La croissance du nombre de logements loués via les agences immobilières sociales à Bruxelles s'affaiblit au fil des ans. Loyers moins élevés que dans le privé, échéances énergétiques, coûts de la rénovation et incertitudes autour des primes effraient les bailleurs.
Les agences immobilières sociales n'attirent plus les bailleurs bruxellois
La croissance du nombre de logements loués via les agences immobilières sociales à Bruxelles s'affaiblit au fil des ans. Loyers moins élevés que dans le privé, échéances énergétiques, coûts de la rénovation et incertitudes autour des primes effraient les bailleurs.