Economie

Le Parlement britannique a adopté samedi en urgence une loi visant à prendre le contrôle de British Steel.

En mission aux États-Unis, Sophie Wilmès, vice-présidente du Parlement européen, n'exclut pas des modifications "techniques" de législations dans le cadre d'une négociation. Mais à ce stade, personne au Congrès n'avance de propositions claires.

Les produits européens ne seront pas taxés à hauteur de 20% à leur entrée aux États-Unis, mais de 10%, pendant 90 jours. Les quelque 175 pays et territoires concernés obtiennent le même taux, sauf la Chine.

Les Européens accordent une concession à Washington en suspendant leurs contre-mesures aux droits de douane américains sur l'acier et l'aluminium, qui courent toujours. L'idée: créer de l'espace pour négocier.

Les Vingt-Sept ont validé mercredi les premières contre-mesures proposées par la Commission européenne en réponse aux droits américains sur l'acier et l'aluminium.

Après avoir déjà fait de nombreuses concessions à Trump et à Washington, le premier ministre britanique Keir Starmer peine à redéfinir un cap depuis le choc du "Liberation Day".

La Commission publie un plan pour développer les entreprises de l'IA et attirer des champions du secteur en Europe. Il prévoit, entre autres, une simplification de l'environnement réglementaire.

L'Union européenne mise sur la négociation face aux droits de douane "réciproques" de 20% qui doivent entrer en vigueur à son encontre ce mercredi.

La Commission prépare des mesures de rétorsion, "toutes les options sont sur la table", mais elle continue de miser sur une solution négociée avec Washington.

Le PIB belge perdra quelques plumes. L'emploi sera aussi impacté. Mais il reste beaucoup d'inconnues dans le plan américain et la réponse que l'UE et l'Asie y apporteront.

Le Royaume-Uni est moins touché que l'UE ou la Chine, avec une nouvelle barrière tarifaire américaine de "seulement" 10%. Mais sa situation est extrêmement inconfortable.

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a tendu la main aux Américains pour trouver une solution négociée permettant d'éviter les droits de douane annoncés par Donald Trump. Tout en se disant prête à riposter.

Avec les droits de douane réciproques décrétés contre une série de pays, les États-Unis font basculer le commerce mondial dans une nouvelle ère.

Les députés européens exhortent la Commission à concrétiser rapidement son plan pour protéger la sidérurgie européenne. Ils ont aussi voté une résolution pour soutenir l'industrie à forte intensité énergétique.

Les États-Unis imposeront-ils une taxe généralisée de 20% sur toutes les importations? Ou des droits de douane calculés à la tête du vendeur? Le point avant l'annonce de Donald Trump, attendue à 22 heures.

L’Europe dispose d’un "plan solide" de mesures de représailles, qu’elle se dit prête à prendre si nécessaire face à l'escalade que Donald Trump se prépare à opérer dans sa guerre commerciale.

La Commission a adopté ce mardi une proposition de révision du Fonds européen d'ajustement à la mondialisation (FEM), pour en étendre et en accélérer l'utilisation.

Sauf surprise, le Royaume-Uni n'échappera pas à la vague de tarifs douaniers que la Maison-Blanche annoncera mercredi. Les efforts pour ne pas subir le même sort que l'Union européenne ont pourtant été incessants depuis le début de l'année.

Après avoir fait chou blanc à Washington, le commissaire européen au Commerce s'est rendu à Pékin. Un voyage sous forme de main tendue.