millions d'euros de moins qu'en février. Il s'agit de la première baisse depuis près d'un semestre.

    Les familles doivent-elles dès lors piocher dans leurs économies pour payer les factures d'énergie plus élevées et des courses plus onéreuses ?

    "L'inflation élevée joue forcément un rôle, mais il peut y avoir de nombreuses raisons pour lesquelles l'épargne varie d'un mois à l'autre", répond Geert Sciot, porte-parole de la Banque nationale. Peut-être que les gens ont réservé tôt pour partir en voyage. Ou ils ont reçu une prime dans les mois précédents ou leurs salaires ont été indexés. Il est difficile de tirer des conclusions sur une période d'un mois."

    Ce n'est que d'ici quelques mois que l'on saura si le taux d'inflation élevé ronge en effet les comptes d'épargne. Quoi qu'il en soit, la BNB s'attend toujours à une augmentation moyenne du pouvoir d'achat cette année. "Mais c'est aussi parce que davantage de personnes ont un emploi", précise-t-elle. Plus de gens ont un emploi, plus le pouvoir d'achat moyen des ménages est élevé.

  • Goldman Sachs: "Nous voyons un risque baissier pour les marchés"

    Si, même la maison de bourse Goldman Sachs, souvent "haussière", publie des perspectives sombres, alors il y a de fortes chances que cela être une autre journée boursière sombre.

    "Même le meilleur scénario pour l'économie implique maintenant probablement une période de rendements modestes sur les actions", écrit le stratège en chef de Goldman, David Kostin, dans une mise à jour. "Même si une récession peut être évitée, nous voyons un risque baissier sur les marchés boursiers."


  • VGP et WDP sur le flanc

    Les acteurs de l'immobilier logistique sont une nouvelle fois pénalisés. C'est le cas à Bruxelles ou VGP et WDP subissent d'importants dégagements, avec des actions représentatives en perte de respectivement 7% et 4,3%, soit aussi les deux plus fortes baisses de l'indice Bel 20 qui perd au même moment 2,35% à 3.926,99 points.

    L'explication de ce recul est à mettre notamment sur le compte des déclarations du directeur financier d'Amazon, Brian Olsavsky. Pour ce dernier, la société américaine de commerce électronique "a trop d'espace".  "Nous avons plus d'espace de stockage que nécessaire pour répondre à la demande". La superficie des entrepôts d'Amazon a doublé au cours des deux dernières années.

  • Tensions sur le marché obligataire

    Non seulement le marché des actions est sous pression, mais celui des obligations l'est également.

    Sur l'échéance 10 ans, le rendement américain se tend de plus de 4 points de base à 3,169%. Son équivalent allemand grimpe de 5 points à 1,175%. En Italie, le taux d'emprunt grimpe de 9 points à 3,222%, ce qui porte l'écart de rendement entre l'Allemagne et l'Italie à près de 205 points.

    Quant au taux belge à 10, il se situe à 1,757%, en hausse d'un peu plus de 5 points.

  • Update 2 | Le point sur la tendance boursière

    Les marchés européens creusent leurs pertes et s'enfoncent en début d'après-midi. Les pertes varient entre 2,6% à Bruxelles et 1,56% à Francfort. L'Euro Stoxx 50 lâche 2,07% et le Stoxx 600 2%.

    Les contrats à terme sur Wall Street sont rouges vifs: le Nasdaq ouvrirait en recul de 2,4%, le S&P 500 de 2% et le Dow Jones de 1,64%.

  • Bpost teste un nouveau plus bas

    L'action bpos t a touché un séance un plus bas historique de 5,25 euros en début de matinée. Le titre qui est depuis lors revenu à 5,455 euros subit une double peine: les conséquences de son propre avertissement sur résultats de vendredi et le profit warning de PostNL ce matin.

    Rival de bpost, PostNL a fait savoir ce matin qu'il anticipait désormais un bénéfice d'exploitation compris entre 170 et 210 millions d'euros, bien moins que les 210 à 240 millions annoncés fin février (voir post de 8h13).

    Bpost perd 2,77% à 5,45 euros et PostNL dégringole de 12,52% à 2,70 euros.

  • UPDATE | Briefing actions belges

     

  • Rivian: -7% en avant-bourse

    Rivian chute de 7,2% en avant-bourse. Selon David Faber de CNBC, Ford cède 8 millions de titres, à l'issue d'une période lock-up. Goldman Sach est chargé de l'opération. Ford détient actuellement 102 millions d'actions Rivian.

  • Les tops les flops de l'Euro Stoxx 50

  • Hit-parade de la Bourse de Bruxelles

  • Update | Le point sur la tendance

    Les marchés actions européens s'enfoncent en matinée, les investisseurs préférant rester à l'écart des actifs risqués face à un cocktail de facteurs négatifs composés par les confinements en Chine, la guerre en Ukraine et les menaces que l'inflation fait peser sur l'activité économique.

    Les pertes varient entre 0,91% à Francfort et 1,78% à Bruxelles. L'Euro Stoxx 50 cède 1,53% et le Stoxx 600 rétrograde de 1,5%.

    Les contrats à terme sur les principaux indices américains suggèrent une baisse marquée dès les premiers échanges. L'indice Dow Jones recule de 1,4%, le S&P de 1,65% et le Nasdaq de 2%.

    Aucun secteur n'échappe au repli en Europe. Les minières sont particulièrement délaissées, avec un repli de 3,6% pour l'indice sectioriel Stoxx, alors que les cours du minerai de fer en Chine ont fortement baissé en raison des inquiétudes concernant la demande.

    Le dollar tire son épingle du jeu face à un panier de devises de référence. De son côté, l'euro est passé sous 1,05 dollar en matinée à 1,0495. Il est depuis lors revenu à 1,0523.

    Sur le front obligataire, le rendement à 10 ans US se tend de 6,4 points de base à 3,191%.

  • Nouveau cauchemar pour une biotech belge

     

  • Le rendement du dix ans US poursuit sa hausse

    Le rythme des relèvements de taux de la Fed reste une des préoccupations majeures des intervenants de marché. La publication des chiffres mensuels des prix à la consommation aux Etats-Unis mercredi devraient alimenter les discussions en la matière.

    La hausse des prix pourrait avoir ralenti à 0,2% en avril aux Etats-Unis par rapport à mars et à 8,1% en rythme annuel selon le consensus Reuters.

    "Une modération de l'indice CPI serait légèrement réconfortante mais une accélération relancerait sans aucun doute les attentes d'une hausse de taux de 75 points de base de la Fed", ont déclaré les analystes d'ANZ Bank.

    Le rendement des bons du Trésor à dix ans gagne près de six points de base à 3,185%, au plus haut depuis novembre 2018, alors que son équivalent allemand a atteint 1,136%.

  • Jefferies réduit son objectif de cours sur bpost

    L'analyste David Kerstens du broker Jefferie abaisse l'objectif de cours de bpost de 7,5 à 6 euros, après l'avertissement sur résultats déguisé en fin de semaine dernière. La recommandation reste de "conserver".

    Nous n'attendons plus une évolution stable de l'activité des colis en 2022, mais une contraction de 5 à 15%. Ceci s'explique par un consommateur plus pessimiste, une préférence pour les magasins physiques et à un Amazon qui livre lui-même plus de colis.

    David Kerstens
    Bpost

     

  • Deux brokers réagissent au communiqué d'Oxurion

    L'analyste Thomas Vranken de KBC Securities réduit sa recommandation sur Oxurion de "réduire" à "accumuler" avec un prix cible divisé par trois, de 3 euros à un euro. Degroof Petercam passe d'acheter à conserver. Le prix cible est réduit à 1,3 euro contre 2,1.

  • "Le dividende de PostNL devrait passer sous 0,30 euro par action" (Degroof Petercam)

    Ce trading update difficile et l'abaissement des perspectives pour l'exercice 2022 confirment nos points d'inquiétudes pour PostNL notent les analystes de Degroof Petercam. Ils citent notamment: des volumes de colis sous pression et des pressions inflationnistes sur la main-d'oeuvre et le carburant.

    Le rendement du dividende continue d'être un facteur de soutien, ajoutent-ils. "PostNL a une généreuse politique de distribution de dividendes avec 70 à 90% du résultat global net. Cependant, comme les bénéfices vont baisser cette année, le dividende devrait passer de 0,42 euro en 2021 à moins de 0,30 euros en 2022 (mais toujours avec un rendement de 8 à 9%). Le programme de rachats d'actions propres de 250 millions d'euros compensera largement la dilution du dividende en actions et offrira une certaine protection contre les baisses."

    L'objectif de cours passe de 3,70 euros à 3,20 euros, en raison d'une baisse des estimations de Degroof Petercam pour le résultat opérationnel récurrent en raison de la division "Colis". Le conseil de "conserver" est maintenu.

  • Voici le briefing actions belges

     

  • Le point sur la tendance boursière

    Les marchés actions européens pointent en baisse en début de matinée, coincés entre la guerre en Ukraine et des indicateurs économiques chinois mauvais.

    Les pertes varient entre 0,24% à Amsterdam et 0,73% à Bruxelles. L'Euro Stoxx 50 lâche 0,58% et le Stoxx 600 perd 0,62%. Les valeurs minières encaissent le recul sectoriel le plus important (-1,7%) et celui des pétrolières la plus forte progression (+0,30%).

    PostNL dégringole de 12% après un avertissement sur résultats. Dans la foulée, bpost chute de 5,7%.

    Infineon ne parvient pas à profiter du relèvement de ses prévisions: l'action représentative perd 0,57%. Les autres sociétés de semi-conducteurs subissent aussi une pression vendeuse: ASML perd 2,33% et ASMI 2%. A Bruxelles, Melexis abandonne 0,13%.

    Adidas perd 1,34%. Plusieurs brokers de Berenberg à Bryan Garnier ont réduit leur objectif de cours sur la valeur, après l'avertissement sur résultats de vendredi dernier. Le holding GBL qui détient 7,1% d'adidas, perd 0,64%.

  • Oxurion: -25%

    Oxurion dégringole de 25,4% à 0,75 euro, après l'annonce de l'arrêt des essais avec le THR-687 pour le traitement de l'œdème maculaire diabétique (OMD).

  • Top / Flop de la Bourse de Bruxelles

  • PostNL : -12%

    PostNL perd 12% après avoir revu à la baisse sa prévision de résultat opérationnel annuel.

  • |Opening bell|

  • Top / Flop du Bel 20

  • Deutsche Bank relève l'objectif de cours d'Aperam

    Après les résultats trimestriels de vendredi, Deutsche Bank relève l'objectif de prix du producteur d'acier inoxydable Aperam de un euro, à 68 euros. L'action Aperam a déjà perdu 26% cette année en raison des craintes d'un ralentissement brutal de l'économie mondiale.

    Vu le cours de l'action, le conseil reste logiquement "acheter". "Nous relevons nos prévisions de bénéfices pour 2022 de 8%", souligne l'analyste Bastian Synagowitz. Il note aussi qu'au-delà des 100 millions de dollars supplémentaires de rachats d'actions qu''Aperam génère un solide flux de trésorerie disponible. Cela donne à la direction la possibilité d'augmenter les paiements directs aux actionnaires (dividendes, ndlr) ultérieurement."

    Aperam génère un flux de trésorerie disponible élevé. Cela donnera à la direction la possibilité d'augmenter les avantages plus tard.

  • Infineon relève ses prévisions

    Infineon , le principal fournisseur de micropuces pour l'industrie automobile, annonce une augmentation de 22% de son chiffre d'affaires au deuxième trimestre. Et il relève ses perspectives pour l'année entière car il bénéficie de la pénurie mondiale des semi-conducteurs.

    La société basée à Munich anticipe un chiffre d'affaires de 13,5 milliards d'euros, avec une marge d'erreur de 500 millions. Il anticipait jusqu'ici 13 milliards d'euros.

  • Resilux quitte la cote le 1er juin

    Mi février, Quvadec franchissait le seuil de déclenchement d'une OPA sur Resilux . Trois mois plus tard, la société détient plus de 95,6% du capital de la société. Cela permet à Quvadac de lancer une offre dite de retrait obligatoire pour les actions restantes. Les actionnaires qui n'ont pas encore pu apporter leurs actions à l'offre peuvent encore le faire entre le 17 et le 31 mai au même prix de 235 euros par action.

    Ceux qui ont accepté l'offre seront payés le 16 mai. Ceux qui acceptent l'offre de retrait obligatoire seront payés le 10 juin au plus tard.

    A partir du 1er juin, Resilux ne sera plus coté en bourse.

  • Oxurion arrête les essais avec le THR-687

    La société biopharmaceutique Oxurion stoppe les essais avec le THR-687, un antagoniste de l'intégrine, pour le traitement de l'œdème maculaire diabétique (OMD). Les données de la partie A ont montré que le THR-687 était sûr et bien toléré, mais qu'il n'y avait pas suffisamment de preuves d'efficacité sur les critères d'évaluation clés (meilleure acuité visuelle corrigée et Épaisseur du sous-champ central). En conséquence, Oxurion a décidé de ne pas faire avancer le THR-687 dans la partie B de l'essai INTEGRAL.

    La société se concentre donc entièrement sur le THR-149 qui a récemment démontré un profil d'innocuité et d'efficacité convaincant chez les patients atteints d'OMD dans la première partie de l'essai en deux parties de phase 2 KALAHARI. La partie B de cet essai recrute actuellement des patients aux États-Unis et en Europe.

  • Profit warning de PostNL

    Après l'avertissement "de facto" de bpost en fin de semaine dernière, son rival PostNL lance lui ce matin un véritable profit warning.

    Herna Verhagen, la PDG du groupe postal néerlandais, dit pouvoir tabler sur un bénéfice d'exploitation compris entre 170 et 210 millions d'euros pour 2022. C'est bien moins que les 210 à 240 millions annoncés fin février et bien moins que les 308 millions d'euros de l'exercice 2021.

    2022 sera plus difficile que prévu, en raison d'augmentations de coûts plus élevées et d'une visibilité réduite sur les volumes, selon Herna Berhagen.

  • Briefing d'avant-bourse

    Les bourses européennes sont attendues en baisse à l'ouverture, toujours plombées par les inquiétudes concernant la croissance économique mondiale dans un contexte de resserrement des politiques monétaires et de crise sanitaire en Chine.

    Les indications disponibles indiquent un recul de 1,58% pour l'Euro Stoxx 50, de 0,9% pour Londres et de 1,46% pour le Dax à Francfort.

    La semaine qui s'ouvre sera animée notamment mercredi par la publication des chiffres mensuels des prix à la consommation aux Etats-Unis, qui ne manqueront pas d'alimenter les débats sur le rythme des relèvements de taux de la Fed.

    "Une modération de l'indice CPI serait légèrement réconfortante mais une accélération relancerait sans aucun doute les attentes d'une hausse de taux de 75 points de base de la Fed", estiment les analystes d'ANZ Bank.

    Les craintes sur les conséquences du confinement de Shanghai sur l'économie chinoise et mondiale s'accentuent alors que les autorités de la capitale économique du pays devraient maintenir les restrictions sanitaires jusqu'à la fin du mois par crainte d'un rebond des infections par le coronavirus, ont rapporté plusieurs sources.

    Par ailleurs, des spéculations selon lesquelles le président russe Vladimir Poutine pourrait officiellement déclarer la guerre à l'Ukraine ce lundi à l'occasion des célébrations commémorant la capitulation de l'Allemagne nazie face aux troupes alliées devrait également affecter le sentiment du marché.

  • Le bitcoin au plus bas depuis juillet 2021

    Le bitcoin chute vers des niveaux observés pour la dernière fois en juillet 2021, dans le contexte plus large d'un recul des crypto-monnaies sur fond de fuite des actifs les plus risqués par les investisseurs. Le bitcoin perd un peu plus de 3% à 33.548 dollars et l'Ether chute de 3,8%.

    La plupart des cryptomonnaies ont été sous pression au cours du week-end et le mouvement se poursuit ce lundi.

    Le resserrement de la politique monétaire et la baisse des liquidités détournent les investisseurs des actifs spéculatifs. Ajoutant à la prudence à l'égard des actifs numériques, la valeur de TerraUSD ou UST, un stablecoin algorithmique qui vise entend maintenir la parité avec le dollar, a glissé en dessous de 1 dollar au cours du week-end avant de se redresser.

    La hausse des taux d'intérêt donne aux investisseurs individuels et institutionnels l'occasion de réfléchir aux perspectives du marché des crypotmonnaies, selon Edul Patel, directeur général de Mudrex, une plateforme d'investissement crypto.

    "La tendance à la baisse devrait se poursuivre au cours des prochains jours", estime-t-il ajoutant que le bitcoin pourrait tester le niveau de 30.000 dollars.

  • Le producteur d'hydrogène Lhyfe lance son introduction en Bourse

    Le producteur français d'hydrogène Lhyfe a annonce le lancement de son introduction en Bourse à Paris avec pour objectif de lever jusqu'à 145,5 millions d'euros, avec une fourchette indicative de prix entre 8,75 et 11,75 euros par action.

    La société, qui affiche son ambition de devenir "un leader européen de la production d'hydrogène vert", précise avoir déjà reçu des engagements de souscription portant sur 32 à 39 millions d'euros.

    Elle projette une augmentation de capital d'environ 110 millions d'euros, susceptible d'être portée à 145,5 millions en cas d'exercice intégral de l'option de surallocation. La période de souscription ouvre ce lundi et court jusqu'au 20 mai.

  • Barco, Deceuninck et Home Invest ex-dividende

    Ces actions se négocient aujourd'hui sans dividende :

    > Barco : dividende brut de 0,40 EUR pour l'exercice 2021
    > Deceuninck 0,06 EUR de dividende brut pour l'exercice 2021
    > Home Invest Belgium : cotation ex dividende final 0,71 euros brut et réduction de fonds propres de 0,35 euros, dont 0,30 euros via réduction de capital (brut = net)

  • Vers une ouverture en nette baisse en Europe

    Les indices actions européens sont annoncés en baisse. Sur base des premières indications disponibles, l'Euro Stoxx 50 reculerait de 1,10%. Francfort abandonnerait 1%, Paris 0,9% et Amsterdam 0,7%.

  • Le G7 prêt à se sevrer du pétrole russe

    Les prix du pétrole progressent timidement ce matin, au lendemain de l'engagement pris par les pays du G7 de se sevrer du pétrole russe.

    Le baril de pétrole de qualité Brent pour livraison en juillet grimpe de 0,15% à 112,54 dollars. Son équivalent américain, le WTI pour livraison le mois prochain grimpe de 0,16% à 108,49 dollars.

    Les pays du G7, qui ont accusé dimanche Vladimir Poutine de couvrir la Russie "de honte" avec ses actions en Ukraine, ont pris cet engagement sans toutefois donner de calendrier précis.

  • ABB, ASML, VW... Les 5 actions chouchous de Martine Hafkamp (Fintessa Vermogensbeheer)

    Martine Hafkamp est directrice générale de Fintessa Vermogensbeheer. Ses actions préférées sont Equinor, ASML, Volkswagen, ABB et Alphabet.

  • Tokyo démarre en nette baisse

    La Bourse de Tokyo démarre la semaine du mauvais pied, imitant la tendance à Wall Street en fin de semaine dernière, toujours sur fond de craintes autour du resserrement monétaire aux Etats-Unis contre l'inflation, menaçant en même temps la croissance américaine.

    L'indice vedette Nikkei chute de 2,4% à 26.363,79 points.

    En plus des soucis liés à la hausse des taux d'intérêt aux Etats-Unis, les investisseurs à Tokyo digèrent aussi l'engagement annoncé dimanche par les pays du G7 - dont le Japon - à s'affranchir progressivement du pétrole russe.

    Pour l'archipel nippon, cet engagement risque de faire encore monter sa facture énergétique, et donc l'inflation dans le pays.

  • ... mais également Ageas, KBC et Euronav

    La saison des résultats continuera à battre son plein ces prochains jours. En Bourse de Bruxelles, les chiffres trimestriels d'Ageas et de Ahold Delhaize sont attendus mercredi matin et ceux de KBC et Euronav jeudi avant l'ouverture des marchés.

  • Quelques statistiques importantes au menu...

    Bonjour! Bienvenue sur ce "Market live" du lundi 9 mai 2022, l'endroit idéal pour ne rien rater de l'actualité boursière et financière.

    Cette semaine, les statistiques seront rares, mais d'importance. Mardi, on recevra les données de l'indice Zew qui mesure le moral des investisseurs allemands. Ceux-ci risquent bien d'apparaître déprimés, après l'annonce récente d'une contraction des exportations et d'une chute des commandes industrielles en Allemagne.

    Mais l'indicateur conjoncturel phare de la semaine sera indéniablement le niveau de l'inflation aux États-Unis en avril, qui sera dévoilé mercredi. Pour la première fois depuis août 2021, la hausse des prix devrait décélérer. En moyenne, les économistes s'attendent à une augmentation de 8,1% sur un an de l'indice des prix à la consommation, contre 8,5% en mars. L'inflation sous-jacente décélérerait quant à elle à 6% en avril, après 6,5% le mois précédent.

    Toujours aux USA, la confiance des consommateurs mesurée par l'Université du Michigan est attendue à 63,6 vendredi, en baisse par rapport à son niveau de 65,2 d'avril. Une statistique à tenir à l'œil, compte tenu de l'importance de la consommation US. Le même jour, la production industrielle de la zone euro du mois de mars devrait ressortir en baisse de 1,1% sur un an, après avoir progressé de 2% en février. Ces données sont également à surveiller de près, car elles devraient permettre de confirmer l'impact de la guerre en Ukraine sur l'économie européenne.

     

    ©EPA

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