1. Les marchés
  2. Live blog
live

Wall Street termine sans direction | Un record de plus pour le Nasdaq et le S&P 500

Les marchés américains se sont montrés attentistes à la veille du rapport semestriel de la Réserve fédérale. Si le Dow Jones marque un léger recul, les fabricants de semi-conducteurs ont poussé le Nasdaq et le S&P 500 vers de nouveaux records.
  • Broadcom vend 5 milliards de dollars d'obligations

    Le développeur de logiciels Broadcom   a emprunté lundi 5 milliards de dollars sur le marché américain des obligations de première qualité pour refinancer une partie des prêts qu'il avait contractés pour le rachat de VmWare, finalisé l'an dernier. Broadcom utilisera le produit de la vente pour rembourser par anticipation une partie des prêts à terme A-2 dans le cadre de son contrat de prêt à terme et pour les besoins généraux de l'entreprise, laissant au moins 23,4 milliards de dollars de dette qui devra encore être refinancée.

  • Wall Street mitigée malgré le rebond des fabricants de puces

    Wall Street a terminé sur une note mitigée lundi, avant la saison des résultats et des chiffres de l'économie américaine. Le S&P 500 a gagné 0,10%, tandis que le Nasdaq a gratté 0,28%, engrangeant chacun un nouveau record. L'indice Dow Jones, lui, a chuté de 0,08%.

    Les traders ont donc surtout attendu les données sur les prix à la consommation de jeudi et celles sur les prix à la production de vendredi pour évaluer les progrès de la Réserve fédérale américaine dans la lutte contre l'inflation. Son président Jerome Powell doit faire son rapport semestriel mardi et mercredi, et devra rassurer les investisseurs qui s'inquiètent de trop attendre une baisse des taux directeurs. "Ce que les investisseurs veulent entendre, c'est un ton accommodant et la reconnaissance du fait que les risques bilatéraux sont aujourd'hui plus équilibrés, en particulier en ce qui concerne le marché du travail", juge Ross Mayfield, analyste en stratégie d'investissement chez Baird.

    En outre, les banques Citigroup, JPMorgan Chase et Wells Fargo devraient lancer vendredi la saison des résultats du deuxième trimestre de Wall Street. Les analystes prévoient en moyenne que les sociétés du S&P 500 augmenteront leur bénéfice global par action de 10,1% au deuxième trimestre, contre une augmentation de 8,2% au premier trimestre, selon LSEG.

    À la cote, ce sont les fabricants de puces qui ont brillé, avec notamment Super Micro Computer (+6,23%) et Intel (+6,15%). Paramount Global a chuté de 5,33% au lendemain de son accord à la fusion avec Skydance Media. Le constructeur aéronautique Boeing a gratté 0,55% après avoir accepté de plaider coupable de fraude criminelle et de payer une amende de 243,6 millions de dollars dans le dossier de deux accidents mortels du 737 MAX, en 2018 et 2019.

  • Closing Bell | Wall Street

    Dow Jones: -0,08%

    Nasdaq: +0,28%

    S&P 500: +0,10% 

  • Le pétrole chute alors que l'ouragan Béryl menace le Texas

    Après un mois de hausse quasi ininterrompue, le prix du pétrole semble repartir à la baisse. Le Brent de la mer du Nord a chuté de 1,01% pour tourner autour des 85,60 dollars le baril tandis que le West Texas Intermediate (WTI) américain a glissé de 1,21% pour s'établir à près de 82 dollars le baril. L'ouragan Béryl avait fait grimper les prix du brut lorsqu'il menaçait les plateformes offshore du golfe du Mexique. Maintenant, il menace les raffineries du Texas, ce qui fait baisser le prix.

    "Quand on a un ouragan, cela devient baissier pour les cours du brut et haussier pour les produits raffinés lorsque la tempête se dirige vers les raffineries", a expliqué Matt Smith de Kpler. Si ces installations devaient être endommagées, cela diminuerait la demande de brut qui doit être raffiné, ce qui est donc baissier pour les cours.

    Au-delà des infrastructures pétrolières, l'ouragan Béryl a forcé la fermeture des ports de Houston et Corpus Christi, ce qui pourrait retarder les exportations américaines de brut. Les traders attendent cette semaine plusieurs rapports sur les soldes mondiaux de pétrole, notamment les perspectives de l'Opep mercredi et les prévisions de l’Agence internationale de l’énergie jeudi.

  • Corning, le fabricant de verre boosté par l'IA

    Il n'y a pas que les fabricants de semi-conducteurs à profiter de l'engouement boursier pour l'intelligence artificielle ce lundi. Le géant américain historique du verre Corning  grimpe de 11,74% à Wall Street, faisant encore mieux que les stars des puces électroniques. L'entreprise basée dans l'État de New York a relevé ses prévisions de ventes pour le deuxième trimestre, grâce à la demande grandissante pour sa fibre optique, nécessaire aux infrastructures de formation de l'IA.

    Corning s'attend désormais à ce que ses ventes principales s'élèvent à environ 3,6 milliards de dollars pour le deuxième trimestre, contre environ 3,4 milliards précédemment. La société, qui fabrique aussi le verre des smartphones de Samsung et Apple, publiera ses résultats le 30 juillet. Les analystes s'attendent à un chiffre d'affaires de base de 3,41 milliards de dollars, selon les données du LSEG.

  • Bain Capital sur le point d'acquérir Envestnet, selon Reuters

    La société de capital-investissement Bain Capital   est sur le point de conclure un accord pour acquérir le fournisseur américain de logiciels financiers Envestnet  , ont déclaré lundi à Reuters des sources proches du dossier. Un accord avec Bain pourrait être annoncé dès cette semaine, avec une valorisation proche du cours actuel d'Envestnet. Le groupe est valorisé à environ 3,5 milliards de dollars, avec une action oscillant autour de 63 dollars. 

    Envestnet fournit des outils technologiques à quelque 108.000 conseillers financiers, 16 des 20 plus grandes banques américaines et plusieurs gestionnaires de patrimoine, selon son site Internet. Le groupe est engagé dans une transition de sa direction, avec le départ prochain de son CEO Bill Crager et la nomination récente de trois nouveaux administrateurs, sous pression de l'investisseur activiste Impactive Capital.

    À Wall Street, l'action Envestnet progresse de 1,12%, tandis que Bain Capital gratte 0,27%.

  • Oxurion vise l'acquisition d'une CRO française pionnière dans les cellules souches

    Oxurion, ex-Thrombogenics, s'apprête à réaliser sa première acquisition. L'entreprise biopharmaceutique annonce être entrée en négociations exclusives en vue d'acquérir, sous certaines conditions, une participation majoritaire de 80% dans une CRO française "pionnière notamment dans la production de cellules humaines" pour un montant de 9,78 millions d'euros, indique la société biopharmaceutique dans un communiqué où la société n'est pas nommée.

     "Déjà leader mondial dans le domaine des cellules souches, l'entreprise prévoit des ventes d'environ 3 millions d'euros pour 2024", indique Oxurion. L'ancien Thrombogenics, qui a évité la faillite fin de l'année dernière grâce à un accord avec son principal créancier Atlas Special Opportunities, espère se diversifier au-delà de son domaine de la recherche et du développement.

  • Paramount chute de 3% après sa fusion avec Skydance

    Le groupe de médias Paramount  chute de 3,34% à Wall Street après avoir accepté de fusionner avec Skydance Media et de passer sous le contrôle du magnat du cinéma David Ellison. Selon les termes du nouvel accord, la famille Ellison et la firme de private equity RedBird Capital ont convenu d'investir plus de 8 milliards de dollars dans l'entreprise, dont 1,5 milliard pour rembourser la dette de Paramount et 4,5 milliards pour acheter des actions. 

    Les conditions de la transaction donnent une prime de 48% pour les actionnaires sans droit de vote et de 28% pour les actionnaires avec droit de vote par rapport au cours de l'action de Paramount au 1er juillet. La transaction devrait être conclue d'ici le premier semestre 2025. David Ellison détiendra environ 70% des actions en circulation de Paramount.

  • Vaste inspection américaine de 737, Boeing pique du nez

    La Federal Aviation Administration annonce demander l'inspection de 2.600 Boeing 737, après plusieurs rapports alertant que les masques à oxygène des passagers pourraient tomber en panne en cas d'urgence. L'administration américaine de l'aviation donne 120 à 150 jours pour que les inspections et les éventuelles réparations soient menées.

    Alors que l'action gagnait plus de 3% en début de séance, après que Boeing  a annoncé plaider coupable de fraude fiscale dans le dossier des accidents de 2018 et 2019, elle est retombée dans le rouge, cédant 0,31%.

  • L'Europe termine sans direction, le CAC 40 plombé par l'impasse politique en France

    Les bourses européennes ont terminé en ordre dispersé lundi, au lendemain des résultats surprise des élections législatives françaises. Le CAC 40 a perdu 0,63%, le Dax a avancé de 0,07% tandis que le FTSE 100 a abandonné 0,13%. L'indice EuroStoxx 50 a fini sur une baisse de 0,07%, et le Stoxx 600 a gagné 0,03%. 

    La tripartition de l'Assemblée nationale française, entre une alliance de gauche en tête, un parti présidentiel en recul et une extrême droite qui progresse sans accéder au pouvoir, annonce une période d'instabilité politique. "L'alliance de gauche n'est pas considérée comme favorable aux entreprises et devrait susciter moins de confiance dans une gestion budgétaire prudente", a pour sa part déclaré Peter Schaffrik, stratégiste chez RBC Capital Markets, ajoutant que l'absence d'une majorité claire devrait freiner tout plan de dépenses immédiat. Selon l'agence de notation S&P Global, la note de crédit de la France pourrait être "sous pression" en cas de faiblesse persistante de l'économie ou de déficits publics prolongés.

    À Paris, les banques BNP Paribas, Société générale et Crédit agricole, malmenées depuis l'annonce de la convocation d'élections législatives anticipées en juin, ont perdu entre 0,4% et 1,7%. Les groupes de médias français TF1 et M6 ont pris environ 1,7%, alors que la perspective d'une privatisation de l'audiovisuel public s'est éloignée. Idem pour les groupes de construction Vinci et Eiffage, qui évitent une nationalisation des autoroutes.

    Ailleurs en Europe, Delivery Hero a reculé de plus de 7%, la société allemande de livraison de repas risquant une amende de plus de 400 millions d'euros en raison de pratiques anticoncurrentielles en Europe.

  • TSMC franchit brièvement 1.000 milliards de dollars en bourse

    Le géant taïwanais des semi-conducteurs TSMC a franchi brièvement lundi le seuil symbolique des mille milliards de dollars de capitalisation boursière, devenant la huitième société cotée à passer ce cap. 

    L'action a progressé de plus de 80% depuis le début de l'année, au diapason des fleurons du secteur des semi-conducteurs, portés par l'engouement des investisseurs pour la révolution de l'intelligence artificielle. TSMC, premier producteur de semi-conducteurs au monde, est le sous-traitant de tous les grands acteurs américains de l'industrie, de Nvidia à AMD. 

  • Le Bel 20 termine dans le rouge après les élections françaises

    Longtemps en légère hausse après les résultats des élections françaises, l'indice Bel 20 a finalement cédé 0,37%, suivant de près la chute du Cac 40 français, visiblement inquiet de l'instabilité politique à venir dans l'Hexagone. 

    Sur les douze éléments dans le rouge, Sofina et Umicore font les pires performances, avec des pertes respectives de 2,18% et 2,06%. Les valeurs immobilières Aedifica et Cofinimmo sont aussi en recul de 1,54 et 2,01%. Syensqo a chuté de 1,19%, après que le groupe chimique a finalisé l'acquisition d'une participation majoritaire dans Azerys, spécialiste marocain de l'extraction du romarin qui doit apporter un substitut naturel aux additifs alimentaires chimiques du groupe belge.

    À l'autre bout du spectre, Solvay réalise un gain de 1,31% tandis que Galapagos prend 0,95%.

    Hors indice, Unifiedpost a pris 11,76%, après l'annonce de la démission du président Stefan Yee et d'un processus pour attirer de nouveaux membres à son conseil d'administration. Onward Medical a chuté de 4,31%.

  • Tracker, le podcast qui suit les nouveaux investisseurs

    TRACKER | Playlist
  • Les attentes d'inflation aux États-Unis chutent pour le deuxième mois de suite

    Les consommateurs s'attendent à une hausse des prix de 3% au cours des douze mois à venir, contre 3,2% en mai, selon une enquête de la Réserve fédérale de New York. Cette deuxième baisse mensuelle consécutive ramène les anticipations d'inflation à court terme au niveau connu entre décembre et avril. L'enquête concorde avec les données montrant que l'inflation a ralenti ces derniers mois après avoir été plus tenace que prévu au premier trimestre de cette année.

    Un rapport attendu jeudi devrait montrer que l'indice de base des prix à la consommation, qui exclut les coûts des aliments et de l'énergie, a augmenté de 0,2% en juin pour un deuxième mois. Il s'agirait des plus faibles gains consécutifs depuis août, un rythme plus proche de ce que les responsables de la Réserve fédérale américaine souhaiteraient voir avant de baisser leurs taux directeurs.

  • Closing Bell | Europe

    Bel 20: -0,30%

    Cac 40: -0,46%

    AEX: -0,07%

  • Les marchés européens passent au rouge

    Alors que les marchés européens semblaient bien débuter la semaine, accueillant avec satisfaction le succès bien moindre que prévu du Rassemblement national au deuxième tour des élections législatives françaises, les bourses du Vieux continent se sont retournées une heure avant leur clôture: le Cac 40 perd 0,47%, le BEL 20 recule de 0,34%, le Footsie britannique cède 0,04%. Le Dax allemand tourne près de l'équilibre, en hausse de 0,08%, tandis que Milan gagne 0,10%.

  • Bond des fabricants de puces, Intel et Super Micro Computer en tête

    Les fabricants de puces font des sauts pour débuter la semaine. Alors que certains analystes se demandent si la ruée boursière sur l'IA se traduira vraiment par des résultats économiques à la hauteur, les entreprises de microprocessseurs, essentielles à cette nouvelle technologie, font mentir les pessimistes. Le premier producteur mondial, le taïwanais TSMC  , prend 2,75% à Wall Street tandis que le leader boursier Nvidia  avance de près de 2%, de même qu'AMD  . Micron  , ASML  et Qualcomm  grattent un peu plus de 0,30%.

    Mais deux noms sortent du lot, avec des profils opposés. Le premier est le spécialiste des serveurs Super Micro Computer  , chouchou de Wall Street et nouveau venu du S&P 500: la société californienne prend 5,14%. L'autre est le géant historique de l'informatique Intel  , qui avance de près de 4,72%. Le groupe américain a perdu plus de 30% à Wall Street depuis le début de l'année, alors qu'il investit des milliards pour redevenir le premier fabricant de puces de pointe au monde.

  • Ubisoft s'enflamme à Paris, porté par l'enthousiasme de Jefferies

    L'action de l'éditeur de jeux vidéo Ubisoft bondissait de plus de 8% ce lundi à Paris, soutenue par un relèvement de deux crans de la recommandation des analystes de Jefferies. Ceux-ci ont opéré un virage à 180 degrés en passant directement de "sous-performance" à "acheter" sur le titre, avec un objectif de cours rehaussé de 21,5 à 29 euros.

    À leurs yeux, Ubisoft se négocie actuellement avec une décote qu'ils jugent trop élevée par rapport à ses concurrents et qui pourrait être comblée grâce à une série de catalyseurs.

    Ils épinglent ainsi la sortie dans les prochains mois de deux nouveaux blockbusters, comme Star Wars Outlaw ou Assasin’s Creed Shadows, qui pourrait être en lice pour obtenir le titre de jeu de l'année.

    Au-delà du catalogue, les analystes de Jefferies pointent surtout la réorientation du modèle économique d'Ubisoft vers les revenus liés aux abonnements. "Nous pensons que cette approche présente des avantages financiers pour Ubisoft, en permettant des revenus stables et récurrents, tout en renforçant l'engagement des clients et en élargissant la portée du marché", expliquent-ils.

  • Le plaider-coupable de Boeing lui fait lever la tête

    Une nouvelle deuxième chance pour Boeing  , et une action qui repart à la hausse. L'avionneur américain gagne 2,35% à l'ouverture de Wall Street après avoir annoncé qu'il plaiderait coupable de fraude pénale et s'acquitterait d'une amende de 243,6 millions de dollars dans l'affaire de deux accidents mortels survenus en 2018 et 2019. Ces accidents avaient forcé le groupe à engager un programme de conformité et d'éthique en 2021, pour éviter un procès. Mais en mai dernier, le ministère américain de la Justice a découvert que Boeing n'avait pas respecté cet accord.

    Bis repetita: avec son plaider-coupable, Boeing s'engage à nouveau à investir un minimum de 455 millions dans des "programmes de conformité et de sécurité", soumis à une supervision indépendante. Il échappe ainsi à nouveau à un procès accablant, alors que le groupe doit se choisir un nouveau CEO après une succession d'incidents sur différents modèles depuis le début de l'année. Un procès aurait également pu priver l'avionneur de juteux contrats gouvernementaux et militaires, qui ont généré un tiers de son chiffre d'affaires en 2023.

  • Eli Lilly rachète la biotech Morphic pour 3,2 mililards de dollars

    Le groupe pharmaceutique américain Eli Lilly  annonce l'achat de Morphic  , une biotech spécialisée dans les thérapies expérimentales contre les maladies inflammatoires de l'intestin et d'autres maladies chroniques. La transaction d'environ 3,2 milliards de dollars valorisera la biotech basée dans le Massachusetts à 57 dollars par action, soit 79% de plus que le cours de clôture de vendredi, indiquent les sociétés dans un communiqué. Le conseil d'administration de Morphic recommande aux actionnaires d'apporter leurs actions à l'offre.

    Le principal produit en développement chez Morphic est un inhibiteur oral sélectif de petites molécules fait pour lutter contre les inflammations de l'intestin. Ce traitement expérimental est actuellement évalué dans deux études de stade intermédiaire sur la colite ulcéreuse et dans un essai de stade intermédiaire sur la maladie de Crohn.

    À Wall Street, l'action Eli Lilly gratte 0,40%, tandis que sur le Nasdaq, celle de Morphic grimpe de 74,94%.

  • Lucid boosté par ses bonnes livraisons de véhicules électriques

    Le constructeur américain de voitures électriques Lucid   a livré 2.394 véhicules au cours du deuxième trimestre, battant les estimations des analystes, qui tablaient sur 1.940 unités selon Visible Alpha. Les livraisons sont en hausse par rapport au trimestre passé, de même que la production (2.110 unités, contre 1.728 véhicules au cours des trois mois précédents).

    Ces bonnes performances signent la réussite de la stratégie du constructeur qui, comme son grand rival Tesla  , a misé sur des baisses de prix - jusqu'à -10% - pour relancer la demande, face à la hausse généralisée du coût de l'emprunt et la concurrence persistante des voitures hybrides. En bourse, l'action Lucid bondit de plus de 3% à l'ouverture de Wall Street, mais reste en baisse de 30% depuis le début de l'année.

  • Opening Bell | Wall Street

    Dow Jones: +0,27%

    S&P 500: +0,09

    Nasdaq: +0,08%

  • Les bourses européennes digèrent sans problème les législatives françaises

    La Bourse de Paris ainsi que les autres marchés européens étaient sont en hausse après le second tour des élections législatives en France. Du scrutin, les investisseurs retiennent davantage le risque de blocage politique que l'arrivée en tête inattendue des forces de gauche.

    Après une ouverture en baisse, l'indice phare parisien CAC 40 gagne 0,20%.

    Ailleurs en Europe, Francfort prenait 0,40%, Londres 0,30%, Milan 0,75%.

    Toutes ces places avaient progressé la semaine passée, tentant de tourner la page d'un mois de juin difficile.

    Sur le marché obligataire, le taux d'intérêt de la France pour l'emprunt à 10 ans recul de 3,3 points de base à 3,174%, un mouvement similaire à la référence en Europe, l'emprunt allemand (2,54%, -1,4 points de base). La semaine passée, l'écart entre les deux taux s'était nettement réduit, tout en restant bien au-dessus de son niveau d'avant la dissolution de l'Assemblée nationale en France.

    L'euro revient à l'équilibre à 1,0842 dollar. 

    Après avoir une fois encore battu des records vendredi aux États-Unis, le S&P 500 et le Nasdaq se dirigeaient vers une ouverture autour de l'équilibre.  

  • MDxHealth dévoile ses résultats trimestriels préliminaires

    MDxHealth prévoit de déclarer un chiffre d'affaires d'environ 22,2 millions de dollars et 42,0 millions de dollars pour le deuxième trimestre et le semestre 2024, respectivement, ce qui représente une croissance d'une année sur l'autre de 32% et 34%.

    La société relève sa fourchette de prévisions de revenus pour l'ensemble de l'année 2024 de 83 à 85 millions de dollars à 85 à 87 millions de dollars.

    Le solde de trésorerie au 30 juin 2024 était de 21,3 millions de dollars.

    L'action est indiquée en hausse de 0,85% à 2,36 dollars en avant-bourse à Wall Street.

  • Départ du CFO et du CLO et un co-CEO pour Hyloris

    La société biopharmaceutique liégeoise Hyloris annonce la démission de son CFO (Chief financial officer), Jean-Luc Vandebroek, et de son CLO (chief legal officer), Koenraad Van der Elst, dans un communiqué publié en réaction à l'annonce de la FSMA vendredi soir.

    Par ailleurs, Hyloris annonce entamer un processus de transition vers un CEO indépendant, afin que l’actuel CEO, Stijn Van Rompay, assume un rôle dédié à la conduite et à la mise en œuvre de la stratégie globale de la Société. Pendant la période intérimaire, Thomas Jacobsen (Chief Business Development Officer et cofondateur d’Hyloris) sera nommé co-CEO aux côtés de l’actuel CEO et toutes les décisions importantes seront prises conjointement par les co-CEO.

    L'action Hyloris reste suspendue, sur fond de problème avec la société QliniQ imposant le report du rapport annuel de la société liégeoise.

  • Pas de repreneur pour le CDMO de Mithra

    Le candidat américain qui avait fait part de son intérêt pour le centre de production (CDMO) de Mithra a finalement décidé de ne pas faire d'offre. La faillite devrait être prononcée dans les prochains jours.

  • Grifols | Ubisoft | Ocado | Britvic | Carlsberg | Delivery Hero

    > Grifols bondit de 18%, en tête de l'indice Stoxx 600, dans la perspective d'une offre de rachat sur l'entreprise pharmaceutique espagnole en vue d'un delisting (voir post de 11h25).

    > Ubisoft avance de 8,34%. Jefferies a relevé son conseil sur titre à "acheter", citant un mélange d'éléments comme les jeux dans le pipeline, la pression en faveur d'un modèle sous forme d'abonnement, les perspectives en matière de free cash-flow et une faible valorisation.

    > Ocado bonifie de 6% après que le supermarché en ligne britannique a annoncé avoir renforcé son partenariat avec le japonais Aeon en prévoyant de construire un troisième entrepôt robotisé.

    > Le britannique Britvic grimpe de 4,9%, après que le fabricant de boissons gazeuses a annoncé avoir accepté d'être racheté par Carlsberg pour 3,3 milliards de livres (4,23 milliards de dollars), après que le brasseur danois a adouci son offre. Les actions de Carlsberg augmentent de 4,2%.

    > Delivery Hero glisse de 5%, en bas de l'échelle du Stoxx 600 après avoir annoncé qu'il risquait une amende supérieure à 400 millions d'euros de la part de Bruxelles en raison de violations des lois antitrust.

  • Wall Street s'apprête à ouvrir proche de l'équilibre

    Les contrats à terme donnent une petite hausse de 0,01% pour le Dow Jones, une baisse de 0,04% pour le Standard & Poor's-500 et de 0,03% pour le Nasdaq.


  • Voici le briefing actions belges

    ->null 

  • Boeing, Paramount Global, le secteur de l'énergie... Les valeurs à suivre à Wall Street

    * BOEING a accepté de plaider coupable de fraude pénale et de s'acquitter d'une amende de 243,6 millions de dollars (216,37 millions d'euros) pour régler un litige avec le Département américain de la justice (DOJ) concernant deux accidents mortels de 737 MAX survenus en 2018 et 2019, a déclaré dimanche le gouvernement américain dans un document judiciaire. Boeing monte de 0,39% dans les échanges électroniques d'avant l'ouverture.

    * PARAMOUNT GLOBAL et Skydance ont annoncé dimanche leur fusion, ouvrant un nouveau chapitre pour l'un des plus anciens studios d'Hollywood. Les sociétés sont convenues d'un processus en deux étapes dans lequel Skydance et ses partenaires acquerront National Amusements, qui détient la participation majoritaire de la famille Redstone dans Paramount, pour un montant de 2,4 milliards de dollars en numéraire, ont précisé les deux groupes. Paramount grimpe de 3,3% en avant-bourse.

    * LE SECTEUR DE L'ÉNERGIE - Les plus grands ports du Texas ont suspendu leurs activités et le trafic maritime dimanche en raison du passage de l'ouragan Beryl.

  • Le moral des investisseurs recule en juillet après huit mois de hausse

    Le moral des investisseurs dans la zone euro s'est dégradé plus que prévu en juillet, mettant fin à huit mois consécutifs de hausse, montre l'indice Sentix publié lundi.

    L'indice Sentix pour la zone euro a chuté à -7,3 points en juillet, contre 0,3 en juin et un consensus à 0,0.

    L'indice des perspectives a également chuté, passant de 10,0 en juin à 1,5 en juillet, une évolution qui, selon l'institut Sentix, est "susceptible d'inquiéter les prévisionnistes".

    L'enquête suggère que les investisseurs sont préoccupés par les élections françaises, les élections régionales allemandes et l'incertitude liée à l'élection présidentielle américaine de novembre.

  • Delisting en vue pour l'espagnol Grifols

    La famille Grifols et le fonds canadien Brookfield ont convenu de lancer une offre publique d'achat commune sur le fabricant espagnol de médicaments Grifols avec l'intention de le radier de la cote, annonce la société dans un document déposé auprès des autorités réglementaires.

    Grifols indique que son conseil d'administration avait tenu une réunion extraordinaire ce week-end pour étudier une offre préliminaire présentée par Brookfield et la famille fondatrice, qui détient près de 30% du capital.

    Les actions de Grifols ont été suspendues de la négociation sur l'indice de premier ordre par le régulateur CNMV peu avant l'ouverture du marché. Les traders s'attendaient à une hausse des actions comprise entre 8 et 10%.

    L'objectif de la famille fondatrice est d'accéder aux livres de l'entreprise pour faire une offre finale dans les semaines à venir, rapporte dimanche le journal économique Cinco Dias, précisant que Lazard était le seul conseiller financier des deux parties. 

    L'opération pourrait s'élever à environ 5,5 milliards d'euros (5,96 milliards de dollars), selon le rapport.

  • KBCS dégrade son conseil sur Hyloris

    KBC Securities réduit son conseil sur Hyloris à "accumuler" contre "acheter". L'objectif de cours reste à 21 euros.

    KBC Securities réagit aux informations du vendredi soir de la FSMA concernant Hyloris. Dans un communiqué remarquable, le gendarme boursier qualifie Hyloris de peu fiable.

    "Le business case d'Hyloris reste intact", précise KBC Securities.

    Les investisseurs ne peuvent pas mettre en pratique les conseils de KBC Securities car le titre reste suspendu jusqu'à nouvel ordre.

  • TF1 et M6 en hausse, les résultats électoraux écartant les risques de privatisation

    TF1 et M6 sont en hausse à la Bourse de Paris, après les résultats des élections législatives anticipées en France qui éloignent une potentielle privatisation de l'audiovisuel public.

    Les actions de TF1 prenaient 5,4% à 8,34 euros et celles de M6 4% à 13,08 euros, le SBF gagnant 0,86% au même moment.

    Avec l'échec du Rassemblement national (RN), qui n'a pas obtenu la majorité escomptée à l'Assemblée nationale, "la privatisation de France TV semble moins probable, ce qui devrait aider TF1 et M6", déclare Daniel Kerven, analyste chez J.P.Morgan.

    Les actions de M6 sont en passe de connaître leur meilleure journée depuis novembre 2022, date à laquelle elles avaient clôturé en hausse de 4,3%.

  • Berenberg: "Les rendements français ne devraient pas être inférieurs à ceux de l'Espagne"

    "La France se dirige vers une période d'incertitude politique et, très probablement, vers des problèmes budgétaires et un certain renversement des réformes pro-croissance du président Emmanuel Macron", estime Holger Schmieding, économiste chez Berenberg.

    "À long terme, l'annulation partielle des réformes et une réputation moins favorable auprès des investisseurs mondiaux réduiront probablement la croissance tendancielle et augmenteront l'inflation en France", ajoute-t-il.

    "Si l'on ajoute à cela l'abaissement potentiel des notes de crédit, les coûts de financement augmenteront et les difficultés budgétaires de la France s'aggraveront au fil du temps. Nous maintenons notre opinion selon laquelle, sur la base des fondamentaux, les rendements français ne devraient pas être inférieurs à ceux de l'Espagne."

    Le rendement de l'emprunt souverain espagnol à dix ans évolue lundi à 3,342% et celui de l'OAT français à 3,214%.

  • Le spread France-Allemagne se resserre

    La prime de risque sur la dette française est volatile après les résultats inattendus du second tour des élections législatives, le "Nouveau Front populaire" de gauche arrivant en tête d'un scrutin pour lequel le Rassemblement National était donné gagnant mais sans qu'aucune majorité ne se dégage à l'Assemblée nationale.

    Vers 9h45, le rendement de l'OAT à 10 ans était stable à 3,212% tandis que le rendement allemand à 10 ans progressait de près de deux points de base, à 2,547%.

    L'écart de taux (spread) se resserre ainsi à 66 points de base, contre 68 pb vendredi, après s'être élargi dans les premiers échanges jusqu'à près de 72 points de base.

    Les inquiétudes sur la situation politique en France ont poussé le spread jusqu'à plus de 85 points fin juin, au plus haut depuis 2012.

    Le scénario central des marchés était celui d'une Assemblée nationale divisée mais la progression surprise de la gauche interpelle les investisseurs, inquiets d'un arrêt des réformes censées réduire la déficit budgétaire.

  • Les banques françaises redressent la tête

    Au sein du CAC 40, les banques françaises, durement affectées depuis l'annonce de la convocation d'élections législatives anticipées, redressent la tête. BNP Paribas se tasse de 0,03%, Société Générale grimpe de 0,74% et Crédit Agricole prend 1,06%.

  • Le point sur la tendance boursière

    Après une ouverture en recul, les bourses européennes sont reparties à la hausse, l'incertitude politique en France ajoutant à la prudence des investisseurs avant une salve d'indicateurs américains, cette semaine.

    À Paris, le CAC 40 progresse de 0,22% à 7. 692,09 points après avoir ouvert dans le rouge. Il affiche encore un recul de 4% depuis l'annonce, le 9 juin, de la dissolution surprise de l'Assemblée nationale.

    À Francfort, le Dax gagne 0,13%, tandis que le FTSE, à Londres perd 0,15%.

    L'indice EuroStoxx 50 prend 0,4% et le Stoxx 600 avance de 0,24%.

    L'alliance de gauche du Nouveau Front populaire (NFP) est arrivée en tête du second tour des législatives, mais aucun parti n'a obtenu de majorité absolue, suscitant une vive incertitude sur l'avenir politique du pays et la situation de ses finances publiques. 

    Les investisseurs seront à l'affut des prochains développements politiques et la volatilité sur les actifs français pourrait perdurer.

    L'agenda sera par ailleurs chargé cette semaine outre-Atlantique.

    Mardi et mercredi, le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, commentera la politique monétaire de la banque centrale devant le Congrès et le Sénat américains.

    Jeudi sera publiée l'inflation CPI pour juin, tandis que débutera la saison des résultats du deuxième trimestre ce même jour.

    Les grandes banques américaines devraient notamment publier leurs chiffres vendredi.

  • Citi: "ASML est moins cher que tous ses pairs"

    Le broker Citi lance aujourd'hui une plongée en profondeur sur l'action ASML . "Si nous prenons en compte les fortes perspectives de croissance d'ASML basées sur l'IA, nous arrivons à la conclusion qu'ASML est moins cher que tous ses pairs."

    Citi a une recommandation d'achat sur ASML avec un objectif de cours de 1.250 euros. Le titre reste également sur la liste des favoris de Citi, appelée "Focus List".

  • ASML au-delà des 1.000 euros l'action

    ASML gagne plus de 1% et cela suffit pour que l'action atteigne le plafond historique de 1.000 euros. L'action prend 1,45% à 1.007,40 points. Le fabricant de machines pour le secteur des semi-conducteurs bénéficie aujourd'hui d'un coup de pouce supplémentaire grâce à une recommandation d'achat de Citi.

  • Argenx en tête du Bel20, Unifiedpost recherchée

    Le Bel20 ouvre avec une perte de 0,16%.

    Argenx prend la tête avec un gain de 0,84%, Umicore est en baisse de 1,35%.

    Sur l'ensemble du marché, Unifiedpost gagne 3,81% après la démission du président Stefan Yee. Xior gagne 0,16% après l'objectif de cours plus élevé de Berenberg.

  • "Achetez Ubisoft"

    Ubisoft gagne 8,9% après que Jefferies a relevé sa recommandation à "acheter".

  • |Opening bell|

    Amsterdam: -0,08%

    Bruxelles: -0,21%

    Paris: -0,53%

    Francfort: n.c.

    Société Générale: -1,39%

    BNP Paribas: -1,48%

  • Le rendement du dix ans français orienté à la hausse

    En zone euro, l'élection française ne fait guère réagir les rendements, le spread France-Allemagne demeurant en dessous des 70 points de base.

    Le rendement du dix ans allemand est en hausse de 1,1 point de base (pb) à 2,563% et celui de l'OAT à 10 ans progresse de 3 pb à 3,237%.

    Le spread France-Allemagne pointe aux environs de 67 points de base.

  • Carlsberg va acheter l'embouteilleur Pepsi Britvic

    Carlsberg a accepté de reprendre Britvic avec une offre qui valorise le fabricant britannique de boissons gazeuses à 3,3 milliards de livres sterling (3,9 milliards de dollars).

    Le brasseur danois propose 1.315 pence par action alors qu'il cherche à étendre sa présence au Royaume-Uni et au-delà de la bière. Le conseil d’administration de Britvic soutient l’offre, qui offre une prime de 36% par rapport au cours de l’action avant que la nouvelle de l’intérêt pour le rachat ne soit révélée.

  • Les exportations allemandes reculent plus que prévu en mai

    Les exportations allemandes ont baissé de 3,6% en mai par rapport au mois précédent, selon les données publiées lundi par l'Office fédéral de la statistique.

    Les économistes interrogés par Reuters tablaient sur une baisse de 1,9%.

  • Les 5 actions chouchous de Kurt Ruts

    Kurt Ruts est analyste chez KBC Asset Management. Ses cinq actions préférées sont Tencent, Infineon, AMD, Samsung et Alphabet.

  • JPMorgan: "Le coût du capital des banques françaises pourrait progresser"

    Le coût du capital des banques françaises pourrait progresser après le second tour des législatives, estime JPMorgan dans une note. Le groupe juge Société Générale plus intéressante que ses pairs, voit une opportunité d'achat pour AXA et des perspectives à long terme encourageantes pour Amundi.

  • Le spread France-Allemagne inchangé après le second tour des législatives

    La prime de risque sur la dette française demeure inchangée après les résultats inattendus du second tour des législatives, le "Nouveau Front populaire" de gauche arrivant en tête d'élections pour lesquelles le Rassemblement National était donné gagnant mais sans qu'aucune majorité ne se dégage à l'Assemblée nationale.

    A l'ouverture des marchés de taux, le rendement de l'OAT à 10 ans était stable à 3,219%, tandis que le rendement allemand à 10 ans demeurait inchangé, à 2,533%.

    L'écart de taux (spread) atteint 69 points de base, contre 68 pb vendredi, à la clôture des marchés.

    Le scénario central des marchés était celui d'une Assemblée nationale divisée, mais la progression surprise de la gauche interpelle les investisseurs, inquiets d'un arrêt des réformes budgétaires.

  • Briefing d'avant-bourse

    Les bourses européennes sont attendues mitigées, le résultat inattendu des élections françaises déstabilisant les investisseurs qui se préparent par ailleurs à une salve d'indicateurs clés cette semaine.

    Selon les premières indications disponibles, le CAC 40 parisien s’afficherait en baisse de 0,17% à l'ouverture. Les contrats à terme sur le FTSE à Londres, le Dax à Francfort et l'EuroStoxx 50 ne montrant pas de direction marquée.

    L'alliance de gauche du "Nouveau front populaire" (NFP) est arrivée dimanche en tête du second tour des élections législatives anticipées en France, avec 182 sièges, devant le camp présidentiel (163 sièges) et le Rassemblement national et ses alliés (143 sièges).

    Les investisseurs sont soulagés de constater que le RN n'a pas remporté de majorité absolue, mais ce scénario surprise dessine une Assemblée nationale difficilement gouvernable qui pourrait à terme faire pression sur les actifs français.

    Le choc du jour pourrait apporter une volatilité sur les marchés français et européens plus rapidement que prévu. Il faudra absolument que le gouvernement Macron clarifie la solution (un nouveau remaniement de gouvernement à la clé ?) pour que les investisseurs soient 'rassurés.

    John Plassard
    Directeur chez Mirabaud Securites
  • Berenberg relève l'objectif de cours de Xior

    Berenberg augmente l'objectif de cours de Xior de 36 à 38 euros, le conseil pour l'action du spécialiste de l'immobilier étudiant restant à "acheter". Ceci après l'accord dans lequel l'entrepreneur portuaire Fernand Huts a investi 80 millions, un montant que Xior a immédiatement utilisé pour l'achat de campus à Cracovie, en Pologne et à Lisbonne, au Portugal.

    "Cette fois, Xior utilise intelligemment ses propres actions comme monnaie", note l'analyste Kai Klose. Klose est que l'opération a été réalisée à un prix raisonnable, car payée avec des actions cotées à bas prix, après l'acquisition coûteuse de Basecamp au printemps 2022, une opération réalisée au pire moment possible pour Xior avec un lourd fardeau de la dette et une réduction des effectifs comme conséquence.

    Cette fois, Xior utilise intelligemment ses propres actions comme monnaie.

    Kai Klose
    Analyste de Berenberg
  • Paramount a accepté l'offre de fusion de Skydance

    Le conseil d'administration de Paramount Global (CBS, MTV...) a approuvé dimanche l'offre de fusion de Skydance Media, un accord qui pourrait être finalisé dès les prochaines heures et marquera le début d'une nouvelle ère pour le géant du divertissement, propriétaire du studio éponyme de cinéma américain, parmi les pionniers de Hollywood.

    Paramount, qui détient également plusieurs chaînes de télévision dont CBS, a déjà collaboré avec Skydance pour différents 'blockbusters' cinématographiques dont, dernièrement, "Top Gun: Maverick" et "Mission: Impossible - Dead Reckoning".

    L'accord fera de David Ellison, le fondateur de Skydance, âgé de 41 ans, l'un des hommes les plus puissants de Hollywood, avec toutefois pour défi de redresser un groupe en difficulté, faute d'avoir bien négocié le virage du streaming. 

  • Unifiedpost: départ de Stefan Yee, le président du CA

    Stefan Yee a décidé de quitter ses fonctions de président du conseil d'administration d'Unifiedpost après avoir siégé pendant près de 10 ans depuis 2014. Il conservera son rôle de président démissionnaire jusqu'à ce qu'un remplaçant soit nommé.

    "Stefan Yee a pris cette décision uniquement dans l'intérêt de l'entreprise afin de faciliter la transition vers une nouvelle structure de gouvernance", selon le communiué d'Unifiedpost.

    Stefan Yee a indiqué qu'il continuera à soutenir l'entreprise en tant que l'un des actionnaires de référence d'Unifiedpost Group.

    Par ailleurs, Unifiedpost a annoncé la finalisation de la cession de la cession des produits autonomes FitekIN et ONEA pour un montant en cash de 7,2 millions d'euros au fonds de capital-investissement des pays baltes Baltcap.

  • La FSMA sur Hyloris: "De sérieux doutes quant à la fiabilité des informations fournies au marché"

    Les problèmes d'Hyloris ne sont toujours pas réglés: la FSMA, l'autorité belge des services et marchés financiers, a durement épinglé vendredi soir la société biopharmaceutique liégeoise, en estimant avoir de sérieux doutes quant à la fiabilité d'informations que Hyloris a fournies au marché.

    Elle estime que ces informations ne permettent pas au public d'évaluer les risques liés à un investissement dans l'action de l'entreprise, dont la cotation est interrompue depuis le 29 avril sur Euronext Bruxelles et reste suspendue jusqu'à la publication du rapport annuel 2023.

  • Les marchés indiqués en hausse, l'euro et la dette française sous pression

    Les indices actions européens sont indiqués en hausse, de l'ordre de 0,18% pour l'Euro Stoxx 50, les investisseurs mesurant les implications du score moins fort qu'attendu de l'extrême droite aux élections législatives en France. Dans l'immédiat, les contrats à terme sur la dette française laissent entrevoir des dégagements sur les obligations émises par Paris et l'euro est sous pression, le succès de la gauche étant synonyme d’une forte augmentation des dépenses publiques.

    L'euro recule de 0,10% à 1,0830 dollar.

    Plus tard dans la semaine, les investisseurs attendent des données clés sur l’inflation aux États-Unis et les résultats trimestriels de plusieurs grands groupes bancaires.

    ©AFP

Plus sur Les Marchés

Messages sponsorisés