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Les incontournables du week-end

Dans ce numéro de L’Echo, nous vous proposons deux rendez-vous incontournables à quelques jours de la fin de l’année. Tout d’abord, le guide "Épargner en 2024". Ensuite, les actions préférées des analystes pour l’année prochaine, tant belges qu’internationales. Sans oublier quelques interviews qui vont nourrir votre réflexion du week-end: Thomas Dermine, Emmanuel Faber, Jacques Attali et Frédéric Lenoir. Bonne lecture!

Le PEB a un impact considérable sur le prix de vente des immeubles en Belgique. Une maison avec un PEB A en Wallonie, soit le meilleur niveau de performance énergétique, coûte 59.088 euros de plus que la même maison avec un PEB G, relève une étude d’Immoweb sur les logements mis en vente au cours des 12 derniers mois. La différence est moins marquée pour les appartements.

Vos finances en 2024

Suite au net ralentissement de l’inflation, les analystes estiment que le pic de taux est derrière nous. L’économie ralentit sans toutefois inquiéter les observateurs. Dans un tel contexte, les bourses devraient pouvoir afficher d’honnêtes performances. Mais quelles sont les actions préférées des analystes pour 2024? And the winner is…

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Ne manquez pas notre guide axé sur vos finances en 2024. Compte d'épargne, compte à vue, actions, obligations... Dans quels produits financiers devrez-vous investir en 2024 pour faire fructifier vos placements? Nous faisons le point.

Nos interviews du week-end...

"L’inflation alimentaire est là pour durer", pour Emmanuel Faber, président de l’International Sustainability Standards Board (ISSB) et ex-CEO de Danone.

Emmanuel Faber, ex-CEO de Danone.
Emmanuel Faber, ex-CEO de Danone. ©Valentin Bianchi / Hans Lucas

"Les discussions sur l'emploi sont d'une pauvreté intellectuelle rare", selon Thomas Dermine, secrétaire d’État pour la Relance et les Investissements stratégiques.

Thomas Dermine, secrétaire d’État pour la Relance et les Investissements stratégiques.
Thomas Dermine, secrétaire d’État pour la Relance et les Investissements stratégiques. ©Karoly Effenberger

"Nous sommes dans un avion sans cabine de pilotage." Jacques Attali publie "Bienheureux soit notre monde", un titre bien sûr ironique au vu de la situation actuelle. On découvre un Jacques Attali auteur de science-fiction qui nous emmène dans un futur proche, en 2029.

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"Ceux qui ont vraiment le pouvoir, c’est nous. Nous avons le pouvoir, mais nous refusons de l’exercer", regrette Jacques Attali.
"Ceux qui ont vraiment le pouvoir, c’est nous. Nous avons le pouvoir, mais nous refusons de l’exercer", regrette Jacques Attali. ©Dieter Telemans

"Les COP ne suffiront pas: nous avons besoin d’écospiritualité." Dans son nouveau livre, le philosophe et historien des religions Frédéric Lenoir retrace la grande histoire des spiritualités jusqu'à ses derniers soubresauts.

Le philosophe et historien des religions  Frédéric Lenoir.
Le philosophe et historien des religions Frédéric Lenoir. ©BELGAIMAGE

Des élections congolaises sous haute tension

Au Congo, les élections législatives et présidentielles sont perturbées par d'importants problèmes organisationnels. Un report éventuel ne ferait pas nécessairement les affaires du président sortant Félix Tshisekedi. Qui sont les principaux candidats à l’élection présidentielle prévue le 20 décembre?

Une assurance protection juridique étendue vous met à l’abri de nombreux soucis

Cette assurance vous protège notamment contre de longues et coûteuses procédures.
Cette assurance vous protège notamment contre de longues et coûteuses procédures. ©Shutterstock

Notre sélection de vins et de spiritueux à offrir ou à déguster pendant les fêtes

Certaines bouteilles choisies sont proposées sur le marché pour moins de dix euros.
Certaines bouteilles choisies sont proposées sur le marché pour moins de dix euros. ©Shutterstock | Africa Studio
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En 2024, le gaz russe transitant par l'Ukraine représente encore 5% du total des importations de l'UE, contre 11% en 2021.
Le gaz russe donne un nouveau coup de chaud aux prix énergétiques européens
La fin d'un contrat permettant le transit de gaz russe par l'Ukraine rajoute une couche de pression sur les prix du gaz, déjà poussés vers le haut par la baisse des importations de GNL, l'utilisation des stocks et le froid.