Du showroom au lifestyle: l'expansion d'Hervé Gregoir avec "Rêve by Gregoir"

Le samedi d'Hervé Gregoir, concessionnaire auto, moto et e-bike, au château de Diependael: sac de petits pains pour l'équipe de vente, touche de parfum d'érable canadien et messages aux clients VIP.

"Mes samedis suivent une routine bien établie, ce qui me permet de rester focalisé", confie Hervé Gregoir depuis son château de Diependael à Elewijt. Aujourd’hui, le PDG et propriétaire de cinq concessions BMW, Mini et BMW Mottorad lance sa nouvelle marque lifestyle, "Rêve by Gregoir". "Dans le secteur automobile, nous sommes une marque bien établie avec des ambitions de croissance. Cette nouvelle marque nous permet de nous diversifier et d’évoluer davantage. Nous proposons du mobilier design haut de gamme, des bougies parfumées et des diffuseurs", poursuit Gregoir. "La marque doit pénétrer l’univers lifestyle en Europe." À l’image des bougies au parfum d’érable, qui révèlent son amour pour le Canada, le néo châtelain partage sa passion pour les motos avec sa communauté, les Belgian Bikers.

"Même le samedi, je me lève à 6h30. C’est mon jour de travail libre, où je rattrape le retard accumulé durant la semaine."
"Même le samedi, je me lève à 6h30. C’est mon jour de travail libre, où je rattrape le retard accumulé durant la semaine."
©Alexander D'Hiet
Publicité
Publicité

3 bons plans d'Hervé Gregoir

1. Ski nautique à Walem

"Comme le ski nautique est un de mes sports préférés, depuis que je suis propriétaire du château, je suis membre du club de Walem."

2. VTT à Redu

"Un de mes meilleurs amis a une résidence secondaire à Redu. Quand nous faisons une sortie sur un parcours exigeant, je dois m’accrocher plus que mes amis: comme mon travail passe avant tout, j’ai peu de temps pour m’entraîner."

3. Balade à moto le long de la Meuse

"Pour une virée d’une journée à moto, je pars avec mes enfants ou des amis en direction des Ardennes, suivant un itinéraire qui longe la Meuse."

Publicité

6h30 - "C’est mon heure: même le samedi, je me lève à 6h30. Une fois prêt, je ferme la porte de ma maison à Kontich. Je suis un habitué de la boucherie-traiteur Fonteyne à Aartselaar: j’y achète des pistolets, de la charcuterie et quelques douceurs pour le petit déjeuner avec l’équipe de vente de la concession BMW à Puurs: je connais les préférences de chacun d’entre eux."

7h00 - "J’arrive le premier. Tandis que le reste de l’équipe arrive au compte-gouttes, je prends mon premier café de la journée en compagnie d’un vendeur, d’un réceptionniste et d’un agent d’entretien. Ils échangent de bonnes nouvelles, mais aussi leurs préoccupations. J’apprécie énormément ces moments, que je considère tout aussi importants que le reste. Et le fait que certains viennent volontairement plus tôt le samedi montre que ce sentiment est réciproque."

Clément Delépine (Art Basel Paris): "Belleville s’est transformé en hub artistique"
Publicité

7h05 - "Je dispose mes achats sur la table pour que chacun puisse se servir. Hier, j’avais annoncé dans le groupe WhatsApp de l’équipe que c’est moi qui allais m’occuper du petit déjeuner. Récemment, l’un d’entre eux a plaisanté en déclarant que le secret de la réussite de Gregoir résidait peut-être dans les viennoiseries - il y a sûrement une part de vérité là-dedans! (rires) C’est ma façon de leur montrer combien j’apprécie leur travail et leur engagement. Et j’apprécie d’autant plus de partager mon petit déjeuner avec mon équipe que, pendant la semaine, je le prends généralement seul dans mon bureau au château."

Publicité
Publicité

10h30 - "J’arrive au château, prêt à entamer ma sixième et dernière journée de travail de la semaine. Comme les travaux de rénovation touchent à leur fin, j’aide à peaufiner les derniers détails."

©Alexander D'Hiet

12h00 - "Comme tous les samedis midis, j’achète des petits pains à la Boucherie Herremans à Wemmel avant de me rendre au showroom. Je déjeune en compagnie des vendeurs, dans le coin café. Entre-temps, pour rester motivés, nous discutons de questions opérationnelles et stratégiques. Mon fils aîné, Yannick, m’a remplacé au poste de directeur opérationnel. Comme il ne me voit au garage et au showroom que le samedi, je prends le temps de rester un peu plus longtemps. Dylan, mon plus jeune fils, est le responsable du département des motos. On m’informe qu’il y en a une à livrer, ce dont je me charge avec plaisir, après avoir échangé quelques mots avec les vendeurs, les mécaniciens et les clients qui patientent pendant l’entretien de leur moto."

Le samedi de Laure Decock, cofondatrice de RendezVous, le nouveau week-end d'art à Bruxelles

15h00 - "Je me gare dans l’allée du château. Le samedi est mon jour de travail libre, soit le jour où je rattrape le retard accumulé durant la semaine. C’est aussi le moment de souffler un peu. Au programme: mise à jour des mails, validation des factures et envoi de messages aux clients VIP. Cela me permet d’aborder une nouvelle semaine de travail dans les meilleures conditions le lundi."

©Alexander D'Hiet

17h30 - "Je referme la porte du château derrière moi, abandonnant délibérément le travail. C’est la seule façon de profiter pleinement de mon temps libre."

18h00 - "Presque tous les vendredis et samedis soirs, j’invite des amis à dîner chez moi. Une soirée conviviale autour d’un bon verre de vin et d’un repas savoureux, c’est un véritable plaisir. Et cela peut se prolonger jusqu’aux petites heures, car le lendemain, je suis frais et dispo dès 6h30. Le dimanche est ma seule vraie journée de détente de la semaine: je suis injoignable et je consacre toute mon attention à ma famille, du brunch au barbecue."

Publicité