Hein Deprez, le fondateur de Greenyard, envisage de retirer l'entreprise de la bourse avec le soutien d'un partenaire financier, selon les informations de notre rédaction.
L'annonce de fermeture des sept hypermarchés Cora a été concomitante à celle sur la vente des murs des sites à Mitiska Reim. Ces espaces s'ajoutent aux m2 déjà délaissés par des Makro ou encore des Lunch Garden.
Les syndicats ont porté le dossier Cora à la table des gouvernements wallon et fédéral. Sortis "sceptiques" de l'Élysette, ils se montraient plutôt rassurés par l'"écoute" du ministre fédéral de l'Emploi.
L'annonce du projet de fermeture des hypermarchés Cora ne surprend que par son caractère définitif. À l'heure du commerce de proximité, relancer des espaces commerciaux en périphérie n'aura rien d'évident.
Olivier Haller, le CEO de Cora Belgique-Luxembourg, justifie l'annonce de l'intention de fermeture des 7 hypermarchés par la nécessité d'éviter un scénario tel qu’une faillite.
La direction de Cora est enfin sortie du silence dans lequel elle s'était murée depuis des mois. Les salariés, qui attendaient des réponses sur leur avenir, ont dû faire face à l'annonce de la fermeture pure et simple des sept hypermarchés Cora début 2026.
C'est officiel: après Makro, c'est l'enseigne Cora qui disparaîtra du paysage belge début 2026. Un accord a été trouvé pour la reprise des murs. Quelque 1.779 personnes seront licenciées.
Le commerce de détail a progressé plus vite en Belgique que la moyenne européenne en 2024. Le marché se polarise autour des produits sains et des marques de distributeurs.
Alors que les salariés de Cora vivent dans l'incertitude depuis des mois, se heurtant au silence de la direction, un conseil d'entreprise extraordinaire a été convoqué pour ce mardi matin.
Convaincu de l'inutilité de concurrencer les grandes chaînes d'ameublement, Sébastien Mailleux positionne la société familiale liégeoise sur un créneau "premium" et sur un service optimal.
Le retrait d'achats en ligne dans les magasins des trois grandes enseignes belges est en recul. Depuis la crise du covid, la livraison à domicile prend de plus en plus le pas.
Les nouveaux droits de douane décrétés par Donald Trump ne sont pas une mauvaise nouvelle que pour les pays exportant vers les États-Unis. Les entreprises américaines de textile sont elles-mêmes frappées de plein fouet.
Le groupe Colruyt envisage la vente de ses magasins intégrés en France. Mais, il restera présent dans l'Hexagone avec ses enseignes CodiFrance, ZEB et Newpharma.
Nomad Foods (Iglo, Belviva...) estime possible de remonter de 3° la température des aliments surgelés. Objectif: réduire la consommation, et donc la facture d'énergie, ainsi que les émissions de CO2.
Les distributeurs belge Colruyt, néerlandais Superunie et suisse Coop créent une nouvelle alliance d'achats qui doit renforcer leur position face aux géants de l'agroalimentaire.
Les Belges ont acheté pour 17,4 milliards d'euros en ligne en 2024 (+6,7%). Un montant qui repart à la hausse et qui représente 25% de leurs dépenses annuelles.
La cinquième génération est aux commandes de Chaussures Maniet, leader wallon sur le segment de la chaussure, avec 1 million de paires vendues chaque année. Il s'agit d'un des quatre nominés au Family Business Award de L'Echo qui sera remis jeudi.
On croyait la marque Tupperware et ses boites iconiques enterrées en Europe. Elles pourraient faire leur retour grâce au rachat de l'activité française et de la dernière usine européenne. Les salariés belges pourraient avoir un petit bonus.
Le fonds américain Redwood Capital Management devient propriétaire de Hunkemöller. Sa base financière renforcée, la chaîne de lingerie néerlandaise espère pouvoir accélérer sa transformation.