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Wall Street en baisse, l'inflation et la dette U.S. préoccupent

Wall Street a fini en baisse ce mardi alors que les investisseurs se sont montrés prudents en amont de la publication des prix à la consommation, tandis que de nouvelles discussions étaient prévues à Washington pour tenter de sortir de l'impasse sur le relèvement du plafond de la dette.
  • Au menu mercredi

    C'est ici que se clôture notre Market Live, lieu idéal pour suivre l'actualité des marchés en temps réel. Aedifica, Ahold-Delhaize, Bekaert et Shurgard dévoilent leurs comptes trimestriels demain. AG chez bpost, Cofinimmo, Kinepolis ou encore Shurgard.

  • Le dollar attentiste avant un indicateur d'inflation et gêné par l'impasse sur la dette

    Le dollar avançait légèrement par rapport à la plupart des devises majeures, dans un marché en position d'attente avant la publication d'un indicateur d'inflation américain, mercredi, et pénalisé par l'impasse politique sur la dette.  

    Vers 22h25, le billet vert grappillait 0,38% face à la monnaie unique, à 1,0964 dollar pour un euro. Pour Joe Manimbo, de Convera, la progression du "greenback", l'un des surnoms du dollar, face à l'euro s'explique par la perception que la Banque centrale européenne (BCE) "pourrait en être plus loin que prévu dans son cycle de resserrement monétaire", dont le terme serait moins éloigné qu'attendu. 

  • Wall Street termine en léger repli avant l'inflation

    La Bourse de New York a terminé en léger repli à la veille de nouvelles données sur l'inflation américaine et avant des négociations sur le plafond de la dette des États-Unis. L'indice Dow Jones a cédé 0,17%, le Nasdaq, à dominante technologique, a reculé de 0,63% et l'indice élargi S&P 500 a lâché 0,45%, selon des résultats provisoires. 

  • Le chiffre d'affaires d'Airbnb dépasse les estimations, mais l'action chute

    Le chiffre d'affaires d'Airbnb  pour le premier trimestre a légèrement dépassé les estimations, aidé par une demande de voyages soutenue, malgré les inquiétudes macroéconomiques, et par une reprise dans la région Asie-Pacifique. Son action chutait toutefois de plus de 10% dans les échanges d'après-bourse à Wall Street.

    La société basée à San Francisco, l'un des principaux bénéficiaires de la pandémie, a rejoint d'autres sociétés de voyage en annonçant des réservations qui signalent que la demande de voyages n'a pas faibli malgré les craintes de récession et à la diminution des dépenses de consommation. Airbnb a ainsi enregistré son plus grand nombre de réservations actives au cours du trimestre, durant lequel les réservations brutes ont augmenté de 19% pour atteindre 20,4 milliards de dollars, ce qui est supérieur aux attentes des analystes qui tablaient sur 19,67 milliards de dollars, selon les données de Refinitiv.  

    Le chiffre d'affaires a augmenté d'environ 20% pour atteindre 1,82 milliard de dollars par rapport à l'année précédente, contre une estimation moyenne des analystes de 1,8 milliard de dollars.   

    "Nous avons été particulièrement encouragés par la reprise continue de l'Asie-Pacifique, car les nuits réservées au premier trimestre 2023 ont augmenté de plus de 40% en glissement annuel"

    Airbnb
  • Wall Street | Closing Bell

    Dow Jones: -0,17%

    S&P 500: -0,46%

    Nasdaq: -0,63%

  • USA: la Fed n'exclut pas une nouvelle hausse des taux, selon un responsable

    La banque centrale américaine n'exclut pas un relèvement supplémentaire des taux lors de sa prochaine réunion, a indiqué un de ses responsables, une semaine après une réunion qui avait marqué un changement de ton et laissé prévoir une pause.  

    "Nous n'avons pas dit que nous avions fini d'augmenter les taux", a déclaré John Williams, le président de la Fed de New York. "Nous n'avons pas décidé de ce que nous allions faire lors de nos prochaines réunions, (..) l'évolution de l'économie affectera évidemment nos décisions", a-t-il ajouté, devant l'Economic Club de New York.  

    La Fed avait relevé ses taux d'un quart de point mercredi, à l'issue de sa dernière réunion. Ces hausses de taux renchérissent le coût des crédits accordés aux ménages et aux entreprises, afin de ralentir l'activité et de freiner l'inflation. L'institution monétaire avait alors aussi changé de ton par rapport aux réunions précédentes, laissant entendre qu'elle pourrait marquer une pause, après dix hausses successives. 

  • ANALYSE | La reprise d'Imperial par What's Cooking? en suspens

    L'auditorat de l'Autorité belge de la Concurrence met la reprise d'Imperial par What's Cooking? en pause.

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  • S&P baisse la note de Casino et menace de l'abaisser encore

    L'agence de notation S&P a abaissé la note du crédit du distributeur Casino  et menacé d'une nouvelle révision à la baisse en raison de "la probabilité grandissante d'un défaut", en l'absence de "développements favorables". À la veille de l'assemblée générale de Casino, l'agence a abaissé sa note principale de CCC+ à CCC-, toujours dans la catégorie "spéculative", selon un communiqué, relevant une situation financière "fragile" pour justifier sa note.

    Celle-ci reflète un "vrai risque de non-remboursement" de la dette, selon la définition générique. Car la situation financière de Casino, qui emploie 200.000 personnes dans le monde, dont un gros quart en France, semble de plus en plus précaire: en le rétrogradant, S&P réagit au fait que Casino a annoncé en avril étudier la possibilité d'ouvrir une procédure de conciliation avec ses créanciers.  

    S&P ne considérerait pas une conciliation comme un défaut de paiement, mais un éventuel accord prévoyant un remboursement plus faible qu'initialement promis serait "l'équivalent d'un défaut". Un défaut ou une restructuration de la dette "semblent inévitables dans les six mois en absence de changements favorables", explique l'agence. "La mise sous surveillance négative ("creditwatch") reflète notre opinion d'une probabilité croissante d'un défaut de paiement" si la situation ne s'améliore pas, ajoute S&P Global. Parmi les raisons: de faibles résultats d'exploitation qui obligent Casino à puiser massivement dans sa trésorerie. 

  • Alychlo (Marc Coucke) lance une procédure de rachat de SnowWorld

    Alychlo, le véhicule d'investissement de l'entrepreneur Marc Coucke, a entamé une procédure de rachat afin de mettre la main sur les actions restantes de l'entreprise néerlandaise SnowWorld, qui exploite des pistes de ski couvertes. 

    Alychlo détient déjà plus de 95% de ces actions. Coucke est entré dans SnowWorld en février 2017 en acquérant une participation d'un peu moins de 10 pour cent auprès de Value8, le véhicule de l'investisseur néerlandais Peter Paul de Vries.

    Depuis lors, il n'a cessé d'augmenter sa participation. SnowWorld connaît des difficultés financières depuis un certain temps, mais Coucke croit en son potentiel de croissance et en son concept. À l'issue de la procédure de rachat, SnowWorld sera retirée du tableau de la bourse néerlandaise. Le prix de rachat est de 10,5 euros par action.

  • Wall Street perd un peu de terrain

    La Bourse de New York évoluait en baisse, dans un contexte d'aversion au risque liée à des statistiques économiques décevantes en Chine, aux incertitudes sur le plafond de la dette aux États-Unis et à des résultats d'entreprises inférieures aux attentes.

    Vers 21h15, l’indice Dow Jones cédait 0,02%. Le S&P 500, plus large, abandonnait 0,29%, tandis que le Nasdaq, à forte coloration technologique, perdait 0,55%.

  • ANALYSE | La ministre de l'Énergie donne son feu vert aux grands investissements d'Elia

    "Seuls les projets ayant un business case positif seront réalisés", assure la ministre de l'Énergie qui a approuvé le plan de développement 2024-2034 d'Elia.

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  • Les livraisons d'Airbus remontent en avril

    Les livraisons d'Airbus  ont repris quelques couleurs en avril par rapport à l'an dernier, après un premier trimestre à la peine, a annoncé l'avionneur mardi. En avril, Airbus a livré 54 avions à 32 clients, contre 48 en avril 2022, pour atteindre 181 depuis janvier 2023, contre 190 sur les quatre premiers mois de 2022.  

    Malgré le léger rattrapage, la pente reste raide pour réaliser l'objectif de 720 appareils cette année, contre 661 en 2022. Le groupe européen a maintenu cet objectif, ainsi que ses prévisions financières, malgré la baisse des livraisons, une chute de 62% de son bénéfice net au premier trimestre, à 466 millions d'euros, et un recul de 2% du chiffre d'affaires à 11,8 milliards d'euros.  

    Une partie des 18.000 fournisseurs d'Airbus est confrontée à des tensions d'approvisionnement sur les matières premières ou de composants ou encore à des problèmes de recrutement, provoquant des goulots d'étranglement et donc des retards au moment de l'assemblage final des avions. 

  • Schnabel (BCE): la dynamique de l'inflation dans la zone euro reste élevée

    La dynamique de l'inflation dans la zone euro reste élevée pour tous les éléments, à l'exception de l'énergie, et les pressions sur les prix s'étendent à la plupart des composants du panier de consommation, a souligné Isabel Schnabel, membre du conseil d'administration de la BCE, lors d'une présentation. 

    Alors que les chocs sur l'offre liés aux goulets d'étranglement et aux prix de l'énergie continuent de s'estomper, le marché du travail est solide, la croissance des salaires s'accélère et les marges bénéficiaires des entreprises sont élevées, a déclaré Mme Schnabel dans des diapositives accompagnant une conférence. 

  • ANALYSE | Le pepecoin, dernière invention loufoque des crypto-arnaqueurs

    En capitalisant sur le mème internet "Pepe the Frog", de mystérieux traders sont parvenus à créer une cryptomonnaie dont le poids total dépasse le milliard de dollars.

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  • Reprise d'Imperial par What's Cooking? en suspens

    La reprise prévue par l'entreprise spécialisée en viande Whats Cooking ? -anciennement Ter Beke- de son concurrent Imperial est en suspens. L'auditorat de l'Autorité belge de la Concurrence propose de ne pas approuver la transaction, indique mardi la firme de Lievegem (Flandre orientale).

    "What's Cooking? marque son désaccord avec la position adoptée par l'auditorat, notamment parce qu'elle ne tient pas compte de la concurrence internationale à laquelle l'entreprise est confrontée sur un marché transfrontalier par rapport à la fourniture de produits de marque de distributeur essentiellement homogène", explique Whats Cooking ?.

  • GBL lève 500 millions d'euros en obligations

    La holding d'investissement bruxelloise GBL  a levé 500 millions d'euros en obligations auprès de grands investisseurs, indique-t-elle. Il s'agit d'obligations d'une durée de 10 ans avec un taux de 4%.  

    La société holding utilisera l'argent levé "à des fins générales d'entreprise", a-t-elle déclaré dans un communiqué. GBL (Groupe Bruxelles Lambert) est la holding familiale d'Albert Frère décédé en 2018 et qui aura longtemps été le Belge le plus riche.  

  • TENNDANCE | La balance commerciale chinoise pèse sur les marchés

    La contraction inattendue des importations chinoises a provoqué une chute des cours du pétrole et des valeurs du luxe. Les inquiétudes sur le plafond de la dette américaine ont aussi pesé.

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  • Le métavers pourrait représenter jusqu'à 2,4% du PIB des États-Unis d'ici à 2035

    Selon une étude commandée par Meta Platforms , propriétaire de Facebook, le métavers pourrait représenter jusqu'à 760 milliards de dollars, soit environ 2,4% du produit intérieur brut (PIB) annuel des États-Unis d'ici à 2035. 

    Le concept de métavers englobe les technologies de réalité augmentée et virtuelle qui permettent aux utilisateurs de s'immerger dans un monde virtuel ou de superposer des informations numériques sur des images du monde réel, selon le rapport du cabinet de conseil Deloitte. 

    Des gains économiques pourraient résulter de l'utilisation de ces technologies dans les secteurs de la défense, de la médecine et de la fabrication, ainsi que dans des cas d'utilisation ludique tels que les jeux vidéo et la communication, selon le rapport. 

  • Dividende optionnel chez Aedifica

    La SIR Aedifica  a décidé de payer son dividende sous la forme d’un dividende optionnel. "Les actionnaires auront ainsi la possibilité, du 15 au 25 mai (16h00 CEST), d’apporter leur créance de dividende net au capital de la Société en contrepartie de l’émission de nouvelles actions, de recevoir le dividende en espèces, ou de choisir une combinaison de ces deux options", peut-on ainsi lire dans le communiqué de presse.

    Les actionnaires vont recevoir leur dividende sous forme d’actions nouvelles ou en espèces le 31 mai 2023.

    Pour l’exercice 2022, l’entreprise distribuera un dividende brut de 3,70 euros.

  • Le Bel 20 finit en baisse

    La Bourse de Bruxelles a terminé dans le rouge. L’indice phare de la Bourse de Bruxelles a perdu 1,01% et le Bel ALL-Shares a cédé 0,91%.

    Au sein de l'indice, 5 titres ont fini en hausse et 15 en baisse. Elia , Aperam  et UCB  ont enregistré les plus importantes progressions. En bas de tableau, Aedifica , Sofina  et KBC Groupe  ont perdu des plumes, ce dernier ayant chuté de 4,3%.

    Hors indice, Belysse Group  a bondi de plus de 7,5%, tandis que Mithra  a chuté de plus de 7%.

  • Les bourses européennes clôturent dans le rouge

    Bel 20: -1,01%

    AEX: -0,57%

    Cac 40: -0,59%

  • Après la greedflation, la greenflation

    Il est intéressant de noter que Schroders s'attend à ce que l'augmentation des taxes sur le carbone fasse grimper les prix de l'énergie et entraîne une hausse de l'inflation dans toutes les grandes économies.

    "Cette "greenflation", qui résulte d’une hausse des prix résultant de l’augmentation des taxes sur le CO2, sera la plus forte dans les premières phases de la transition énergétique. Parce que les économies sont encore largement tributaires des combustibles fossiles comme source d’énergie".

    "Les pressions inflationnistes seront également causées par une pénurie de minéraux et de métaux importants", ajoute le rapport.

  • Ferrari > Stellantis

    La capitalisation boursière de Ferrari  a dépassé celle de Stellantis , le conglomérat automobile qui comprend Fiat, qui était autrefois la société mère de l'emblématique constructeur italien de voitures de sport de luxe. Connue pour son logo de cheval cabré et sa gamme distinctive de supercars, Ferrari a pris 34% cette année, ce qui en fait l'action la plus performante parmi les constructeurs automobiles européens. Sa valeur boursière a atteint 49,2 milliards d'euros (53,9 milliards de dollars), dépassant celle de Stellantis (47,1 milliards d'euros), ce qui en fait l'une des trois plus grandes entreprises de la bourse de Milan.   

    La demande pour les voitures de sport de luxe de Ferrari a résisté grâce à ses riches clients, même si l'entreprise a augmenté ses prix, ce qui contraste fortement avec les constructeurs automobiles de masse qui perdent leur pouvoir de fixation des prix alors que l'économie se dirige vers un ralentissement.

    À bien des égards, l'action est comparable à celle des grandes entreprises de produits de luxe en Europe, produisant des rendements totaux supérieurs à 500% depuis sa scission en 2015. Au cours de la même période, les rendements des actions automobiles en Europe ont été d'environ 50%, dividendes compris.  

  • Les marchés en retrait face à des signaux de ralentissement économique

    La prudence domine les bourses mondiales après des chiffres du commerce extérieur chinois décevants, des signes de ralentissement dans l'immobilier et des craintes concernant la dette américaine.  

    Wall Street a ouvert en baisse en attendant des négociations à la Maison Blanche sur le plafond de la dette des États-Unis et à la veille de la publication des chiffres de l'inflation américaine d'avril. Vers 16h55, le Nasdaq perdait 0,46%, le S&P 500 cédait 0,33% tandis que le Dow Jones était quasi stable à -0,06%.  

    L'Europe peinait également: Paris reculait de 0,72%, davantage pénalisée par les liens de ses entreprises avec la Chine, Francfort perdait 0,19%, Londres 0,24% et Milan 0,32%. À Bruxelles, le Bel 20 abandonnait 1,23%, plombé notamment par KBC. 

  • ANALYSE | Le groupe immobilier suédois SBB inquiète les investisseurs

    Après avoir vu sa note dégradée à "junk" par S&P Global, le groupe immobilier SBB retarde le paiement de son dividende et annule son augmentation de capital.

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  • Du côté des matières premières et des devises

    Les prix du pétrole sont en baisse, reprenant leur souffle après plusieurs séances de forte hausse des cours, des données venant de Chine refroidissant le marché quant à la reprise économique du pays. Le baril de WTI américain cédait 1,13%, à 72,37 dollars, et le baril de Brent de la mer du Nord perdait 0,52%, à 76,21 dollars, vers 16h20.

    L'euro baissait de 0,44% face au dollar, à 1,0956 dollar. Le bitcoin perdait 0,98%, à 27.542 dollars.

  • Les valeurs qui bougent à Wall Street

    Outre Lucid, voici les principales valeurs à suivre à New York vers 16h:

    • L'équipementier sportif Under Armour reculait de près de 4%, après la publication de prévisions annuelles de ventes et de bénéfice inférieures aux attentes du marché en raison du ralentissement de la demande.
    • Coty a de nouveau relevé son objectif de bénéfice annuel et a affiché des résultats trimestriels supérieurs aux attentes, à la faveur de l'augmentation de ses prix et de la demande soutenue pour ses produits aussi bien haut de gamme qu'abordables. Le groupe de cosmétiques et de parfums chutait toutefois de 6,4%.
    • Paypal Holdings reculait de plus de 10% après l'abaissement par le groupe de paiement de sa prévision de marge opérationnelle ajustée pour cette année.
    • Western Digital anticipe un chiffre d'affaires pour le trimestre en cours inférieur aux attentes de Wall Street, ainsi qu'une perte plus importante que prévu, le groupe estimant que la demande de puces mémoire mettra plus de temps à se redresser. L'action reculait d'environ 5%.
    • Globalfoundries chutait de plus de 6%. Le groupe a pourtant publié un chiffre d'affaires trimestriel supérieur aux attentes, signe que la demande de puces se redresse.
    • Palantir Technologies a annoncé anticiper un bénéfice sur chacun des trimestres de cette année grâce notamment à sa nouvelle plate-forme d'intelligence artificielle. L'action bondissait d'approximativement 14%.
    • Les groupes chinois cotés à Wall Street comme Alibaba, JD.Com et Pinduoduo cédaient de 1,5% à 2,2% après la publication d'un indicateur en Chine montrant une forte contraction des importations et un ralentissement des exportations en avril, ce qui ravive les inquiétudes concernant la demande, malgré la levée des restrictions sanitaires.
    • Le groupe pharmaceutique Novavax s'envolait de plus de 40% en réaction à l'annonce d'un plan de suppression de 25% de ses effectifs dans le monde.
    • Tempur Sealy gagnait plus de 5% après avoir annoncé le rachat du distributeur de matelas Mattress Firm, détenu en partie par Steinhoff International Holdings, pour environ 4 milliards de dollars en numéraire et en actions.
    • Skyworks Solutions chutait de 4,5% après que le fabricant de puces électroniques, fournisseur d'Apple a annoncé un chiffre d'affaires et un bénéfice ajusté inférieurs aux attentes pour le troisième trimestre.
  • BCE: les taux devront encore monter, estime le patron de la Bundesbank

    Les taux directeurs de la Banque centrale européenne, déjà au plus haut depuis près de 15 ans, devront encore augmenter pour lutter contre l'inflation en zone euro, a estimé le président de la Banque fédérale d'Allemagne dans une interview. La BCE a relevé au total de 3,75 points de pourcentage ses taux depuis juillet de l'année dernière, un rythme inédit dans l'histoire de l'institut monétaire.  

    "Mais l'inflation est également extrêmement élevée" et "nous n'avons pas encore fini: les taux d'intérêt devraient continuer à monter", déclare Joachim Nagel, patron de la "Bundesbank", dans une interview à la Frankfurter Allgemeine Zeitung. Le banquier central ne donne pas d'indication du niveau visé pour le principal taux sur les dépôts bancaires. 

  • Wall Street ouvre en baisse avant des discussions sur le plafond de la dette

    La Bourse de New York a ouvert en repli en attendant des négociations à la Maison Blanche sur le plafond de la dette des États-Unis entre l'administration démocrate et les républicains. Après une séance anémique la veille, l'indice Dow Jones cédait 0,30%, le Nasdaq lâchait 0,53% et l'indice élargi S&P 500 -0,49%. 

  • Shell: le fonds de pension de l'église anglicane contre le plan de transition

    Le fonds de pension de l'Eglise d'Angleterre, actionnaire minoritaire du géant pétrolier britannique Shell , mais en désaccord avec la stratégie de transition énergétique du groupe, votera contre la reconduction de ses dirigeants lors de l'assemblée générale du 23 mai.

    "L'industrie pétrolière et gazière en Europe est à la croisée des chemins" et les décisions du secteur peuvent "faire ou défaire nos efforts collectifs pour limiter le réchauffement" climatique, a assuré Adam Matthews, directeur de l'investissement responsable du fonds, dans une tribune publiée mardi dans The Telegraph.

    "Nous voterons contre le président et les administrateurs de Shell et la mise à jour du plan de transition, et pour la résolution (de l'organisation d'actionnaires activiste) Follow This qui appelle à des objectifs plus ambitieux", a-t-il annoncé.

  • Lucid: -8%

    L’action Lucid  chutait de près de 8% dans les premiers échanges à la Bourse de New York. Le fabricant de véhicules électriques (EV) a fait état d'un chiffre d'affaires inférieur aux attentes au titre du premier trimestre et a abaissé sa prévision de production pour cette année dans un contexte de guerre des prix déclenchée par Tesla, de hausse des taux d'intérêt et de craintes d'une récession.

    "Les recettes ont été les plus faibles depuis le deuxième trimestre de l'année dernière, ce qui signifie que le chiffre d'affaires n'est pas au rendez-vous", a souligné Garrett Nelson, analyste chez CFRA Research. "Cela pourrait indiquer que la guerre des prix a un impact direct sur leurs résultats.

    "Je pense que l'ensemble du marché est actuellement confronté à un défi en raison de la macroéconomie et des taux d'intérêt"

    Peter Rawlinson
    CEO de Lucid
  • Wall Street | Opening Bell

    Dow Jones: -0,19%

    S&P 500: -0,39%

    Nasdaq: -0,51%

  • SBB toujours mal orientée

    Le titre du groupe immobilier suédois SBB dégringole de 15% (voir post de 9h26), toujours pénalisé par l'annonce du report du paiement de son dividende et d'une augmentation de capital.

    Dans l'ensemble, le compartiment immobilier européen chute de 2,69%. A Bruxelles, Aedifica cède 2,5%, WDP 2,10% et Cofinimmo 1,62%.

  • "Prenez vos bénéfices sur les actions européennes"

    Selon les stratèges de JPMorgan Chase & Co, le moment est venu de ne plus surpondérer la zone euro par rapport aux États-Unis. Après la hausse des actions de la zone euro au cours des sept derniers mois, "les investisseurs devraient sécuriser ces gains", indique Mislav Matejka dans une note.

    L'indice MSCI de l'Union économique et monétaire européenne a augmenté de près de 28% en monnaie locale depuis son point bas fin septembre, soit près de deux fois plus que le S&P 500. En raison du renforcement de l'euro par rapport au dollar, la hausse en dollars est encore plus importante, à savoir 45%.

    L'Europe a profité de la réouverture chinoise, alors que la crise énergétique a frappé moins fort qu'on ne le craignait l'hiver dernier. De plus, l'économie a plutôt bien résisté. Selon JPMorgan, il y a des signes que ces vents favorables s'affaiblissent et qu'il y ait plus de surprises économiques négatives dans la région.

  • Biobest veut acquérir BioWorks

    Biobest détenu à 79% par Floridienne souhaite acquérir son homologue américain BioWorks. L'opération renforcerait le spécialiste belge de la protection biologique des cultures et de la pollinisation dans le segment des biopesticides.

  • "Pour Delhaize, c'est un trimestre de perdu"

    Le groupe de distribution Ahold Delhaiz e présente ce mercredi son bulletin trimestriel. On se souvient qu'à l'heure de présenter ses chiffres 2022, le groupe avait pointé une rentabilité en recul pour sa filiale belge alors que le CEO Frans Muller évoquait une année 2023 remplie de défis. Il ne pensait pas si bien dire! Syndicats et direction d'Albert Heijn tentent actuellement de parvenir à un accord salarial pour mettre fin au mouvement de grève en Belgique.

    Toutefois, la situation ne devrait pas peser outre mesure sur les résultats du groupe. Les 128 magasins intégrés sont, en effet, un grain de sable au niveau de la galaxie Ahold. D'ailleurs, les consensus des analystes tablent sur des résultats en hausse pour le groupe.

    Mais les grèves de Delhaize laisseront sans doute des traces au niveau belge.

    Les franchisés sont incapables de combler le gap. Pour Delhaize, c'est donc un trimestre de perdu.

    Pierre-Alexandre Billiet
    Chargé de cours à la Solvay Business School
  • Le pétrole fléchit, la demande chinoise dans le viseur

    Les prix du pétrole sont en légère baisse, reprenant leur souffle après plusieurs séances de forte hausse des cours, des données venant de Chine refroidissant le marché quant à la reprise économique du pays.

    • Le baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en juillet, perd 1,09% à 76,17 dollars.
    • Le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison en juin, abandonne 1,08%, à 72,37 dollars.

    "Les marchés pétroliers enregistrent actuellement une correction baissière après trois jours de forte hausse."

    Pierre Veyret
    Analyste chez ActivTrades

    "Les perspectives économiques incertaines de la Chine pèsent sur le brut. Ces indicateurs économiques sont des signaux d'alarme pour le marché, même si la demande en brut de la Chine semble avoir repris, allant jusqu'à atteindre des chiffres records en mars."

    Tamas Varga
    Analyste chez PVM Energy

    Les exportations chinoises se sont tassées en avril, tandis que les importations ont poursuivi leur repli, pénalisées par une reprise fragile de la deuxième économie mondiale et une demande mondiale atone, selon des chiffres officiels publiés mardi.

  • Baisse de régime pour l'action Lucid Group

    Le fabricant de véhicules électriques (EV) Lucid a fait état lundi d'un chiffre d'affaires inférieur aux attentes au titre du premier trimestre. Il a aussi abaissé sa prévision de production pour cette année, dans un contexte de guerre des prix déclenchée par Tesla, de hausse des taux d'intérêt et de craintes d'une récession.

    L'action Lucid chute d'un peu plus de 10% dans les transactions hors séance.

  • Palantir flambe en avant-bourse

    Le fabricant de logiciels d'analyse de données Palantir a annoncé lundi anticiper un bénéfice sur chacun des trimestres de cette année, grâce notamment à sa nouvelle plateforme d'intelligence artificielle. L'action bondit de 16% dans les transactions hors séance.

  • PayPal: -5% en avant-bourse

    PayPal Holdings recule de 5,7% à 71,20 euros dans les transactions en avant-bourse, après l'abaissement par le groupe de paiement de sa prévision de marge opérationnelle ajustée pour cette année.

  • Le britannique JD Group s'empare du français Courir

    Grosse opération de consolidation en vue dans le monde de la "mode sportive". Le groupe britannique JD Group a annoncé vouloir s’emparer du français Courir pour un montant de 520 millions d’euros. L’opération doit encore être soumise à la consultation des employés et à l’approbation des autorités de la concurrence de l’Union européenne.

    Détenue par le fonds Equistone Partners Europe, qui l’avait racheté en 2018 au holding Rallye, contrôlé par le milliardaire français Jean-Charles Naouri (Casino), Courir est spécialisée dans les sneakers, ces baskets devenues accessoires de mode. Elle en revendique le leadership sur son marché domestique derrière les plateformes d’e-commerce Amazon et Zalando.

    L'opération est saluée positivement en bourse. À Londres, l'action JD Group progresse de 2,3%.

  • UPDATE | Briefing actions belges

  • Mithra: -5%

    Recul sensible pour l'action Mithra qui s'inscrit en bas de tableau à Bruxelles avec un repli de 5,31% à 2,495 euros, dans un marché bruxellois en baisse de 1,4%. Il n'y pas d'explication immédiate à ce repli.

  • Pas encore de fumée blanche chez VGP

  • Le dollar se renforce à la veille de l'inflation américaine

    Le dollar progresse légèrement face à l'euro, des données robustes sur l'emploi américain vendredi ayant requinqué la devise américaine, même si les cambistes attendent les données sur l'inflation aux États-Unis pour se faire une idée claire de la situation économique.

    Le billet vert gagne 0,21% à 1,0982 dollar pour un euro.

    En peine depuis plusieurs mois, le dollar a été soutenu vendredi dernier par la vigueur du marché du travail américain, avec un rebond inattendu des créations d'emplois. Cela "alimente l'idée que non seulement il n'y aura pas de baisse des taux dès cette année, mais qu'il pourrait y avoir plus de hausse", s'avance Neil Wilson, analyste chez Finalto.

  • Bekaert fera-t-il des prévisions chiffrées ?

    La question clé demain dans le trading update de Bekaert : y aura-t-il cette fois une prévision chiffrée pour l'exercice en cours par le groupe de technologie de l'acier ? Les analystes ne placent pas la barre haut après la solide année 2022, compte tenu de l'incertitude de l'économie mondiale. Le consensus est un bénéfice d'exploitation de 378 millions d'euros, contre 459 millions d'euros l'an dernier.

    Bekaert a depuis vendu ses applications de fil d'acier au Pérou et au Chili. Par conséquent, le chiffre d'affaires du premier trimestre - le trading update ne concerne que le chiffre d'affaires - devrait chuter de près d'un cinquième, passant de 1,39 à 1,14 milliard d'euros. En "organique", expurgé pour la vente des divisions, KBC Securities s'attend à une baisse de 7%.

  • "La BCE pourrait être amenée à remonter ses taux d'intérêt plus longtemps que prévu"

    La Banque centrale européenne (BCE) pourrait être amenée à poursuivre la remontée de ses taux d'intérêt plus longtemps que prévu et ses responsables pourront juger de l'efficacité du resserrement monétaire probablement à partir du mois de septembre, a déclaré Peter Kazimir, l'un des membre du Conseil des gouverneurs.

    La BCE a augmenté jeudi dernier ses taux d'un quart de point, une hausse de moindre ampleur que les précédentes, et indiqué que d'autres hausses devraient suivre.

    Sur la base des données actuelles, nous devrons continuer à augmenter les taux d'intérêt plus longtemps que prévu. Le ralentissement du rythme à 25 points de base est donc une étape qui nous permettra d'augmenter progressivement les taux pendant plus longtemps, si cela s'avère nécessaire et justifié par les données entrantes.

    Peter Kazimir
    Le gouverneur de la Banque de Slovaquie



    Les marchés prévoient une nouvelle augmentation en juin, mais sont partagés sur les mesures qui suivront.

  • Les valeurs immobilières européennes attaquées

    Les valeurs immobilières sont clairement délaissées en bourse, les annonces de SBB provoquant la méfiance des investisseurs pour un compartiment qui chute de 1,9%, selon l'indice Stoxx 600 sectoriel de référence.

    À Bruxelles, Cofinimmo perd 2,08%, Aedifica lâche 1,9% et WDP cède 1,7%.

  • ING à propos d'Agfa : "Les prévisions pour Healthcare IT semblent plus prudentes"

    Agfa Gevaert chute de 3,6% à 2,58 euros, dans un marché bruxellois en recul de 1,3%. L'action reste toutefois au-dessus du plus bas record de 2,44 euros touché lors de la séance de bourse du 20 mars, dans le sillage de chiffres annuels décevants et de prévisions peu convaincantes.

    Le bilan du premier trimestre ce matin ne peut pas vraiment compter sur les applaudissements. Les analystes d'ING, Maxime Stranart et David Vagman, s'en tiennent à la recommandation de "conserver". Ils notent qu'il est frappant de constater que la direction est devenue plus prudente quant à la croissance attendue des bénéfices de la division Healthcare IT.

  • La Bourse de Paris pâtit de la faiblesse chinoise

    L'indice CAC 40 de la Bourse de Paris chute de 0,47%, à la traîne par rapport aux autres bourses européennes, car elle souffre davantage de la faiblesse des données économiques de Chine, un marché primordial pour des poids lourds de la cote.

    La cote parisienne est pénalisée par les entreprises exposées à la Chine, comme le luxe avec Hermès (-1,07%), Kering (-1,2%), ou encore le géant des spiritueux Pernod Ricard (-0,5%).

    Les exportations de la Chine se sont tassées en avril tandis que les importations ont poursuivi leur repli, lestées par une reprise fragile de la deuxième économie mondiale et une demande mondiale atone, selon des chiffres officiels publiés mardi.

    Si le repli des exportations était attendu, l'ampleur de celui des importations a été bien plus prononcé que celui de mars et que les prévisions d'analystes.

  • Le point sur la tendance boursière

    Les indices actions européennes reculent, le groupe immobilier suédois SBB s'inscrivant en tête des reculs après avoir retardé le paiement de son dividende tandis que les investisseurs restaient méfiants avant les prochaines publications cruciales de données économiques américaines.

    L'indice paneuropéen Stoxx 600 abandonne 0,25%, les investisseurs se concentrant sur les données des prix à la consommation aux États-Unis attendues plus tard cette semaine pour savoir si la Réserve fédérale peut suspendre les futures hausses de taux.

    SBB chute de 6,7%, après que le propriétaire suédois a annoncé qu'il retarderait le paiement de son dividende et ne procéderait plus à une émission de droits de 2,63 milliards de couronnes suédoises (259,1 millions de dollars) après que S&P Global a réduit sa cote de crédit à "junk".

    Limitant les pertes, Banco BPM grimpe de 4%. La troisième banque italienne a relevé son objectif de bénéfice pour cette année et la suivante, après des bénéfices du premier trimestre plus forts que prévu.

    Fresenius Medical Care progresse de 0,4% après que le spécialiste allemand de la dialyse a annoncé une baisse plus faible que prévu de son résultat d'exploitation ajusté au premier trimestre.

  • SBB poursuit sa descente aux enfers

    Après avoir dégringolé de près de 20% lundi, SBB chute encore ce matin (de près de 8%) alors que le développeur immobilier suédois a indiqué lundi qu'il retardait le paiement de son dividende et qu'il ne procéderait pas à une augmentation de capital de 2,63 milliards de couronnes suédoises (259,1 millions de dollars), après la décision de S&P de réduire le rating du groupe au rang d'obligations pourries (junk bonds).

    Michael Johansson, analyste d'Arctic Securities AS salue la décision de SBB de privilégier le renforcement de ses liquidités. "Ces deux décisions, faire une pause dans la distribution du dividende et annuler l'émission prévue d'actions, sont dans l'ensemble positives pour les actionnaires de SBB", indique Michael Johansson. "Le problème pour SBB, c'est que le dividende a déjà été voté par l'assemblée, donc leur seule option est de le mettre en pause", précise-t-il.

  • Voici le briefing actions belges

  • |Opening bell|

    Amsterdam: -0,19%
    Bruxelles: -0,61%
    Paris: -0,35%
    Francfort: n.c.

    Euro Stoxx 50: -0,27%
    DJ Stoxx 600: -0,17%

    Agfa-Gevaert: -0,94%
    VGP: -0,64%
    Mithra: -6,3%

  • Tracker #33 | Celle qui s'est fait arnaquer de 30.000 euros

  • Briefing d'avant-bourse

    Les bourses européennes sont attendues en hausse timide à l'ouverture à la veille des chiffres des prix à la consommation aux États-Unis.

    Les premières indications disponibles donnent une hausse de 0,12% pour l'Euro Stoxx 50 dans les premiers échanges, de 0,23% pour Londres et un début de séance quasi stable pour Francfort.

    À l'image de la séance de lundi, la journée devrait être calme sur les marchés financiers en l'absence de rendez-vous économique majeur.

    Le prochain test est fixé à mercredi avec la publication des statistiques mensuelles des prix à la consommation aux États-Unis, qui pourraient montrer une stagnation de l'inflation à 5% sur un an selon le consensus Reuters.

    L'attention des marchés se porte en attendant vers la rencontre dans la journée entre le président américain Joe Biden et les leaders républicains au Congrès, dont le président de la Chambre des représentants Kevin McCarthy, pour tenter de trouver un compromis sur le plafond de la dette et éviter un éventuel défaut de paiement des États-Unis.

  • Agfa table toujours sur une reprise de la rentabilité

    L'avenir d'Agfa Gevaert devrait s'inscrire en mode reprise de la rentabilité, lit-on dans un communiqué. Le groupe affirme continuer de voir les commandes grimper fortement dans sa division HealthCare. Néanmoins, le spectre de l'inflation et sa pression sur les coûts risquent de mener à un premier semestre plus faible. "En conséquence, la croissance de l'ebitda pour l'ensemble de l'année par rapport à l'année précédente pourrait ralentir."

    L'unité Digital Print & Chemicals devrait être positivement influencée par l'acquisition d'Inca et de Zolder.

    Au premier trimestre, le groupe affiche un chiffre d'affaires en hausse de 7,2% à 270 millions d'euros, boostés par les 22% de progression de l'entité Digital Print & Chemical. L'ebitda ajusté s'affiche à 13 millions (+78%) avec la performance négative de la division Healthcare (-38%).

    L'Ebit ajusté ressort à 2 millions, là où les analystes tablaient sur 1 million d'euros.

    Le résultat net plonge davantage dans le rouge avec une perte nette passant de 7 millions à 66 millions d'euros. Le groupe évoque l'influence de la vente de l'Offset Solutions pour 47 millions d'euros.

  • VGP voit "un fort potentiel de développement"

    Attendus pour le 4 mai dernier, les résultats de VGP sur les quatre premiers mois de l'année sont finalement sortis ce mardi matin. Les revenus locatifs y affichent une hausse de près de 6% sur le trimestre, pour s'établir à près de 321 millions d'euros. Le spécialiste de l'immobilier logistique a en effet bénéficié de 24 millions d'euros de baux signés ou renouvelés, contre 21 millions sur la même période l’an dernier.

    Neuf projets ont par ailleurs été livrés, représentant une surface totale de 264.000 mètres carrés, quand un total de 300.000 mètres carrés de terrains ont été acquis sur la période. Quelque 23 projets sont actuellement en construction, bons pour créer 664.000 mètres carrés de surface locative à terme.


    Jan Van Geet, CEO, parle d’un début d’année solide grâce "à la demande résiliente des occupants dans l'ensemble du portefeuille malgré les incertitudes économiques", au-delà de "l'évolution favorable des prix de la construction", qui soutiennent les nouveaux projets.

    Sur cette base, l’intéressé se dit "optimiste pour les prochains mois", sans compter "un fort potentiel de développement" qu’il voit se présenter sur le marché. VGP souligne d'ailleurs être en négociations avancées pour élargir son modèle de joint-venture avec des partenaires potentiels et existants. Plusieurs transactions sont ainsi en phase de due diligence, avec une formalisation attendue dans la période à venir, fait savoir le groupe.

    À noter enfin, une obligation de 150 millions d'euros (2,75 %) arrivant à échéance en avril a été remboursée. Une seconde devra l'être également en septembre (225 millions d'euros à 3,90%).

  • Bpost et McKinsey

    Après l'enquête sur d'éventuelles ententes dans la concession de distribution des journaux et sur des marges bénéficiaires excessives dans les marchés publics, une nouvelle affaire met en lumière d’éventuelles infractions commises par bpost . Pendant des années, l'entreprise postale cotée en bourse a en effet confié des missions à des consultants sans lancer l'appel d'offres prévu par la loi...

  • Bolloré, Ryanair, PROSIEBENSAT.1... Les valeurs à suivre en Europe

    * BOLLORE - L'armateur marseillais CMA CGM va racheter les activités logistiques du groupe Bolloré pour 4,65 milliards d'euros avant calcul de la dette et de la trésorerie à la date de la réalisation de l'opération.

    * GTT a reçu, à Shanghai, une approbation de principe de la part de Bureau Veritas pour un concept de grand pétrolier "dual-fuel" propulsé au gaz naturel liquéfié (GNL).

    * RYANAIR est sur le point d'effectuer une commande importante auprès de Boeing pour acquérir des appareils 737 MAX supplémentaires, a-t-on appris lundi auprès de sources au fait de la question.

    * BPM - La troisième banque italienne a relevé son objectif de bénéfice pour 2023 et 2024, après avoir enregistré un bénéfice meilleur que prévu au premier trimestre grâce notamment à des taux d'intérêt plus élevés.

    * PROSIEBENSAT.1 - Le groupe d'investissement tchèque PPF a augmenté sa participation dans le groupe de médias allemand à 13,1% en actions et en instruments financiers, selon une déclaration réglementaire publiée lundi.

  • Le géant immobilier suédois SBB annule son dividende

    Le géant immobilier suédois SBB, en clair Samhällsbyggnadsbolaget i Norden, renonce à son dividende, selon un communiqué publié après la clôture. Une augmentation de capital prévue est également annulée.

    SBB, l'un des plus grands propriétaires fonciers de Suède, est, comme l'ensemble du secteur, en crise en raison de la forte baisse des prix de l'immobilier, maintenant que les taux d'intérêt ont fortement augmenté. Hier, les agences de notation Moody's et Standard & Poor's ont relégué la dette de SBB dans la catégorie spéculative.

  • Ce qu'il faut retenir de la séance à Wall Street

    • La Bourse de New York, dans l'expectative avant l'inflation américaine qui sera publiée mercredi, a terminé en ordre dispersé autour de l'équilibre dans un marché calme où les rendements obligataires se sont toutefois un peu tendus. L'indice Dow Jones a cédé 0,17%, le Nasdaq, à dominante technologique, a grignoté 0,18% et l'indice élargi S&P 500 est resté stable (+0,04%).
    • Tyson Foods et Catalent ont plongé respectivement de 16,41% et 25,74% après avoir revu à la baisse leurs prévisions annuelles.
    • L'action de la banque PacWest, basée à Los Angeles, a fini en hausse de près de 4% peu après l'ouverture après avoir annoncé une réduction de son dividende trimestriel afin d'assainir ses finances.
    • La Réserve fédérale a déclaré que les banques ont signalé des normes plus strictes et une demande plus faible pour les prêts commerciaux et industriels au cours du premier trimestre, prolongeant ainsi une tendance qui a commencé avant l'apparition des récentes tensions dans le secteur bancaire.
    • L’action Airbnb a gagné 4,8% à la veille de la publication de ses résultats trimestriels.
    • Le titre Berkshire Hathaway a gagné 0,7%. La société de Warren Buffett a fait état samedi d'un bénéfice trimestriel de 35,5 milliards de dollars et a dit avoir racheté pour 4,4 milliards de dollars de ses propres actions.
  • Fan mail pour UCB

    Le broker Jefferies relève l'objectif de cours du groupe biopharmaceutique UCB d'un coup de 89 euros à 100 euros, le conseil reste logiquement à 'acheter'.

    L'analyste Brian Balcin attend avec impatience le feu vert pour le marché américain pour le potentiel blockbuster bimekizumab (Bimzelx) dans le traitement du psoriasis. Un feu vert pour le psoriasis ouvrirait la porte au dépôt d'une demande de bime dans le traitement de l'hidrosadénite suppurée (HS), maladie chronique de la peau à haut potentiel.

    Les analystes ont de grandes attentes pour Bimzelx, qui devrait pouvoir être utilisé comme un couteau suisse pour divers troubles plus tard cette décennie. Le consensus estime les ventes mondiales à 2,3 milliards d'euros d'ici 2028.

    Balchin pense que le consensus sous-estime de manière importante le potentiel de Bimzelx dans le HS. "Nous estimons à 3 milliards de ventes dans le seul HS d'ici 2032, dont 2 milliards aux États-Unis. Ceci est soumis à l'hypothèse de l'approbation aux États-Unis en 2024 et à un prix deux fois supérieur à celui du psoriasis".

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  • L'Europe attendue en hausse | Agfa-Gevaert et VGP au rapport

    Bonjour! Bienvenue sur notre "Market live" du mardi 9 mai. Wall Street a clôturé sans direction lundi, avant les données de l'inflation américaine mercredi.

    En Europe, les marchés actions sont annoncés en hausse. L'Euro Stoxx 50 devrait débuter en hausse de 0,2%.

    Par ailleurs, Agfa-Gevaert et VGP publient leurs résultats avant-bourse. KBC et Vastned Belgique cotent ex-dividende de respectivement 3 euros (brut) et 2,25 euros (brut).

    ©AFP

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