(l'écho) - En Europe, ce volume s'est réduit de 10 % sur la période. Les conditions de marché difficiles combinées au resserrement des crédits ont mis un frein aux grandes opérations supérieures à 1 milliard de dollars observées ces dernières années.
Toutefois, les rachats d'une taille plus modeste n'ont pas suivi le mouvement. La Belgique, caractérisée par des moyennes capitalisations, n'a donc pas plié sous le poids de la crise ambiante. Lieve Creten, partenaire chez Deloitte en charge des fusions-acquisitions, confirme cette tendance. Selon elle, le marché belge se retrouve victime du pessimisme actuel sur les marchés, mais possède encore beaucoup d'opportunités pour les rachats d'entreprises.
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Comment se caractérise le marché belge des fusions-acquisitions ? Subit-il le même marasme que les autres pays ?
Les firmes de private equity sont sanctionnées par le resserrement des conditions de crédits. Ceci a poussé Candover à devoir injecter davantage de fonds propres dans le rachat d'Ontex. Est-ce une tendance générale en Belgique ?
Quels secteurs résistent mieux à un ralentissement des transactions de F & A en Belgique ?
Peut-on espérer une accalmie du côté de la crise au cours des prochains trimestres?
Mais en Belgique, les banques sont moins affectées par la crise des crédits. Freinent-elles les rachats de sociétés?
Parmi les sociétés du Bel 20, quelles sont celles susceptibles d'être reprises par un groupe étranger?
Devra-t-on compter davantage sur des rachats de sociétés belges par des groupes issus des pays émergents?
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