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Le CHU UCL Namur anticipe la réforme des hôpitaux

©rv

Le CHU UCL Namur est né de la fusion de la clinique de Godinne avec celle de Sainte-Elisabeth à Namur. La structure hospitalière n'a cessé de croître.

Né de la fusion du CHU UCL Dinant Godinne et de la clinique et maternité Sainte-Elisabeth à Namur, le CHU UCL Namur a fait preuve de vision. Le CHU UCL Namur a en quelque sorte anticipé la réforme des hôpitaux voulue par la ministre de la Santé Maggie De Block, en nouant très tôt des partenariats avec d’autres institutions hospitalières. Le CHU peut en effet également s’appuyer sur des polycliniques situées à Erpent et à Ciney, ainsi que sur le centre de soins palliatifs Saint-François. Le CHU ratisse même en dehors des frontières, puisque 20% des patients du site de Dinant proviennent de France grâce à un accord transfrontalier.

Rien d’étonnant dès lors à ce que la croissance du site de Godinne figure parmi les plus importantes en Belgique au cours des 30 dernières années, avec un passage de 40 à 150 médecins et de 50.000 à 300.000 consultations par an. Aujourd’hui, le CHU UCL Namur emploie 4.500 personnes et fonctionne avec un budget de 400 millions d’euros par an.

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Cette course à la taille s’est accompagnée d’un investissement constant dans la qualité des soins et des services proposés. Le CHU est à la pointe en matière de chirurgie cardiaque, de transplantation pulmonaire, de laryngologie ou encore de chirurgie maxillofaciale. "Nous avons aussi été les premiers en Belgique francophone à ouvrir un service de gériatrie", rappelle Benoît Libert, directeur général du CHU.

L’écologie n’a pas été négligée : tri sélectif des déchets, cogénération, centrale énergétique au gaz de bois, panneaux solaires. Au total, le jury a été impressionné par la réactivité de cette grosse machine qu’est le CHU face aux nombreux défis que doit affronter le secteur hospitalier.

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