C'est ici que se termine ce live, merci à tous de nous avoir suivis. Des indicateurs économiques de premier plan retiendront à nouveau l'attention ce mardi, comme l'indice ISM d'activité de décembre pour les États-Unis, l'enquête JOLTS ou les données de l'inflation en zone euro.
Les cours du pétrole ont légèrement reculé ce lundi, minés par quelques prises de bénéfices après la hausse des prix de la semaine passée, ainsi que par la perspective d'une offre excédentaire en 2025.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en mars, a lâché 0,27% à 76,30 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, pour livraison en février, a abandonné 0,54% à 73,56 dollars.
La Bourse de New York a fini en ordre dispersé, le Dow Jones terminant de peu dans le rouge tandis que le S&P et le Nasdaq démarraient la semaine sur une note positive, soutenus par l'espoir de voir le président-élu Donald Trump se montrer moins agressif que prévu sur le front de la guerre commerciale qu'il a promis d'entreprendre. Le Dow Jones a cédé 0,06% à 42.706,56 points. Le S&P 500 a pris 0,55% à 5.975,38 points. Le Nasdaq a avancé de son côté de 1,24% à 19.864,981 points.
Le Washington Post a rapporté que l'administration du président élu Donald Trump envisageait des droits de douane moins agressifs qu'annoncés auparavant, se concentrant plutôt sur les secteurs considérés comme essentiels à l'économie américaine. Le démenti de Donald Trump, qui a taxé l'article du Washington Post de "fake news", n'a néanmoins pas complètement refroidi l'enthousiasme initial.
Le Dow Jones a lâché 0,06% à 42.706,56 points.
Le Nasdaq a gagné 1,24% à 19.864,98 points.
Le S&P 500 a pris 0,55% à 5.975,38 points.
Palantir n'est pas à la fête dans le secteur technologique américain aujourd'hui. Le spécialiste de l'analyse de données perd près de 6%.
La société de courtage Morgan Stanley commence à surveiller le titre avec une recommandation de vente très négative et un objectif de prix de 60 dollars. Ce chiffre est inférieur de 20% au prix actuel de l'action.
Le Dow Jones est freiné par des sociétés de consommation comme Procter & Gamble , Nike et Coca-Cola .
Le propriétaire de l'espace de stockage Shurgard a obtenu un permis pour la construction d'un nouvel entrepôt à Rotterdam.
Ce bâtiment offrira 3.300 mètres carrés d'espace de stockage. Son ouverture est prévue pour la fin de l'année 2025. Shurgard consacre 9,1 millions d'euros à la construction de l'entrepôt et table sur un rendement d'environ 9% par an.
SolarEdge progresse de 9,42%. Le spécialiste des panneaux solaires licencie 400 personnes dans le monde.
L'action Super Micro est en hausse de près de 8%, après un bond de 11% vendredi. Fournisseur de centres de données d'intelligence artificielle, Super Micro bénéficie des projets de Microsoft d'investir 80 milliards de dollars dans le développement de ces centres de données au cours de l'exercice en cours.
Le Nasdaq n'avance désormais plus que de 1,06%, tandis que le Dow Jones évolue à l'équilibre et que le S&P 500 prend 0,55%.
Frontier Group , maison mère de la compagnie aérienne à bas coûts Frontier Airlines, prend de l'altitude (+15,11%) après avoir revu en hausse ses prévisions pour le quatrième trimestre, aidé notamment par une "amélioration des performances opérationnelles et de l'expérience des clients".
U.S. Steel gagne du terrain (+5,97%) après que le groupe a annoncé qu'il intentait une action en justice au côté de Nippon Steel contre l'administration de Joe Biden pour "ingérence illégale" dans le projet d'acquisition du groupe américain par le sidérurgiste nippon.
Les deux groupes ont dit avoir déposé un recours devant une cour d'appel américaine pour contester le processus d'examen de cette transaction, estimant que le président Biden avait usé de son influence de façon indue à des fins politiques.
Plusieurs champions européens des semi-conducteurs, dont Melexis , ont été recherchés en bourse ce lundi. Ils ont notamment profité des annonces faites par Microsoft et Foxconn.
Selon le "January effect", les cours des actions, en particulier les petites capitalisations, ont tendance à augmenter en janvier. Faut-il encore y croire en 2025?
Notre article sur "l'effet janvier" en bourse
Le vice-président de la Réserve fédérale américaine (Fed), chargé de la supervision bancaire, Michael Barr, a annoncé ce lundi sa démission, s'évitant ainsi une confrontation avec le futur occupant de la Maison Blanche, Donald Trump. "Le risque de conflit autour de cette fonction risque de nous détourner de notre mission [de supervision et de régulation du système financier]", indique le responsable dans un communiqué de la banque centrale. "Dans l'environnement actuel, j'ai estimé que je serais plus utile au service des Américains dans mon rôle de [simple] gouverneur", poursuit M. Barr, à quelques jours de la prise de fonction du président Donald Trump le 20 janvier.
Le choix du futur titulaire du poste pourrait entraîner un recul de la régulation du système financier. La Fed souhaitait au contraire la renforcer pour se rapprocher des critères de Bâle III, vaste éventail de réformes internationales du secteur bancaire, engagé après la crise financière de 2008-2009 afin de renforcer la solidité des banques. Michael Barr, dont la fonction avait été créée après la crise financière de 2008, avait été nommé par le président démocrate sortant, Joe Biden. Sa démission, effective au plus tard le 28 février, permettra à Donald Trump de choisir son successeur parmi les membres du conseil des gouverneurs réputés plus proches de ses idées.
L'un d'eux, une gouverneure nommée par Donald Trump, Michelle Bowman, s'est systématiquement opposée aux tentatives de Michael Barr de renforcer la régulation bancaire. L'indice suivant l'évolution en bourse des principales banques américaines augmentait d'environ 1,9%, quelques heures après l'annonce de la démission du responsable. Morgan Stanley prend 2,62%, Wells Fargo 1,85%, Bank of America 1,74% et JPMorgan 0,25%.
Les prix du pétrole continuent leur ascension sur fond d'une demande accrue face aux baisses des températures des deux côtés de l'Atlantique et de spéculations quant à la possibilité de nouvelles sanctions sur le pétrole iranien et russe.
Le Brent avance de 0,39% à 76,81 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) de 0,35% à 74,22 dollars.
Le règlement européen MiCA, qui encadre les services sur crypto-actifs, vient d'entrer en application. Sauf qu'en Belgique, aucune autorité compétente n'a été désignée.
Les rendements obligataires américains repartent de plus belle ce lundi, les obligations à long-terme dépassant la barre des 4,6% après l'information du Washington Post.
Le rendement des Treasuries à dix ans gagne 2,5 points de base à 4,6198%, et le deux ans 1,5 point de base à 4,2641%.
Depuis le 1er janvier, Frederik Van De Velde a remplacé Manfred Van Vlierberghe à la tête des activités belges d'ArcelorMittal . Il aura un rôle clé à jouer dans l'avenir du haut-fourneau de Gand, où il a lui-même débuté sa carrière.
Le dollar récupère une partie de ses pertes mais reste à la baisse après l'article du Washington Post sur les droits de douane.
Le billet vert perd 0,67% face à un panier de devises de référence. En contrepartie, l'euro avance de 0,83% face au dollar à 1,0394 dollar.
Les bourses européennes ont terminé en nette hausse, bien que Donald Trump a démenti un article du Washington Post selon lequel ses conseillers étudieraient des projets de droits de douane qui s'appliqueraient bien à tous les pays mais ne concerneraient que les importations critiques. À Paris, le CAC 40 a terminé en hausse de 2,24% à 7.445,69 points. À Francfort, le Dax avance de 1,53% et à Londres, le FTSE 100 monte de 0,31%. L'indice EuroStoxx 50 est en hausse de 2,34%, le FTSEurofirst 300 est en hausse de 0,99% et le Stoxx 600 de en hausse de 0,94%.
Plus tôt dans la journée, le Washington Post a rapporté que l'administration du président élu Donald Trump envisageait des droits de douane moins agressifs qu'annoncés auparavant, se concentrant plutôt sur les secteurs considérés comme essentiels à l'économie américaine. Les secteurs de l'automobile et du luxe, qui ne feraient pas partie de ces secteurs essentiels mais qui avaient auparavant fait l'objet de nombreuses spéculations au sujet de potentiels droits de douane, ont avancé considérablement pendant la séance.
Le secteur technologique, qui était déjà en hausse après l'annonce de Microsoft sur son intention d'investir 80 milliards de dollars dans l'intelligence artificielle, a également profité de cet engouement généralisé. Le démenti de Donald Trump, qui a taxé l'article du Washington Post de "fake news", n'a néanmoins pas complètement refroidi l'enthousiasme initial, les principaux indices terminant la première "vraie" journée d'échanges de l'année 2025 sur une note plus que positive.
Le Bel 20 a terminé en hausse de 0,59% à 4.284,41 points. Il a été particulièrement soutenu par Melexis , Syensqo et Umicore qui ont pris entre 3 et 6%.
À l'inverse, WDP a lâché 2,67%, Elia 1,83% et Cofinimmo 1,53%.
Bel 20: +0,59%
FTSE 100: +0,23%
DAX: +1,53%
CAC 40: +2,28%
Le Dow Jones prend 0,86%, le Nasdaq 1,85% et le S&P 500 1,31%.
Ce soir à 18h30 heure locale - 3h30 heure belge - Jensen Huang, CEO de Nvidia, prononcera un discours lors du salon technologique CES à Las Vegas. Nvidia profite traditionnellement de cet événement pour présenter des produits électroniques grand public contenant des puces de la société.
Cette fois-ci, les investisseurs se concentreront sur les commentaires concernant la puce Blackwell destinée aux centres de données d'intelligence artificielle. La puce Blackwell est considérée comme le nouveau moteur de croissance de Nvidia. La demande pour cette puce est forte, mais Nvida a également été confrontée à des problèmes de production.
L'action monte de près de 5%, flirtant avec un record.
Le bitcoin prend 4,16% à 102.355 dollars.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord prend 0,76% à 77,09 dollars et son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, grimpe de 0,83% à 74,58 dollars.
Le dollar recule fortement face à l'euro: la devise américaine tombe de 0,67% face à la monnaie unique, à 1,0377 dollar pour un euro.
La Bourse de Paris avance de 1,72%, tirée notamment par les secteurs exportateurs comme l'automobile avec Stellantis (+5,15%), le secteur technologique avec STMicroelectronics (+6,92%) en figure de proue ou encore le luxe avec les géants Hermès (+3,67%) et LVMH (+3,40%).
Francfort prend 1,10%, notamment tiré par le spécialiste des semi-conducteurs Infineon (+6,15%) et Milan 1,32%. Ailleurs sur le Vieux continent, Londres reste muette (-0,01%).
Les marchés d'actions sont tournés vers la politique américaine après que Donald Trump a démenti des informations du quotidien américain Washington Post selon lesquelles le président élu envisageait une augmentation des droits de douane plus limitée qu'escomptée. S'appuyant sur trois sources proches du dossier, le Washington Post a avancé que les hausses sur les droits de douane à l'importation, annoncées par Trump lors de sa campagne présidentielle, concerneraient tous les pays mais seraient appliqués seulement sur certains secteurs sensibles, par exemple liés à la sécurité nationale.
"C'est faux", a démenti Donald Trump sur son réseau social Truth Social. "L'article du Washington Post, citant des sources soi-disant anonymes, qui n'existent pas, affirme à tort que ma politique tarifaire sera allégée. C'est faux. Le Washington Post sait que c'est faux. Il s'agit d'un nouvel exemple de fake news", a écrit le futur occupant de la Maison Blanche.
Walt Disney va fusionner son activité Hulu + Live TV avec son petit rival FuboTV, dans le cadre d'un accord qui pourrait également ouvrir la voie au lancement de son entreprise de streaming sportif avec Fox Corp et Warner Bros Discovery. La combinaison crée la deuxième société de télévision payante par internet en Amérique du Nord, derrière YouTube TV, avec environ 6 milliards de dollars de revenus et 6,2 millions d'abonnés. Disney détiendra une participation majoritaire de 70% dans l'entreprise, qui sera dirigée par David Gandler, CEO et cofondateur de Fubo. L'accord exclut l'activité principale de Hulu dans le domaine de la vidéo en continu.
Dans le cadre de l'accord, Fubo abandonnera également ses poursuites contre Venu, le service de streaming sportif prévu par Disney, Fox et Warner Bros Discovery. Les entreprises paieront à Fubo 220 millions de dollars en espèces, Disney s'engageant également à lui accorder un prêt à terme de 145 millions de dollars en 2026. En février dernier, FuboTV avait intenté un procès aux grandes sociétés de médias, affirmant que Venu violerait la loi antitrust américaine en réduisant la concurrence et en faisant grimper les prix.
Un juge du tribunal de district avait estimé que Fubo avait des chances d'obtenir gain de cause dans ses plaintes antitrust et avait émis une injonction interdisant temporairement le lancement de Venu. "Tous les litiges entre Fubo et Disney ont été réglés", ont déclaré les deux sociétés ce lundi. Les actions de Fubo , dont la valeur de marché s'élevait à environ 480 millions de dollars à la dernière clôture, grimpent de près de 130% pour atteindre 3,30 dollars. Disney connaît de son côté une hausse marginale.
Le compartiment des semi-conducteurs avance, porté aussi par l'annonce faite vendredi par Microsoft (+1,21%) sur ses plans d'investissement dans l'intelligence artificielle en 2025.
Nvidia et AMD gagnent plus de 3%, tandis que Micron Technology grimpe de 9,15%.
La Bourse de New York a ouvert en hausse, les investisseurs réagissant à une information du Washington Post évoquant un projet de droits de douane par la prochaine administration Trump moins agressifs et plus ciblés que prévu. Le Dow Jones gagne 0,24% à 42.835,52 points et le S&P 500 progresse de 0,68% à 5.982,81 points. Le Nasdaq, porté par la hausse du secteur technologique, prend 1,17% à 19.851,99 points.
Selon un article publié plus tôt dans la journée par le Washington Post, les conseillers du président-élu étudient des projets de droit de douane qui s'appliqueraient à tous les pays mais ne concerneraient que les secteurs jugés essentiels à la sécurité nationale ou économique. Les informations du Washington Post portent les secteurs considérés comme les plus à risque, comme l'automobile. Ford gagne 2,88% tandis que General Motors avance de 2,68%.
Les investisseurs se préparent par ailleurs à une semaine chargée qui verra la publication de plusieurs indicateurs privilégiés par la Réserve fédérale, dont le très attendu rapport sur l'emploi en décembre, ainsi que plusieurs prises de parole de responsables de la banque centrale américaine.
Le Dow Jones prend 0,32%, le Nasdaq 1,39% et le S&P 500 0,85%.
L'inflation allemande du mois de décembre ressort supérieure aux attentes, alimentant la prudence de la BCE sur ses taux d'intérêt.
Sur le dernier mois de l'année 2024, l'inflation a accéléré à 2,9%, après 2,4% en novembre, et alors que les analystes interrogés par Reuters tablaient sur une hausse de 2,6%.
La Bourse de New York est attendue en nette hausse. L'indice Dow Jones débuterait sur un gain de 0,42%, le S&P 500 gagnerait 0,83% et le Nasdaq 100 avancerait de 1,10%.
Les indices actions européens et l'euro progressent fortement après des informations du Washington Post rapportant que les tarifs douaniers pourraient être moins agressifs que ceux prévus jusqu'ici par le président élu Donald Trump.
Les conseillers de Trump étudient des projets de tarifs douaniers qui s'appliqueraient à tous les pays, mais ne couvriraient que les importations critiques, ajoute le Washington Post. Les discussions portent sur l'imposition de tarifs douaniers uniquement sur certains secteurs jugés essentiels à la sécurité nationale ou économique, indique le rapport, citant trois personnes proches du dossier.
Les bourses européennes s'inscrivent en nette progression sur ces informations. L'Euro Stoxx 50 bondit de 1,88%. Paris grimpe de 1,96%, Francfort de 1,26%, Amsterdam de 0,79% et Bruxelles de 0,52%.
Le compartiment automobile s'envole de 4,5%, selon l'indice DJ Stoxx 600 de référence. Les valeurs du luxe et les semi-conducteurs grimpent également. Ce dernier compartiment bénéficie en outre de l'annonce, vendredi, par Microsoft de son intention d'investir 80 milliards de dollars (77,35 milliards d'euros) dans les centres de données utilisables pour l'intelligence artificielle en 2025.
L'euro avance de 0,9%, à 1,0402 dollar. D’autres devises (peso mexicain, dollar canadien...), également fortement exposées à une éventuelle hausse des tarifs aux États-Unis, reprennent de la hauteur.
On ne sait pas encore exactement à quoi font référence les importations critiques. Cependant, il semble que les responsables se préparent déjà à édulcorer les pires promesses de campagne de Trump en réduisant la portée des tarifs douaniers.
Goldman Sachs estime que l'once d'or n'atteindra le prix de 3.000 dollars qu'au deuxième trimestre 2026, contre une prévision à décembre 2025 précédemment, car une baisse de taux moins importante que prévu de la Réserve fédérale américaine (Fed) pèsera sur le métal précieux.
Nos économistes américains s'attendent maintenant à 75 points de base de baisses de taux en 2025, avec un taux terminal légèrement plus élevé, de 3,5% à 3,75%.
"Nos économistes américains s'attendent maintenant à 75 points de base de baisses de taux en 2025 (contre 100 points de base attendus précédemment) avec un taux terminal légèrement plus élevé, de 3,5% à 3,75%. Cela se traduirait par un ralentissement du rythme des achats d'or de la part des ETF (fonds cotés), ce qui éloigne l'atteinte de notre objectif de 3.000 dollars par once d'or", a déclaré la banque dans une note publiée dimanche.
D'ici au deuxième trimestre 2026, l'or devrait progresser de 14% pour atteindre l'objectif des analystes, une hausse liée pour l'essentiel à une demande structurellement plus élevée des banques centrales, explique Goldman Sachs.
L'or a atteint un record à 2.790,15 dollars l'once en octobre, grâce à la baisse des taux de la Fed et à l'escalade des tensions géopolitiques.
D'ici à la fin 2025, l'or devrait atteindre 2.910 dollars, prévoit la banque.
* Les valeurs liées aux SEMI-CONDUCTEURS et à l'INTELLIGENCE ARTIFICIELLE grimpent dans les échanges avant-bourse après que MICROSOFT a annoncé, vendredi, son intention d'investir 80 milliards de dollars (77,35 milliards d'euros) dans les centres de données utilisables pour l'IA en 2025. MICRON, AMD, SUPER MICRO et NVIDIA gagnent chacun entre 1,9% et 2,9%.
* Des COMPAGNIES AÉRIENNES AMÉRICAINES ont annulé plus de 1.300 vols lundi après qu'une tempête de neige a balayé le pays. SOUTHWEST AIRLINES, la compagnie la plus touchée, a annulé 264 vols, suivie par AMERICAN AIRLINES, qui en a annulé 176.
* PAYCHEX serait en pourparlers en vue d'acquérir son rival PAYCOR, plus petit, selon Bloomberg News.
* BOEING - Barclays a relevé sa recommandation sur le titre, selon TheFly.Com, faisant monter l'action de 1,7% dans les échanges avant-bourse.
* T-MOBILE - RBC Capital abaisse sa recommandation sur le titre, selon TheFly.Com, faisant reculer l'action de 1,2% en avant-bourse.
* FORTINET - Piper Sandler a relevé sa recommandation sur le titre à "surpondérer", contre "neutre", citant la probable hausse des investissements dans les produits de défense en matière de cybersécurité. L'action grimpe de 2,91% dans les échanges avant-bourse.
Les actions américaines pourraient être confrontées à une période difficile au cours des six prochains mois, alors que les rendements des bons du Trésor augmentent et que le dollar progresse en raison des inquiétudes concernant l'inflation, selon les stratèges de Morgan Stanley.
La corrélation entre l'indice S&P 500 et les rendements obligataires est devenue "résolument négative" alors que le rendement du Trésor à 10 ans a dépassé 4,5%, averti le stratège Michael Wilson dans une note. Le rendement à 30 ans a atteint ce lundi son plus haut niveau depuis fin 2023.
Le dollar se rapproche désormais de niveaux qui pourraient mettre sous pression les entreprises ayant une forte exposition internationale, et cela pourrait nuire plus largement aux actions au cours du premier semestre de l'année, étant donné que la largeur du marché est déjà faible, a déclaré Wilson.
"Nous pensons que 2025 pourrait être une année en deux parties", a écrit le stratège, avec des politiques favorables au marché, telles que d'éventuelles réductions d'impôts, susceptibles de soutenir les actions plus tard dans l'année.
En novembre, l'équipe a émis un objectif sur 12 mois de 6.500 points pour le S&P 500, impliquant des gains d'environ 9% par rapport à la clôture de vendredi.
Mike Wilson était l'un des plus gros baissiers de Wall Street jusqu'à ce qu'il devienne plus positif sur les actions à la mi-2024.
La bourse chinoise et la banque centrale de Chine sont intervenues lundi pour tenter d'enrayer la chute du yuan et des actions domestiques, déclenchée par les implications du retour de Donald Trump à la Maison-Blanche et l'état de l'économie chinoise.
Le 47ᵉ président américain a menacé de relever nettement les droits de douane à l'encontre de la Chine, ce qui a fait pression sur le yuan, les rendements obligataires et les actions. La devise chinoise a touché ce lundi son niveau le plus bas en 16 mois face au dollar, tandis que l'indice boursier CSI300 a touché en séance un plus bas depuis septembre.
Signe de l'inquiétude sur les marchés, trois sources proches du dossier ont déclaré à Reuters que les bourses chinoises avaient demandé à de grands fonds d'investissement de limiter les ventes de titres en début d'année.
Les fabricants de boissons alcoolisées ont été mis sous pression vendredi après que le médecin général des États-Unis, le principal conseiller en matière de santé du pays, a demandé que des avertissements relatifs au cancer soient placés sur les boissons alcoolisées. L’alcool s’avère être la troisième cause évitable de cancer aux États-Unis. AB InBev perd 1,06%, Heineken 0,9%, Pernod Ricard 0,05% et Campari 0,5%.
"Négatif, mais beaucoup trop tôt pour estimer l’impact", a réagi Degroof Petercam. "Il n’est pas certain que le Dr Vivek Murthy reste en fonction sous la nouvelle administration de Donald Trump. L’impact financier est également impossible à déterminer à l’heure actuelle. Les avertissements sur les étiquettes peuvent avoir un impact sur les volumes vendus, même si nous pensons que tout le monde connaît déjà les risques liés à la consommation d'alcool."
L'analyste ne voit aucune raison de modifier ses estimations ou ses notes pour AB InBev ou pour ajuster Heineken.
Un ton similaire chez KBC Securities. Il est prématuré d’estimer les chances d’un changement d’étiquette et l’impact potentiel d’un tel changement sur la consommation de boissons alcoolisées", estime l’analyste Wim Hoste. Il continue d’apprécier AB InBev pour ses positions de leader sur le marché mondial de la bière, sa rentabilité intrinsèque élevée et ses perspectives de croissance à long terme sur les marchés émergents. "La réduction de la dette est en bonne voie et compte tenu de la valorisation attractive, nous maintenons notre recommandation d'achat et notre objectif de cours de 75 euros."
L'économie de la zone euro a terminé l'année 2024 dans un état fragile, selon une enquête publiée ce lundi et traduisant une deuxième contraction mensuelle consécutive de l'activité globale en décembre alors que la modeste reprise des services n'a pas permis de compenser le ralentissement plus profond de l'industrie manufacturière.
L'indice composite définitif des directeurs d'achat (PMI) de la zone euro, compilé par S&P Global, a augmenté à 49,6 en décembre par rapport à 48,3 en novembre. En raison des fêtes de fin d'année, les données ont été recueillies plus tôt que d'habitude, l'enquête ayant été menée du 5 au 18 décembre.
Ce chiffre est légèrement supérieur à l'estimation préliminaire de 49,5, mais reste inférieur à la barre des 50 qui sépare la croissance de la contraction.
L'indice principal a été stimulé par le secteur des services, dont l'indice PMI a rebondi au-dessus du seuil d'équilibre à 51,6, contre 49,5 en novembre, mais il a été affaibli par un déclin plus marqué de l'activité industrielle.
Les prestataires de services peuvent s'estimer heureux, car, contrairement aux fabricants, ils ne sont pas directement touchés par la menace des droits de douane américains. Dans l'ensemble, ils devraient contribuer à ce que la faiblesse de l'industrie n'entraîne pas l'ensemble de l'économie dans sa chute en 2025.
Le moral des investisseurs dans la zone euro est tombé en janvier à son plus bas niveau depuis plus d'un an, selon une enquête publiée lundi, l'Allemagne continuant de peser sur le bloc.
L'indice Sentix de la zone euro est tombé à -17,7 en janvier contre -17,5 en décembre. Il s'agit du niveau le plus bas depuis novembre 2023, même s'il n'est pas aussi mauvais que les -18,0 prévus par les analystes interrogés par Reuters.
Dans la zone euro, le moteur économique menace de se bloquer durablement. L'économie allemande en récession s'accroche à la zone euro comme un poids de plomb.
Le secteur des services en Allemagne a connu une légère hausse de l'activité en décembre, le ramenant en territoire de croissance malgré des pressions croissantes sur les coûts, montre une enquête publiée ce lundi.
L'indice PMI définitif du secteur des services de l'enquête S&P Global/HCOB a atteint 51,2 en décembre, contre 49,3 en novembre et une estimation "flash" à 51. Les économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne 51.
Le seuil des 50 sépare croissance et contraction de l'activité.
Le principal enseignement du PMI de décembre dans le secteur des services est une faible croissance associée à une forte inflation, la stagflation à son paroxysme.
"Le principal enseignement du PMI de décembre dans le secteur des services est une faible croissance associée à une forte inflation - la stagflation à son paroxysme", a déclaré Cyrus de la Rubia, économiste en chef de la Hamburg Commercial Bank.
L'indice PMI composite de l'Allemagne, qui comprend à la fois les services et l'industrie manufacturière, est resté en territoire de contraction à 48,0, en hausse par rapport au 47,2 de novembre qui marquait un plus bas de neuf mois.
L'emploi dans le secteur des services a baissé pour le sixième mois consécutif, même si la baisse a été modeste.
Les entreprises ont invoqué les efforts de réduction des coûts et l'absence de nouveaux projets pour justifier les réductions d'effectifs.
Après le rebond des valeurs technologiques à Wall Street, les entreprises technologiques européennes se portent également bien dans les premiers échanges. À Amsterdam, ASML gagne 4,90% et ASMI 4,81%. Le fabricant de puces électroniques Infineon bondit de 5,65% à Francfort. À Paris, STMicroelectronics, son homologue du secteur, progresse de 4,6%. À Bruxelles, le concepteur des puces automobiles Melexis est le plus performant avec une hausse de 4,4%.
De plus, l'entreprise technologique taïwanaise Hon Hai Precision Industries, plus connue sous le nom de Foxconn, a apporté des nouvelles positives pour le secteur. La société qui fournit Apple a signalé une croissance de son chiffre d'affaires de 15% pour les trois derniers mois de 2024, supérieure aux attentes. En décembre, le chiffre d'affaires a même augmenté de 42%. Hon Hai prédit, par ailleurs, une croissance "significative" des revenus pour le premier trimestre. L'entreprise est un partenaire d'assemblage majeur de Nvidia (pour les serveurs) et Apple (pour iPhone).
Les bourses européennes progressent, dans l'attente de la publication d'indicateurs dans les principales économies de la zone euro.
À Paris, le CAC 40 augmente de 0,32%, à 7.308,49 points. Le Dax à Francfort se renforce de 0,16%, tandis que le FTSE à Londres perd 0,28%. L'indice paneuropéen Stoxx 600 croît de 0,22%.
La séance sera marquée par la publication de nombreux indicateurs en Europe alors que les investisseurs parient sur une baisse de 100 points de base de la Banque centrale européenne (BCE) au premier semestre 2025.
Outre les PMI français, allemands et de la zone euro pour décembre, le marché attend notamment l'inflation préliminaire en Allemagne pour décembre en début d'après-midi.
Les PMI pour le Royaume-Uni seront aussi publiés au cours de la séance.
La semaine sera marquée, par ailleurs, par la publication de l'inflation préliminaire pour décembre et France et en zone euro mardi.
Outre-Atlantique, c'est la publication du rapport sur l'emploi de décembre qui sera particulièrement scruté en fin de semaine après que la Réserve fédérale américaine (Fed) a éloigné la perspective de baisses de taux importantes en 2025.
L'indice Bel 20 s'inscrit en hausse de 0,35%, à 4.272,71 points, en début de séance. Au sein de l'indice, Melexis, Umicore et Sofina signent les meilleures progressions, avec des gains compris entre 2,45% et 1,5%. À l'autre bout de l'indice, UCB rétrograde de 0,81%.
Sur le marché élargi, Sequana Medical se distingue par un bond de 14,24%, à 3,45 euros.
Il y a de plus en plus de chances que le Premier ministre canadien Justin Trudeau annonce sa démission cette semaine, peut-être dès ce lundi, a rapporté le quotidien canadien The Globe and Mail dimanche. Une décision finale n’a pas encore été prise. Justin Trudeau subit une pression croissante depuis que la ministre des Finances et vice-première ministre Chrystia Freeland a démissionné en raison d'un différend sur la manière de gérer le conflit économique imminent avec les États-Unis.
Donald Trump a annoncé des droits de douane de 25% sur les importations en provenance du Canada et du Mexique.
Si Justin Trudeau démissionne, les Libéraux, se retrouveront sans chef. Les sondages montrent par ailleurs que le parti du Premier ministre perdra lourdement face aux Conservateurs lors des élections prévues fin octobre.
En réponse aux rumeurs, le dollar canadien gagne du terrain face au dollar américain. La monnaie augmente de 0,38% alors qu'elle est sous pression depuis octobre.
* ARGAN a fait état, vendredi, d'une hausse de 6% de ses revenus locatifs au quatrième trimestre, la foncière française citant la bonne dynamique locative et le taux d'occupation maximal de ses entrepôts pour la deuxième année consécutive.
* CARREFOUR a annoncé, ce lundi matin, un changement dans la composition de son conseil d'administration avec la démission de Stéphane Israël.
* UNIBAIL-RODAMCO-WESTFIELD (URW) a vendu une participation de 15% dans Westfield Forum des Halles à CDC Investissement Immobilier pour un prix net de cession de 235 millions d'euros.
* IMERYS a indiqué ce lundi que la procédure de "chapter 11" des entités Talc nord-américaines se poursuit en vue de l'audience de confirmation du plan devant le tribunal compétent.
* AIR LIQUIDE a déclaré vendredi que l'impact des taux de change était estimé à près de 0,5% sur son chiffre d'affaires au quatrième trimestre 2024.
* UBS travaille avec un médiateur indépendant pour faire la lumière sur les comptes liés aux nazis, a-t-elle déclaré samedi, après que le Wall Street Journal a rapporté que certains comptes de Credit Suisse, rachetée en 2023 par la banque suisse, n'avaient pas été divulgués lors d'enquêtes antérieures.
Les bourses européennes sont attendues en hausse, à l'entame d'une semaine riche en indicateurs en Europe et aux États-Unis.
Les contrats à terme suggèrent une ouverture en progression de 0,55% pour l'Euro Stoxx 50, de 0,42% pour le CAC 40 parisien et le Dax à Francfort, contre une ouverture stable pour le FTSE à Londres.
Les investisseurs commencent 2025 sur les chapeaux de roues avant l'investiture de Donald Trump comme nouveau président des États-Unis dans deux semaines.
La séance sera marquée par la publication de nombreux indicateurs économiques en Europe, avec notamment les PMI allemands et français et l'inflation préliminaire allemande pour décembre.
Les marchés scruteront ces éléments, mais aussi l'inflation préliminaire française pour décembre et en zone euro également attendue cette semaine, afin de se positionner sur les prochaines baisses de taux de la Banque centrale européenne (BCE).
Les investisseurs parient pour le moment sur une baisse de 100 points de base des taux de l'institution européenne au premier semestre.
C'est toutefois le rapport sur l'emploi de décembre aux États-Unis attendu en fin de semaine qui pourrait avoir de fortes conséquences sur les marchés, alors que la Réserve fédérale américaine (Fed) a éloigné la perspective de baisses de taux importantes en 2025.
En Asie, les difficultés chinoises pourraient continuer à peser sur les bourses mondiales alors que les derniers chiffres sur l'activité des services en décembre ont traduit une reprise de la demande intérieure, mais de faibles commandes venues de l'étranger.
Argenx indique que Tim Van Hauwermeiren, PDG, fera une présentation à la 43e conférence annuelle de JP Morgan sur les soins de santé ce lundi 13 janvier 2025 à 9h45 (18h45 à Bruxelles).
Une diffusion Web en direct de la présentation sera disponible dans la section Investisseurs du site Web d'argenx à l'adresse argenx.com/investors. Une rediffusion de la webdiffusion sera disponible sur le site Web d'argenx pendant environ 30 jours après la présentation.
Sequana Medical , un pionnier dans le traitement de la surcharge liquidienne résistante aux médicaments dans les maladies du foie, l'insuffisance cardiaque et le cancer, annonce qu'il organisera, ce 8 janvier à 15h, un webinaire axé sur les plans de commercialisation américains de l'alfapump.
La direction médicale de Sequana, en collaboration avec le Dr Saab, professeur de médecine et de chirurgie à la David Geffen School of Medicine de l'UCLA et le Dr Pagadala, hépatologue en transplantation au Methodist Dallas Medical Center participeront à ce webinaire.
À quelques heures du réveillon, Sequana Medica a eu droit à un joli cadeau de Noël la part de la Food and Drug Administration (FDA). L'autorité sanitaire américaine a autorisé la medtech gantoise à lancer son alfapump aux États-Unis. Cette pompe est destinée à évacuer du liquide excédentaire qui peut apparaître dans certaines maladies, dont celles du foie.
Les marchés européens devraient débuter cette nouvelle semaine boursière en grande partie à la hausse. L'indice Euro Stoxx 50 devrait gagner 0,5%. Francfort progresserait de 0,4%. L'indice Footsie évoluerait sur une note stable.
Riet Vijgen est head of discretionary portfolio management chez Leo Stevens & Cie. Schneider , qui "surfe également sur la vague de l'intelligence artificielle", est une de ses cinq actions préférées. Les quatre autres sont Novo Nordisk, ASML, MercadoLibre et le fonds Regnan Sustainable Water et Waste.
Des statistiques économiques de premier plan retiendront l'attention des investisseurs dans les prochains jours, comme l'inflation de décembre en zone euro.
Bonjour! Les transactions ont repris sur une note négative ce lundi 6 janvier à la Bourse de Tokyo, après les quatre jours de fermeture de la trêve du Nouvel An. Les prises de bénéfices dominent de la part d'investisseurs soucieux d'engranger des profits alors que l'indice Nikkei avoisine les 40.000 points, note le courtier IwaiCosmo.
L'indice Nikkei chute de 1,50% et l'indice élargi Topix 1,06%.
L'action du géant japonais de la sidérurgie Nippon Steel est délaissée et recule de 0,8%, après le blocage par Washington de son projet de rachat de l'américain US Steel.
À l'opposé, les valeurs technologiques sont recherchées à travers l'Asie après des ventes record du taïwanais Foxconn. Le mastodonte taïwanais de l'électronique, fournisseur clé d'Apple, a indiqué dimanche avoir enregistré en décembre un bond de 42% de ses ventes sur un an - concluant des revenus en hausse de 11,37% sur l'ensemble de l'année 2024, un record.
Cette performance, alimentée par la demande de serveurs liés à l'intelligence artificielle, fait bondir de 2% son titre à la Bourse de Taipei. Foxconn, dont les résultats financiers complets sont attendus mi-mars, prévoit un premier trimestre 2025 "en croissance soutenue" sur un an.
