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Altaroc ouvre la porte du private equity aux investisseurs particuliers

Maurice Tchenio et Frédéric Stolar, vétérans du private quity et cofondateurs d'Altaroc.

Altaroc, gestionnaire de patrimoine français fondé par les vétérans du private equity Frédéric Stolar et Maurice Tchenio, élargit son offre au Benelux. Avec un seuil d’entrée fixé à 100.000 euros, l’entreprise souhaite offrir aux investisseurs particuliers l’accès à une classe d’actifs généralement réservée aux investisseurs institutionnels.

“Quelque 94% des entreprises réalisant un chiffre d’affaires supérieur à 100 millions de dollars ne sont pas cotées en Bourse”, avance Thibault Delbarge, Country Head Benelux chez Altaroc. “Le marché du private equity est extrêmement intéressant, mais il reste difficilement accessible aux investisseurs particuliers. Nous voulons changer cela.”

Les particuliers souhaitant investir dans un fonds de private equity d’Altaroc peuvent le faire par le biais d’acteurs renommés tels que CVC, Apax Partners et Main Capital. Altaroc applique en effet un modèle B2B2C (business to business to consumer).

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À propos d’Altaroc

Altaroc est un acteur B2B2C du marché du private equity. Cela signifie que ce gestionnaire de patrimoine atteint les consommateurs via des intermédiaires. Ceux-ci incluent des acteurs renommés tels que CVC, Apax Partners et Main Capital, qui gèrent les fonds levés par Altaroc pour ses investissements en private equity.

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Fort de plus de 35 ans d’expérience, Frédéric Stolar, Managing Partner d’Altaroc, ne cache pas son ambition: démocratiser l’investissement dans les entreprises non cotées: “Selon la fédération française des family offices, certaines des familles les plus fortunées de France investissent jusqu’à 20% de leur patrimoine dans le private equity.”

Un seuil d’entrée particulièrement bas

Altaroc espère séduire les investisseurs belges fortunés avec un seuil d’entrée de 100.000 euros, un montant relativement modeste dans le secteur du private equity.

Frédéric Stolar: “Nous n’investissons que dans les Real Madrid, Manchester City et Bayern Munich du private equity. Retirez d’ailleurs Manchester City de la liste, car ils n’ont pas encore assez d’années de performance au plus haut niveau!”
Frédéric Stolar: “Nous n’investissons que dans les Real Madrid, Manchester City et Bayern Munich du private equity. Retirez d’ailleurs Manchester City de la liste, car ils n’ont pas encore assez d’années de performance au plus haut niveau!”
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“Il n’est pas nécessaire de verser cette somme en une fois”, précise Thibault Delbarge. “Nous investissons sur une période de cinq ans, avec deux moments d’investissement par an. Cela revient donc à 10.000 euros par semestre. Ce seuil bas nous distingue des autres acteurs. Du côté de la banque privée Degroof Petercam, le minimum est fixé à 250.000 euros. Chez ABN AMRO Private Banking, il atteint 5 millions d’euros.”

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Accès aux meilleurs fonds

Altaroc compose ses portefeuilles avec soin, en sélectionnant des fonds de premier plan axés sur la croissance et les rachats d’entreprises. La gestion est confiée à des acteurs renommés comme CVC, Apax Partners et Main Capital. Des gestionnaires qui doivent afficher une expérience de plus de 20 ans, présenter un profil de risque faible et gérer plus de 1 milliard d’euros d’actifs.

Selon la fédération française des family offices, certaines des familles les plus fortunées de France investissent jusqu’à 20% de leur patrimoine dans le private equity.

Frédéric Stolar
Managing Partner d'Altaroc

Frédéric Stolar place volontairement la barre très haut. “Nous n’investissons que dans les Real Madrid, Manchester City et Bayern Munich du private equity. Retirez d’ailleurs Manchester City de la liste, car ils n’ont pas encore assez d’années de performance au plus haut niveau!”

“Ce type de gestionnaire est généralement hors de portée des investisseurs non institutionnels”, ajoute Thibault Delbarge. “Mais grâce à l’expérience de notre équipe, nous pouvons ouvrir des portes qui restent fermées pour d’autres.”

“Chaque région a ses spécificités, c’est pourquoi nous avons constitué une équipe Benelux d’une soixantaine de personnes”, prolonge Frédéric Stolar. “Thibault jouit d’une longue expérience dans la gestion de patrimoine et le private banking, et il connaît bien la culture de ces marchés.”

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Thibault Delbarge: “Altaroc espère séduire les investisseurs belges fortunés avec un seuil d’entrée de 100.000 euros.”
Thibault Delbarge: “Altaroc espère séduire les investisseurs belges fortunés avec un seuil d’entrée de 100.000 euros.”

Patience requise

Altaroc agit également en tant que co-investisseur dans des entreprises dites cibles, c’est-à-dire dans lesquelles les fonds de private equity envisagent d’investir ou qu’ils souhaitent acquérir à terme. Selon Thibault Delbarge, six entreprises belges figurent déjà parmi ces cibles, et notamment des noms bien connus comme DSTNY (télécoms), Team.blue (hébergement Web) et Easyfairs (salons et événements). Les autres sont Lansweeper (logiciels), Efficy (CRM) et Kpler (surveillance énergétique).

Aussi attrayant que puisse paraître le marché du private equity, les investisseurs doivent faire preuve de patience, souligne Thibault Delbarge: “Les investissements en private equity sont peu liquides et exigent un horizon d’environ dix ans.”

Quelque 94% des entreprises réalisant un chiffre d’affaires supérieur à 100 millions de dollars ne sont pas cotées en Bourse. C’est un marché extrêmement intéressant, mais qui reste difficilement accessible aux investisseurs particuliers.

Thibault Delbarge
Country Head Benelux chez Altaroc

Frédéric Stolar nuance toutefois cette contrainte, qui pourrait décourager certains investisseurs particuliers. “Beaucoup de gens investissent dans l’immobilier, là aussi des actifs illiquides, et souvent pour des montants importants. Mais comme l’immobilier est tangible, les investisseurs en ont une perception différente. Les données historiques montrent par ailleurs que le private equity offre la plupart du temps un rendement stable, même en période de ralentissement économique. Ces 20 dernières années, le private equity s’est révélé nettement moins volatil que les investissements cotés en Bourse. Cela dit, les performances passées ne préjugent jamais des résultats futurs.”

Investir dans le private equity comporte des risques de liquidité et de perte en capital. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

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