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La Belgique regorge de pépites entrepreneuriales

I-Deal Development

Même si le contexte actuel est attentiste, " la Belgique constitue un terreau fertile pour les entrepreneurs ", jugent Frédéric Bonan et Nathanaël Blanc chez I-Deal Development. Les capitaux pour réaliser de belles opérations en la matière, abondent. " C’est surtout par son état d’esprit que la Belgique se distingue positivement ", soulignent-ils en illustrant leur propos par deux success-stories récentes.

Les fusions-acquisitions devraient redémarrer très vite en Belgique, pays très réactif et orienté vers les services, assure Frédéric Bonan, CEO d’I-Deal Development, cabinet de conseil aux entreprises spécialisé dans les opérations en capital. “Les acquéreurs potentiels ont pu voir, au fil des deux années écoulées, comment les entreprises qui les intéressent ont résisté à un stress-test majeur et comment elles se comportent en période plus faste. Quant au financement, on peut dire que les capitaux mobilisables ne manquent pas sur le marché. Les ‘réussites industrielles familiales’ belges jouent un rôle stabilisateur très positif, en s’engageant sur la durée. Et la fiscalité des plus-values attire les investisseurs. À mon sens, dès que l’appréhension que l’on ressent encore dans l’économie se sera dissipée, on devrait assister à nombre d’opérations en capital.”

S’il ne minimise pas la pénurie de personnel, Frédéric Bonan estime que la réorganisation suscitée par la crise sanitaire, télétravail en tête, devrait atténuer les tensions. Que le secteur bancaire belge, autrefois assez frileux, se fluidifie et se “désinstitutionnalise”, en assouplissant notamment des ratios qui pénalisaient les entrepreneurs.

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“Le rôle stabilisateur du ‘capitalisme familial’ conjugué à la fiscalité intéressante attire de nombreux investisseurs en Belgique.”

Frédéric Bonan
CEO d’I-Deal Development

Dimension humaine des projets

“En Belgique, les relations interpersonnelles sont plus informelles que dans certains pays voisins, et les gens regardent beaucoup la dimension humaine des projets”, se félicite le dirigeant. “Nous l’avons constaté dans deux projets que nous avons accompagnés”, complète Nathanaël Blanc, Vice-Président chez I-Deal Development. “Pour Nalys, société de certification et de conseil en études cliniques pour l’industrie pharmaceutique, employant 220 personnes et réalisant un chiffre d’affaires de 25 millions d’euros. Nous les avons accompagnés lors de la sortie du capital de deux des trois actionnaires-fondateurs et de la grande firme dont les créateurs étaient issus à l’origine. Nous avons trouvé le partenaire financier capable d’accompagner le fort développement de la structure. Pour franchir toutes ces étapes, nous avons réalisé de nombreuses modélisations afin de limiter l’endettement de l’entreprise et de préserver les intérêts des parties prenantes, entre autres en intégrant le top management au tour de table. Avec nos simulations réalisées, la société bénéficie des techniques d’ingénierie financière utilisées par les fonds, et cela change tout ! Nous restons très attentifs à des opportunités qui pourraient leur permettre d’accélérer leur développement et leur proposons régulièrement d’échanger”.

“Bénéficier des techniques d’ingénierie financière utilisées par les fonds, cela change tout lors d’opération en capital !”

Nathanaël Blanc
Vice-Président chez I-Deal Development

“Pour Dynafin, nous avions commencé à chercher un partenaire auquel adosser cette entreprise de conseil en finance”, se remémore Frédéric Bonan. “Or, l’un des fondateurs est décédé brutalement. Un autre a souhaité changer de vie. Nous avons accompagné le troisième dans la reprise de l’entité, avec un partenaire que nous avions trouvé. Les collaborateurs se sont mobilisés, aucun ne s’est laissé débaucher. Désormais, le patron de Dynafin est également le numéro 1, pour la Belgique, de la société-mère et vice-président mondial.”

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Vers un très bon début d’année 2022

“Je suis très optimiste pour le premier semestre de 2022”, lance Frédéric Bonan. “Nous sortons de trois-quatre mois atypiques, assez attentistes, où malgré la croissance, les prises de décisions semblaient ralenties. Bien sûr, le contexte sanitaire joue, tout comme la légère reprise de l’inflation. Et puis, la transition d’un contexte de chômage élevé à une pénurie de main-d’œuvre et de composants nécessite une adaptation. Après les fêtes, on devrait revenir à une dynamique forte.”

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