Le gestionnaire de patrimoine français Altaroc veut rendre le private equity plus accessible aux investisseurs particuliers du Benelux. Grâce à un écosystème complet, une communication renforcée et une plateforme numérique conviviale, l’entreprise vise à démystifier ce marché et à en favoriser la compréhension.
“Nous aimons faire les choses différemment et aller au-delà de la simple offre de produits”, confie Thibault Delbarge, Country Head Benelux chez Altaroc. “Chez nous, il est possible d’investir dans le private equity à partir de 100.000 euros, avec des paiements échelonnés. Nous voulons ainsi permettre à d’autres investisseurs, au-delà des grandes institutions comme les assureurs et les fonds de pension, de découvrir ce marché.”
Cette démocratisation exige toutefois des efforts supplémentaires, notamment en matière de communication. “On peut même parler d’éducation”, sourit Thibault Delbarge. “Beaucoup de gens confondent le private equity avec le capital-risque. Or, nous ne ciblons pas les start-up, car leur profil de risque ne correspond pas aux investisseurs particuliers que nous souhaitons atteindre. Altaroc se concentre sur les fonds de croissance et de rachat, connus pour leurs rendements historiquement stables.”
À propos d’Altaroc
Altaroc est un acteur B2B2C du marché du private equity. Cela signifie que ce gestionnaire de patrimoine atteint les consommateurs via des intermédiaires. Ceux-ci incluent des acteurs renommés tels que CVC, Apax Partners et Main Capital, qui gèrent les fonds levés par Altaroc pour ses investissements en private equity.
Une stratégie de communication ambitieuse
Pour diffuser ce message, Altaroc organise chaque année plus de 300 webinaires et 200 roadshows. Et en collaboration avec la chaîne française d’information en continu BFMTV, l’entreprise produit une série de vidéos informatives sur le private equity. “Sans pour autant promouvoir la marque Altaroc”, précise Thibault Delbarge. “Nous croyons que les particuliers investiront davantage dans le private equity s’ils sont bien informés.”
Son équipe et lui croient certes fermement au potentiel du private equity comme classe d’actifs, mais ils sont conscients que la transparence et la confiance sont absolument essentielles. “Nous répartissons les risques de nos investissements sur plusieurs vintages. Cela signifie que, chaque année, nous répartissons le capital sur six fonds rigoureusement sélectionnés, représentant environ 150 entreprises au total. Et nous communiquons de manière approfondie à ce sujet avec nos partenaires.”
Beaucoup confondent le private equity avec le capital-risque. Or, nous ne ciblons pas les start-up, car leur profil de risque ne correspond pas aux investisseurs particuliers que nous souhaitons atteindre.
Outils numériques
Pour structurer cette communication et faciliter l’accès aux informations, Altaroc a développé un écosystème numérique intuitif adapté à différents types d’utilisateurs. “Nous informons le grand public parce que nous estimons que le private equity reste souvent mal compris”, indique Thibault Delbarge. “Mais nous avons aussi une plateforme dotée d’outils numériques permettant à nos partenaires et investisseurs individuels de suivre leurs investissements de manière transparente et efficace.”
Sur cette plateforme, des partenaires comme les courtiers et les family offices peuvent gérer des informations telles que le suivi des investissements, les données clients ou encore les ordres numériques. “Notre simulateur les aide également à établir des projections financières claires, y compris les rendements attendus sur 10 ou 15 ans.”
Préparer sa retraite
Le simulateur offre enfin aux clients la possibilité de calculer leurs futurs bénéfices, afin qu’ils aient une vision claire de leur rendement potentiel. “Nombre de nos clients en France s’inquiètent pour leur retraite. Il n’en va pas autrement dans le Benelux. Investir dans le private equity peut renforcer leur sécurité financière.”
Nous croyons que les investisseurs investiront davantage dans le private equity s’ils sont bien informés.
“Nombre de nos clients en France s’inquiètent pour leur retraite. Il n’en va pas autrement dans le Benelux. Investir dans le private equity peut renforcer leur sécurité financière.”
“Notre simulateur aide les clients à déterminer combien ils doivent investir aujourd’hui pour obtenir un certain revenu annuel dans 10 ou 15 ans. Nous voulons surtout montrer par là qu’investir dans le private equity n’a pas besoin d’être complexe, à condition d’être bien informé.”
Investir dans le private equity comporte des risques de liquidité et de perte en capital. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.