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Wall Street termine dans le rouge vif, pire journée depuis deux ans pour le Nasdaq

La Bourse US a clôturé en très nette baisse, s'inquiétant du risque de récession aux États-Unis. Les indices actions européens avaient eux aussi clôturé dans le rouge vif, accentuant leurs pertes après une semaine de repli. Le débouclage des stratégies de carry sur le yen ajoute à la pression.
  • Les "Magnificent Seven" vont perdre 800 milliards de dollars en valeur

    Les craintes de récession aux États-Unis et la vente par Berkshire Hathaway de la moitié de sa participation dans le fabricant d'iPhone pèsent sur les actions technologiques.

  • Chute brutale à Wall Street après une journée noire sur les marchés boursiers

    La Bourse de New York a fini en forte baisse, les craintes de récession aux États-Unis ayant ébranlé les marchés et poussé les investisseurs à se détourner des actifs risqués, tandis qu'Apple a chuté après que Berkshire Hathaway a réduit sa participation dans l'entreprise. Le Dow Jones a cédé 2,62% à 38.695,90 points, à un plus bas depuis le 14 juin. Le S&P 500 a perdu 3,06% à 5.182,93 points, touchant un plus bas depuis le 6 mai. Le Nasdaq a reculé de son côté de 3,50% à 6.188,30 points, à un plus bas depuis le 3 mai.

    Les trois indices ont enregistré leur plus forte baisse en pourcentage sur trois jours depuis juin 2022. La faiblesse des données économiques aux États-Unis la semaine dernière, notamment le rapport sur l'emploi qui a fait état de nouvelles créations d'emploi bien plus faibles que prévu en juillet, a déclenché un vaste mouvement d'aversion au risque. Les indices ont cependant réduit leurs pertes en fin de matinée après que les données ont montré que l'activité du secteur des services américain a rebondi en juillet.

    Les déclarations accommodantes du président de la Fed de Chicago, Austan Goolsbee, qui a éloigné la perspective d'une récession, ont également limité le rebond obligataire sur la séance et les pertes sur les actions. Il a cependant estimé que les responsables de la Fed devaient être conscients des changements d'environnement afin d'éviter d'être trop restrictifs avec les taux d'intérêt. Les chiffres de l'emploi américain et le ralentissement de l'activité manufacturière ont aggravé les inquiétudes suscitées par les récentes prévisions décevantes des grandes entreprises technologiques américaines. Le Nasdaq Composite a confirmé vendredi qu'il était en territoire de correction.

  • Le Dow au plus bas depuis près de 2 mois

    Le Dow Jones clôture à son niveau le plus bas depuis le 14 juin.

    C'est également la plus forte baisse en pourcentage sur trois jours depuis juin 2022 pour les trois indices de Wall Street.

  • Les marchés US terminent dans le rouge

    Le Dow Jones a perdu 2,60% à 38.703,47 points.

    Le Nasdaq a cédé 3,43% à 16.200,08 points.

    Le S&P 500 a lâché 3% à 5.186,33 points.

  • Le pétrole modère son recul après un plus bas depuis six mois

    Les prix du pétrole, tombés à l'ouverture au plus bas depuis six mois sur les craintes d'un ralentissement économique aux Etats-Unis et en Chine, ont modéré leur baisse ce lundi.

    Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en septembre, a cédé 0,66% à 76,30 dollars, après avoir touché un plus bas depuis début janvier. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison le même mois, a perdu 0,78% à 72,94 dollars, peu après avoir dégringolé jusqu'à un plus bas en six mois. 

  • Le Nasdaq s'apprête à vivre sa pire journée depuis deux ans

    La perte du Nasdaq atteint 4%, sous la pression d'Apple qui se négocie à près de 7% de baisse.

    Si nous terminons ainsi, il s'agira de la pire séance boursière pour le Nasdaq depuis septembre 2022.

  • Google condamné pour pratiques anticoncurrentielles avec son moteur de recherche

    Le géant américain du numérique a été reconnu coupable de pratiques anticoncurrentielles concernant son moteur de recherche, notamment via des contrats l'imposant comme logiciel par défaut sur des appareils, selon une décision rendue ce mardi par un juge de Washington.

    Selon les documents que l'AFP a pu consulté, le juge a estimé que, "après avoir étudié attentivement les témoignages et les preuves, la cour est arrivé à cette conclusion: Google est un monopole et il a agit de manière à maintenir ce monopole".

    Alphabet perd plus de 4% suite à cette annonce.

  • Les cryptoactifs chutent

    Les groupes de cryptoactifs chutent dans un contexte de défiance généralisée avec le plongeon du bitcoin et de l'éther, tombés à des creux de plusieurs mois.

    Coinbase dévisse de 8%, Riot Platforms de 3,44%, Marathon Digital de 3,72% et Bitfarms de 11,92%.

  • Le CEO de Jensen vend pour un demi-milliard d'euros d'action Nvidia

    Le CEO de Jensen a vendu des actions Nvidia pour 322,7 millions de dollars en juillet, juste avant une vague de liquidation des valeurs technologiques. Avec les actions qu'il a vendues en juin, il a encaissé un total de 500 millions de dollars.

    Ce faisant, il a profité de la hausse de l'IA, dont le concepteur de puces était la coqueluche. Les ventes d'actions sont arrivées à point nommé, car au cours des deux derniers jours de bourse, Nvidia a perdu plus de 8%. Les moments de vente étaient prédéterminés, conformément à un plan de négociation datant de mars de cette année.

  • Wall Street toujours dans le rouge vif

    Le Dow Jones perd 2,53%, le Nasdaq 3,70% et le S&P 500 3,03%.

  • Kellanova, dans le viseur de Mars, recherchée

    L'action du groupe Kellanova , fabricant de gaufres du petit déjeuner et de snacks, est recherchée (+15,13%) alors que le géant des barres chocolatées, Mars (non coté) viserait un rachat qui pourrait se monter à 30 milliards de dollars, selon le Wall Street Journal.

  • Le pétrole renforce ses pertes

    Le brut recule malgré les tensions géopolitiques, les derniers indicateurs en provenance des États-Unis faisant craindre une récession de la première économie du monde.

    Le Brent se replie de 1,37% à 76,50 dollars le baril, le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) décroît de 1,62% à 73,03 dollars.

  • Le dollar et la livre cèdent du terrain

    L'euro se renforce face au dollar alors que les opérateurs parient sur d'importantes baisses de taux de la Fed, qui réduiraient l'écart entre zone euro et États-Unis.

    Le dollar perd 0,66% face à un panier de devises de référence, tandis que l'euro prend 0,54% à 1,0967 dollar. La livre sterling décline de 0,31% à 1,2758 dollar.

  • 5 valeurs dans le viseur

    • Le secteur bancaire a reculé de 2,34% avec les craintes de récession. Société Générale, qui a annoncé la cession de plusieurs de ses filiales, a reculé néanmoins de 0,8%.
    • L'Oréal a annoncé l'acquisition d'une participation de 10% dans le groupe pharmaceutique suisse Galderma, pour un montant non divulgué. Le groupe français s'est redressé de 1,13%, le groupe suisse de 2,36%.
    • Infineon a monté de 1,63% après avoir annoncé son intention de supprimer plus d'un millier d'emplois et d'en relocaliser d'autres, le groupe ayant par ailleurs réduit sa prévision de chiffre d'affaires annuel.
    • Aurubis, premier producteur européen de cuivre, a fait état d'un bénéfice avant impôts trimestriel en deçà des prévisions et a abandonné 11,04%.
  • Les taux se sont stabilisés

    Les rendements ont terminé sans direction nette une séance volatile, les investisseurs estimant que les derniers chiffres d'activité aux États-Unis éloignaient la perspective d'une récession. 

    À la clôture des marchés de taux en Europe, le rendement du Treasury à dix ans terminait stable à 3,794%, contre une hausse de 1,1 pb pour le taux à deux ans, à 3,8832%.

    Le rendement du dix ans allemand a progressé de 2,3 pb à 2,183%, tandis que celui du taux à deux ans est demeuré stable à 2,336%.

  • La patience, cette vertu souvent oubliée en bourse

    Les marchés financiers sont brusquement sortis de leur torpeur estivale. Mais ce lundi noir ne doit pas effacer le fait qu’une correction est parfois saine.

  • Philippe Gijsels (BNP Paribas Fortis): "La situation risque de s'aggraver avant de s'améliorer"

    "Cette crise pourrait se résoudre par une intervention de la Fed dans les semaines à venir", estime Philippe Gijsels, chef stratégiste chez BNP Paribas Fortis.

  • L'Europe termine en repli, les derniers chiffres US rassurent quelque peu

    Les marchés européens ont terminé en baisse, les actions mondiales reculant dans le sillage d'indicateurs économiques américains médiocres et de la hausse des taux de la Banque du Japon. À Paris, le CAC 40 a perdu 1,42% à 7.148,99 points, tandis que le Dax allemand reculait de 1,95% et le Footsie britannique de 2,04%. L'indice EuroStoxx 50 a terminé la séance sur une baisse de 1,59%, contre 2,15% pour le FTSEurofirst 300 et 2,22% pour le Stoxx 600. Les marchés ont terminé en forte baisse pour la troisième séance consécutive, les mauvais chiffres économiques américains ayant déclenché un vaste mouvement d'aversion au risque.

    De fait, les nouvelles créations d'emploi ont été bien plus faibles que prévu en juillet, ce que les opérateurs ont interprété comme indicateur d'une récession prochaine. "Les craintes de récession aux États-Unis sont de retour en tant que thème dominant, alimentées par une perte rapide de dynamisme sur le marché du travail et des résultats financiers faisant état d'une faible demande des consommateurs", résume Michael Langham, économiste chez abrdn. "Les prix du marché indiquent désormais une conviction selon laquelle la Fed est en retard et réduira rapidement les taux lors des prochaines réunions pour éviter un atterrissage brutal".

    Ce lundi, l'indicateur ISM des services a néanmoins été meilleur qu'attendu par les investisseurs, la composante de l'emploi affichant un net rebond par rapport à juin. Des déclarations accommodantes du président de la Fed de Chicago, Austan Goolsbee, qui a éloigné la perspective d'une récession, ont également limité le rebond obligataire sur la séance ainsi que les pertes sur les actions.

    La pression sur les actions devrait quoiqu'il en soit perdurer, car la chute des actifs risqués tient aussi au débouclage des opérations de portage permises par un yen faible. Les investisseurs empruntant en yen achetaient des actifs en dollars au rendement plus élevé, profitant à la fois des faibles taux de financement au Japon et des rendements américains élevés, permis par les taux restrictifs de la Fed. La hausse des taux décidée la semaine dernière par la Banque du Japon a remis en cause la logique de l'opération et obligé les investisseurs à sortir de leurs positions, faisant pression sur les indices.

  • Le Bel 20 lâche plus de 3%

    L'indice phare de la Bourse de Bruxelles a terminé en baisse de 3,15% à 3.888,56 points.

    L'ensemble des valeurs, à l'exception de Melexis qui a clôturé à l'équilibre, ont fini en nette baisse. Sofina , WDP et UCB ont notamment perdu entre 4 et 5%.

  • Europe | Closing Bell

    Bel 20: -3,15%

    FTSE 100: -2,16%

    DAX: -1,95%

    CAC 40: -1,61%

  • Les taux US en nette baisse

    Le taux des emprunts des États-Unis à deux ans tombe à 3,79%. Il est brièvement repassé sous le niveau du taux d'intérêt des emprunts à échéance dix ans pour la première fois depuis juillet 2022.

    Le rendement à dix ans continue de reculer, les investisseurs se tournant vers les actifs jugés peu risqués. Le taux d'intérêt américain à dix ans s'établit 3,72% contre 3,79% vendredi à la clôture.

  • Le pétrole en recul

    Le pétrole est pénalisé par les craintes de récession: le prix du baril de Brent de la mer du Nord perd 0,98% à 76,80 dollars, touchant plus tôt un plus bas depuis début janvier.

    L'équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), cède 1,06%, à 73,44 dollars, peu après avoir dégringolé jusqu'à un plus bas en six mois.

  • Le yen décolle

    Le yen affiche une envolée spectaculaire, profitant de son statut de valeur refuge en pleine craintes de récession aux États-Unis, poussé par un mouvement de liquidation d'opérateurs spéculatifs. La devise nippone décolle de 2,74% face au dollar, à 142,62 yens pour un dollar, et de 2,10% face à l'euro, à 156,58 yens pour un euro.

    Autres valeurs refuge, le franc suisse prend 1,26% face au dollar, à 1,1774 dollar pour un franc. 

  • Le secteur technologique en rouge à Wall Street

    Les valeurs technologiques, chèrement valorisées, flanchent face à l'environnement macroéconomique, et à des doutes sur les perspectives de croissance du secteur. 

    À New York, Nvidia chute de près de 7%, Tesla abandonne 5,37%, Alphabet  2,74%, Apple  4,15%, Amazon  4,33%, Meta  3,70% et Microsoft  3,01%.

  • Krugman: "Un bon argument en faveur d'une réduction d'urgence de la Fed"

    Le lauréat du prix Nobel d'économie Paul Krugman a rappelé sur X qu'il avait "plaidé en faveur d’une baisse des taux d'intérêt" mais qu'il n'avait pas appelé "à une baisse entre les réunions, car cela pourrait envoyer un signal de panique." 

    Ceci étant dit, il indique ce lundi: "Mais comme nous assistons de toute façon à un mouvement de panique, cet argument n'a plus lieu d'être. Par conséquent, il y a maintenant un bon argument en faveur d'une baisse d'urgence de la part de la Fed".

  • Le bitcoin sombre sous la barre des 50.000 dollars

    Le bitcoin sombre ce lundi, l'actif à risque plombé par l'aversion pour le risque des investisseurs chutant sous la barre des 50.000 dollars pour la première fois depuis février. Le bitcoin chute de 13,49% à 51.161,50 dollars, peu après avoir plongé de plus de 16% et glissé jusqu'à 49.212,74 dollars, un plus bas en près de six mois.

    "Au plus fort de la journée, 300 milliards de dollars ont été effacés de la capitalisation du marché des crypto-monnaies", affirme Simon Peters, analyste chez eToro. "Alors que le bitcoin suit souvent son propre chemin, le scénario actuel l'aligne plus étroitement sur les dynamiques de marché traditionnelles", explique Stephen Innes, analyste chez SPI AM interrogé par l'AFP.

  • Le secteur des services rebondit en juillet

    L'activité du secteur des services aux États-Unis a repris sa croissance en juillet, montre l'enquête mensuelle de l'Institute for Supply Management (ISM) publiée ce lundi. L'indice ISM des services est ressorti à 51,4 en juillet après 48,8 en juin, contre un consensus des économistes interrogés par Reuters à 51,0. La barre des 50 sépare croissance et contraction de l'activité.

    La perception des conditions actuelles s'est nettement renforcée à 54,5, contre 49,6 en juin et 51,5 attendus par les économistes. Le sous-indice des prix acquittés a rebondi à 57 points, contre 56,3 en juin. L'emploi dans le secteur a progressé à 51,1 en juillet, contre 46,1 le mois précédent. La composante des nouvelles commandes reçues par les entreprises de services est pour sa part passée de 47,3 en juin à 52,4 en juillet.

  • Le lancement des prochaines puces de Nvidia retardé?

    Des défauts de conception pourraient entraîner un retard de trois mois ou plus dans le lancement des prochaines puces de Nvidia destinées à l'intelligence artificielle, a rapporté vendredi The Information, faisant décliner Nvidia de 6,44%. 

  • Berkshire Hathaway fait reculer Apple

    Apple recule de 4,79%, Berkshire Hathaway ayant réduit de moitié sa participation dans le groupe.

  • Les marchés chutent: quelles sont les causes, conséquences et perspectives?

    Le plongeon des actions de ce lundi pourrait être exagéré, mais les investisseurs doivent être attentifs, car il risque d'avoir des conséquences. Gare à la spirale négative.

    Notre analyse de la chute des marchés

  • L'épargne a augmenté de 4,3 milliards au premier semestre

    Les soldes des comptes d'épargne réglementée ont augmenté de 4,3 milliards d'euros pour atteindre 273,4 milliards au cours du premier semestre de l'année, selon les chiffres de la Banque nationale.

    Cela a permis d'inverser une petite partie de l'importante sortie de l'année dernière. En 2023, les dépôts d'épargne ont diminué de 31 milliards, car les épargnants ont alors investi des montants très importants dans les bons d'État et les comptes à terme, qui sont fiscalement avantageux.

  • L'euro dépasse 1,10 dollar pour la première fois depuis janvier

    La baisse du dollar a poussé l'euro brièvement au-dessus de 1,10 dollar pour la première fois depuis janvier.

    Le dollar est sous pression en raison des spéculations selon lesquelles la banque centrale américaine (Fed) réduira fortement ses taux d'intérêt dans les mois à venir afin de soutenir l'économie. Le marché monétaire s'attend à ce que le taux directeur de la Fed baisse de 125 points de base d'ici la fin de l'année.

  • Wall Street chute à l'ouverture, la crainte d'une récession fait ployer les marchés

    La Bourse de New York dévisse à l'ouverture, une possible récession aux États-Unis déclenchée par les hausses de taux de la Réserve fédérale faisant reculer les actifs risqués. Le Dow Jones perd 2,84% à 38.610,48 points et le S&P 500 recule de 4,18% à 5.123,18 points. Le Nasdaq cède 6,26% à 15.725,363 points. Il s'agirait de la pire chute de l'indice depuis le 9 mars 2020, si celle-ci se maintient.

    Le dernier rapport mensuel sur les marchés du travail aux États-Unis a fait état de créations d'emploi bien plus faibles qu'attendu, une situation correspondant à celle décrite par la "règle de Sahm" qui veut qu'une hausse importante du chômage sur six mois annonce une récession. Ces craintes sont accentuées par la dernière décision de la Fed, qui a choisi de laisser ses taux inchangés tout en insistant sur les risques pesant sur les marchés de l'emploi. La prochaine réunion n'aura lieu que dans six semaines, bien tard pour certains observateurs qui craignent qu'une réaction trop tardive aggrave le retournement économique.

    Le net rebond du yen, qui renchérit le coût des opérations de portage sur les actions américaines, et la chute des Bourses mondiales ajoutent à la pression sur les actifs américains. L'indicateur ISM des services, à 16h, sera suivi de près, car le principal secteur de l'économie américaine pourrait également montrer des signes de faiblesse.

  • Les marchés US ouvrent dans le rouge vif

    Le Dow Jones perd 2,76%, le Nasdaq 5,71% et le S&P 500 4,14%.

  • Continental AG envisage de se scinder et de coter sa division "automobile"

    Continental envisage de se scinder et de coter en bourse sa division automobile, en difficulté, pour la séparer de ses activités de pneus, plus prospères.

    Le fabricant évalue "en détail" la scission et une cotation ultérieure à 100% de l'entreprise qui fabrique des produits, tels que des freins et des systèmes de conduite automatisés.

    Continental prendra une décision au quatrième trimestre, avec pour objectif de finaliser toute opération d'ici à la fin de l'année prochaine. L'objectif est "d'exploiter pleinement la valeur et le potentiel de croissance des deux groupes alors séparés", a déclaré Continental lundi, ajoutant qu'il conserverait ses unités rentables de pneus et ContiTech.

  • Les rendements chutent, les investisseurs recherchant des actifs sûrs

    Les maturités courtes, plus sensibles aux niveau des taux, reculent davantage alors que les opérateurs parient sur des assouplissements monétaires importants à court terme.

    Le rendement du dix ans allemand s'affaiblit de 8 pb à 2,091%, touchant un plus bas depuis janvier sur la séance, celui du taux à deux ans perd 15 pb à 2,190%, un creux depuis mars 2023.

    Le rendement du Treasury à dix ans recule de 9 pb à 3,699%,  touchant sur la séance un plus bas depuis presque un an, tandis que le deux ans chute de 18 pb à 3,701%, au plus bas depuis mai 2023

  • Update | Le point sur la tendance boursière

    Wall Street est attendue en forte baisse à l'ouverture tandis que l'Europe décline nettement, les investisseurs s'inquiétant des perspectives économiques des États-Unis tandis que le débouclage des opérations de portage sur le yen fait pression sur les actifs risqués.

    Les futures sur indices new-yorkais suggèrent une ouverture de Wall Street en rouge vif, le Dow Jones reculant de 1,97%, le Standard & Poor's 500 perdant 2,93% et le Nasdaq, exposé à la technologie, dégringolant de 4,46%.

    L'Euro Stoxx 50 chute de 2,54%. Bruxelles abandonne 3,2%, Francfort lâche 2,8%, Londres cède 2,4% et Paris 2,2%.

    Les marchés digèrent les implications du dernier rapport sur l'emploi aux États-Unis, qui a montré que seulement 114.000 emplois avaient été créés en juillet, contre 175.000 attendus.

    Si ce faible nombre pourrait s'expliquer par des phénomènes ponctuels, dont l'ouragan Beryl qui a suspendu l'activité de nombreux secteurs économiques, les investisseurs ont choisi d'y lire la confirmation du ralentissement de l'économie américaine.

    Selon l'enquête mensuelle de BofA sur le sentiment des gérants de portefeuille, 70% d'entre eux prévoyaient un scénario d'atterrissage en douceur aux États-Unis cette année. Le scénario qui domine désormais sur les marchés est celui d'une récession causée par un assouplissement trop tardif des taux américains, ce qui met les actifs risqués sous pression.

    L'indicateur ISM des services, attendu à 14h30, sera suivi de près, car il donnera davantage d'indications sur l'état de l'emploi dans le principal secteur économique américain.

  • Le pétrole au plus bas depuis 6 mois, craintes sur l'économie américaine

    Les prix du pétrole flanchent, plombés par de fortes craintes quant à l'économie américaine et chinoise et leur demande de brut, faisant passer le risque géopolitique au Moyen-Orient au second plan. 

    Vers 12h, le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en septembre, perd 1,5% à 75,67 dollars, peu après avoir touché un plus bas depuis début janvier.

    Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison le même mois, cède 1,3% à 70,50 dollars, peu après avoir dégringolé jusqu'à un plus bas en six mois. 

    Les craintes d'une destruction de la demande mondiale de pétrole s'intensifient, pesant sur les cours du brut dans un contexte d'aversion pour le risque.

    Tamas Varga
    Analyste chez PVM Energy
  • Des défauts de conception dans les puces de Nvidia?

    Des défauts de conception pourraient entraîner un retard de trois mois ou plus dans le lancement des prochaines puces destinées du groupe à l'intelligence artificielle, a rapporté vendredi The Information. Nvidia chute de 9,6% avant l'ouverture. Les autres fabricants de semi-conducteurs comme Broadcom, Marvel Technolog, AMD et Intel perdent de 4,8% à 7,8%.

  • Le moral des investisseurs de la zone euro au plus bas depuis janvier

    Le moral des investisseurs de la zone euro a chuté pour le deuxième mois consécutif en août, tombant à son plus bas niveau depuis janvier, selon une enquête publiée lundi.

    L'indice Sentix de la zone euro est tombé à -13,9 points en août, contre -7,3 en juillet. Les analystes interrogés par Reuters s'attendaient à ce qu'il tombe à -8,0 ce mois-ci.

    L'indice des attentes a également connu une forte baisse, passant de 1,5 à -8,8 points en juillet, un chiffre qui, selon Sentix, "risque d'inquiéter les prévisionnistes" car la situation économique déjà fragile devrait encore se détériorer au cours des six prochains mois.

    L'enquête indique que les investisseurs sont préoccupés par la situation géopolitique fragile, en particulier au Moyen-Orient, par les prochaines élections régionales allemandes et par l'incertitude entourant l'élection présidentielle américaine plus tard cette année.

  • Voici le briefing actions belges

  • Une fusion à 22 milliards de dollars en vue entre Mars et le propriétaire de Pringles

    Mars, le géant de l'agroalimentaire, réfléchit à une acquisition potentielle du géant américain des céréales petit déjeuner et des snacks Pringles, Kellanova (ex-Kellog), valorisé à 22 milliards de dollars, selon des sources au fait du dossier. Le titre prend 5,9% avant l'ouverture.


  • Umicore à son plus bas niveau depuis 14 ans | L'action divisée par deux depuis le début de l'année

    Umicore chute à nouveau, de 3,5% à 11,76 euros, le niveau le plus bas depuis 2010. Le groupe de matériaux a annoncé fin juillet, en même temps que les chiffres semestriels, qu'il procédait à une importante dépréciation de 1,6 milliard d'euros sur sa branche matériaux pour batteries.

    Les investisseurs ne seront informés de la vision stratégique de cette branche, maintenant que la technologie concurrente LFP, moins chère, pour les cathodes est en plein essor, que lors d'une journée des investisseurs au début de 2025. De nombreux investisseurs ne souhaitent manifestement pas faire preuve de patience d’ici là et votent avec leurs pieds.

    L'action a perdu 52% depuis le Nouvel An, la pire performance du Bel 20.

  • Le baromètre de la peur à Wall Street au plus haut depuis juin 2020

    Il existe une forte crainte de nouvelles chutes boursières dans les jours et les semaines à venir. Cela ressort du VIX, un indice composé des prix des options. Plus les investisseurs souhaitent se prémunir contre une baisse des marchés boursiers en achetant des options de vente sur le S&P500, plus le VIX sera élevé. C'est pourquoi l'indice est connu comme le baromètre de la peur de Wall Street, et il a atteint aujourd'hui son plus haut niveau depuis juin 2020 (voir graphique).

  • Vers une claque boursière pour Apple à Wall Street

    Apple se dirige vers une ouverture en forte baisse, le titre étant indiqué en recul de 8,3% à 201,69 dollars dans les échanges électroniques d'avant l'ouverture alors que le véhicule d'investissement de Warren Buffett, Berkshire Hathaway a réduit sa participation dans Apple de près de 50% dans le cadre d'une frénésie de ventes massive d'actions au deuxième trimestre qui a propulsé la trésorerie du milliardaire Warren Buffett à un montant record de 276,9 milliards de dollars.

    Au total, Berkshire a vendu pour 75,5 milliards de dollars d'actions sur une base nette au cours de la période, a rapporté samedi le conglomérat basé à Omaha, dans le Nebraska. Le bénéfice d'exploitation a atteint 11,6 milliards de dollars, contre 10 milliards de dollars pour la même période il y a un an.

  • Indices PMI | L'activité du secteur privé en zone euro à un "rythme d'escargot" en juillet

    La croissance de l'activité du secteur privé en zone euro a ralenti en juillet, la timide expansion du secteur des services n'ayant pas suffi à compenser le ralentissement plus marqué du secteur manufacturier, montrent les résultats définitifs de l'enquête HCOB/S&P Global auprès des directeurs d'achat, publiée lundi.

    L'indicateur composite est tombé à 50,2 en juillet, contre 50,9 en juin et 50,1 donné en première estimation. Même si cet indicateur est en deçà de l'estimation "flash", c'est son cinquième mois consécutif qu'il est en territoire positif, puisque la barre des 50 sépare croissance et contraction de l'activité.

    L'économie de la zone euro croît à un rythme d'escargot en juillet. Au niveau sectoriel, les services ne s'accélèrent pas comme ils l'ont fait en début d'année, tandis que le ralentissement dans l'industrie se poursuit sans relâche.

    Cyrus de la Rubia
    Chef économiste chez Hamburg Commercial Bank

    L'indice PMI des services est passé de 52,8 en juin à 51,9 en juillet, conformément à l'estimation préliminaire.

    L'indice PMI manufacturier, publié la semaine dernière, montre que l'activité dans le secteur reste embourbée en zone de contraction dans un contexte de difficulté généralisée, la production ayant diminué à son rythme le plus rapide depuis le début de l'année.

  • Infineon, Société Générale, Aurubis... Les valeurs à suivre en Europe

    Séance difficile pour Aurubis , le premier producteur européen de cuivre ayant fait état lundi d'un bénéfice avant impôts trimestriel en deçà des prévisions, pénalisé par la baisse des bénéfices du recyclage et des prix de l'acide sulfurique.

    Aurubis fait face à une concurrence féroce de la part des recycleurs de métaux chinois. Le PDG sortant, Roland Harings, avait appelé à des "règles du jeu équitables" sur le marché lors d'une conférence téléphonique sur les résultats du deuxième trimestre.

    L'EBT trimestriel du groupe a quintuplé pour atteindre 90 millions d'euros (98,4 millions de dollars) par rapport à la même période de l'année dernière, affectée par un vol majeur de métaux dans son activité de fonderie. Cela reste inférieur aux attentes de 99 millions d'euros, selon un sondage auprès des analystes et fourni par l'entreprise. Par rapport à il y a deux ans, les bénéfices ont baissé de 13%.

    Aurubis, qui vend également de l'acide sulfurique comme sous-produit du traitement du cuivre, a toutefois déclaré que le résultat du troisième trimestre était le meilleur de son histoire avec un arrêt majeur, faisant référence à la maintenance planifiée de son usine de Hambourg qui s'est terminée en juillet.

    La société, qui négocie des métaux tels que l'or et le platine en plus du cuivre, a confirmé ses prévisions pour l'ensemble de l'année.

  • Indices PMI | La reprise de l'activité des services en Allemagne s'essouffle en juillet

    La croissance du secteur des services en Allemagne a ralenti en juillet pour le deuxième mois consécutif, montre une enquête publiée lundi, nouveau signe d'un essoufflement de la première économie d'Europe.

    L'indice définitif du secteur des services de l'enquête S&P Global/HCOB auprès des directeurs d'achat a reculé à 52,5 en juillet, contre 53,1 en juin et une estimation préliminaire de 52,0.  

    L'indice composite PMI, qui comprend les services et l'industrie manufacturière, est tombé à 49,1 en juillet contre 50,4 en juin, légèrement au-dessus d'une chiffre préliminaire de 48,7.

    Le seuil des 50 sépare croissance et contraction de l'activité.

    Si le secteur des services stagne, l'ensemble de l'économie pourrait sombrer dans une récession, car l'industrie manufacturière continue de se contracter fortement.

    Cyrus de la Rubia
    Chef économiste chez Hamburg Commercial Bank
  • Indices PMI | Le secteur des services rebondit en France en juillet avec les JO

    Le secteur des services en France a progressé en juillet, mais moins que prévu en première estimation, dans un contexte de reprise de l'activité avec les Jeux olympiques (JO), montrent lundi les résultats définitifs de l'enquête mensuelle PMI de S&P Global et HCOB.

    L'indice s'est établi à 50,1 en juillet, contre 49,6 en juin et 50,7 en estimation "flash".

    La barre des 50 sépare croissance et contraction de l'activité.

  • Le point sur la tendance boursière

    Les bourses européennes corrigent, dans la crainte d'une récession aux États-Unis au regard des derniers indicateurs macroéconomiques, alors que seront publiées dans la journée d'autres statistiques comme les indices de l'activité des services.

    À Paris, le CAC 40 perd 2%. À Londres, le FTSE 100 abandonne 2,030% et à Francfort, le Dax fléchit de 2,24%.

    L'indice EuroStoxx 50 décline de 2,3% et le Stoxx 600 décroche de 2,93%.

    Les contrats à terme à Wall Street préfigurent une baisse de 1,63% pour le Dow Jones, de 2,67% pour le Standard & Poor's 500 et une chute de 4,62% pour le Nasdaq. Ce dernier indice est passé vendredi en territoire de correction, les investisseurs s'inquiétant de l'affaiblissement du marché du travail et de l'activité manufacturière aux États-Unis.

    En Asie, les places boursières ont accusé lundi l'une de leurs pires séances depuis plusieurs années, voire décennies, dans le sillage du mouvement généralisé de vente, l'indice Nikkei à Tokyo ayant plongé de 12,4%, sa plus forte baisse journalière en pourcentage depuis le "lundi noir" du 20 octobre 1987, selon des données de LSEG.

    En Corée du Sud, une restriction des échanges a été déclenchée pour la première fois depuis quatre ans, en raison de la chute l'indice Kospi (-8,77%).

    La peur d'une récession entraîne un mouvement de repli sur les actifs refuges comme le yen et le franc suisse qui ont touché respectivement des sommets de sept et six mois face au dollar, tandis que les actifs risqués comme le bitcoin (-15,77% à 52.680 dollars) ou l'éther (-22,5% à 2.337,11 dollars) chutent à des plus bas de plusieurs mois.

    Le rendement des bons du Trésor américain à dix ans plonge de 4,7 points de base, à 3,7528%, à un creux depuis la mi-2023, tandis que celui à deux ans est passé au-dessus du dix ans, à 3,884%, un inversement souvent considéré comme un signe d'une récession économique à venir.

    Les premiers chiffres de l'indicateur mensuel de l'activité des services en Europe, en attendant ceux des États-Unis dans l'après-midi, pourraient accélérer le mouvement de vente des actifs si une détérioration de l'économie se confirme.

  • Le secteur technologique abandonné

    Le secteur technologique sombre dans le rouge aussi: à Amsterdam, ASML perd 4% et BE Semiconductor Industries 4,0%. À Paris, STMicroelectronics recule de 5,3% et Capgemini de 3%. À Francfort, Infineon abandonne 1%. 

  • Le dollar et l'euro plongent de plus de 2% face au yen

    Le marché des changes faisait l'objet de fortes secousses, le dollar et l'euro plongeant de plus de 2% face au yen, dans la foulée des turbulences sur les marchés asiatiques.

    Le dollar chute de 2,34% à 143,01 yens, et l'euro de 2,24% à 156,36 yens.

    Le bitcoin dévisse quant à lui de 16,60% à 52.505,00 dollars.

  • Le rendement obligataire US à deux ans au-dessus du dix ans

    Le rendement des bons du Trésor américain à dix ans se replie de 3,6 points de base, à 3,755%. Celui à deux ans lâche 9,3 points de base, au-dessus du dix ans, à 3,79%, signe d'une récession à venir.

    En Allemagne, le rendement du Bund à 10 ans perd 4,3 points de base à 2,126% et celui à deux ans lâche 9,6 points de base à 2,243%.

  • ING ex-dividende

    Ce post pour signaler que la baisse de cours de l'action ING est exacerbée aujourd'hui par le versement  d'un acompte sur dividende. ING verse 0,35 euro brut. L'argent sera sur le compte le 12 août.

  • PostNL: -3%

    PostNL perd 2,9%, après ses résultats.

  • L'indice Bel 20 plonge de plus de 3%

    L'indice Bel 20 plonge de 3,40% à 3.882,96 points. D'Ieteren Group chute de 5%, Sofina abandonne 4,7%, Galapagos rétrograde de 4,3%...

  • |Opening bell|

    Amsterdam: -1,66%

    Bruxelles: 3%

    Paris: -1,91%

    Francfort: n.c.

    Stoxx 600 : -2,7%

    UCB: -4,73%

    KBC: -4,60%

    D'Ieteren Group: -4,53%

  • Le Nasdaq vers une ouverture en baisse de 5%

    Un peu plus tôt que d'habitude, nous nous penchons également sur les futures américains. Selon la situation actuelle, le S&P500 ouvrirait en baisse de 2,7%, le Nasdaq chuterait de 5%.

  • Infineon voit son chiffre d'affaires chuter de 10%

    Le fabricant allemand de puces Infineon a vu son chiffre d'affaires chuter de 9,6% à 3,7 milliards d'euros au cours du dernier trimestre. Les analystes visaient 3,79 milliards d'euros. Infineon souffre du ralentissement du marché des voitures électriques.

    "La faiblesse prolongée de la dynamique économique a conduit à des niveaux de stocks qui dépasse la demande finale", a déclaré le PDG Jochen Hanebeck.

  • Plongeon historique des places asiatiques sur des craintes de récession

    Les places boursières accusent l'une de leurs pires séances depuis plusieurs années, voire décennies dans le sillage d'un mouvement généralisé de vente provoqué par des craintes d'une récession économique aux États-Unis après de mauvais chiffres sur l'activité manufacturière et l'emploi.

    À Tokyo, l'indice Nikkei a plongé de 12,4%, sa plus forte baisse journalière en pourcentage depuis le "lundi noir" du 20 octobre 1987, selon des données de LSEG.

    La Bourse de Taïwan a chuté de 8,4%, son plus fort repli en une séance depuis le 20 novembre 2000.

    En Corée du Sud, l'indice Kospi perd près de 10%, sa plus forte baisse depuis octobre 2008. Le plongeon est tel que cela a déclenché une restriction des échanges pour la première fois depuis quatre ans.

    En Asie du Sud, la Bourse de Singapour perd 4,9% pour se diriger vers sa plus mauvaise séance en quatre ans tandis que les places boursières en Indonésie et aux Philippines perdent 2% et 3% respectivement.

    Ce que nous observons actuellement, c'est une situation dans laquelle le marché considère que ce qui se passe dans la macroéconomie américaine coche la case de la récession. On est passé d'une inflation en baisse suffisamment rapide et d'un assouplissement de la Fed en septembre, à une économie en train de dérailler et à une Fed qui ne sera pas en mesure d'enrayer l'aggravation de la situation.

    Robert Carnell
    Responsable de la recherche pour l'Asie-Pacifique chez ING
  • Aurubis, L'Oréal, Société Générale... Les valeurs à suivre en Europe

    * SOCIÉTÉ GÉNÉRALE a annoncé lundi la signature de deux accords de vente avec l'Union bancaire privée (UBP) en vue de la cession de deux filiales, SG Kleinwort Hambros et Société Générale Private Banking Suisse, pour un prix total d'environ 900 millions d'euros. Le groupe a également signé un accord avec la BRED Banque Populaire pour la cession sa filiale Société Générale Madagasikara, à Madagascar.

    * L'ORÉAL a annoncé lundi l'acquisition d'une participation de 10% dans le groupe pharmaceutique suisse GALDERMA, pour un montant non divulgué.

    * AURUBIS - Le premier producteur européen de cuivre a fait état lundi d'un bénéfice avant impôts au troisième trimestre inférieur aux attentes, pénalisé notamment par une baisse du bénéfice dans le recyclage.

    * POSTNL - Le groupe postal néerlandais a publié lundi un bénéfice d'exploitation avant intérêts et impôts supérieur aux attentes du marché au titre du deuxième trimestre.

    * ABERDEEN - Le directeur financier du groupe, Jason Windsor, est le favori pour prendre le poste de directeur général après le départ de Stephen Bird, a rapporté samedi le Financial Times.

  • Plongeon historique pour l'indice Nikkei

    L'indice Nikkei .N225 a perdu 12,4% lundi à 31.458,42 points, son plus fort repli jamais accusé en une seule séance. Le Topix plus large, a cédé 12,23% à 2.227,15 points.

  • L'action Nintendo dégringole

    L'action Nintendo dégringole de 16%, après que le géant japonais du jeu vidéo a vu son bénéfice net chuter au premier trimestre, et maintenu vendredi des prévisions extrêmement conservatrices alors que sa prochaine console n'est pas attendue avant plusieurs mois.

  • Briefing d'avant-bourse

    Les bourses européennes sont attendues en nette baisse, la nervosité étant susceptible de l'emporter de nouveau avant la publication des indices de l'activité des services en Europe et aux États-Unis.

    D'après les premières indications disponibles, le CAC 40 parisien devrait perdre 1,51% à l'ouverture. Le Dax à Francfort pourrait reculer de 1,36%, tandis que le FTSE 100 à Londres devrait abandonner 0,85%. L'indice EuroStoxx 50 est attendu en repli de 1,59% et le Stoxx 600 en baisse de 1,44%.

    L'aversion au risque domine sur les marchés depuis jeudi avec la publication de l'indice ISM manufacturier aux États-Unis qui a témoigné d'un creux de huit mois, à 46,8, dans un contexte de baisse des nouvelles commandes, faisant craindre un assombrissement des perspectives de l'économie.

    Nous avons augmenté notre probabilité de récession sur 12 mois de 10 points de pourcentage, à 25%. Nous nous attendons désormais à des baisses de taux de la Réserve fédérale américaine (Fed) d'un quart de point en septembre, novembre et décembre.

    Les analystes de Goldman Sachs

    La publication aux États-Unis de l'indice ISM des services à 16h et des PMI services en Europe dans la matinée permettront de confirmer ou d'infirmer la crainte d'une récession. D'autant qu'outre les indices d'activité, le rapport officiel sur l'emploi américain, publié vendredi, a montré un net ralentissement des créations de postes en juillet, provoquant un effondrement des rendements obligataires.

  • L'Oréal prend une participation de 10% dans Galderma

    L'Oréal annonce une participation de 10% dans le groupe pharmaceutique suisse Galderma, pour un montant non divulgué.

    L'opération, réalisée par le biais d'une opération hors marché, sera financée par la trésorerie disponible ainsi qu'une facilité de crédit et devrait intervenir dans les prochains jours, précise le géant français des cosmétiques dans un communiqué.

    L'Oréal indique par ailleurs que cette prise de participation n'entraînera pas d'entrée au conseil d'administration de Gadlerma.

  • Les marchés européens indiqués en nette baisse

    Les marchés européens sont indiqués en forte baisse. L'Euro Stoxx 50 devrait chuter de 1,5% dans les premiers échanges. Francfort plongerait de 1,2% et Londres de 0,8%.

  • La Bourse de Séoul perd plus de 8%

    La Bourse de Séoul perd plus de 8%.

  • Le bitcoin attaqué, l'Ether et le Dogecoin sur le flanc

    Le bitcoin est sous la pression d'une vague d'aversion au risque sur les marchés mondiaux. La cryptomonnaie chute de 11% à 52.604,51 dollars.

    Le jeton numérique a perdu 13,1% au cours des sept jours jusqu'à dimanche, soit le plus grand recul depuis la période de faillite de FTX.

    Des jetons plus petits tels qu'Ether et Dogecoin, favori des mèmes, subissent également de lourdes pertes.

  • La Bourse de Taïwan dévisse de plus de 8%

    La Bourse de Taïwan dévisse de plus de 8%.

  • PostNL dépasse les attentes en matière de bénéfice d'exploitation

    L'entreprise postale néerlandaise PostNL annonce que son bénéfice d'exploitation normalisé avant intérêts et impôts au deuxième trimestre est supérieur aux attentes du marché.

    L'entreprise, qui livre des colis et du courrier en Belgique, aux Pays-Bas et au Luxembourg, a affiché un bénéfice d'exploitation normalisé de 18 millions d'euros, stable par rapport à l'année précédente.

    Neuf analystes interrogés par l'entreprise avaient prévu un bénéfice d'exploitation normalisé trimestriel de 14 millions d'euros en moyenne.

  • Le dollar retombe sous les 145 yens

    Le dollar est passé sous la barre des 145 yens pour la première fois en près de sept mois, alors que la devise nippone est renforcée par le resserrement monétaire japonais et les inquiétudes quant à la santé de l'économie américaine.

    Le billet vert s'inscrit à 143,35 yens par dollar.

  • La Bourse de Tokyo poursuit sa débandade après la chute de Wall Street

    Bonjour! La Bourse de Tokyo est en chute libre ce lundi matin, l'indice Nikkei plongeant de plus de 9%, dans la foulée d'une correction déjà entamée vendredi, sur fond de vives inquiétudes quant à l'économie américaine et face à la remontée du yen.

    L'indice Nikkei, qui a déjà dévissé de 5,8% vendredi, sombre de 9,08% à 32.621,50 points et l'indice élargi Topix s'effondre 8,75% à 2.15,52 points. 

    Les Bourses chinoises ont pour leur part ouvert sans direction claire. A Hong Kong, l'indice Hang Seng reculait de 0,04% à 16.939,50 points vers 01H50 GMT.  L'indice composite de Shanghai gagnait, lui, 0,30% pour atteindre 2.914 points tandis que celui de Shenzhen grimpait de 0,59% à 1.591.09 points à la même heure. 

    Les marchés asiatiques s'apprêtent à vivre une journée difficile, encore sous le choc des bouleversements sismiques survenus vendredi dernier dans le paysage financier mondial. L'élément déclencheur ? Un rapport sur l'emploi américain qui a tellement manqué sa cible qu'il n'a pas seulement fait se décrocher des mâchoires, mais aussi les actions et les rendements obligataires à Wall Street.

    Stephen Innes
    Analyste de SPI Asset Management

    Les craintes d'une escalade des tensions au Moyen-Orient ajoutaient également à la volatilité des marchés, dans la foulée des menaces de l'Iran et de ses alliés contre Israël, accusé par le mouvement islamiste palestinien Hamas et le Hezbollah libanais de la mort mercredi du chef du Hamas, Ismaïl Haniyeh.

    Avant même des chiffres de l'emploi particulièrement inquiétants publiés vendredi aux États-Unis, la Bourse de Tokyo avait connu une journée noire, le Nikkei connaissant sa plus vertigineuse chute en points depuis 1987 et la deuxième plus forte de son histoire.

    Plusieurs facteurs ont joué, comme un rapport américain préoccupant sur l'activité manufacturière en juillet et une chute des valeurs technologiques face à des doutes sur les perspectives de croissance du secteur.

    Le déclencheur immédiat de cette aversion au risque semble être la hausse inattendue des taux d'intérêt annoncée mercredi par la Banque du Japon. Cette décision a frappé le marché boursier japonais comme un coup de tonnerre.

    Dilin Wu
    Stratégiste chez Pepperstone

    "Cependant le déclencheur immédiat de cette aversion au risque semble être la hausse inattendue des taux d'intérêt" annoncée mercredi par la Banque du Japon, selon Dilin Wu, stratégiste chez Pepperstone.  "Cette décision a frappé le marché boursier japonais comme un coup de tonnerre".

    Ce resserrement monétaire après des années de taux négatifs, conjugué à un ralentissement de l'économie américaine, a notamment précipité la remontée du yen, soutenue également par des interventions du gouvernement japonais sur le marché des changes. 

    ©Getty Images via AFP

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