* BNP PARIBAS - La première banque française a l'intention de réduire d'environ un tiers son réseau d'agences en France d'ici à 2030, ce qui devrait se traduire par quelque 500 fermetures d'agences, a rapporté, mercredi, le quotidien français Les Echos.
* SODEXO a revu à la baisse, ce jeudi, ses perspectives pour l'exercice 2025, le groupe anticipant désormais une croissance interne du chiffre d'affaires comprise en 3% et 4%, contre une fourchette de 5,5% à 6,5% auparavant, en raison d'une croissance interne plus faible qu'attendue en Amérique du Nord.
* SANOFI a conclu un accord définitif avec Dren Bio pour l'acquisition de DR-0201, "un anticorps bispécifique ciblé qui engage les cellules myéloïdes pour la déplétion robuste des lymphocytes B".
* VALNEVA s'attend à des ventes de 170 à 180 millions d'euros en 2025, générant des flux de trésorerie positifs pour l'ensemble des activités commerciales.
* SAFRAN a proposé la vente d'une activité en Amérique du Nord comme mesure corrective face aux préoccupations de l'Union européenne portant sur son offre de rachat de 1,8 milliard de dollars des activités de commandes de vol de Collins Aerospace, a déclaré une source proche du dossier mercredi.
* ESSO - Le groupe pétrolier a fait état, mercredi, d'une forte baisse de son bénéfice ajusté avant intérêts, impôts, dépréciation et amortissement (ebitda) annuel, à 58 millions d'euros, contre 964 millions un an plus tôt, touché par la baisse significative des marges de raffinage observée au second semestre 2024.
* PRUDENTIAL a affiché, ce jeudi, une hausse de son bénéfice opérationnel ajusté avant impôts pour l'exercice 2024, l'assureur ayant bénéficié de solides performances dans ses segments d'activité en Asie et en Afrique.
* DEUTSCHE BANK va licencier près de 2.000 personnes en 2025 via une réduction "significative" du nombre de ses succursales, a déclaré, mercredi, Christian Sewing, son président du directoire.
* RWE, le plus grand producteur d'électricité d'Allemagne, a déclaré jeudi qu'il réduirait ses investissements de plus d'un cinquième jusqu'à la fin de la décennie, invoquant l'incertitude entourant les rendements des énergies renouvelables, les risques géopolitiques ainsi que les contraintes de la chaîne d'approvisionnement.