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La Fed plombe Wall Street, qui subit sa pire chute depuis la correction du mois d'août

La Réserve fédérale américaine réduit ses taux pour la troisième fois consécutive. L'annonce d'un ralentissement dans les baisses de taux à partir de 2025 fait lourdement chuter les trois indices phares new-yorkais: le Nasdaq perd 3,56%, le Dow Jones 2,95% et le S&P 500 2,58%.
  • A l'agenda ce jeudi 19 décembre

    C'est la fin de ce Market Live, merci de nous avoir suivi! 

    Ce jeudi figure notamment à l'agenda les décisions de politique monétaire de la Bank of England et de la Banque du Japon, ainsi que les résultats de Nike, FedEx et Micron.

    Consultez l'agenda complet ici.

    Nous nous retrouvons demain dès l'aube pour suivre en direct l'actualité des marchés.

    Belle fin de soirée!

  • Les cinq choses à retenir de la séance

    • La journée de ce mercredi aura été fortement marquée par la décision de la Fed, qui baisse ses taux directeurs de 25 points de base, et annonce qu'il ne devrait y avoir que deux réductions de taux en 2025.
    • Wall Street a été lourdement frappé par l'annonce, ses trois principaux indices subissant leur plus forte correction depuis le 5 août: le Dow Jones a lâché 2,58%, l'indice Nasdaq 3,56% et l'indice élargi S&P 500 2,95%. 
    • Le bitcoin boit également la tasse, avec une chute de quelque 5%, pour se stabiliser au-dessus des 101.000 dollars, alors qu'il avait dépassé la barre des 108.000 dollars ce mardi.
    • Sur le marché obligataire, les rendements des bons du Trésor américain ont augmenté sur l'ensemble de la courbe.
    • Le dollar continue quant à lui son rallye, atteignant son plus haut niveau depuis 2022. L'euro est ainsi retombé sous les 1,04 dollar.
  • Wall Street chute lourdement après les annonces de la Fed et subit sa plus forte correction depuis début août

    La Bourse de New York a fini en forte baisse mercredi, glacée par la grande prudence de la banque centrale américaine (Fed), qui s'apprête à ralentir nettement le rythme de ses baisses de taux.  

    Le Dow Jones a lâché 2,58%, l'indice Nasdaq 3,56% et l'indice élargi S&P 500 2,95%. 

    Parmi les valeurs qui ont le plus souffert, on notera la baisse de 8,28% de Tesla, la biotech Grail qui s'effondre de 23,41% ou encore Amazon, qui recule de 4,6%.

  • Wall Street | Closing Bell

    Dow Jones: -2,58% 

    Nasdaq: -3,56%

    S&P 500: -2,95%

  • La trajectoire des taux dépendra des progrès sur l'inflation, indique Powell

    Les responsables de la Réserve fédérale américaine (Fed) souhaitent voir davantage de progrès dans la lutte contre l'inflation avant d'envisager de futures baisses de taux, l'inflation ayant dépassé les projections, a déclaré mercredi le président de la banque centrale, Jerome Powell.  

    "Alors que nous envisageons de nouvelles baisses, nous allons rechercher des progrès en matière d'inflation. Nous avons évolué de manière latérale sur l'inflation à 12 mois", a-t-il déclaré lors de la conférence de presse consécutive au communiqué de politique monétaire de la Fed.  

    La banque centrale a réduit ses taux de 25 points de base, ramenant l'objectif des fonds fédéraux dans une fourchette de 4,25-4,50%, et laissé entendre qu'elle envisageait un ralentissement du rythme des baisses des coûts d'emprunt. Wall Street chute lourdement dans la foulée de cette annonce, le Nasdaq perdant plus de 3%.

  • Le pétrole se reprend, inspiré par la demande américaine de gazole

    Les cours du pétrole se sont repris mercredi, soutenus par le rebond de la demande de gazole aux Etats-Unis, mais la communication ferme de la banque centrale américaine (Fed) a calmé la tendance.  

    Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février a gagné 0,27%, pour clôturer à 73,39 dollars. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américaine avec échéance en janvier a lui pris 0,71%, à 70,58 dollars. 

  • Le bitcoin recule par rapport à son niveau record après que la Fed a refroidi l'appétit pour le risque

    Le bitcoin a chuté pour la première fois en quatre jours, les spéculations étant réduits sur les marchés financiers après que les responsables de la Réserve fédérale ont suggéré une plus grande prudence quant à la rapidité avec laquelle ils peuvent continuer à réduire les coûts d'emprunt. 

    La rein des crypto-monnaies  chuté de 5,3 % pour atteindre 100.752 dollars, un jour après avoir dépassé 108.000 dollars pour la première fois au cours de ce qui a été un rallye record cette année. Les sept plus grands jetons numériques en termes de valeur de marché ont tous baissé, selon les données compilées par Bloomberg.

  • Edito | La Fed en mode plus attentiste avant l'arrivée de Trump

    Après la baisse de 0,25 point décidée mercredi, la Federal Reserve (Fed) indique que les réductions de ses taux seront plus rares en 2025. Un effet Trump?

    L’élection du leader républicain a suscité un retour en force des "esprits animaux" dans l’économie, une sorte de regain d’optimisme qui a poussé le bitcoin et des actions comme Tesla vers de nouveaux records. 

    De la même manière, le programme pro-business de Donald Trump devrait également soutenir la croissance économique alors que, de son côté, sa politique de relèvement des droits de douane comporte des risques non négligeables du côté de l’inflation.

    C’est dans ce nouveau contexte économique trumpien, pour le moins chahuté, que la Fed doit naviguer. Sa tâche n'est pas aisée.

    Lire l'édito de Marc Lambrechts ici.

  • Wall Street chute après l'annonce de la Fed

    La bourse de New York a froidement accueilli les annonces de la Fed. Un peu plus d'une heure après l'envoi du communiqué de la banque centrale américaine, ses trois indices phares s'inscrivaient en fort recul: le Dow Jones perd plus de 1%, le S&P 500 plus de 1,5% et le Nasdaq plus de 2%.

    Les marchés digèrent l'annonce du président de la Fed, Jerome Powell, quant au ralentissement de la baisse des taux qui sera mis en oeuvre à partir de l'année prochaine. Paycom  , Broadcom  , Tesla  , Grail  , Amazon   et Microsoft   figurent parmi les valeurs qui chutent le plus lourdement.

  • Le dollar atteint son plus haut niveau depuis 2022 alors que la Fed prévoit moins de baisses de taux

    Le dollar a atteint son niveau le plus élevé depuis plus de deux ans après que la Réserve fédérale a signalé un ralentissement du rythme de l'assouplissement monétaire l'année prochaine. L'indice Bloomberg Dollar Spot Index a augmenté de 0,6 % mercredi, son plus haut niveau depuis 2022. Il a progressé de près de 7 % depuis le début de l'année, s'imposant face à tous ses homologues du monde développé et étant en passe de connaître sa meilleure année depuis 2015. 

    Les promesses du président élu Donald Trump d'imposer des tarifs douaniers sévères à de nombreux partenaires commerciaux des États-Unis ont contribué à la hausse du dollar dans la période précédant l'élection. La hausse s'est poursuivie alors que la Fed évalue le rythme des réductions de taux d'intérêt, l'économie américaine étant plus performante que celle de nombreux autres pays. Dans le même temps, de nombreuses banques centrales dans le monde devront réduire de manière agressive les coûts d'emprunt pour soutenir une croissance économique anémique.

  • Les obligations américaines bondissent après l'annonce des nouveaux taux directeurs de la Fed

    Les rendements des bons du Trésor américain ont augmenté après que la Réserve fédérale a réduit ses taux d'intérêt pour la troisième fois consécutive, comme prévu, et qu'elle ait indiqué que le rythme serait probablement plus lent l'année prochaine. Le rendement du bon à deux ans, plus sensible que les échéances plus longues aux changements de politique monétaire, a mené le mouvement, augmentant jusqu'à huit points de base à 4,33 %, le niveau le plus élevé depuis le 25 novembre.

    La banque centrale américaine a abaissé sa fourchette cible pour le taux de prêt au jour le jour d'un quart de point de pourcentage à 4,25 %-4,5 %, soit un point de pourcentage de moins que son récent sommet. Dans le même temps, les projections trimestrielles révisées des décideurs politiques prévoient moins d'assouplissement supplémentaire qu'en septembre. Les nouvelles prévisions médianes impliquent un assouplissement de 50 points de base en 2025 et de 50 points de base supplémentaires en 2026. Leur estimation médiane actualisée du taux neutre à long terme - un niveau théorique qui ne stimule ni ne restreint l'économie - est passée de 2,90 % à 3 %.

  • L'inflation aux Etats-Unis reste "relativement élevée", selon le président de la Fed

    L'inflation aux États-Unis reste "relativement élevée", a estimé mercredi en conférence de presse le président de la Réserve fédérale américaine (Fed), Jerome Powell, qui souligne néanmoins le chemin parcouru jusqu'ici pour lutter contre la hausse des prix.  

    "L'inflation a significativement ralenti ces deux dernières années, mais elle reste relativement élevée par rapport à notre objectif de long terme de 2%", a déclaré M. Powell, alors que l'institution prévoit désormais 2,5% d'inflation, en rythme annuel, pour 2025. 

  • La banque centrale saoudienne réduit elle aussi ses taux directeurs de 25 points de base

    La banque centrale d'Arabie saoudite a réduit son taux de prise en pension (taux repo) de 25 points de base à 5 % mercredi, selon un communiqué, et son taux de prise en pension inversé (taux reverse repo) de 25 points de base à 4,50 %. 

    Cette mesure fait suite à la décision de la Réserve fédérale de réduire les taux d'intérêt américains de 25 points de base mercredi. La monnaie de l'Arabie saoudite, le riyal saoudien, est rattachée au dollar américain.

  • La Réserve fédérale réduit ses taux de 25 points de base

    Et de trois! Après avoir réduit ses taux d'intérêt de 50 points de base (0,5 point de pourcentage) en septembre, puis de 25 points de base en novembrela Réserve fédérale (Fed) a annoncé, ce mercredi, une nouvelle baisse des taux de référence des États-Unis, à concurrence d'un quart de point, ce qui était largement attendu par les investisseurs et les économistes.

    Le taux des fonds fédéraux fluctuera ainsi désormais entre 4,25% et 4,5%, un niveau qu'il n'avait plus connu depuis début 2023.

    La Fed a par ailleurs indiqué qu'elle prévoyait deux baisses de taux supplémentaires, d'un quart de point, en 2025.  

    La banque centrale a aussi profité de sa dernière réunion de l'année pour réviser ses prévisions macroéconomiques pour 2025, s'attendant à une croissance légèrement plus élevée qu'en septembre, désormais à 2,1%, avec un chômage quasi stable. Elle n'attend pas de retour de l'inflation à sa cible de 2% avant fin 2026.

    Lire notre article complet ici.

  • Canal+ a rebondi après ses débuts difficiles à la Bourse de Londres

    Canal+ s'est redressé après que la société de médias française a reçu ses premières recommandations d'achat à la suite d'un début tiède à Londres cette semaine. Les actions ont bondi de 10% pour devenir la meilleure performance de l'indice Stoxx Europe 600 mercredi, après que Barclays commencé à couvrir le titre avec une recommandation de surpondérer et que Bernstein a noté les actions surperformer. L'objectif de prix de 355 pence de ce dernier suggère une hausse de 68% par rapport à la clôture de mardi. 

    Christophe Cherblanc, analyste chez Bernstein, a déclaré que Canal+ a maintenu sa pertinence dans un "monde dominé par Netflix", en partie en réduisant sa dépendance au contenu d'un seul genre ou fournisseur. Barclays a déclaré que les actions ont une "valeur profonde", tout en avertissant les investisseurs qu'ils devront peut-être faire preuve de patience.

  • La Cour suprême américaine va examiner la loi menaçant TikTok d'interdiction

    Le réseau social TikTok a remporté mercredi un premier succès dans sa bataille judiciaire contre une loi américaine imposant à sa maison mère chinoise de le vendre sous peine d'interdiction, la Cour suprême acceptant d'examiner la constitutionnalité de cette loi.  

    Le Congrès a adopté en avril à une large majorité la loi contre TikTok, qui revendique 170 millions d'utilisateurs actifs aux États-Unis. La loi vise à prévenir les risques d'espionnage et de manipulation des utilisateurs de la plateforme par les autorités chinoises.  

    La loi, aussitôt promulguée par le président Joe Biden, fixe à sa maison mère, ByteDance, la date limite du 19 janvier pour s'y conformer. TikTok a contesté à plusieurs reprises avoir transmis des informations au gouvernement de Pékin et assuré qu'il refuserait toute requête éventuelle en ce sens.

    La Cour suprême américaine a en revanche accepté mercredi de se pencher sur ce dossier. Elle n'a pas suspendu l'entrée en vigueur de la loi, comme le lui ont demandé lundi TikTok et ByteDance mais a fixé les débats au 10 janvier. Ils porteront sur la question de savoir si cette loi viole le Premier amendement de la Constitution américaine garantissant la liberté d'expression. 

  • La dette de l'État fédéral grimpe à plus de 511 milliards d'euros

    La dette nette de l'État fédéral a augmenté en novembre de 5,59 milliards d'euros, pour s'établir à 511,389 milliards d'euros. Ces nouveaux chiffres ont été révélés mercredi par l'Agence fédérale de la dette.  

    Cette dette concerne uniquement les finances fédérales. Les dettes de l'ensemble des gouvernements de notre pays ont déjà franchi ensemble la barre des 600 milliards d'euros. 

  • Les bourses européennes terminent proches de l'équilibre

    Les bourses européennes ont évolué avec prudence mercredi, les investisseurs attendant le verdict de la réunion de la Réserve fédérale américaine, qui doit tomber à 20h.  

    Francfort (-0,02%) et Londres (+0,05%) ont terminé stables, Paris et Bruxelles (toutes les deux à +0,26%) en légère hausse. 

    Au sein du Bel 20, ce sont Azelis (+1,81%), argenx (+1,77%) et Melexis (+1,56%) qui signent les meilleures performances. Elia (-2,03%), D'Ieteren (-1,46%) et AB InBev (-1,29%) figurent en bas du classement.

  • Europe | Closing Bell

    Bel 20: +0,26%

    CAC 40: +0,26%

    DAX: -0,01%

    FTSE 100: -0,02%

  • Merck signe un accord de 2 milliards de dollars pour un médicament contre la perte de poids avec la société chinoise Hansoh

    Merck   a signé mercredi un accord de licence d'une valeur maximale de 2 milliards de dollars pour le médicament expérimental par voie orale de la biotech chinoise Hansoh Pharma destiné à traiter l'obésité. Ils se positionnent ainsi en concurrent tardif dans la course à l'offre d'une pilule amaigrissante pour remplacer les piqûres hebdomadaires. 

    Le fabricant américain de médicaments a déclaré qu'il développerait, fabriquerait et vendrait potentiellement le médicament, appelé HS-10535, qui est un candidat agoniste du récepteur GLP-1 similaire aux rivaux par injection de Novo Nordisk et Eli Lilly

    "Nous considérons le calendrier (de Merck) comme un défi", a déclaré Courtney Breen, analyste chez Bernstein, car le produit sera probablement en retard par rapport à d'autres concurrents tels que la pilule amaigrissante de Lilly, l'orforglipron. 

    Des entreprises comme Amgen, Pfizer, Structure Therapeutics et Viking testent également des médicaments oraux contre l'obésité dans l'espoir d'offrir aux patients une option plus pratique. AstraZeneca a obtenu une licence pour une pilule amaigrissante expérimentale de la société chinoise Eccogene.

  • GBL et Aedifica parmi les actions préférées de Leleux pour 2025

    Les analystes de Leleux Associated Brokers ont sélectionné 20 actions sur lesquelles il faut miser pour 2025. Une liste qui fait la part belle aux valeurs américaines.

    Lire notre article complet ici.

  • Baisse moins marquée que prévu des stocks américains de pétrole, les raffineries décélèrent

    Les stocks commerciaux de pétrole brut se sont moins contractés que prévu la semaine dernière, selon des chiffres publiés mercredi par l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA), un décalage attribuable pour partie à un ralentissement des raffineries.  

    Durant la période de sept jours achevée le 13 décembre, ces réserves ont diminué de 900.000 barils, soit la moitié environ des 1,7 million attendus par les analystes, selon un consensus établi par l'agence Bloomberg. 

  • Microsoft a acheté près d'un demi-million de puces à Nvidia cette année

    Microsoft  , l'un des principaux soutiens d'Open AI, a acheté pas moins d'un demi-million de puces à Nvidia   au cours de l'année écoulée, rapporte le Financial Times ce mercredi. C'est le double de n'importe lequel de ses concurrents, qu'ils soient américains ou chinois.

    Selon un analyste du bureau Omdia, Microsoft a acquis 485.000 puces Hopper, tandis que Meta, le deuxième plus gros clients de Nvidia, n'en a acheté "que" 224.000. Les chinois ByteDance (la maison mère de TikTok) et Tencent ont chacun commandé environ 230.000 puces selon l'analyste.

    Nvidia est devenue la première capitalisation boursière mondiale cette année, bénéficiant des dizaines de milliards de dépenses des Big Tech dans l'intelligence artificielle.

  • La BCE propose un dispositif européen de prise en charge assurantielle des catastrophes naturelles 

    La Banque centrale européenne (BCE) et le régulateur européen des assurances (EIOPA) ont indiqué dans un communiqué proposer un dispositif européen de partenariat public-privé, mercredi, afin de réduire le déficit d'assurance contre les catastrophes naturelles.  

    "Cette proposition est une réponse à la fréquence et à la gravité croissantes des catastrophes naturelles liées au changement climatique et à l'augmentation des pertes économiques qu'elles entraînent", ont déclaré les deux institutions dans le communiqué.  

    "Elle vise à protéger les personnes, les entreprises et les gouvernements contre ces pertes et à atténuer ainsi les risques macroéconomiques et de stabilité financière qui en découlent dans l'Union européenne." 

  • Birkenstock reprend sa marche en avant à Wall Street

    Après avoir déçu les marchés cet été, Birkenstock  , le fabricant allemand connu pour ses sandales, a dépassé les attentes au trimestre écoulé. L'action bondit de 10% à New York.

    Lire notre article complet ici.

  • Berlin dénonce une nouvelle action "inamicale" d'UniCredit envers Commerzbank

    Le gouvernement allemand a critiqué mercredi la nouvelle montée de la banque italienne UniCredit au capital de sa rivale allemande Commerzbank, y voyant une action "non concertée et inamicale".  

    UniCredit, qui a annoncé mercredi détenir désormais "environ 28%" de Commerzbank, "agit à nouveau de manière non concertée et avec des méthodes inamicales", a déclaré un porte-parole du gouvernement, Wolfgang Büchner, regrettant que cette initiative ait été prise avant les élections législatives du 23 février en Allemagne.  

    "Unicredit avait auparavant souligné publiquement qu'elle ne souhaitait plus agir avant les élections fédérales", a observé le porte-parole, qui a qualifié "d'inappropriée" la démarche du deuxième groupe bancaire italien.

    "Cela reste d'autant plus vrai que Commerzbank est une banque d'importance systémique", a-t-il rappelé. "Les attaques hostiles et les rachats hostiles ne sont pas appropriés dans le secteur bancaire." 

  • Unilever cède les marques Unox et Zwan

    La multinationale Unilever a annoncé mercredi la vente de ses marques de saucisses Unox et Zwan au producteur de viande néerlandais Zwanenberg Food Group.  

    Les deux marques appartenaient depuis près de 100 ans au portefeuille d'Unilever: Unox depuis 1937 et Zwan depuis 1928. Cette dernière est surtout connue en Belgique pour ses saucisses cocktails, qui ont longtemps été produites à Schoten, près d'Anvers. Aujourd'hui, ces produits sont déjà fabriqués par Zwanenberg Food Group, mais la marque appartenait encore à Unilever. Ce qui n'est donc désormais plus le cas.  

    Aucun détail financier n'a été communiqué sur cette transaction, qui doit être finalisée l'année prochaine.  

  • Wall Street hésitante avant les annonces de la Fed

    La Bourse de New York a ouvert en ordre dispersé mercredi, les investisseurs se montrant globalement prudents avant les annonces de politique monétaire prévues dans la soirée de la Réserve fédérale américaine (Fed).  

    Dans les premiers échanges, l'indice Dow Jones, qui a terminé ce mardi sa neuvième séance consécutive en recul, gagne 3,70 points, soit 0,01%, à 43.453,60 points. Le Standard & Poor's 500, plus large, recule de 2,13 points, soit 0,04%, à 6.048.48 points. Le Nasdaq prend 18,14 points, soit 0,09%, à 20.127,20 points.  

    La Fed va rendre à 20h00 sa dernière décision de politique monétaire de l'année à l'issue d'une réunion de deux jours. Une nouvelle baisse des taux de 25 points de base ne fait guère de doute aux yeux des investisseurs.  

    L'incertitude est en revanche totale concernant la suite de la politique monétaire de la Fed au regard du programme jugé inflationniste du président élu américain Donald Trump, qui prendra officiellement ses fonctions le 20 janvier.  

    ©REUTERS

    À cet égard, le discours de Jerome Powell, le président de la Fed, sera particulièrement suivi, ainsi que les projections économiques de la banque centrale pour déterminer s'il faut s'attendre à une pause dès janvier dans l'actuel cycle d'assouplissement monétaire et à un rythme moindre de baisse de taux en 2025.  

    "La question est plutôt de savoir ce qui va se passer ensuite et quelle sera la rhétorique autour de 2025. Powell a vraiment guidé les marchés d'une manière assez sûre et les a en quelque sorte maintenus suffisamment stables pour poursuivre la trajectoire ascendante en 2022, et nous nous attendons à ce qu'aujourd'hui soit similaire", prédit Keith Buchanan, gérant de portefeuille chez Globalt Investments. 

  • Foxconn lorgnerait aussi Nissan

    Le géant taïwanais Foxconn a approché Nissan pour prendre une participation donnant le contrôle du constructeur automobile japonais, ont affirmé des sources anonymes à l'agence de presse financière Bloomberg, confirmant des informations en ce sens parues dans des médias nippons. La démarche aurait donné un coup de fouet aux discussions de fusion entre Nissan et son concurrent japonais Honda.  

    Foxconn, qui est notamment un sous-traitant d'Apple pour les iPhone, a déjà beaucoup investi dans les véhicules électriques. Le groupe taïwanais lorgnerait Nissan dans son ensemble et pas seulement l'une ou l'autre usine ou technologie.  

    Un porte-parole de Nissan a refusé de commenter l'information. 

  • Wall Street | Opening Bell

    Dow Jones: +0,04%

    Nasdaq: +0,08%

    S&P 500: -0,04%

  • General Mills révise à la baisse ses prévisions de bénéfices annuels

    General Mills a réduit ses prévisions de bénéfices annuels mercredi, alors que le fabricant des céréales Cheerios intensifie ses investissements promotionnels pour attirer les consommateurs soucieux des coûts, entraînant une baisse de l'action d'environ 4% dans les échanges avant l'ouverture.

    L'entreprise a relancé ses volumes en réduisant les prix sur l'ensemble de sa gamme de produits, des snacks à la nourriture pour animaux. Cependant, elle a averti que des dépenses promotionnelles plus élevées que prévu pèseraient sur ses bénéfices annuels. General Mills anticipe désormais une baisse de son bénéfice ajusté annuel dans une fourchette de  1% à 3%, contre une précédente prévision de -1% à +1%.

  • La famille Porsche-Piëch pousse à des fermetures d'usines de Volkswagen en Allemagne

    La famille Porsche-Piëch, principal actionnaire de Volkswagen, exprime une inquiétude croissante face au manque de progrès dans la restructuration du constructeur automobile allemand, et exerce des pressions pour la fermeture de plusieurs usines en Allemagne, rapporte le Financial Times mercredi.

    Selon une source proche des discussions citée par le journal, la famille, qui contrôle Porsche et détient ainsi 31,9% de Volkswagen, a souligné qu’"il est nécessaire de redimensionner l’entreprise pour assurer sa compétitivité à long terme".

    Le dividende de Volkswagen, l’une des principales sources de liquidités pour Porsche, devrait chuter de 9 euros l’an dernier à 6,75 euros cette année, d’après les estimations de LSEG. La semaine dernière, Porsche a averti qu’elle pourrait réduire la valeur de sa participation dans le premier constructeur automobile européen jusqu’à 20 milliards d’euros.

  • L'inflation de la zone euro en hausse à 2,2%

    Le taux d'inflation de la zone euro a atteint 2,2% en novembre, sur une base annuelle, indiquent mercredi les chiffres de l'agence européenne de statistiques Eurostat.

    Une précédente estimation faisait état d'un taux de 2,3%. En octobre, l'inflation dans la zone euro était de 2,0%.

    La Belgique avait le deuxième taux d'inflation le plus élevé de la zone euro. Il s'élevait à 4,8% en novembre. Seule la Roumanie (5,4%) a connu une inflation plus élevée. Il s'agit de chiffres d'inflation harmonisés. L'office belge des statistiques Statbel, qui utilise une définition différente, indique un taux d'inflation de 3,2% pour le mois de novembre. 

  • Une entreprise suédoise en passe d'acquérir Forum Estates

    Cibus Nordic Retail Estate souhaite acquérir la société gantoise Forum Estates. La société immobilière belge est spécialisée dans les supermarchés et compte 149 biens immobiliers au Benelux. L'entreprise suédoise cotée en bourse en a fait part dans un communiqué de presse ce mercredi.

    Cibus prévoit de financer l'acquisition avec ses propres nouvelles actions. Concrètement, les actionnaires de Forum Estates recevront 219,9 millions d'euros en actions Cibus. Une dernière tranche d'actions doit être détenue par eux jusqu'à 180 jours après la fin de l'opération - une disposition différente est prévue pour le CEO Stefan De Bock. Le portefeuille de Forum Estates a une valeur sous-jacente d'environ 508 millions d'euros.

    Quelque 68% des actionnaires de Forum Estates se sont déjà positionnés pour l'acquisition. Les 32% restants devront obligatoirement suivre, selon le communiqué de presse, qui se réfère aux statuts du groupe immobilier gantois. Le conseil d'administration de Cibus doit encore approuver la transaction. Il est prévu qu'il prenne une décision à ce sujet dans le courant du mois de janvier. 

  • Unilever: une offre reçue pour Unox et Zwan

    Unilever a confirmé avoir reçu une offre ferme de Zwanenberg Food Group en vue de l’acquisition des marques Unox et Zwan. Ces deux marques historiques, qui figurent au portefeuille d’Unilever depuis près d’un siècle, sont emblématiques: Unox, aux Pays-Bas, depuis 1937, et Zwan, dans notre pays, depuis 1928.

    L’entreprise entend recentrer ses activités sur un nombre plus restreint de marques, mais de plus grande envergure, dans des catégories clés comme les aides culinaires, les snacks et les condiments.

  • Les traders réduisent leurs paris sur une baisse des taux de la Banque d'Angleterre

    Les traders ont revu à la baisse leurs paris sur des baisses de taux de la Banque d'Angleterre l'année prochaine après que de nouvelles données ont confirmé les pressions inflationnistes dans l'économie. La probabilité implicite d'une troisième réduction d'un quart de point — pleinement intégrée dans les prix il y a moins d'une semaine — est tombée à 10% mercredi. 

    "Les données d'aujourd'hui ne feront que renforcer le message du comité de politique monétaire (MPC) de patience et de gradualisme", a déclaré Sanjay Raja, économiste pour le Royaume-Uni chez Deutsche Bank. "Pour être clair, le MPC est encore loin de déclarer victoire sur l'inflation."

  • Merck progresse grâce à un accord de licence avec la société chinoise Hansoh Pharma

    L'action du fabricant de médicaments Merck augmente de 1,5% avant l'ouverture des marchés américains. Merck et la biotech chinoise Hansoh Pharma ont signé un accord de licence mondial pour un médicament expérimental contre l'obésité, le HS-10535, a annoncé la société.

     Merck comptabiliserait une charge avant impôts de 112 millions de dollars au quatrième trimestre 2024 dans le cadre de cet accord. Sur les 28 analystes suivant l'action, 21 la classent à "acheter" ou plus, et 7 à "conserver", avec une prévision médiane de 130 dollars selon LSEG, contre 101,57 dollars actuellement. À la dernière clôture, l'action a perdu 8,2% depuis le début de l'année.

  • Les valeurs à suivre à Wall Street

    * MASTERCARD a déclaré mardi que son conseil d'administration avait approuvé un nouveau programme de rachat d'actions jusqu'à 12 milliards de dollars (11,43 milliards d'euros)

    * BOEING a déclaré mardi avoir repris la production de tous ses modèles dont la construction avait été interrompue par une grève des machinistes.

    * ELI LILLY - Le régulateur pharmaceutique chinois a approuvé le traitement proposé par le groupe pour lutter contre les premiers stades de la maladie d'Alzheimer, a annoncé la société mardi.

    * SALESFORCE a conclu plus de 1.000 contrats pour "Agentforce", sa plateforme fonctionnant grâce à l'intelligence artificielle et permettant la création de représentants virtuels, a déclaré mardi le groupe.

    * APPLE a fermement rejeté mardi les accusations selon lesquelles il utilise dans ses produits des minerais extraits dans des zones de conflit, déclarant avoir demandé plus tôt cette année à ses fournisseurs de ne plus se procurer de minerais en République démocratique du Congo et au Rwanda.

  • "Attendez-vous à des marchés volatils en 2025"

    Sylvain Broyer, économiste en chef pour la région EMEA chez S&P Global Ratings, a indiqué dans une note adressée à ses clients mercredi que les investisseurs devraient se préparer à un environnement de négociation difficile l'année prochaine.

    "Entre la possible correction des anomalies économiques qui ont émergé en 2024 et le potentiel de changements de politique en 2025, nous prévoyons que les économies et les marchés européens seront soumis à une forte volatilité au cours des 12 prochains mois."

    Sylvain Broyer
    Économiste chez S&P Global Ratings

    L’arrivée de la nouvelle administration américaine de Donald Trump, les changements à la tête de l'UE et les prochaines élections allemandes assombrissent tous les perspectives économiques pour l’Europe, a-t-il ajouté.

  • Voici le briefing actions belges

  • AstraZeneca s'attend à des ventes en chute en Chine après l'arrestation de Leon Wang

    Les ventes d'AstraZeneca en Chine ont chuté après l'arrestation de Leon Wang, président de l'entreprise pour la Chine, ainsi que plusieurs autres dirigeants, selon des sources internes anonymes au Financial Times. Les autorités chinoises enquêtent notamment sur les ventes de médicaments oncologiques, et "l'impact sur les ventes est déjà très évident".

    AstraZeneca, qui a réalisé 5,9 milliards de dollars de ventes en Chine en 2023, est confrontée à une baisse de l'intérêt des médecins pour ses produits, certains préférant des alternatives chinoises. "Les médecins refusent d'interagir avec nos commerciaux et de prescrire nos médicaments. Ils disent que notre entreprise a trop de problèmes et optent pour d'autres choix, en particulier des médicaments fabriqués en Chine", a ajouté la source au FT.

    Wang avait auparavant été célébré par les médias d'État pour ses contributions à la promotion des secteurs pharmaceutiques et biotechnologiques locaux, notamment par ses investissements dans des start-ups et la construction d'installations de production et de recherche.

  • Le groupe immobilier suédois SBB bondit de 23%

    Les actions du groupe immobilier suédois SBB ont enregistré une forte hausse de 23% lors de la séance de mercredi après l’annonce de la conclusion d’un échange obligataire, au cours duquel les créanciers ont accepté de convertir 2,8 milliards d'euros de dettes en nouvelles obligations.

    Le CEO de SBB, Leiv Synnes, a indiqué à Reuters que cet échange — accepté par 95% des créanciers concernés — permettrait à l’entreprise de poursuivre son plan de restructuration.

  • Quadient monte après une acquisition aux USA

    Le titre Quadient progresse de plus de 3% en fin de matinée à la Bourse de Paris, après l'annonce par le groupe français de l'acquisition de l'américain Package Concierge, spécialisé dans la gestion de colis.

    Grâce à cette acquisition, Quadient prévoit de dépasser les 25.000 consignes installées dans le monde, le positionnant ainsi pour largement dépasser son objectif de 100 millions d'euros de revenus liés aux consignes d'ici 2025.

  • Meilleure journée depuis octobre pour Proximus

    Après 11 jours consécutifs de pertes, Proximus  sort enfin la tête hors de l'eau, franchissant de nouveau les 5 euros en bourse. L'entreprise a annoncé la création de Proximus Global, regroupant ses trois filiales internationales (Telesign, Route Mobile et BICS), valorisées à 3,1 milliards d'euros, soit deux fois la capitalisation boursière de Proximus.

    David Vagman, analyste chez ING, estime que cette mesure pourrait combler le fossé entre investisseurs et entreprise, mais s'interroge sur la gestion de Guillaume Boutin: "Guillaume Boutin deviendra CEO de Proximus Global tout en conservant son rôle de CEO de Proximus. Bien que Proximus Global se prépare à une introduction en bourse après 2026, on peut se demander si Boutin pourra accorder suffisamment d'attention aux défis en Belgique."

    Il est prévu que Boutin cède la direction de Proximus Global à Rajdip Gupta de Route Mobile, une décision que Vagman juge tardive.

  • Les analystes apprécient l'accord luxembourgeois d'Immobel

    Immobel grimpe de 0,4% à 17 euros ce mercredi matin. Hier soir, le promoteur immobilier a annoncé la vente de 124 appartements à construire au Luxembourg dans le cadre du projet Kiem 2050. La construction des appartements est prévue pour mars 2025, avec une livraison prévue pour 2028.

    Les analystes des sociétés de bourse réagissent positivement. "Il s'agit, selon nous, d'une vente importante, car le marché résidentiel au Luxembourg est totalement à l'arrêt", écrit Kepler Cheuvreux. "Cet accord réduit le profil de risque d'Immobel", estime pour sa part KBC Securities.

  • Birkenstock se refait une santé avec un chiffre d'affaires au quatrième trimestre meilleur qu'attendu

    L'action Birkenstock marche du bon pied ce mercredi matin après que le fabricant allemand de chaussures a annoncé avoir dépassé les attentes du marché pour le chiffre d'affaires du quatrième trimestre mercredi, propulsé par des ventes solides de ses sandales haut de gamme aux États-Unis et en Asie. La société a déclaré des revenus de 455,8 millions d'euros pour le quatrième trimestre (+22% sur un an), par rapport à l'estimation moyenne des analystes de 439,2 millions d'euros, selon les données compilées par LSEG. Pour l'ensemble de l'exercice, le chiffre d'affaires de l'entreprise a bondi de 21% pour atteindre 1,8 milliard d'euros.

    Les nouveaux modèles, désormais une priorité pour les consommateurs, ont séduit un public élargi, notamment sur le continent américain, stimulant les ventes et permettant une hausse des prix de 8% sur l'exercice clos en septembre.

    L'action de l’entreprise qui a fait ses débuts à la Bourse de New York en octobre 2023, monte de 3,17% à Francfort, en hausse de 27% ce dernier mois et de 23% sur l'année, après avoir chuté de -10% en septembre. Ce dévissage a fait suite à des résultats décevants au troisième trimestre.  L’action est également en hausse de 3,1% en "premarket" à la Bourse de New York.

    En prévision de l'exercice 2025, la société anticipe toutefois une croissance du chiffre d'affaires entre 15% et 17%, sous les attentes du marché (17,5%). Malgré des signes de ralentissement de l'inflation, les consommateurs restent prudents, affectant les prévisions de vente pour 2025, surtout aux États-Unis.

    "Nous respectons nos engagements pris lors de notre introduction en bourse en nous développant de manière rentable dans les opportunités de marché que nous avons identifiées: silhouettes fermées, orthopédie, professionnel, extérieur, région APMA et notre propre réseau de magasins. À mesure que nous continuons à attirer l'attention des consommateurs et des partenaires commerciaux, nous constatons une forte croissance équilibrée tant dans nos canaux DTC que B2B."

    Oliver Reichert
    CEO de Birkenstock
  • Les prix du gaz baissent en raison du temps doux et de l'offre stable

    Les prix du gaz en Europe ont diminué ce mercredi matin, les températures supérieures à la normale et les vitesses de vent élevées limitant la demande de gaz pour le chauffage et la production d’électricité. Les températures dans le nord-ouest de l’Europe devraient être plus élevées d’un degré Celsius, et les vitesses de vent augmentent également, selon les données de LSEG.

    Le contrat de référence pour le mois à venir sur le TTF néerlandais a chuté de 1,37 euro à 40,75 euros par mégawattheure (MWh) à 09h33 GMT.

    Au Royaume-Uni, le contrat pour le mois à venir a baissé de 2,74 pence pour atteindre 101,30 p/therm, tandis que le contrat à échéance du jour suivant a diminué de 1,65 pence pour s’établir à 99,00 p/therm.

  • Pays-Bas: l'autorité de protection des données inflige une amende de 4,75 millions d'euros à Netflix

    L'Autorité néerlandaise de protection des données a annoncé mercredi avoir infligé une amende de 4,75 millions d'euros à l'américain Netflix pour ne pas avoir suffisamment informé ses clients de ce qu'elle faisait avec leurs données personnelles.

    "Entre 2018 et 2020, Netflix n'a pas donné suffisamment d'informations à ses clients sur ce que l'entreprise fait de leurs données personnelles. Et les informations fournies par Netflix n'étaient pas claires à certains égards."

    L'Autorité néerlandaise de protection des données
  • Stora Enso déprécie des actifs pour 724 millions d'euros face à la faiblesse de ses marchés

    Le papetier finlandais Stora Enso a déprécié des actifs pour 724 millions d'euros dans ses comptes du quatrième trimestre en raison d'une dégradation durable de ses marchés, a-t-il annoncé mercredi.  Les dépréciations concernent des opérations en Chine de sa division matériaux d'emballage, des actifs de sa division solutions d'emballage en Europe de l'Ouest et des actifs de sa division produits du bois en Europe du Nord, a-t-il précisé dans un communiqué. 

    Le titre du papetier cédait 3,45% à 9,41 euros à 11H15 locales (09h15 GMT) à la Bourse d'Helsinki où l'indice OMXH25 perdait 0,88%. 

  • L'Ozempic de Novo Nordisk sous examen de l'UE pour un lien potentiel avec une maladie oculaire

    L'Agence européenne des médicaments (EMA) a annoncé qu'elle allait évaluer deux nouvelles études danoises établissant un lien entre l'Ozempic, le médicament antidiabétique populaire de Novo Nordisk , et une maladie oculaire rare. L'action a reculé de 1% à l'ouverture de la Bourse de Copenhague.

    Les études, publiées plus tôt cette semaine, ont révélé que l'Ozempic augmente significativement le risque pour les patients atteints de diabète de type 2 de développer une neuropathie optique ischémique antérieure non artéritique (NAION), multipliant ce risque par plus de deux.

  • Le dollar et l'or stables avant la réunion de la Fed

    Le dollar américain reste stable ce mercredi matin avant la réunion de politique monétaire de la Réserve fédérale prévue plus tard dans la journée.

    L’indice du dollar américain, qui mesure la valeur du billet vert face à un panier de six devises, progresse de 0,05% à 106,98, après avoir atteint un sommet à 107,18 lundi, son plus haut niveau depuis le 26 novembre. L’euro s’échange à 1,0495 dollar.

    "Le dollar pourrait s’affaiblir s’ils ne révisent (les prévisions de taux) qu’à deux baisses en 2025", a déclaré Matt Simpson, analyste de marché senior chez City Index.

    L'or au comptant a légèrement progressé de 0,1% à 2.647,92 dollars l'once à 9h36 GMT, tandis que les contrats à terme sur l'or aux États-Unis sont restés stables à 2.663,30 dollars.

  • VusionGroup en tête du SBF 120 grâce à un contrat aux États-Unis

    VusionGroup (+7,69% à 144,30 euros) affiche la plus forte hausse de l’indice SBF 120 à la faveur d’un contrat avec l'enseigne alimentaire américaine, The Fresh Market. Le groupe français est chargé de digitaliser l'intégralité de leurs magasins physiques. Ce déploiement aura lieu d'ici fin 2025.

    "Ce partenariat permettra aux 166 points de vente de bénéficier de la suite des solutions Vusion 360 du groupe, dont les étiquettes électroniques développées par VusionGroup, la plateforme VusionCloud, Captana et sa technologie de vision par ordinateur intégrant l'intelligence artificielle, ainsi que Memory, marquant ainsi le premier déploiement Vusion 360 en Amérique du Nord."

    VusionGroup
  • "Un potentiel de hausse significatif pour VGP"

    L'analyste de KBC Securities, Wim Lewi, réitère son conseil d'achat ainsi que son objectif de cours de 125 euros pour VGP , spécialiste de l'immobilier logistique.

    Cet objectif représente un potentiel de hausse notable de 73% par rapport au cours de clôture de mardi. "Le sentiment du marché envers les acteurs européens de la logistique s'est dégradé depuis la victoire électorale de Donald Trump", note l'analyste. "Nous ne pouvons pas prédire quand la tendance s'inversera, mais nous voyons un fort potentiel de hausse pour les investisseurs capables de dépasser le bruit de fond."

    Concernant la seconde clôture de la coentreprise commune avec le suédois AREIM, SAGA, l'analyste souligne que les recettes en liquidités pour VGP (88 millions d'euros) représentent 73% de la valeur totale de l'accord (120 millions d'euros), un pourcentage significativement plus élevé que les 64% de la première clôture.

  • L'action Renault grimpe après les négociations entre Nissan et Honda

    L'action du constructeur automobile français Renault a progressé de 5,4% à 8h20 à Londres après des informations rapportant que Nissan et Honda s'apprêtent à entamer des discussions pour fusionner en une holding. Cette union leur permettrait de rivaliser avec de plus grands concurrents et d'investir davantage dans le marché en pleine croissance des véhicules électriques.

    Renault détient une participation minoritaire dans Nissan, dont l'action cotée à Tokyo a bondi de 24% au cours de la séance en Asie, enregistrant sa meilleure performance en quatre décennies, tandis que celle de Honda reculait de 3%.

    Honda et Nissan prévoient également d'intégrer à terme Mitsubishi Motors, dont Nissan est le principal actionnaire avec une participation de 24%; le titre est monté de 19%.

  • Voltalia annonce un partenariat avec trois grandes enseignes

    Le groupe international actif dans les énergies renouvelables Voltalia a signé un partenariat stratégique avec trois grandes enseignes françaises: Auchan, Decathlon et Leroy Merlin. L'entreprise prend 0,7% à Paris.
    Ce partenariat vise à installer et gérer des stations de recharge pour véhicules électriques sur plus de 350 parkings répartis à travers la France. L'objectif est de déployer 5000 bornes de recharge grâce à cette collaboration.

  • Argenx et Melexis portent le Bel 20, Proximus monte

    Le Bel 20 a ouvert en hausse de 0,3%, atteignant 4.253 points.

    Argenx et Melexis montent en tête du Bel 20 à l'ouverture des marchés ce mercredi matin. La biotech progresse de 1,8%, dépassant le cap des 600 euros.

    Proximus gagne 2,3% après avoir annoncé regrouper ses trois filiales internationales sous une entité distincte qu’il valorise à 3,1 milliards d’euros, soit le double de sa capitalisation boursière actuelle.

    VGP perd 0,4% après avoir vendu de nouveaux actifs à sa coentreprise avec le groupe scandinave AREIM.

    AB InBev recule à l'inverse de 0,2%. La forte pression sur le real brésilien pèse sur le cours de l'action du brasseur belge.

  • Les principales valeurs à suivre en Europe

    CRÉDIT AGRICOLE a nommé Olivier Gavalda au poste de directeur général en remplacement de Philippe Brassac, rapporte mardi le quotidien Les Échos.

    RENAULT: Honda et Nissan ont ouvert des négociations pour renforcer leurs liens, ont dit mercredi deux sources. Contacté par Reuters, le groupe Renault, principal actionnaire de Nissan, n'a pas fait de commentaire.

    * UNICREDIT et COMMERZBANK: La banque italienne UniCredit augmente sa participation dans Commerzbank à 28% grâce à des produits dérivés dans le cadre d’une opération de rachat.

    VINCI a annoncé mardi une hausse de 8,8% du trafic passagers dans les aéroports en novembre, tandis que le trafic autoroutier a augmenté de 3,8% sur la même période.

    THYSSENKRUPP envisage une scission comme principale option pour céder ses activités de défense, a déclaré mardi un porte-parole du groupe, après qu'un journal allemand a rapporté que plusieurs prétendants avaient fait des offres pour cette division.

    VIVENDI: Barclays reprend le suivi de la valeur avec une recommandation à "surpondérer".

    NEOEN a annoncé mercredi avoir sécurisé une nouvelle tranche de dette de 1,4 milliard de dollars australiens.

  • | OPENING BELL |

    CAC 40 +0,26%

    BEL 20 +0,22%

    FTSE 100 +0,16%

    AEX +0,17%

    DAX +0,05%

  • Unicredit annonce détenir environ 28% du capital de Commerzbank

    Unicredit  , deuxième groupe bancaire italien, a annoncé détenir désormais "environ 28%" du capital de la banque allemande Commerzbank  . La participation totale d'Unicredit "est désormais d'environ 28%, dont 9,5% de participation directe et environ 18,5% à travers des instruments dérivés", précise le communiqué de la banque italienne.

  • Le point sur les marchés avant l'ouverture

    Les principales bourses européennes sont attendues hésitantes à l'ouverture, les investisseurs se positionnant avec prudence avant la décision de la Réserve fédérale (Fed) sur les taux, annoncée dans la soirée.

    → Les contrats à terme suggèrent une ouverture stable pour le CAC 40 parisien, contre une hausse de 0,22% pour le FTSE à Londres, un déclin de 0,1% pour le Dax à Francfort, et une revalorisation de 0,02% pour l'EuroStoxx 50.

    "La Fed a toujours suivi les prix de marché. Et lorsqu'elle n'apprécie pas ces prix, la banque centrale a toujours réussi à le faire savoir à l'avance", rappellent les stratégistes d'ING. Les marchés monétaires attendent une baisse de 25 points de base. Les investisseurs seront également attentifs au discours du président de l'institution, Jerome Powell, ainsi qu'aux prévisions mises à jour de la banque centrale.

    "L'élément clé pour les marchés est de savoir si la Fed fera une pause dans son cycle d'assouplissement monétaire à l'occasion de sa réunion de janvier", résume ING. L'incertitude demeure en effet élevée aux États-Unis: l'inflation s'y montre résistante et les marchés du travail demeurent solides, tandis que les mesures que prendra le nouveau président élu Donald Trump sont encore à préciser.

  • Royaume-Uni: l'inflation grimpe à 2,6% en novembre, comme prévu

    L'inflation britannique a progressé en ligne avec les attentes en novembre, à 2,6% sur un an, montrent les données publiées par l'Office national de la statistique (ONS). Les économistes interrogés par Reuters tablaient sur une hausse de 2,6% des prix à la consommation le mois dernier après 2,3% en octobre. En rythme mensuel, l'inflation a progressé de 0,1% en novembre, en ligne avec le consensus et après +0,6% en octobre.

    L'inflation sous-jacente, qui ne prend pas en compte les éléments les plus volatils du panier de consommation, est ressortie à 3,5% sur un an et stable sur un mois contre respectivement 3,3% et 0,4% en octobre. Le consensus était respectivement de 3,6% sur un an et d'une inflation sous-jacente stable sur un mois.

  • Gimv vend ses parts dans la société allemande Köberl

    La société d'investissement Gimv   a annoncé avoir vendu sa participation majoritaire dans Köberl Group, l'un des principaux fournisseurs allemands de services de gestion des installations et de technologie du bâtiment, à la société hongroise B+N Referencia. La transaction devrait être finalisée au cours du premier trimestre 2025.

    Gimv prévoit un impact positif d'environ un euro par action sur la valeur nette d'inventaire au 30 septembre 2024. Le rendement obtenu dépasse largement l'objectif de rendement à long terme du portefeuille, précise Gimv, qui ne divulguera pas d'autres détails financiers de la transaction. Lire le communiqué

  • Moody's dégrade la note de sept banques françaises

    L'agence de notation Moody's, qui a récemment dégradé la note de la France, vient également de dégrader la note de sept banques françaises, dont BNP Paribas   et Crédit Agricole . Selon elle, "les finances publiques de la France seront considérablement affaiblies au cours des prochaines années, car la fragmentation politique est plus susceptible d'empêcher un assainissement budgétaire significatif".

    "L'incertitude grandit quant à la capacité du prochain gouvernement français à réduire le déficit au-delà de l'année prochaine."

    Moody's
  • VGP conclut un nouvel accord avec le fonds suédois AREIM

    VGP , en collaboration avec le  fonds immobilier scandinave AREIM, a apporté de nouvelles propriétés à leur joint venture SAGA. La deuxième opération de ce partenariat comprend la vente de quatre bâtiments logistiques en France, en Allemagne, en République tchèque et en Slovaquie.

    Les bâtiments sont répartis dans quatre parcs VGP différents. La transaction ajoute un premier site français à SAGA. La valeur brute de cette nouvelle transaction s'élève à 120 millions d'euros, dont 88 millions d'euros seront versés en espèces à VGP. Suite à cette transaction, le portefeuille de SAGA se compose désormais de 21 bâtiments entièrement loués, représentant 564.000 m² d'espace logistique. Lire le communiqué

  • Proximus réorganise son pôle international et le valorise deux fois plus que son activité nationale

    Proximus   a annoncé mardi la refonte totale de son activité internationale. Le groupe va rassembler l'ensemble de son business réalisé hors Belgique dans une seule et même entité. Concrètement, d'ici la fin de l'année, l'activité de sa filiale BICS sera intégrée au sein de son autre filiale internationale, Proximus Opal. Celle-ci rassemblait déjà Telesign et Route Mobile.

    Pour réaliser sa réorganisation, Proximus a dû s'atteler à valoriser l'ensemble de ces trois activités. "Cette transaction, sans impact sur la trésorerie et l'endettement de Proximus, valorise Proximus Global à une valeur de fonds propres d'environ 3,1 milliards d'euros", indique l'entreprise.

  • La rentabilité des gérants de fortune au plus bas depuis 2008

    La marge bénéficiaire moyenne dégagée par les gestionnaires de fortune, exprimée en points de base par rapport aux actifs sous gestion, est passée de 15 points fin 2021, à seulement 11 points fin 2023. Une érosion qui s'explique par une double pression: des revenus en baisse et des coûts en forte augmentation.

    D'un côté, l'essor des fonds indiciels cotés en bourse, mieux connus sous le nom de trackers ou ETF, pèse lourdement sur les revenus des gestionnaires. Ces outils permettent aux investisseurs de suivre un indice boursier à des frais très réduits, alors que les fonds traditionnels proposés par les banques restent plus coûteux, sans pour autant garantir de meilleures performances. Les jeunes, en particulier, plébiscitent ces solutions.

    De l'autre, les gestionnaires doivent faire face à des investissements croissants, tant pour se conformer à des réglementations toujours plus strictes que pour suivre le rythme effréné des avancées technologiques.

  • Kioxia signe des débuts remarqués à la Bourse de Tokyo

    Kioxia, géant japonais des puces mémoires, a bondi de 14% pour ses premiers pas à la Bourse de Tokyo, y réalisant la deuxième plus grosse introduction de l'année en plein essor de la production de semi-conducteurs dans le pays. Au vu du capital proposé, le prix d'introduction valorisait l'ensemble de Kioxia à 780 milliards de yens au total, soit 5,1 milliards de dollars. Avec le bond du jour de son action, cette valorisation a grimpé à 890 milliards de yens, soit 5.8 milliards de dollars.

    Ex-filiale du conglomérat industriel Toshiba (alors appelée Toshiba Memory), Kioxia a été rachetée en 2018 par le fonds d'investissement américain Bain Capital. Elle espère surfer sur la demande en semi-conducteurs pour l'intelligence artificielle. L'entreprise est aujourd'hui numéro trois mondial des puces mémoires Flash NAND, utilisées dans les appareils électroniques du quotidien, comme les smartphones et les disques durs, et dans les équipements industriels et médicaux.

    Le prix d'introduction de Kioxia avait été fixé à 1.455 yens, au milieu de la fourchette provisoire initiale. L'entreprise a émis environ 21,5 millions de nouveaux titres, en plus de quelque 61 millions d'actions existantes vendues sur le marché par ses actionnaires actuels: l'opération leur a permis de lever environ 120 milliards de yens (800 millions de dollars).

    Nobuo Hayasaka, President et CEO de Kioxia Holdings Corporation.
    Nobuo Hayasaka, President et CEO de Kioxia Holdings Corporation. ©EPA
  • Vers une fusion entre Honda et Nissan?

    Selon plusieurs médias, qui citent des sources proches du dossier, Honda et Nissan ont ouvert des négociations pour renforcer leurs liens et discutent notamment d'une éventuelle fusion, alors que les deux constructeurs automobiles japonais font face à une concurrence accrue à l'échelle mondiale de la part des constructeurs de véhicules électriques.

    Ces discussions permettraient à Honda et Nissan, respectivement deuxième et troisième constructeurs automobiles japonais, de coopérer davantage en matière de technologie et de rivaliser avec Toyota, premier constructeur nippon.

    Une telle opération, si elle venait à voir le jour, pourrait devenir la plus importante dans le secteur automobile depuis la fusion à 52 milliards de dollars entre Fiat, Chrysler et PSA qui a donné naissance à Stellantis en 2021.

    → L'annonce a fait s'envoler l'action Nissan, qui a gagné plus de 23% à la Bourse de Tokyo avant d'être suspendue, tandis que Honda perd près de 4%.

  • La Fed devrait signaler qu'elle sera moins généreuse en 2025

    Changement de ton en vue à Washington. Ce mercredi, la Réserve fédérale (Fed) annoncera certainement une nouvelle baisse de ses taux d'intérêt, mais elle devrait aussi faire comprendre aux investisseurs qu'ils doivent s'attendre à moins d'assouplissements monétaires l'année prochaine.

    Les taux directeurs des États-Unis devraient diminuer de 25 points de base (0,25 point de pourcentage), prévoient la plupart des économistes. C'est aussi l'avis des investisseurs: d'après l'outil CME Fed Watch, basé sur les contrats à terme sur les taux américains, il y a plus de 95% de chances que la Fed réduise le loyer de l'argent d'un quart de point.

    Le taux des fonds fédéraux, référence des marchés US, devrait ainsi se retrouver dans une fourchette allant de 4,25% à 4,5%, un niveau inédit depuis mars 2023.

  • Ce qu'il faut retenir de la séance à Wall Street

    La Bourse de New York a terminé en baisse mardi, montrant des signes de fébrilité avant la décision de la banque centrale américaine (Fed), les opérateurs s'interrogeant sur la capacité du marché à repartir de l'avant. Le Dow Jones s'est replié de 0,61%, l'indice Nasdaq de 0,32% et l'indice élargi S&P 500 de 0,39%.

    • À la cote, le laboratoire Teva a été catapulté (+26,47%) par des résultats jugés encourageants d'essais cliniques relatifs à un nouveau traitement contre l'inflammation intestinale, développé conjointement avec Sanofi. 
    • Un autre groupe pharmaceutique, l'américain Pfizer (+4,67%), a profité de prévisions qui tablent sur un chiffre d'affaires 2025 dans la même fourchette que celui de l'exercice en cours, pour lequel il a confirmé mardi sa projection. Les investisseurs ont aussi été sensibles à l'objectif d'un bénéfice net par action hors éléments exceptionnels en hausse lors du prochain exercice comptable. 
    • Les jours se suivent et se ressemblent pour Tesla (+3,64%), en lévitation depuis la victoire électorale de Donald Trump, dont est proche le patron du constructeur automobile, Elon Musk.
  • Good morning!

    Bonjour à toutes et tous! Bienvenue sur le "Market Live" de L'Echo, où vous pouvez suivre "minute par minute" les grandes tendances de l'actualité économique et financière de ce mercredi 18 décembre 2024.

    À l'agenda: la séance devrait une nouvelle fois être marquée par l'attentisme, alors que la Fed devrait annoncer une nouvelle baisse de taux ce soir après la clôture des marchés européens.

    ©ISOPIX

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