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Wall Street termine dans le vert, le S&P 500 atteint son plus haut niveau de l'année à la clôture

La Bourse de New York a clôturé en hausse, le S&P 500 atteignant même son plus haut niveau de l'année à la clôture, avec l'espoir d'un accord sur le plafond de la dette aux États-Unis. Les indices actions européens avaient eux aussi clôturé en nette hausse, le Bel 20 gagnant près de 1%.
  • À suivre ce vendredi

    C'est ici que se termine ce live, merci à tous de nous avoir suivis. Les discours de plusieurs membres de la Fed et un discours d'Isabel Schnabel (BCE) vont rythmer la séance boursière européenne ce vendredi. Assemblée chez Beluga et Xior. Résultats de John Deere.

  • Wall Street termine dans le vert, portée par l'optimisme sur la dette US

    La Bourse de New York a fini en hausse, soutenue par l'espoir d'un accord sur le plafond de la dette des Etats-Unis et la bonne performance de Walmart, qui a revu à la hausse ses perspectives annuelles. Le Dow Jones a gagné 0,34% à 33 535,91 points. Le S&P 500 a pris 0,94% à 4.198,05 points. Le Nasdaq a avancé de son côté de 1,51% à 12 688,84 points. Le président américain Joe Biden et le "speaker" républicain de la Chambre des représentants, Kevin McCarthy, ont indiqué cette semaine qu'un accord visant à relever le plafond d'emprunt du gouvernement était à portée de main.

    Les discussions sur le plafond de la dette américaine ont détourné l'attention de la campagne de relèvement des taux de la Réserve fédérale (Fed). Le département du Travail a annoncé ce jeudi que les inscriptions au chômage ont diminué plus que prévu aux Etats-Unis lors de la semaine au 13 mai, ce qui suggère que la tension persiste sur le marché du travail et que les efforts de la Fed pour freiner l'économie n'ont pas pleinement abouti. 

    Côté valeurs, Walmart a progressé après avoir fait état de résultats meilleurs qu'attendu au premier trimestre et avoir relevé ses perspectives annuelles. Netflix a également avancé après avoir annoncé que son offre avec publicités comptait près de 5 millions d'utilisateurs actifs par mois. Micron Technology a lui aussi terminé dans le vert après avoir annoncé mercredi son intention d'investir jusqu'à 500 milliards de yens (3,35 milliards d'euros) dans la technologie des ultraviolets extrêmes au cours des prochaines années avec le soutien du gouvernement japonais.

  • Le S&P 500 au top

    Avec un bond de près de 1% ce jeudi, le S&P 500 a atteint son plus haut niveau de l'année à la clôture.

  • Les marchés US terminent dans le vert

    Le Dow Jones a gagné 0,34% à 33.535,91 points.

    Le S&P 500 a pris 0,94% à 4.198,04 points.

    Le Nasdaq a avancé de 1,51% à 12.688,84 points.

  • Dow et S&P 500 sont dans le vert

    Le Dow gagne 0,05%, le Nasdaq 1,23% et le S&P 500 0,65%.

  • En pleine bataille avec la Floride, Disney y annule la construction d'un campus

    Disney, en pleine bataille politique avec le gouverneur de Floride Ron DeSantis, a annoncé ce jeudi que le groupe renonçait à y construire un campus qui devait accueillir des employés près de son parc d'attractions.

    "Compte tenu des changements considérables intervenus depuis l'annonce de ce projet, notamment une nouvelle direction et l'évolution de la conjoncture économique, nous avons décidé de ne pas poursuivre la construction du campus", écrit Josh D'Amaro, le responsable des parcs d'attractions dans le groupe, dans un mémo adressé aux employés.

    Walt Disney gagne un peu plus de 1% à Wall Street.

  • Le pétrole perd plus de 1%

    Le marché du pétrole recule après avoir pris près de 3% la veille: le Brent perd 1,43% à 75,68 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) 1,39% à 71,65 dollars.

  • Les taux au plus haut

    Les rendements obligataires de référence en zone euro ont terminé en forte hausse, un mouvement logique face à la hausse des actions, au regain d'appétit pour les actifs plus risqués et aux indicateurs américains.

    Celui du Bund allemand à dix ans a fini à 2,413% et son équivalent français à plus de 3%, tous deux au plus haut depuis plus de deux semaines.

    Le dix ans américain gagne près de six points de base autour de 3,638%.

  • Le plafond du prix du pétrole russe a atteint ses objectifs, selon un rapport du Trésor américain

    Le plafond imposé au prix du pétrole russe par l'UE, le G7 et l'Australie a "atteint ses objectifs", selon un rapport publié ce jeudi par le Trésor américain, un des sujets phares de la réunion du G7 qui débute vendredi au Japon. "Malgré le scepticisme initial du marché (...), les acteurs du marché et les analystes géopolitiques ont maintenant reconnu que le plafonnement des prix atteint ses deux objectifs", réduire les revenus de la Russie tout en maintenant la stabilité du marché énergétique mondial, a indiqué le département du Trésor dans ce rapport.

    Le sujet, et, plus largement, celui des sanctions imposées à la Russie, sera sur la table de la réunion des dirigeants des pays du G7 (Canada, France, Etats-Unis, Allemagne, Italie, Japon, Royaume-Uni), qui s'ouvre vendredi à Hiroshima, au Japon. Les revenus que la Russie a tirés de la vente de pétrole ont chuté de 40% au premier trimestre, par rapport au premier trimestre 2022, précise le Trésor, citant les chiffres publiés par le ministère des Finances russe.

  • L'euro se replie, la livre turque au plus bas

    Sur le marché des devises, le mouvement de hausse observé récemment sur le dollar se poursuit, grâce à l'optimisme concernant la dette américaine et des spéculations sur la politique monétaire de la Réserve fédérale. Pour certains cambistes, les statistiques américaines du jour renforcent la probabilité d'un atterrissage en douceur de l'économie et éloignent aussi la perspective d'une baisse des taux de la Fed d'ici la fin de l'année.

    Le billet vert prend 0,62% contre un panier de devises internationales, au plus haut depuis trois semaines. L'euro se replie quant à lui à 1,0777 dollar.

    La livre turque, à 19,7975 pour un dollar, s'approche de son plus bas niveau touché en mars à 19,80. Arrivé en tête au premier tour de la présidentielle dimanche, le président sortant Recep Tayyip Erdogan est quasiment assuré d'être réélu dans dix jours face au candidat de l'opposition, estiment de nombreux analystes.

  • Trigano rit, Burberry et BT pleurent

    En bourse, Trigano a grimpé de 13,32%, sa plus forte progression depuis mars 2020, après l'annonce de ses résultats du premier semestre, qui témoignent d'une forte demande persistante pour les camping-cars.

    À Londres, Burberry a abandonné 5,20%, la faible performance du groupe luxe sur le marché américain ayant éclipsé un chiffre d'affaires trimestriel plus élevé qu'attendu, grâce au rebond en Chine. L'opérateur télécom britannique BT a perdu 5% après avoir annoncé des flux de trésorerie annuels inférieurs aux attentes et son intention de supprimer jusqu'à 55.000 emplois d'ici 2030.

  • Le bitcoin recule de plus d'1%

    Le bitcoin perd 1,03% à 27.057 dollars, mais reste stable sur les cinq derniers jours.

  • L'optimisme sur le plafond de la dette US continue de soutenir les actions

    Les bourses européennes ont terminé en hausse, portées par l'espoir d'un accord prochain sur le plafond de la dette des Etats-Unis. À Paris, le CAC 40 a gagné 0,64% à 7.446,89 points. Le Footsie britannique a avancé de 0,25% et le Dax allemand de 1,33%, au plus haut depuis le 5 janvier 2022. L'indice EuroStoxx 50 a fini en hausse de 1,02%, le FTSEurofirst 300 de 0,48% et le Stoxx 600 de 0,39%.

    Le président américain, Joe Biden, et le patron républicain de la Chambre des représentants, Kevin McCarthy, ont souligné cette semaine qu'un accord visant à relever le plafond d'emprunt du gouvernement était à portée de main. L'administration fédérale pourrait se retrouver à court d'argent pour payer salaires, retraites et créanciers dès le 1er juin, a estimé le Trésor.

    "La probabilité d'un défaut est faible, mais à mesure que nous nous rapprochons de la date X, qui est elle-même une cible mouvante, nous allons probablement assister à une plus grande volatilité", a déclaré Jake Jolly, chez BNY Mellon Investment Management. Joe Biden et Kevin McCarthy ont accepté de s'entretenir dès dimanche sur ce dossier.

  • Le Bel 20 prend près d'1%

    L'indice phare de la Bourse de Bruxelles a terminé en hausse de 0,97% à 3.717,30 points. Il a été particulièrement soutenu par Galapagos (+5,91%), KBC (+2,90%) et D'Ieteren (+2,13%).

    À l'inverse, cinq valeurs ont terminé dans le rouge: Elia (-2,93%), Aedifica (-2,02%), Proximus (-1,69%), WDP (-1,14%) et Cofinimmo (-0,97%).

  • Europe | Closing Bell

    Bel 20: +0,97%

    FTSE 100: +0,25%

    DAX: +1,33%

    CAC 40: +0,64%

  • Le dollar continue de s'apprécier

    Le dollar gagne encore du terrain face à un panier d'autres grandes devises, effaçant ses pertes marquées d'avril en plein débat sur le plafond de la dette américaine et alors que les investisseurs sont un peu plus confiants sur l'économie américaine.

    L'euro cède 0,48% à 1,0788 dollar.

  • Le pétrole repart à la baisse

    Les prix du brut se tassent après leur bond de la veille, le vent d'optimisme sur les marchés provoqué par un éventuel accord sur le plafond de la dette des États-Unis laissant place à plus de prudence de la part des investisseurs.

    Le Brent de mer du Nord pour livraison en juillet cède 0,72% à 76,23 dollars et celui de WTI américain recule de 0,56% à 72,25 dollars.

  • Londres sur le devant de la scène

    L'actualité microéconomique est dense ce jeudi pour les valeurs de la place londonienne.

    • Le groupe de luxe britannique Burberry chute de 5,99%, malgré une nette hausse de son bénéfice lors de son exercice 2022/2023, grâce à la reprise en Chine. Neil Wilson, analyste de Finalto, note toutefois des ventes plus faibles que prévu aux États-Unis.
    • L'action de BT dévisse de 5,44%. après l'annonce de la suppression de jusqu'à 55.000 emplois d'ici 2030.
    • Le constructeur de voitures de luxe britannique Aston Martin bondit pour sa part de plus de 14% après l'augmentation de la participation à son capital du groupe chinois Geely.
    • Le groupe postal britannique IDS, maison mère de Royal Mail, perd 7,29% malgré l'annonce d'une lourde perte pour son exercice annuel décalé, plombé notamment par des grèves et une baisse du volume des colis.
  • USA: nouveau recul des reventes de logements en avril

    Les reventes de logements aux Etats-Unis ont de nouveau reculé en avril, comme attendu, selon les données publiées ce jeudi par la Fédération nationale des agents immobiliers (NAR). En avril, 4,28 millions de maisons et appartements ont changé de propriétaire, en rythme annualisé, soit une baisse de 3,4% par rapport à mars, et de 23,2% par rapport à avril 2022.

    C'est sensiblement conforme aux attentes des analystes, qui tablaient sur 4,26 millions, selon le consensus de MarketWatch. Il s'agit du quatorzième mois de baisse d'affilée sur les 15 derniers mois, février étant la notable exception.

  • Bond de plus de 8% pour Netflix

    Netflix bondit de 8,15% après une présentation aux annonceurs, mercredi, lors de laquelle les responsables de la plateforme ont indiqué compter cinq millions d'"utilisateurs actifs" de son offre incluant de la publicité.

  • Les banques régionales en nette hausse

    Un vent portant souffle sur la banque régionale PacWest (+10,52%), chahutée ces dernières semaines, comme sur d'autres établissements du secteur comme la texane Comerica (+1,17%) ou Zions (+1,95%), dont le siège est à Salt Lake City (Utah).

  • Take-Two Interactive bondit à New York

    L'éditeur de jeux vidéo Take-Two Interactive s'envole de 12,95% après avoir publié un chiffre d'affaires en hausse de 55%, supérieur aux attentes, porté par ses titres à succès NBA 2K et Grand Theft Auto (GTA), ainsi que par une série de jeux sur mobile.

  • La Fed attentiste, les taux en hausse

    Un élément d'explication à ce départ poussif de Wall Street, ce sont les déclarations de la présidente de l'antenne de la banque centrale américaine (Fed) à Dallas, Lorie Logan, selon laquelle les données macroéconomiques actuelles ne justifient pas une pause dans le cycle de resserrement monétaire lors de la prochaine réunion de la Fed, mi-juin.

    Ces propos ont poussé encore un peu plus haut les taux obligataires, qui se raffermissent depuis plusieurs jours à mesure que le marché accepte l'idée que la Fed ne va pas baisser ses taux avant les derniers mois de l'année, au mieux. Le rendement des emprunts d'État américains à 10 ans ressortait à 3,63%, contre 3,56% la veille.

    Les traders ne voient pas la Réserve fédérale réduire son taux directeur avant novembre et accordent même désormais une probabilité d'un tiers au scénario d'une nouvelle hausse en juin.

  • Le gaz naturel européen au plus bas depuis près de 2 ans

    Le gaz naturel européen poursuit sa baisse, atteignant ce jeudi un nouveau plus bas depuis près de deux ans, le marché restant bien approvisionné, avec des niveaux de stockage en Europe confortables et la hausse des températures qui plombe la demande.

    Le contrat à terme du TTF néerlandais, considéré comme la référence européenne, évolue à 29,90 euros le mégawattheure (MWh), peu après avoir touché les 29,85 euros le MWh, un prix plus vu depuis juin 2021.

  • Le bilan de la Banque d'Angleterre va rester conséquent comparé à l'avant-crise financière

    La Banque d'Angleterre (BoE), qui a commencé à vendre sur le marché les quantités astronomiques de dette britannique accumulées depuis 2009, ne va pas réduire son bilan à son niveau d'avant la grande crise financière, a prévenu ce jeudi son gouverneur. "Je n'envisage pas que notre bilan puisse revenir à son niveau d'avant l'utilisation du QE", le quantitative easing ou rachat de dette sur le marché, débuté en 2009 au Royaume-Uni, a affirmé Andrew Bailey devant la commission parlementaire du Trésor britannique.

    Face au choc provoqué par la crise de 2008, les grandes banques centrales s'étaient mises à acheter des obligations d'État et d'entreprises pour stabiliser les marchés, opération renouvelée pendant la pandémie de Covid-19.

  • Walmart prend plus de 2%

    Le géant de la grande distribution Walmart gagne 2,22% après avoir relevé ses objectifs annuels de ventes et de profits, porté par la demande pour ses produits à bas coûts, ce qui atténue les craintes d'un ralentissement des dépenses de consommation face à l'inflation.

  • Cisco à l'équilibre

    L'équipementier de réseaux Cisco , l'un des composantes du Dow Jones, tourne autour de l'équilibre après l'annonce d'une importante baisse des nouvelles commandes au troisième trimestre.

  • Wall Street prudente malgré une série de nouvelles positives

    La Bourse de New York évolue en ordre dispersé, entre les résultats décevants du groupe Cisco et les solides prévisions de Walmart, en attendant des avancées concrètes dans les négociations sur le relèvement du plafond de la dette américaine. Le Dow Jones perd 0,27% à 33.331,72 points. Le S&P 500 recule de 0,03% à 4.157,56 points. Le Nasdaq prend 0,31% à 12.538,939 points.

    Mercredi, Wall Street a pris plus de 1% après que le président Joe Biden et le principal leader républicain du Congrès Kevin McCarthy ont réaffirmé leur détermination à trouver rapidement un accord pour relever le plafond de la dette fédérale. Alors que l'optimisme sur une issue prochaine à cette impasse politique continue à soutenir les places européennes, les indices actions américains sont plus hésitants.

    En macroéconomie, le nombre d'inscriptions au chômage a diminué plus que prévu la semaine dernière, suggérant que le marché du travail reste tendu, et l'activité économique dans la région de Philadelphie s'est reprise en mai à un rythme plus marqué qu'attendu.

  • Les marchés US ouvrent en ordre dispersé

    Le Dow Jones perd 0,28% à 33.326,66 points.

    Le Nasdaq gagne 0,25% à 12.531,78 points.

    Le S&P 500 recule de 0,07% à 4.156,80 points.

  • Recul des inscriptions au chômage aux États-Unis

    Les inscriptions au chômage ont diminué aux États-Unis lors de la semaine au 13 mai, à 242.000 après 264.000 la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail.

    Les économistes attendaient en moyenne 254.000 inscriptions au chômage.

    La moyenne mobile sur quatre semaines s'est établie à 244.250 contre 245.250 la semaine précédente.

    Le nombre de personnes percevant régulièrement des indemnités a reculé à 1,799 million lors de la semaine au 6 mai (dernière semaine pour laquelle ces chiffres sont disponibles) contre 1,807 (révisé) million la semaine précédente.

  • L'indice "Philly Fed" progresse plus que prévu en mai

    Les conditions d'activité dans la région de Philadelphie se sont améliorées en mai, montre jeudi l'enquête mensuelle de la Réserve fédérale régionale.

    L'indice "Philly Fed" ressort à -10,4 après -31,3 en avril. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un chiffre de -19,8.

    La composante des nouvelles commandes s'est améliorée à -8,9, contre -22,7 le mois dernier, tandis que le sous-indice des perspectives d'activité à six mois a reculé à -10,3 après -1,5 en avril.

    Le sous-indice de l'emploi s'est également dégradé à -8,6, contre -0,2 en avril et celui des prix acquittés a progressé à 10,9 contre 8,2 le mois dernier.

  • La livre turque au plus bas

    Un dollar américain coûte désormais 19,8 lires turques, un point bas. Ceci malgré les fortes interventions de soutien de la banque centrale du pays. Face à l'euro, la lire n'est pas (encore) au plus bas, car le dollar gagne également du terrain face à la monnaie unique grâce au regain d'optimisme sur l'économie américaine.

    Les investisseurs sont sombres quant aux perspectives de la livre après la solide performance du président sortant Erdogan lors du premier tour des élections dimanche dernier. Les investisseurs craignent désormais qu'il n'y ait pas d'inversion de la politique monétaire peu orthodoxe d'Erdogan. La banque centrale turque, manipulée par le président, a été la seule au monde à baisser fortement les taux d'intérêt ces dernières années, entraînant une inflation galopante.

  • Walmart relève ses prévisions de résultats

    Walmart relève ses prévisions de résultats annuels, alors que les ventes du premier trimestre fiscal (clôturé le 30 avril) ont augmenté de près de 8%, et que la demande pour ses produits à bas coût a contribué à compenser la baisse des ventes de vêtements et d'électronique.

    Le discounter prévoit désormais que ses ventes nettes consolidées augmenteront d'environ 3,5% au cours de son exercice fiscal. Il s'attend à ce que le bénéfice ajusté par action pour l'année complète se situe entre 6,10 et 6,20 dollars.

    Walmart a publié un bénéfice par action de 1,47 dollar au premier trimestre de son exercice fiscal en cours, contre 1,32 attendu.

    Le chiffre d'affaires atteint 152,30 milliards de dollars contre 141,57 milliards un an avant et une prévision de 148,76 milliards.

    L'action Walmart progresse de 1,62% à 151,95 dollars dans les échanges d'avant-bourse.

  • KBCS: "Les fondamentaux ne justifient pas la décote actuelle de Care Property"

    Au-delà d'Atenor et Home Invest, une autre société immobilière, Care Property a publié deux communiqués depuis la clôture mercredi. Le premier porte sur l'acquisition d'un centre de soins à Ruurlo aux Pays-Bas, le second n'est autre qu'un trading update trimestriel.

    Le spécialiste de l'immobilier de santé annonce une hausse de 8% de son bénéfice d'exploitation (résultat EPRA) à 8,4 millions d'euros. Cependant, cela ne se traduit pas au niveau du bénéfice par action. En raison de l'opération sur le capital substantiellement dilutive de janvier, le nombre d'actions a augmenté d'un tiers. En conséquence, le bénéfice par action chute de 21% à 0,23 euro.

    L'opération en capital a cependant permis de réduire le taux d'endettement de 52,4 à 42,8%. KBC Securities s'attend à ce qu'il atteigne 47% d'ici la fin de cette année, car Care Property continue d'investir plus que ses pairs.

    KBC Securities réitère sa recommandation d'accumuler avec un objectif de cours de 17,50 euros."Les fondamentaux ne justifient pas la décote importante de l'action", explique l'analyste Lynn Hautekeete. Elle souligne le portefeuille de locataires diversifié avec 28% de locataires du secteur public, aucune exposition à l'opérateur français Orpea ou encore une collecte de loyers de 98%.

  • Wall Street s'apprête à ouvrir en hausse

    Les contrats à terme sur Wall Street suggèrent une ouverture en (petite) hausse, alors que le président Joe Biden s'est dit "confiant" mercredi sur un éventuel accord sur le plafond de la dette des États-Uni, assurant qu'un défaut de paiement des États-Unis sera évité.

    L'indice Dow Jones débuterait sur un gain de 0,10%, le S&P 500 gagnerait 0,21% tout comme le Nasdaq.

    En Europe, les marchés pointent en nette progression, avec des gains compris entre 0,89% à Amsterdam et 1,12% à Bruxelles.

  • Le dollar monte encore, Biden "confiant" sur le plafond de la dette

    Le dollar gagne encore du terrain, face à un panier d'autres grandes devises, effaçant ses pertes marquées d'avril en plein débat sur le plafond de la dette américaine et alors que les investisseurs sont un peu plus confiants sur l'économie américaine.

    Le Dollar index, qui compare le billet vert à un panier d'autres grandes devises, prend 0,26% à 103,15 points, un sommet depuis fin mars.

    Face à l'euro, il gagne 0,29% à 1,0808 dollar pour un euro.

  • Cisco, Micron, Tesla... Les valeurs à suivre à Wall Street

    * CISCO a annoncé mercredi une chute de 23% des nouvelles commandes au troisième trimestre, ce qui a entraîné une baisse de 3,5% de son action dans les échanges avant l'ouverture.

    * CHARLES SCHWAB va émettre 2,5 milliards de dollars de dette à long terme, a rapporté mercredi le Wall Street Journal, citant des personnes proches du dossier.

    * MICRON TECHNOLOGY a annoncé mercredi son intention d'investir jusqu'à 500 milliards de yens (3,35 milliards d'euros) dans la technologie des ultraviolets extrêmes au cours des prochaines années avec le soutien du gouvernement japonais.

    * TESLA a eu des discussions avec des responsables indiens sur les incitations offertes aux fabricants de voitures et de batteries, a déclaré une source directement au fait des discussions, alors que le constructeur américain envisage une nouvelle fois d'entrer sur le marché indien.

    * La division "cloud" d'AMAZON va investir 13 milliards de dollars (12 milliards d'euros) en Inde d'ici la fin de la décennie, doublant ainsi ses investissements passés pour répondre à une demande croissante.

  • Geely investit 295 millions de dollars dans Aston Martin

    Le conglomérat automobile chinois Geely Automobile Holdings (Volvo Cars, Polestar, Lynk & Co, Lotus...) s'est engagé à investir environ 234 millions de livres (295,33 millions de dollars) dans Aston Martin .

    Geely acquiert environ 42 millions d'actions ordinaires du président Lawrence Stroll, qui est actuellement le plus grand actionnaire d'Aston Martin, à 335 pence pièce et il va souscrire à 28 millions d'actions supplémentaires au même prix. La nouvelle émission rapportera environ 95 millions de livres en espèces à la société britannique.

    L'action Aston Martin a clôturé à 231,2 pence mercredi

    Geely devient ainsi le troisième actionnaire du constructeur britannique de voitures de luxe.

    Geely tente de mettre la main sur Aston Martin depuis un certain temps, mais il s'est heurté jusqu'ici à la résistance des autres principaux actionnaires, le milliardaire canadien Lawrence Stroll et le fonds pétrolier public saoudien PIF.

    Aston Martin décolle d'un peu plus de 13% à la Bourse de Londres.

    Une Aston Martin Valkyrie sort de la chaîne de production de Gaydon au Royaume-Uni.
    Une Aston Martin Valkyrie sort de la chaîne de production de Gaydon au Royaume-Uni. ©REUTERS
  • Le point sur la tendance

    Les bourses européennes évoluent en nette hausse, alors que l'optimisme prédomine sur un accord prochain sur le relèvement du plafond de la dette aux États-Unis.

    L'Euro Stoxx 50 grimpe de 0,97% et l'indice Stoxx 600 avance de 0,48%. Francfort grimpe de 1,5%, Bruxelles signe une progression de 0,9%, Paris engrange 0,79% et Amsterdam bonifie de 0,44%. L'indice FTSE 100 de la Bourse de Londres avance de 0,7%, malgré les plongeons de BT Group (-7,5%) et de Burberry (-6%).

    Wall Street a fini en hausse de plus de 1% mercredi soir et l'Asie a aussi terminé dans le vert jeudi alors que les investisseurs ont été rassurés par les déclarations du président démocrate Joe Biden et du "speaker" républicain de la Chambre des représentants Kevin McCarthy, qui ont réitéré leur détermination à trouver un accord sur le plafond de la dette américaine et éviter le spectre d'un défaut de paiement.

  • Un analyste sur Atenor: "Ce sont des mesures désespérées"

    La réaction des investisseurs à l'avertissement lancé par Atenor envoyé hier soir (voir post de 7h16) est logiquement très marquée. Le cours de l'action est désormais à son plus bas niveau depuis février 2014.

    Une vente d'un dixième du portefeuille, si nécessaire à perte. Et un dividende optionnel dont les modalités sont hâtivement ajustées pour inciter les investisseurs à opter pour les actions plutôt que le cash. La conclusion est vite faite... "Ce sont des mesures désespérées pour améliorer les liquidités et les ratios d'endettement", estime Sharad Kumar Surendran Palani, analyste de KBC Securities.

    Ce sont des mesures désespérées pour soulager une trésorerie serrée.

    Wim Lewi
    Analyste de KBC Securities
  • Burberry sanctionné

    Le groupe britannique de luxe Burberry est sanctionné (-6,3%) en dépit de l'annonce d'une hausse de 16% de ses ventes à magasins comparables au quatrième trimestre, tirées par la Chine. La direction a toutefois jugé la situation dans la région Amériques "difficile", avec un ralentissement de l'activité.

  • BT décroche

    BT plonge de près de 8% à la Bourse de Londres, après avoir fait état d'un flux de trésorerie annuel dans le bas de la fourchette des prévisions en raison d'une hausse des dépenses d'investissement. L'opérateur télécoms a dans le même temps annoncé qu'il supprimerait 55.000 emplois d'ici 2030.

  • Le détachement de coupon enfonce l'action bpost à un plus bas record

    L'action bpost cote sans droit au dividende de 0,40 euro au titre de l'exercice 2022. Le cours de l'action de 3,866 euros est "seulement" 32 centimes en dessous du cours de clôture d'hier (4,186 euros), de sorte que l'actionnaire y gagne en fait.

    Mais 3,866 euros, c'est aussi un nouveau plus bas depuis l'introduction en bourse de la société postale en 2014, au prix de 14,5 euros par action (voir graphique). Le précédent plus bas était de 4,064 euros lors de la séance de bourse du 27 avril, juste après que bpost eut avoué qu'il existe probablement – en plus de la concession de livraison de journaux – plusieurs contrats gouvernementaux pour lesquels la société postale surfacture depuis des années.

    Depuis cette annonce, investisseurs et analystes ont jeté l'éponge. La maison de courtage Barclays a soulevé cette semaine de sérieuses questions sur la pérennité du dividende, compte tenu de l'impact potentiel des amendes et des remboursements sur le bilan et le compte de résultat de bpost.

  • KBCS vise 10 euros plus bas pour Atenor

    Sharad Kumar Surendran Palani, analyste de KBC Securities coupe dans l'objectif de cours d'Atenor .

    "Alors que nous étions déjà conservateurs, nous devenons prudents maintenant", indique l'analyste. "Après avoir apporté quelques modifications initiales à notre modèle, nous réitérons notre conseil de conserver mais réduisons notre objectif de cours de 57 euros à 47 euros".

    Atenor cède 7,28% à 34,40 euros.

  • |Opening bell|

    Amsterdam: +0,25%
    Bruxelles: +0,65%
    Paris: +0,53%
    Francfort: n.c.

    Euro Stoxx 50: +0,57%
    DJ Stoxx 600: +0,36%

    Atenor: -7,3%

  • Burberry, BT Group, Trigano... Les valeurs à suivre en Europe

    * L'OREAL a reçu mercredi le feu vert des autorités brésiliennes de la concurrence pour racheter Aesop auprès du groupe brésilien Natura & Co pour un montant de 2,3 milliards d'euros.

    * BURBERRY a fait état jeudi de ventes plus élevées que prévu au quatrième trimestre, dopées par le rebond de la demande en Chine après la levée des restrictions sanitaires.

    * BT GROUP a fait état jeudi d'une hausse de 5% de son résultat annuel ajusté et a dit viser une croissance de son chiffre d'affaires comme de son résultat sur une base pro forma pour le nouvel exercice.BT envisage également de réduire son personnel de 42% d'ici 2030.

    * CAPGEMINI - L'agence S&P a relevé mercredi la note de crédit à long terme de Capgemini de 'BBB' à 'BBB+' avec perspective stable, sur la base d'un bon désendettement, de bonnes perspectives de croissance et d'une solide position concurrentielle sur le marché mondial des services informatiques.

    * ADP a publié une augmentation de 26,2% du trafic groupe en avril, à 26,2 millions de passagers.

    * TRIGANO a publié mercredi un chiffre d'affaires de 1,61 milliard d'euros au premier semestre, en baisse de 0,2% à périmètre et change constants en rythme annuel, et un bénéfice net consolidé de 121,7 millions d'euros, contre 141,3 millions un an plus tôt.

  • Easyjet "aborde l'été avec confiance"

    La compagnie aérienne britannique Easyjet annonce une réduction de 29% sa perte sur un an pour son premier semestre décalé à 307 millions de livres (plus de 350 millions d'euros), porté par une forte demande en dépit de coûts en hausse.

    Easyjet "aborde l'été avec confiance", assure le directeur général Johan Lundgren, dans un communiqué. La compagnie a notamment souffert l'an dernier, avant le pic estival, d'un manque de personnel dans un secteur qui a vu la demande rebondir après la pandémie de Covid.

  • Les coupons du jour: Bpost, Lotus & Nextensa

    Un aperçu des détachements de coupon du jour, avec le sentiment que le coupon Lotus Bakeries nous semble être légèrement plus durable que celui de Bpost.

    • Bpost : 0,40 euro brut (cours de clôture mercredi : 4,186 euro)
    • Lotus Bakeries : 45 euros brut (cours de clôture mercredi : 5 970 euros)
    • Nextensa : 2,60 euros brut (cours de clôture mercredi : 46 euros)
  • Sony envisage de coter ses activités de services financiers

    Le conglomérat japonais Sony envisage de procéder à la scission de Sony Financial Group dans un délai de deux ou trois ans, dans l'optique d'une cotation en bourse de cette division, dans laquelle il conservera une participation légèrement inférieure à 20%.

    Compte tenu du capital nécessaire à cette activité, "il est difficile de trouver un équilibre avec nos investissements dans d'autres domaines de croissance tels que le divertissement et les capteurs d'images", explique Hiroki Totoki, directeur financier de Sony.

    L'activité de services financiers de Sony a enregistré un repli de 5% de son chiffre d'affaires, à 1.450 milliards de yens (9,91 milliards d'euros), pour l'année qui s'est achevée en mars. Son résultat opérationnel a en revanche grimpé de 49%, aidé par une plus-value immobilière.

  • Briefing d'avant-bourse

    Les bourses européennes sont attendues en hausse à l'ouverture, dans la foulée de Wall Street et de l'Asie alors que l'optimisme prédomine sur un accord prochain sur le plafond de la dette aux Etats-Unis.

    D'après les premières indications disponibles, l'Euro Stoxx 50 progresserait de 0,63% et Londres et Francfort gagneraient 0,47%.

    Mercredi soir, Wall Street a fini en nette hausse après les déclarations du président démocrate Joe Biden et du "speaker" républicain de la Chambre des représentants Kevin McCarthy, qui ont réitéré leur détermination à trouver un accord sur le plafond de la dette américaine et éviter le spectre d'un défaut de paiement.

  • Sixième progression journalière d'affiliée pour Tokyo

    La Bourse de Tokyo progresse vigoureusement dans la foulée de la clôture en nette hausse de Wall Street la veille, mue par l'espoir d'un accord aux Etats-Unis sur le plafond de la dette américaine. L'indice vedette Nikkei gagne 1,7% et l'indice élargi Topix prend 1,2%.

    Le président américain Joe Biden s'est dit mercredi "confiant" dans l'obtention d'un accord sur le plafond de la dette, assurant qu'un défaut de paiement des Etats-Unis sera évité, tandis que le chef de file des républicains à la Chambre des représentants s'est déclaré "optimiste sur la capacité à travailler ensemble".

    La Bourse de Tokyo était aussi soutenue par la dépréciation du yen face au dollar, un mouvement de change positif pour les résultats à l'étranger des groupes nippons exportateurs.

  • AB InBev, Fluxys, Gimv & Home Invest

    Au-delà d'Atenor (voir post précédent), voici quatre autres valeurs à surveiller:

    > AB InBev - L'action du groupe brassicole a clôturé en net recul mercredi. Selon un analyste de Bloomberg, le brasseur doit de toute urgence compenser la baisse de la part de marché de Bud Light aux États-Unis par de nouvelles initiatives de marketing. L'Amérique du Nord ne représente que 17% des hectolitres vendus, mais pas moins de 32% de l'excédent brut d'exploitation (Ebitda).

    > Fluxys - Fluxys et Gasunie ont accepté conjointement de racheter la participation de 20% d'Uniper dans BBL. BBL détient et exploite le pipe-line entre Balgzand aux Pays-Bas et Bacton au Royaume-Uni. > Le communiqué

    > Gimv - La société d'investissement Gimv a plongé dans le rouge à hauteur de 59 millions d'euros, soit 2,20 euros par action, pour l'exercice clos le 31 mars. Les investisseurs s'attendaient à mieux et ont infligé à l'action une lourde gifle, l'action a chuté de 5%. > Le communiqué

    > Home Invest - Le spécialiste de l'immobilier locatif résidentiel a vu son bénéfice EPRA augmenter de 15,9% pour atteindre 3,1 millions d'euros au cours des trois premiers mois de l'année. Par action, le bénéfice a augmenté de 6,6% pour atteindre 0,17 euro. Pour 2023, Home Invest vise une augmentation du bénéfice EPRA à 1,10 euro par action, contre 1,08 euro par action l'année dernière. "L'objectif est que le dividende évolue à la même vitesse ou plus vite que l'inflation à long terme." Le communiqué.

  • Atenor envisage des baisses de prix et de lever des fonds | Le paiement du dividende reporté

    Rattrapé par la crise immobilière, le promoteur Atenor a publié un trading update peu reluisant après la clôture de la Bourse de Bruxelles.

    "La crise immobilière se poursuit et les ventes de biens immobiliers restent atones, y compris chez Atenor", déclare le promoteur. Celui-ci va donc mettre en place diverses mesures, telles que la vente de biens immobiliers (initialement prévue en 2022 et 2023) dans les conditions actuelles du marché, donc sans attendre la maximisation de la marge visée avant la crise immobilière actuelle. Ces cessions portent sur une superficie de l’ordre de 10% des surfaces en portefeuille, soit 130.000 m2.

    Les cessions envisagées pourraient être réalisées à un niveau de marge inférieur, voire à perte.

    Le promoteur immobilier Atenor

    Atenor réfléchit également à une augmentation de capital. "Nous envisageons une augmentation de capital dans les mois à venir. La structure, le montant et d'autres paramètres n'ont pas encore été déterminés", indique le groupe.

    Atenor maintient le dividende, les actionnaires ayant le choix entre une distribution en espèces ou en actions. Le promoteur immobilier annonce toutefois une réinitialisation du dividende optionnel.

    En conséquence, la date de paiement du dividende initialement prévu le 30 mai 2023 est reportée au 28 juin 2023.

  • Ce qu'il faut retenir de la séance à Wall Street

    • La Bourse de New York a fini en nette hausse, portée par un élan d'optimisme sur la probable conclusion d'un accord sur le plafond de la dette américaine, tandis que le rebond des actions des banques régionales a apaisé les craintes à l'égard d'une possible escalade de la crise dans le secteur.
    •  Le Dow Jones a gagné 1,24% à 33.420,77 points. Le S&P 500 a pris 1,19% à 4.158,77 points. Le Nasdaq a avancé de son côté de 1,28% à 12.500,57 points.
    • Western Alliance Bancorp a bondi de 10%, après avoir indiqué que les dépôts avaient augmenté de plus de 2 milliards de dollars au cours des trois derniers mois. L'indice bancaire du S&P 500 a enregistré son plus fort pourcentage quotidien de hausse (4,46%) depuis le 10 novembre dernier.
    • Tesla a grimpé de 4,41%, après une interview de son patron Elon Musk mardi sur CNBC. Le milliardaire a promis qu'il passerait plus de temps à diriger le constructeur de voitures électriques maintenant qu'il a engagé une dirigeante pour Twitter.

    Il y a de l'optimisme sur le plafond de la dette, un optimisme continu sur le fait que la crise bancaire est derrière nous. Chaque jour sans nouveau problème nous rapproche de pouvoir mettre tout ça derrière nous.

    Rick Meckler
    Analyste chez Cherry Lane Investments
  • Les marchés européens attendus en hausse

    Bonjour! Bienvenue sur notre direct consacré à l'actualité boursière. Les marchés européens s'apprêtent à ouvrir en hausse, pour ce jour férié de l'Ascension, dans la foulée de la clôture en nette hausse de Wall Street la veille, mue par l'espoir d'un accord aux Etats-Unis sur le plafond de la dette américaine.

    Le président américain Joe Biden s'est dit mercredi "confiant" dans l'obtention d'un accord sur le plafond de la dette, assurant qu'un défaut de paiement des Etats-Unis sera évité, tandis que le chef de file des républicains à la Chambre des représentants s'est déclaré "optimiste sur la capacité à travailler ensemble".

    L'Euro Stoxx 50 débuterait sur un gain de 0,65%, Londres gagnerait 0,53%, Francfort 0,52% et Amsterdam 0,27%.

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