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chronique

Non, il n'y a pas à arbitrer entre "fin du monde" et "fins de mois difficiles"

Il n’y a pas à se résigner face aux effets de la globalisation ou de progrès technologique et il n’y a pas à arbitrer entre " fin du monde " et " fins de mois difficiles ". Fonctionnement du marché du travail, intensité de la concurrence, amélioration de l’enseignement, promotion de la formation continuée, stimulation de la mobilité sociale, voilà autant de domaines sur lesquels les pouvoirs publics ont prise.