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Fin de séance difficile en Europe | Wall Street finit en baisse

Les actions européennes ont changé de direction en fin de séance, terminant dans le rouge alors que les craintes sur l'inflation reviennent au premier plan. Wall Street finit de nouveau en baisse.
  • Wall Street finit de nouveau en baisse, l'inflation inquiète

    La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi, les opérateurs s'inquiétant de la persistance d'une inflation élevée, mauvaise pour le marché.  

    Le Dow Jones a enchaîné une cinquième séance de baisse, pour la première fois depuis mi-juin. L'indice vedette de Wall Street a ainsi terminé en repli de 0,87% à 34.607,72 points. L'indice Nasdaq, à forte composante technologique, a lui perdu 0,87% à 15.115,49 points, et l'indice élargi S&P 500, 0,77% à 4.458,58 points. 

    Pour Jack Ablin, responsable de l'investissement au sein de la société de gestion Cresset Capital, cette mauvaise passe est liée à une succession de chiffres macroéconomiques décevants, qui interrogent sur la santé réelle de l'économie américaine. 

  • Les actions du luxe ont résisté à la tendance négative

    REVUE HEBDO | Deuxième semaine de baisse en Europe, du jamais vu depuis fin avril. Le secteur du luxe a fait de la résistance. Le Bel 20 a subi l'une des plus fortes baisses. 

  • Grosse claque pour Apple après une décision de justice dans le dossier Fortnite

    Le groupe Apple été condamné par un tribunal à modifier la façon dont il exploite son très lucratif App Store.

    Un juge fédéral a donné raison à la requête d'Epic Games, l'éditeur de jeux vidéos de Fortnite à l'origine de la plainte. La justice américaine a ainsi décidé d'annuler certaines des restrictions imposées par Apple sur la manière dont les développeurs peuvent percevoir des paiements dans les applications.

    La décision de justice indique qu'Apple ne peut pas interdire aux développeurs de fournir des boutons ou des liens dans leurs applications qui dirigent les clients vers d'autres moyens de paiement en dehors du système conçu par d'Apple qui fait payer aux développeurs des commissions allant jusqu'à 30%.

    La décision stipule également qu'Apple ne peut pas interdire aux développeurs de communiquer avec les clients via les informations de contact que les développeurs ont obtenues lorsque les clients se sont inscrits dans l'application. 

    Epic Games n'a pas obtenu gain de cause sur toute la ligne et devra aussi verser des dommages et intérêts à Apple.

    Selon les analystes, la décision de justice aura un impact sur la rentabilité de l'App Store, un magasin numérique qui rapporte plus de 20 milliards de dollars par an à la marque à la pomme avec une marge bénéficiaire supérieure à 75%.

    La décision est un donc revers important pour la plus grosse capitalisation boursière de la planète. L'action Apple, en hausse depuis le début de la séance, a immédiatement lâché plus de 2% une fois la décision de justice tombée.

  • UCB a fondu de 7% cette semaine

  • Les principaux marchés européens sur la défensive

  • Le Bel 20 termine la semaine sur les rotules

  • L'inflation refroidit les marchés boursiers

    À moins de trente minutes de la fin des échanges en Europe, les marchés actions s'essoufflaient après la publication de l'indice des prix à la production aux Etats-Unis, qui ne montre aucun répit sur le front de la montée de l'inflation.

    Avant cette statistique, les Bourses avaient été rassurées vendredi par la relance du dialogue sino-américain et par l'annonce de la Banque centrale européenne du maintien de sa politique monétaire accommodante au moins jusqu'à la fin de l'année.

    Vers 17 heures, le Bel 20 reculait de 0,75% alors que les grands indices européens repassaient dans le rouge. Après un rebond à l'ouverture faisant suite à quatre séances consécutives dans le rouge, Wall Street se réfrénait: le Nasdaq gagnait 0,03% pendant que le S&P 500 et le Dow Jones lâchaient 0,2% et 0,4%.

  • Rien n'arrête l'aluminium et le nickel, l'or et le sucre fondent

    Les cours de l'aluminium et du nickel ont battu record sur record au fil de la semaine, alors que les prix élevés de l'électricité en Chine forcent les fonderies à limiter leur production, malgré une vive demande.

    Pour l'aluminium en particulier, un coup d'Etat en Guinée a nourri les inquiétudes des investisseurs, puisque le pays est le deuxième producteur mondial de bauxite, un minerai essentiel à la création du métal. Vendredi, le prix de la tonne d'aluminium est monté jusqu'à 2.924,50 dollars sur le marché des métaux de Londres, le LME, un plus haut depuis début août 2008.

    De son côté, le prix de l'once d'or a reculé sur la semaine face au ton ferme adopté par plusieurs membres de la Banque centrale américaine (Fed). "Les amateurs d'or vont être en difficulté si la politique monétaire est durcie d'ici la fin de l'année", prévient Han Tan, analyste chez Exinity Group. Pour le métal jaune, une Fed plus prompte à resserrer sa politique monétaire signifie que les obligations américaines voient leurs taux monter.

    Les investisseurs recherchant des valeurs refuges ont alors tendance à privilégier les bons du Trésor américain sur le métal jaune, qui ne verse aucun rendement.

    Enfin, les prix du sucre, qui avaient atteint durant l'été des plus hauts depuis début 2017, ont reculé sur la semaine, alors que la production s'annonce plus abondante que prévu. La tonne de sucre blanc et la livre de sucre brut ont atteint vendredi des plus bas depuis début août, à respectivement 466,30 dollars et 18,90 cents. Lmême mois valait 18,90 cents, contre 19,62 cents sept jours auparavant. js/odee marché s'inquiétait durant l'été de mauvaises conditions météorologiques au Brésil, qui ont endommagé les plantations de canne à sucre du premier exportateur mondial.  

  • Une fintech s'envole à Wall Street

    La société financière Affirm, spécialiste des achats à crédit en ligne, s'envolait en début de séance (+22,62% à 112,88 dollars) après la publication d'un chiffre d'affaires trimestriel supérieur aux attentes et des prévisions séduisantes pour son exercice 2022 (de début juillet à fin juin 2022).  

    Le groupe table sur des revenus en hausse de 33% à 36%, sans tenir compte du récent partenariat avec Amazon, annoncé fin août.

    Le paiement à crédit et échelonné, assez peu en vogue dans le commerce en ligne jusqu'ici, connaît une popularité croissante, dont bénéficie Affirm. 

  • Les techs bien en vue à New York

    Les géants du numérique comme Amazon, Microsoft et Apple, qui avaient fléchi la veille, rebondissent en gagnant chacun environ 0,5%.

    Les groupes chinois cotés à Wall Street comme Alibaba , JD.com, Didi ou encore Tencent Music avancent de 1,5% à 2,7%, portés par l'espoir d'une baisse des tensions sino-américaines.

    Le compartiment de l'énergie (+1%), avec des valeurs comme Exxon Mobil (+1,4%), Occidental Petroleum (+2%), Chevron ou encore Halliburton, enregistre l'une des plus fortes hausses.

    Tracker - Big Tech

  • Wall Street avance

    Les actions américaines évoluent dans le vert, quelques minutes après l'entame des échanges, les inquiétudes des investisseurs s'étant apaisées face à la réduction des mesures de relance des banques centrales et à la répression réglementaire de la Chine. 

    Vers 15h40, le Dow Jones prenait 0,4% avec Intel en tête des hausses. Le S&P 500 gagnait au même instant 0,5%, de quoi tourner le dos à sa plus longue série de pertes depuis juin. Même tendance sur le Nasdaq (+0,6%) où la bonne tenue des valeurs technologiques chinoises redonnait de l’appétit pour le risque aux investisseurs.  

    Le rendement du Trésor à 10 ans a augmenté, tandis que le dollar a continué de baisser par rapport aux autres grandes devises après que des données ont montré que les prix à la production aux États-Unis ont augmenté plus qu'attendu.

  • L'Opep va réviser à la baisse sa prévision "optimiste" pour la demande

    L'Opep va probablement réviser à la baisse lundi sa prévision de demande de pétrole pour 2022, a appris l'agence Reuters auprès de deux sources proches de l'Opep+, la propagation du variant Delta du coronavirus nourrissant les doutes sur la dynamique de reprise du marché.

    Plusieurs sources ont déclaré le 1er septembre que l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés, réunis sous le sigle Opep+, avaient porté leur prévision de demande de pétrole en 2022 à 4,2 millions de barils par jour (bpj) contre 3,28 millions auparavant.

    Certains membres de l'alliance ont toutefois jugé cette nouvelle prévision optimiste, ce qui va probablement entraîner une révision à la baisse. L'Opep doit publier lundi un nouveau rapport sur ses prévisions pour l'offre et la demande de pétrole dans le monde.

    En attendant, les prix de l'or noir s'affichent clairement en hausse. Le Brent et le WTI américain avancent de plus de 2%. 

  • Wall Street | Opening bell

    Dow Jones: +0,55% 
    S&P 500: +0,56% 
    Nasdaq Composite: +0,65% 

  • Hausse plus forte que prévu des prix à la production US

    Les prix à la production aux Etats-Unis ont fortement augmenté en août, dépassant les attentes, ce qui suggère que l'inflation pourrait rester élevée sur fond de tensions dans les chaînes d'approvisionnement, montrent les statistiques officielles publiées ce vendredi.

    Le département du Travail a annoncé une hausse de 8,3% sur un an de l'indice des prix à la production (PPI) pour la demande finale, et de 0,7% par rapport à juillet. La hausse annuelle est la plus élevée observée depuis novembre 2010.

    Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une hausse de 0,6% d'un mois sur l'autre et de 8,2% en rythme annuel. En juillet, l'indice PPI avait augmenté de 1% et de 7,8% sur un an.  

  • Placement privé réussi pour Deceuninck à 3,5 euros

    Deceuninck annonce que le placement privé d'actions Deceuninck par ses actionnaires Allacha et Evalli, soit les véhicules d'investissement des cousins Arnold et Willy Deceuninck, a été réalisé avec succès. 

    Dans le cadre de ce placement privé, qui a été largement sursouscrit, 11.768.072 actions ont été placées par la Banque Degroof Petercam auprès d'une large base d'investisseurs institutionnels au prix de 3,50 euros par action.

    Sur la base des notifications de transparence reçues d'Allacha et d'Evalli, leur participation avant ce placement privé était respectivement de 3,90% et 3,09%.

    Suite à cette transaction, le flottant de Deceuninck est passé de 51,2% à 58,2%.

    La négociation des actions Deceuninck  sur Euronext Brussels était suspendue depuis ce matin en raison de ce placement privé. Elle a repris peu avant 15 heures sur un repli de 3,4% à 3,66 euros. 

    L'action avait clôturé ce jeudi à 3,79 euros et affiche une hausse de 146% sur un an. 

  • Cathie Wood se déleste d'un bon paquet d'actions Tesla

    Les ETF de Cathie Wood ont vendu une partie de leurs actions Tesla au cours des deux derniers jours, profitant de la récente hausse du titre pour la troisième semaine consécutive.  

    Les ETF ARK Innovation, ARK Next Generation Internet et ARK Autonomous Technology & Robotics ont vendu plus de 180.000 actions mercredi et jeudi, selon les mises à jour quotidiennes des transactions.

    Aux cours de clôture, cela porte la valeur totale à près de 139 millions de dollars.

    Les ventes représentent environ 3% de la participation d'ARK dans Tesla et la société détient toujours plus de 4 milliards de dollars, ce qui en fait l'un des 20 principaux détenteurs de Tesla.

    ARK réduit régulièrement ses positions gagnantes pour réinvestir les liquidités dans de nouvelles cibles ou dans des noms existants à forte conviction.

  • Atos grimpe sur fond de rumeurs d'OPA

    Atos, qui évoluait dans le rouge à la Bourse de Paris après l'annonce de sa sortie prochaine du CAC 40, a brutalement changé de direction pour prendre la tête de l'indice vedette avec une hausse de plus de 3%.

    Selon les suiveurs du titre du groupe informatique, des rumeurs circulent sur une éventuelle OPA alors que le cours d'Atos a sérieusement reculé ces derniers mois.  

    Lire | L'action Atos vit très mal son éviction du CAC 40 


  • Deutsche Bank: "Le risque que la correction soit dure augmente"

    De plus en plus de stratèges affirment qu'une tempête se prépare sur le marché boursier américain. Les derniers avis émanent de la Deutsche Bank et de Goldman Sachs. Ils font écho aux déclarations antérieures de Morgan Stanley, Citigroup et Bank of America. 

    Bien que les banques d'investissement aient tendance à être mesurées dans leurs perspectives, il existe des points communs à leurs prédictions selon lesquelles le marché est vulnérable. Les valorisations sont à des niveaux records, les actions n'ont pas cessé de progresser depuis sept mois, l'économie semble faible et la Réserve fédérale se prépare à réduire ses mesures de relance. 

    "Le risque que la correction soit dure augmente", ont écrit les stratèges actions de la Deutsche Bank. "Les corrections de valorisation ne nécessitent pas toujours des retraits du marché, mais elles limitent les rendements." 

    Dominic Wilson, stratège en recherche économique chez Goldman Sachs estime, lui, que "bien que les perspectives générales du marché américain soient solides, le pic d'optimisme cyclique aux États-Unis est peut-être derrière nous."

  • Les producteurs italiens de pâtes craignent le pire

    Les Italiens pourraient bientôt devoir faire face à une forte hausse du prix des pâtes en raison de la chute de la production de blé dur. "Notre famille est dans ce secteur depuis 110 ans, mais nous n'avons jamais connu une telle situation", a déclaré Giuseppe Ferro, directeur général de La Molisana, l'un des plus grands producteurs de pâtes du pays, dans une interview accordée à Il Sole 24 Ore.

    Selon Giuseppe Ferro, les grands producteurs de pâtes se précipitent déjà pour stocker les céréales, qui peuvent être conservées jusqu'à deux ans. Pourtant, dit-il, la semoule de blé, qui est essentielle à la fabrication des pâtes, ne peut se conserver plus d'un mois. 

    La pénurie a déjà un impact sur les coûts de production et entraînera une hausse des prix de détail avant Noël, anticipe le directeur de La Molisana.

  • Luxe et tech profitent de l'élan en Chine

    Les valeurs technologiques chinoises profitaient de l'apaisement du climat avec les autorités chinoises, les médias rapportant, de surcroît, que les approbations données aux jeux vidéo ne sont pas "gelées", mais "freinées".

    Parmi les géants du secteur, Tencent a gagné 2,08%, NetEase 3,14% et JD.com 5,24%.

    En France, les valeurs du luxe, pour qui la Chine est un marché essentiel, tiraient le CAC 40 vers le haut. LVMH, qui a aussi bénéficié d'une recommandation favorable des analystes de la banque HSBC, gagnait 2,19%, à 672,80 euros. Dans son sillage, Kering prenait 1,59%, à 707,10 euros, et Hermès 1,74%, à 1.312 euros.

  • Le point sur la tendance

    Vers 13h30, les marchés actions évoluaient en hausse modérée, portés par des signes d'apaisement en Chine et la réunion de la Banque centrale européenne.

    Bruxelles ne parvenait pas à suivre le tempo de ses voisins européens. Le Bel 20 perdait, vers 13h30, 0,14% avec UCB et AB InBev de nouveau à la traîne. 

    Au même moment, Paris gagnait 0,35%, Francfort 0,36% et Londres 0,34%.

    En mal de données ou d'annonces susceptibles de lui permettre d'accrocher de nouveaux records jeudi, Wall Street s'acheminait aussi vers des hausses à l'ouverture: les contrats à terme évoluaient entre +0,37% pour le Nasdaq et +0,49% pour le Dow Jones.

  • La Chine s'attaque aux vendeurs de puces pour le secteur auto

    Les autorités chinoises de la Concurrence ont infligé une amende à trois sociétés qui fournissent des puces aux constructeurs automobiles pour avoir fait grimper les prix alors que le secteur est touché par une pénurie des semi-conducteurs. 

  • Tour de vis monétaire en Russie

    La banque centrale de Russie augmente son taux directeur de 25 points de base, à 6,75%, face à l'inflation. C'est moins qu'attendu par les analystes qui anticipaient un taux de 7% en moyenne.

  • Wall Street devrait rebondir

    Wall Street devrait ouvrir sur un léger rebond après la clôture négative de jeudi. Les contrats à terme sur les principaux indices suggèrent, en effet, une ouverture en hausse d'environ 0,5% pour le Dow Jones, de 0,4% pour le Standard & Poor's 500 et d'environ 0,36% pour le Nasdaq.

    Jeudi, la Bourse de New York a enchaîné une quatrième séance consécutive de baisse après l'annonce d'une contraction plus forte que prévu des inscriptions au chômage aux États-Unis, qui, si la tendance se maintenait, pourrait inciter la Réserve fédérale à accélérer la réduction de son soutien monétaire à l'économie américaine.

    L'indice Dow Jones a cédé 0,43%, à 34.879 points, le Standard & Poor's a perdu 0,46%, à 4.493,28 points, et le Nasdaq Composite a reculé de 0,25%, à 15.248,25 points.

    Les géants du numérique ont particulièrement pesé sur la tendance, comme Amazon (-1,17%), Microsoft (-0,99%) et, dans une moindre mesure, Apple (-0,67%).

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  • L'euro en hausse, le yuan dopé par l'appel Biden-Xi

    L'euro monte encore légèrement vendredi face au dollar, tandis que le yuan chinois grimpe plus franchement après un appel entre le président chinois Xi Jinping et son homologue américain Joe Biden.

    L'euro gagne 0,10%, à 1,1836 dollar pour un euro.

    Le yuan chinois prend, pour sa part, 0,26%, à 6,4388 yuans pour un dollar, approchant de son niveau le plus fort depuis mi-juin.

    L'appel était le premier entretien téléphonique entre les deux dirigeants depuis février, et il intervient alors que les relations entre Washington et Pékin sont particulièrement tendues.

    "Le marché veut voir cette relation s'améliorer, après les dégâts causés par Donald Trump pendant sa présidence", commente Russ Mould, analyste chez AJ Bell.

    "Le marché peut se réjouir de titres de presse positifs, mais il faut se rappeler que les problèmes fondamentaux entre les deux pays sont là pour rester", prévient Hao Zhou, analyste chez Commerzbank.

  • La Bourse suisse autorisée à se lancer dans le négoce d'actifs numériques

    SIX, l'opérateur de la Bourse suisse, a reçu, ce vendredi, l'autorisation de lancer une plateforme de négoce dédiée aux actifs numériques, lui permettant de franchir une étape supplémentaire pour créer un marché réglementé dans ce secteur en plein essor.

    La Finma, l'autorité de surveillance des marchés en Suisse, a donné son accord à l'exploitation d'infrastructures de marchés financiers reposant sur la technologie dite des registres distribués. Elle a octroyé à SIX deux autorisations, à la fois en tant que bourse et comme dépositaire central, a précisé le gendarme des marchés dans un communiqué.

    La technologie de registres distribués (dite "distributed ledger technology") est considérée comme la colonne vertébrale des cryptomonnaies et notamment de la plus connue d'entre elles, à savoir le bitcoin.

  • Une alternative à D'Ieteren se profile à la bourse de Stockholm

    Une alternative à D'Ieteren , la holding au-dessus du propriétaire de Carglass Belron, se profile à la bourse de Stockholm. Cary Group Holding vient en effet d'annoncer son intention d'entrer à la bourse suédoise cet automne. Cary possède le réparateur de pare-brise Ryds Bilglas en Suède et au Danemark.

     

  • "Le potentiel de croissance de Shurgard est énorme"

    Les analystes Wim Lewi et Wido Jongman, de KBC Securities, réagissent à l'Investors day de Shurgard qui s'est tenu hier. "En tant que consolidateur naturel dans un marché sous-approvisionné, le potentiel de croissance de Shurgard est énorme", constatent-ils.

    "Nous aimons ses économies d'échelle, augmentant les revenus des clients et la poursuite de la digitalisation des activités. Malgré le potentiel de croissance, nous pensons que Shurgard est un titre défensif. Le risque d'une offre excédentaire sur le marché est faible et le covid semble avoir eu peu d'impact. Shurgard est bien placé pour affronter n'importe quelle tempête."

  • Kepler Cheuvreux ajuste le tir sur Colruyt

    Kepler Cheuvreux ajuste ses prévisions pour Colruyt après les résultats annuels publiés cet été. La société avait souligné que le bénéfice net de 385 millions d'euros pour 2020/21 serait difficile à égaler en 2021/22. En conséquence, l'anayste réduit sa prévision de bénéfice avant intérêts et impôts (ebit) de 8,5% et de bénéfice net de 9,5%, à 373 millions d'euros. La holding énergétique Virya représente 3,6 euros par action, précise-t-il.

    L'objectif de cours passe de 48 à 50,6 euros. La recommandation de "conserver" est maintenue.

  • Le point sur la tendance boursière

    Les actions européennes progressent en début de séance, l'annonce d'un entretien téléphonique entre les présidents chinois et américain contribuant à rassurer les investisseurs sur les tensions entre Washington et Pékin.

    Les gains varient entre +0,12% à Francfort et +0,47% à Amsterdam. L'Euro Stoxx 50 progresse de 0,32% et le Stoxx 600 de 0,16%.

    Contre la tendance, l'indice Bel 20 cède 0,15%, lesté par les reculs de 1% de Proximus et d'UCB.

    Joe Biden, le président américain, et Xi Jinping, son homologue chinois, se sont parlés au téléphone pendant environ 90 minutes, leur premier entretien de ce type depuis sept mois, pour évoquer, entre autres, la concurrence entre les deux premières économies de la planète et les moyens de prévenir d'éventuels conflits.

    La nouvelle a favorisé la hausse des places financières asiatiques: le Nikkei à Tokyo a pris 1,25% et en Chine, le CSI 300 a pris 0,88%.

    Parmi les secteurs les plus entourés en début de séance, celui des matières premières gagne 0,74% et celui des hautes technologies 0,76%, qui a été affecté, ces dernières semaines, par le resserrement de l'encadrement des entreprises de haute technologie par les autorités de Pékin.

  • Nouvelle séance difficile pour Atos

    Le titre Atos accuse la deuxième plus forte baisse du CAC 40 en début de matinée, après l'annonce de sa sortie prochaine de l'indice phare de la Bourse de Paris.

    L'action avait déjà perdu 2,32% la veille en anticipation des annonces du conseil scientifique d'Euronext.

    Ce dernier a annoncé jeudi soir qu'Atos, spécialiste de la transformation numérique, sortirait du Cac 40 après la clôture le 17 septembre. Le groupe était considéré comme un candidat probable à une sortie de l'indice en raison des multiples difficultés rencontrées ces derniers mois, à commencer par l'impact de la crise liée au Covid-19 et les problèmes de comptabilité dans deux de ses filiales aux États-Unis.

    Le titre a perdu plus de 40% de sa valeur depuis le début de l'année et la capitalisation du groupe est tombée à moins de cinq milliards d'euros.

    Atos sera remplacé par Eurofins Scientific , dont l'action monte de 0,48%.

  • "Pouvons-nous quantifier la valeur cachée de la banque foncière de VGP?"

    Le courtier Kepler Cheuvreux relève son objectif de cours pour VGP de "conserver" à "acheter". Le cours cible passe de 170 à 238 euros. "VGP repousse les limites dans chaque rapport semestriel, grâce à son profil hybride de développeur et d'investisseur de long terme", écrit l'analyste Frédéric Renard.

    Les récents résultats montrent que l'entreprise tourne toujours à plein régime alors que le marché de la logistique continue de prospérer en Europe.

    Renard souligne la valeur de la réserve foncière de VGP, grâce à l'offre restreinte d'entrepôts, par rapport à la demande croissante d'espace de stockage.

    "Suite au rendement total impressionnant de l'action de 67,4% depuis le début de l'année (+51,3 % par rapport à l'indice EPRA), nous réévaluons le dossier d'investissement et posons la question: pouvons-nous quantifier la valeur cachée de la banque foncière de VGP?", écrit l'analyste.

    VGP progresse de 3,49%, à 207,50 euros.

  • |Opening bell|

  • L'indice Bel 20 ouvre sur une note stable

  • Quelques valeurs à suivre en Europe

    * ATOS sort de l'indice CAC 40, qu'intègre le laboratoire Eurofins Scientific, a annoncé jeudi soir Euronext. Ces changements seront effectifs le vendredi 17 septembre après la clôture des marchés.

    * ICADE - Icade Santé, filiale à 58,3% du groupe, a annoncé l'approbation par l'Autorité des marchés financiers de son document d'enregistrement, nouvelle étape vers son introduction en Bourse sur Euronext Paris.

    * HOLCIM - Une filiale du sidérurgiste brésilien Companhia Siderurgica Nacional's (CSN) est sur le point de racheter les activités d'Holcim au Brésil, a-t-on appris de deux sources proches du dossier jeudi.

    * BNP PARIBAS - J.P. Morgan a abaissé sa recommandation à "neutre" contre "surpondérer" et ramené son objectif de cours de 65 à 61 euros.

    * LVMH - HSBC a relevé sa recommandation à "acheter" contre "conserver" et porté son objectif de cours de 710 à 760 euros.

  • Allemagne: les prix ont bien monté de 3,9% en août

    La hausse des prix à la consommation a bien accéléré à 3,9% en Allemagne en août, un niveau que le pays n'avait plus connu depuis près de 30 ans, poussant certains à réclamer un "frein à l'inflation", selon des chiffres définitifs publiés ce vendredi.

    L'indicateur se retrouve à son plus haut niveau depuis décembre 1993, mois durant lequel il avait atteint 4,3%, a détaillé l'institut de statistique Destatis dans un communiqué.

  • Suspension de Deceuninck...

    .... le temps de connaître les résultats d'un placement privé d'actions existantes.

    Jeudi soir, Deceuninck a indiqué dans un communiqué qu'Arnold et Willy Deceuninck cédaient leur participation dans le spécialiste des profilés en PVC. Par l'intermédiaire des véhicules d'investissement Allacha et Evalli, les deux membres de la famille détiennent respectivement 3,9 et 3,1%. Ils vendent leurs participations par le biais d'un placement privé auprès d'investisseurs institutionnels belges et étrangers.

    Arnold et Willy sont les fils de Michel et Roger Deceuninck, les deux frères qui ont fait de la société située près de Roulers un des plus gros acteurs dans le monde des matériaux de construction en PVC.

    De son côté, Frank Deceuninck, l'autre fils de Roger, restera le dernier membre de la famille fondatrice au capital de la société. Il jouit même du titre d'actionnaire principal avec sa participation de 5%.

  • Atos sort du Cac40

    Le groupe de services informatiques Atos doit faire place à Eurofins Scientific , une multinationale luxembourgeoise qui propose des services de laboratoire aux entreprises agroalimentaires, environnementales et pharmaceutiques, a annoncé Euronext jeudi soir.

    Le changement prendra effet le 17 septembre après la clôture.

  • Briefing d'avant-bourse

    Les bourses européennes sont attendues en légère hausse à l'ouverture pour la dernière séance d'une semaine dominée une nouvelle fois par les interrogations sur les politiques monétaires.

    Les contrats à terme sur indices suggèrent une progression de 0,36% pour l'EuroStoxx 50, de 0,24% à Francfort et de 0,30% à Londres.

    Les principaux indices de la zone euro ont fini dans le vert jeudi, mais sous leurs plus hauts du jour après l'annonce, par la Banque centrale européenne (BCE), de son intention de réduire ses achats d'obligations sur les marchés, sans précision sur l'ampleur de cette réduction, et la révision à la hausse de ses prévisions d'inflation.

    "Les inquiétudes sur les perspectives de croissance, ainsi que sur la montée des prix et des salaires, semblent continuer de peser sur le sentiment de marché en Europe", note Michael Hewson, analyste de CMC Markets UK.

    La journée s'annonce plus calme que les précédentes sur le plan macroéconomique, mais les investisseurs surveilleront à 14h30 les chiffres mensuels des prix à la production aux États-Unis.

  • Care Property | Deceuninck | Exmar | Home Invest | Immobel | Oxurion | Shurgard | Vranken

    Quelques valeurs à suivre puisqu'elles ont publié des communiqués depuis la clôture jeudi.

    Care Property - Care Property Invest a annoncé l'acquisition du centre de services de soins et de logement "Vulpia Ixelles" qui sera construit à Ixelles. Le centre de services de soins et de logement pourra accueillir 60 personnes âgées ayant besoin de soins. La valeur d'investissement totale du projet s'élève à environ 11,6 millions d'euros.

    Deceuninck - Arnold et Willy Deceuninck, les fils de Michel et Roger Deceuninck, vendent leur participation dans le spécialiste des profilés en PVC Deceuninck. Par l'intermédiaire des véhicules d'investissement Allacha et Evalli, les deux membres de la famille détiennent respectivement 3,9 et 3,1%. Ils vendent leurs participations par le biais d'un placement privé auprès d'investisseurs institutionnels belges et étrangers.

    Exmar - Exmar a publié de solides résultats semestriels, jeudi, notamment grâce à la relance de l’activité économique. Son résultat opérationnel (ebit) se porte ainsi à 45,9 millions de dollars, contre 19,2 millions de dollars un an plus tôt. Son résultat consolidé après taxe est, quant à lui, multiplié par sept et atteint 32,7 millions de dollars.

    Oxurion - Oxurion a  fait état, pour son premier semestre 2021, d’un chiffre d’affaires nettement inférieur à celui de l’année précédente, à savoir 0,3 million d'euros au lieu de 1,3 million d'euros. La société biopharmaceutique a également enregistré une perte nette de 16,2 millions d’euros, comparée à une perte de 13,3 millions au premier semestre 2020.

    Roularta - Roularta arrêtera De Streekkrant fin octobre. Le porte-à-porte gratuit et gratuit est en effet depuis quelque temps un boulet pour l'éditeur néerlandophone Roularta.

    Shurgard - Shurgard a acheté la société A&A Self Storage. Grâce à ce rachat, le spécialiste des espaces de stockage dispose de trois sites supplémentaires dans le centre de Londres et d'une propriété à Watford, au nord-ouest de Londres. La société mène également des négociations exclusives pour trois autres propriétés dans le centre de Londres, qu'elle espère conclure dans les semaines à venir.

    Home Invest - Pour l’exercice 2021 et les exercices suivants, la direction de Home Invest Belgium prévoit une politique de dividende basée sur une croissance annuelle du dividende qui devrait être égale ou plus importante que l’inflation. Le conseil d’administration se base, entre autres, sur le revenu locatif indexé constant des immeubles de placement existants et sur la gestion des coûts opérationnels, précise la société dans son communiqué. Pour l’exercice 2020, l’assemblée générale a approuvé la distribution d’un dividende brut de 4,95 euros par action.

    Immobel - Immobel affiche des revenus en baisse de 14%, mais compense par un bond de 37% de son bénéfice net au premier semestre.

    Vranken - Pour le premier semestre, Vranken-Pommery Monopole a fait état d’un chiffre d’affaires de 93,3 millions d'euros, d’un résultat opérationnel courant de 6,7 millions d'euros et d'une perte nette de 2,4 millions d'euros. Le groupe de champagne note que ces chiffres sont supérieurs à ceux du premier semestre 2019, soit avant la pandémie de coronavirus. Vranken a confirmé ses perspectives pour 2021, soit une croissance du chiffre d’affaires au minimum de 7,5%.

  • Au menu ce vendredi

    L'agenda de ce vendredi est pour l'essentiel constitué de statistiques macroéconomiques avec, notamment, les chiffres définitifs de l'inflation en Allemagne ou les chiffres mensuels des prix à la production aux États-Unis.

  • L'Asie va de l'avant | Wall Street manque de souffle | Du vert en vue en Europe

    Bonjour! Les marchés asiatiques vont de l'avant ce vendredi matin alors que Wall Street a manqué de souffle jeudi.

    L'indice Nikkei de la bourse de Tokyo inscrit ainsi une hausse de 1,05%, les investisseurs surveillant la course à la succession du Premier ministre japonais Yoshihide Suga à la tête du parti au pouvoir.

    Ailleurs en Asie, Hong Kong progresse de 1,73% et Shanghai de 0,49% grâce aux acheteurs qui ont profité des ventes massives de jeudi. Les investisseurs restent néanmoins sur leurs gardes face à la volonté de la Chine de réprimer les industries privées, notamment dans le secteur des technologies.

    La Bourse de New York a terminé en baisse jeudi, en mal de données ou d'annonces susceptibles de lui permettre d'accrocher de nouveaux records, malgré une ouverture en hausse.

    Le Dow Jones a perdu 0,43%, à 34.879,38 points, l'indice Nasdaq, 0,25% à 15.248,25 points, et l'indice élargi S&P 500, 0,46%, à 4.493,28 points.

    La séance a été marquée par des allers-retours entre hausse et baisse pour les grands indices, ainsi qu'un volume d'échanges assez faible.

    "Le marché est vraiment en train de tirer sur la corde et il est épuisé", a commenté Tom Cahill, responsable de stratégie d'investissement au sein de Ventura Wealth Management.

    De leur côté, les bourses européennes sont indiquées en hausse, de l'ordre de 0,30% pour l'Euro Stoxx 50.

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