Wall Street en ordre dispersé | L'Europe en léger recul

Les marchés US ont reçu un sérieux de coup de pouce du président Trump pour terminer cette semaine difficile sur une note positive. Le locataire de la Maison-Blanche a confirmé en cours de séance le réchauffement des relations entre son pays et la Chine. Pékin souhaite concrétiser un accord commercial et du coup voir se réduire les sanctions américaines sur ses importations. Donald Trump a qualifié d'"assez complètes" les propositions faites par la Chine, tout en disant que les conditions pour aboutir à un accord n'étaient pas encore réunies. Un commentaire qui a donné du tonus aux trois indices.

Le Dow Jones (+0,49%) et le S&P 500 (+0,22%) ont augmenté leurs gains après ses informations tandis que le Nasdaq (-0,15%), lesté par les nouveaux déboires de Facebook (-3,00%), est parvenu à limiter ses pertes.

Le secteur des semi-conducteurs a été très affecté par la chute de 18,76% de Nvidia. Le concepteur de puces graphiques a fait état d'un chiffre d'affaires du troisième trimestre inférieur aux attentes et sa prévision pour le trimestre en cours a également déçu.

Dow Jones: +0,50%

Nasdaq: -15% 

S&P 500: +0,23%

Les cours du pétrole se sont stabilisés sur le marché new-yorkais Nymex, tiraillés entre les espoirs d'une annonce prochaine d'une baisse de la production et la persistance des craintes entourant la surabondance de l'offre.

> Le contrat décembre sur le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) a terminé inchangé à 56,46 dollars le baril. Le baril de Brent à échéance en janvier a pris 14 cents (0,21%) à 66,76 dollars.

L'Opep et ses alliés discutent d'une proposition de baisse de la production pouvant aller jusqu'à 1,4 million de barils par jour (bpj) pour 2019 afin de soutenir les cours, ont rapporté cette semaine à Reuters des sources proches du dossier. La Russie ne souhaite pas s'associer à cette baisse, a appris Reuters auprès de deux sources russes haut placées. Une réunion entre l'Opep et ses alliés est prévue le 6 décembre. 

Le réchauffement des relations entre la Chine et les Etats-Unis a été confirmé par le président Trump. Selon lui, Pékin souhaite un accord commercial avec les Américains, qui pourraient ne pas avoir à imposer de nouveaux droits de douane dans le conflit qui oppose les deux premières puissances mondiales. Le président américain a qualifié d'"assez complètes" les propositions faites par la Chine en la matière, tout en disant que les conditions pour aboutir à un accord n'étaient pas encore réunies.

> Le Dow Jones et le S&P-500 ont augmenté leurs gains après ses informations tandis que le Nasdaq, lesté par Facebook, réduisait ses pertes. Le rendement des emprunts d'Etat américains à 10 ans a perdu jusqu'à quatre points de base pour toucher un plus bas du jour à 3,066%. 

Les investisseurs sont restés attentistes alors que les principales incertitudes pour les marchés demeurent. Les valeurs technologiques ont souffert. Vivendi s’est distinguée.

L’attentisme a prévalu sur les places boursières. En l’absence de changement dans le contexte économique et politique dominé par le ralentissement de la croissance économique mondiale, la guerre commerciale entre les Etats-Unis et la Chine ou encore les risques liés au Brexit et au budget italien, les marchés européens ont terminé en très légère baisse.

Les grands indices boursiers affichaient un recul négligeable: à Paris, le Cac 40  a perdu 0,17%, à Francfort, le Dax  a cédé 0,11% et à Londres, le FTSE 100  a reculé de 0,34%.

Les valeurs technologiques ont enregistré la plus nette baisse sectorielle du jour. Plusieurs facteurs expliquent cette mauvaise passe des technos. Premièrement, l’américain Nvidia, spécialiste des processeurs graphiques 3D, a publié des résultats inférieurs aux attentes jeudi soir. Ses prévisions ont particulièrement déçu. Idem pour Applied Materials, le plus grand fabricant d’appareils de production de semi-conducteurs: ses anticipations pour le premier trimestre sont apparues bien en dessous des prévisions des analystes.

En réaction, les actions de plusieurs valeurs technologiques européennes se sont repliées. Épinglons notamment la baisse d’ASML Holding , concurrent néerlandais d’Applied Materials, dont l’action a perdu 2,99% à 147,74 euros. Dans le même secteur, l’allemand Infineon  a abandonné 2,98% à 17,11 euros et le français STMicroelectronics  s’est replié de 1,18% à 12,20 euros.

ABN Amro  a perdu 1,96% à 22,46 euros. À l’occasion d’une rencontre avec les investisseurs, la banque néerlandaise a publié de nouveaux objectifs financiers pour les deux prochaines années, à savoir un ratio coûts/revenus attendu à 56 à 58% et un ratio de distribution du dividende (payout) supérieur à 50%. Les investisseurs espéraient manifestement davantage.

En Bourse de Paris, Vivendi  a bondi de 3,09% à 21,67 euros. Le groupe de médias a publié des résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre, notamment grâce à une belle performance de sa maison de disque Universal Music Group, que Vivendi avait renoncé à mettre en Bourse l’été dernier.

Bel 20: +0,10% à 3.529,82 points

AEX: -0,47% à 522,43 points

Cac 40: -0,17% à 5.025,20 points

Dax: -0,11% à 11.341 points

FTSE 100: -0,34% à 7.013,88 points

A moins d'une heure de la clôture, les principaux indices boursiers sont proche de l'équilibre. Après avoir viré au rouge à la mi-journée, les marchés européens se sont repris après l'ouverture de Wall Street. A 16h45, le Cac 40  cède 0,05%, le Dax  gagne 0,1% et le FTSE 100  perd 0,2%. A Bruxelles, le Bel 20  gagne 0,15%.

L'indécision est également de mise à Wall Street, où le Dow Jones  progresse tandis que le Nasdaq  reste en repli.

Les propos du Vice-président de la Fed qui entrevoit l'arriver des taux directeurs américains à un niveau "neutre" pèsent sur le dollar.

Alors qu'il évoluait à l'équilibre juste avant l'intervention du banquier central américain, l'indice dollar, qui reflète le niveau du billet vert face à un panier de grandes devises mondiales, a brusquement perdu jusqu'à 0,5%.

La devise des Etats-Unis cède du terrain face à l'euro  et à la livre sterling .

La production manufacturière des Etats-Unis a augmenté pour le cinquième mois d'affilée en octobre, et un peu plus que prévu, en dépit d'une nette contraction de la production du secteur automobile.

La Réserve fédérale a annoncé vendredi que la production manufacturière avait augmenté de 0,3% le mois dernier après un gain de 0,3% (+0,2% en première estimation) en septembre.

Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une hausse de 0,2%.

L'action Solvay  affiche la plus nette baisse parmi les composants de l'indice Bel 20 ce vendredi. Le titre du groupe de chimie se replie de 2,17% peu après l'ouverture de Wall Street.

En début de mois, l'action Solvay avait enregistré un net rebond (+4% sur la semaine achevée le 2 novembre), sur des espoirs de bons résultats trimestriels. Ces derniers, publiés la semaine dernière, avaient donné lieu à des prises de bénéfices. Le même schéma s'est reproduit ces derniers jours: après un début de semaine globablement positif, le titre du groupe belge subit des prises de bénéfices ce vendredi.

La bourse de New York a entamé la séance du jour en repli. Dans les premiers échanges, le Dow Jones  perd 0,25% et le Nasdaq  recule de 0,90%.

Wall Street est attendue dans le rouge à l'ouverture tandis que les Bourses européennes sont reparties à la baisse vendredi à mi-séance, la fébrilité reprenant le dessus avec le recul des valeurs technologiques dans le sillage de la publication jugée décevante de Nvidia et les difficultés politiques de Theresa May sur le Brexit.

Les futures sur indices new-yorkais signalent une ouverture de Wall Street en baisse de 0,6% pour le Dow Jones, de 0,7% pour le S&P et de 1,3% pour le Nasdaq, ce dernier étant pénalisé par les prévisions inférieures aux attentes de Nvidia.

En Europe, l'indice DJ Stoxx 600 glisse de 0,6%. Bruxelles perd 0,51%, Amsterdam 0,50%, Paris 0,56% et Londres 0,77%.

Le brasseur belge AB InBev, l'équipement de fitness italien Technogym, la société de biotechnologie Evolva et le
Kerry Group font partie des entreprises susceptibles de bénéficier de la fréquence croissante du diabète, estime les analystes de Berenberg.

Le nombre de patients diabétiques devrait doubler d'ici 2025, ce qui risque de mettre à mal le programmes de santé financés par des fonds publics en Europe, incitant les autorités à prendre des mesures réglementaires dans le secteur des aliments et des boissons similaire comment celles ayant touché le secteur du tabac dans le passé, explique Asad Farid, analyste chez Berenberg.

Les industries qui bénéficieront des efforts de lutte contre le diabète comprennent, par exemple, celles responsables du développement d'appareils de nouvelle génération de surveillance continue du glucose, celles spécialisées dans les produits naturels hypocaloriques édulcorants ainsi que les exploitants de gymnases et exploitants d’hôpitaux, notamment au Moyen-Orient et Afrique du Nord.

Les actions à surveiller sont PureCircle, Evolva, Kerry Group, Gymnase, Weight Watchers, Abbott et Senseonics, Technogym...

Quant à AB InBev, quatre de ses vingt marques américaines de bières font partie de la catégorie "très basses calories" de Berenberg, avec en ligne de mire la Michelob ULTRA commercialisée en tant que produit correspondant à un mode de vie sain.

Le broker Macquarie abaisse sa recommandation sur Telenet à "sous performance" contre "neutre". L'objectif de cours est abaissé à 35 euros contre 45 euros, ce qui implique une baisse de 17% par rapport au niveau actuel de l'action qui s'échange 42,30 euros.

Le cabinet d'avocats Freshfields conseillera Nyrstar sur les options de financement qui s'offre à l'entreprise, a confirmé un porte-parole de la fonderie de zinc vendredi.

"La nomination d'un avocat s'inscrit dans le cadre du processus de révision de la structure de notre endettement annoncé précédemment", ajouté un porte-parole de Nyrstar en réponse à un courriel envoyé par Bloomberg.

Une porte-parole de Freshfields n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire.

Un peu plus tôt ce matin, Bloomberg annonçait que des discussions seraient actuellement en cours avec Trafigura (le principal actionnaire du smelter) et des banques afin d'apporter un soutien financier à Nyrstar.

Le titre bondit de 48,82% à 1,29 euro.

Les résultats trimestriels et les prévisions pour le trimestre en cours inférieurs aux attentes du concepteur de puces Nvidia expliquent la chute de 17% de l'action représentative en avant-Bourse à Wall Street.

Applied Materials, l'équipementier pour la fabrication de semi-conducteurs, a également fait état de prévisions trimestrielles décevantes, ce qui entraîne une baisse du titre de 7,5% dans les échanges avant-Bourse.

Dans son sillage, Micron Technology cède environ 4,2%, et Advanced Micro Devices 5,3%.

Dans ce contexte, le secteur technologique américain, récemment fragilisé par les perspectives décevantes des fournisseurs d'Apple, sera de nouveau très surveillé à l'ouverture de Wall Street.

Le Brexit et les tensions entre Rome et ses partenaires européens sur le projet de budget italien ont pesé sur le sentiment des investisseurs, mais "le véritable éléphant dans le magasin de porcelaine reste le différend commercial entre les Etats-Unis et la Chine", rappelle Patrick Moonen, stratége multi-actifs de la société de gestion NN Investment Partners.

"Un accord pour poursuivre les discussions sur le commerce serait déjà considéré comme positif et pourrait enfin déclencher le rallye de fin d'année que tout le monde espère", estime-t-il en soulignant que d'ici là, les enchères risquent de monter.

Les marchés ont sans doute un peu vite écarté le risque "Rocket Man", surnom donné par le président américain Donald Trump à son homologue nord-coréen Kim Jong-un, mais il pourrait rapidement revenir sur le devant de la scène à la faveur des tensions entre la Maison blanche et Pékin sur les questions commerciales.

Pour Rory Green, analyste chez TS Lombard, Pékin lie en effet étroitement la question du différend commercial avec Washington et celle de la Corée du Nord.

"L'interprétation de Pékin après la rencontre entre Trump et son homologue chinois Xi Jinping dans la résidence du président américain à Mar-a-Lago en Floride en avril 2017 était que la Chine persuaderait Kim de participer au sommet de Singapour et qu'en contrepartie, les Etats-Unis atténueraient les pressions commerciales sur la Chine. Ayant rempli sa part du contrat, Pékin se sent lésé, sa pression économique et diplomatique sur la Corée du Nord n'ayant pas été payée de retour", explique-t-il.

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L'Agence fédérale de la Dette communique que la fourchette du montant qui sera adjugé lors de la prochaine adjudication d'OLO le lundi 19 novembre 2018, est comprise entre 2,9 et 3,4 milliards d'euros.

 Quatre lignes d'OLO seront adjugées :

1. OLO 0,50% 22/10/2024 (OLO 82)
2. OLO 0,80% 22/06/2028 (OLO 85)
3. OLO 3,00% 22/06/2034 (OLO 73)
4. OLO 2,25% 22/06/2057 (OLO 83)

L'inflation dans la zone euro s'est accélérée au mois d'octobre pour atteindre son rythme le plus soutenu depuis près de six ans, tirée par les prix de l'énergie, montrent les données définitives publiées vendredi
par l'office statistique de l'Union européenne, Eurostat, qui confirment sa première estimation.

Les prix dans les 19 pays partageant la monnaie unique ont augmenté de 2,2% en variation annuelle le mois dernier, contre 2,1% en septembre et 2,0% en août.

Ces données sur l'inflation confortent la décision de la Banque centrale européenne de mettre un terme à son programme de rachat d'obligations à la fin de l'année, l'inflation dépassant désormais son objectif d'un rythme légèrement inférieur à 2%.

En revanche, hors énergie et produits alimentaires non transformés - les deux éléments les plus volatils de la statistique - la hausse des prix dans la zone euro a été révisée en baisse, à 1,2% sur un an contre 1,3% en première estimation, tout en restant supérieure au rythme de 1,1% du mois de septembre.

Le titre du géant des médias Vivendi progresse de 5% à la Bourse de Paris, soutenu par des ventes supérieures aux attentes au troisième trimestre, grâce notamment à sa filiale Universal Music Group (UMG).

Les ventes de Vivendi au troisième trimestre sont ressorties "2% au-dessus des attentes (...), une performance tirée principalement par UMG et Havas", ont commenté dans une note les analystes de Bryan Garnier.

Ces derniers précisent en effet que "les tendances ont été meilleures au troisième trimestre" pour la filiale Universal Music Group de Vivendi, "le streaming continuant de s'accélérer après un deuxième trimestre solide, et les ventes physiques s'améliorant".

Le chiffre d'affaires d'UMG est ressorti à 1,495 milliard d'euros, soit "3% au-dessus du consensus", ont-ils relevé.

Lors d'une conférence téléphonique avec les analystes, les dirigeants se sont montrés confiants sur les perspectives du groupe d'ici la fin de l'année.

Les entreprises belges sont dans l’expectative. D’un côté, elles ont envie de se réjouir de l’accord intervenu. De l’autre, elles se demandent si ce dernier va passer le cap anglais. Surtout, elles s’interrogent à quelle sauce anglaise elles seront soumises dans le cadre du nouvel accord commercial qui doit encore être discuté.

• Notre analyse ici: Les entreprises belges attendent que la brume anglaise se dissipe

Le président de la Banque centrale européenne (BCE) Mario Draghi a déclaré vendredi que le cycle de croissance était résistant malgré un passage à vide temporaire, tout en soulignant que la reprise de l'inflation pourrait être plus lente que prévu.

"Si les entreprises commencent à devenir plus incertaines quant aux perspectives de croissance et d'inflation, la compression des marges pourrait s'avérer plus persistante", a-t-il dit au Congrès bancaire européen.

"Cela affecterait la rapidité de la remontée de l'inflation sous-jacente et donc l'évolution de l'inflation que nous nous attendons à observer au cours des prochains trimestres", a-t-il ajouté. "Les incertitudes autour des perspectives à moyen terme se sont accrues."

Le président de la BCE a par ailleurs confirmé anticiper un arrêt du programme de rachats de 2.600 milliards d'euros d'obligations de la BCE au mois de décembre.

Le rendement du Bund à 10 ans allemand a atteint son plus haut du jour à 0,375% après ces propos de Mario Draghi.

La livre sterling reprend des couleurs vendredi face au dollar (+0,4% à 1,28 dollar) et à l'euro (+0,14% à 88,6 pence) après avoir accusé jeudi sa plus lourde baisse journalière depuis octobre 2016.

Mais la devise britannique devrait rester pénalisée par les incertitudes persistantes autour du Brexit.

"Les troubles politiques ne sont jamais bons pour une devise mais dans le cas du Royaume-Uni, la livre pourrait tomber à 1,25 contre le dollar dans la perspective d'un Brexit sans accord, d'un changement à la tête du gouvernement et d'un ralentissement de la croissance", estime Kathy Lien, chez BK Asset Management.

"La livre est un peu comme Theresa May pour l'heure. Sérieusement abîmée par les répercussions du projet d'accord sur le Brexit, secouée par une série de démissions mais pour le moment aidée par une forme de ténacité", estime Connor Campbell, analyste chez Spreadex.

Vivendi monte de plus de 5%, dopé par la hausse de ses ventes au troisième trimestre.

Vallourec chute de 22% à l'ouverture après ses résultats du troisième trimestre, des analystes mettent en avant la faiblesse du cash-flow.

Le fabricant de tubes sans soudure a annoncé une hausse de ses performances opérationnelles du troisième trimestre 2018, tirées une nouvelle fois par le rebond du marché pétrolier et gazier. Il a aussi dit s'attendre à une fin d'année solide, malgré un ralentissement temporaire de la demande aux Etats-Unis.

Les indices actions européens démarrent la semaine du bon pied, aidés par la clôture positive de Wall Street la veille, dans un marché qui promet de rester focalisé sur les derniers développements autour du Brexit.

• Bruxelles: +0,60%
• Amsterdam: +0,55%
• Francfort: +0,67%
• Paris: +0,63%
• DJ Stoxx 600: +0,55%

ATENOR - Dans son rapport sur ses activités au troisième trimestre publié jeudi soir après la clôture des marchés, Atenor détaille l'évolution des 18 projets de son portefeuille immobilier représentant un total de 800.000 mètres carrés.

Le promoteur immobilier évoque aussi ses perspectives pour le reste de l'année. " La croissance économique au niveau européen connait un léger ralentissement", concède-t-il. "En outre, des facteurs macro-économiques créent un climat d’incertitude. Dans un tel contexte, forte de son implantation internationale, Atenor conserve une très haute sélectivité dans le choix de ses nouveaux investissements."

→ Le communiqué d'Atenor

NYRSTAR - Selon Bloomberg, Trafigura Group, le principal actionnaire de Nyrstar, et un groupe de banques sont en discussion avancées pour fournir une nouvelle tranche de financement au géant du zinc en difficultés.

→ Notre article

SIOEN - Le groupe spécialisé dans les textiles techniques Sioen fait état d'une croissance de 5,2% de ses ventes nettes au troisième trimestre, dans un communiqué publié après la clôture.

Le groupe industriel se montre optimiste pour le restant de l'année: "Le carnet de commandes semble prometteur pour le dernier trimestre de 2018, malgré la situation macro-économique incertaine. Les prix des matières premières clés continuent leur tendance à la hausse. Par conséquent, la discipline des prix continue à être notre point d'attention principal."

→ Le communiqué de Sioen

La Bourse de Tokyo a fini en baisse vendredi, après une journée d'indécision, la hausse de Wall Street tirant en sens positif quand les inquiétudes liées à la politique commerciale américaine et au Brexit entraînent le marché vers le bas. Les deux principaux indices ont oscillé entre hausse et baisse tout au long de la journée.

→ L'indice Nikkei des 225 valeurs vedettes a lâché 0,57% (-123,28 points) à 21.680,34 points.

→ L'indice élargi Topix de tous les titres du premier tableau a reculé de 0,59% (-9,67 points) à 1.629,30 points.

→ ECONOMIE / FINANCE

Allemagne
• 9h30 Discours de Mario Draghi au Congrès bancaire européen

Etats-Unis
• 15h15 Production industrielle / octobre

Zone euro
• 11h Inflation (définitif) / octobre

→ ENTREPRISES

Allemagne
• Premier procès regroupant des investisseurs contre Volkswagen et Porsche dans le cadre du scandale de manipulation des émissions  olluantes

Belgique
• Intervest Offices & Warehouses / Augmentation de capital de 100 millions d'euros au prix de 18,50 euros par action nouvelle. Sept droits d’allocation irréductibles (représenté par le coupon n° 20) donnent le droit de souscrire à deux actions nouvelles. Souscription possible du 15 au 26 novembre.

Etats-Unis
• Viacom resultats 4T et annuels

Finlande
• Rovio: résultats 3T

Bonjour à toutes et tous et bienvenue sur le "market live" de L'Echo, l'endroit idéal pour suivre les principaux événements de cette séance de bourse.