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Wall Street rate son rebond et clôture à nouveau dans le rouge | Les craintes d'une "stagflation" refont surface

Wall Street a finalement clôturé en baisse, après avoir hésité en cours de séance, les investisseurs se concentrant sur les perspectives économiques aux États-Unis revues à la baisse par la Fed. Les indices actions européens ont eux tous clôturé dans le rouge. Nike se rassure.
  • Les demandes d’allocations chômage des employés fédéraux américains en baisse

    Les nouvelles demandes d’allocations chômage déposées par les employés fédéraux ont diminué la semaine dernière, bien qu'elles restent élevées par rapport à l’année dernière.

    Au total, 821 demandes initiales ont été enregistrées au niveau national dans le cadre du programme d’indemnisation du chômage pour les employés fédéraux pour la semaine se terminant le 15 mars, contre 1066 la semaine précédente, selon les données publiées jeudi sur le site du Département du Travail. Ces chiffres sont susceptibles d’être révisés avant leur inclusion dans le rapport hebdomadaire sur les demandes d’allocations chômage du 27 mars.

    Le nombre de demandes continues, qui reflète le nombre de personnes recevant des prestations, s’est élevé à 9135 pour la semaine se terminant le 8 mars, contre 8 648 la semaine précédente, soit près de 2900 de plus qu’il y a un an.

  • Bernstein qualifie Walmart de "gagnant structurel"

    Les ventes du secteur de l'e-commerce aux États-Unis atteignent actuellement environ 1.200 milliards de dollars par an. À l’avenir, Bernstein estime que Walmart est le mieux placé pour accroître sa pénétration dans le commerce en ligne par rapport à ses concurrents.

    "Nous considérons Walmart comme un gagnant structurel, grâce à son envergure et ses investissements dans l’automatisation, qui devraient soutenir une amélioration continue de sa rentabilité", a écrit l’analyste Zhihan Ma, rapporte CNBC.

  • FedEx abaisse à nouveau ses prévisions de bénéfices en raison des inquiétudes économiques croissantes

    FedEx a revu à la baisse ses prévisions de bénéfices pour l'exercice en cours, pour la troisième fois consécutive, en raison de l'incertitude économique croissante et d'une demande déjà faible qui pèse sur ses résultats. Après la publication de ces prévisions révisées, l'action FedEx a chuté de 3% lors des échanges après la clôture à New York.

    Le transporteur de colis a annoncé que ses bénéfices ajustés devraient désormais se situer entre 18 et 18,60 dollars par action pour l'exercice fiscal en cours, contre une estimation moyenne de 18,95 dollars par action des analystes consultés par Bloomberg.

    FedEx rejoint ainsi la liste des entreprises américaines qui expriment leurs inquiétudes face à la baisse de la confiance des consommateurs et aux conséquences possibles de l'escalade de la guerre commerciale menée par le président Donald Trump. L'entreprise, dont les activités couvrent une large part de l'économie mondiale, du commerce de détail à la fabrication, est souvent perçue comme un baromètre économique.

  • Nike monte en après-bourse après une baisse du chiffre d'affaires trimestriel moins importante que prévu

    Nike a enregistré une baisse de revenu trimestriel moins importante que prévu, bénéficiant d'une augmentation de la demande durant la saison des fêtes et d'une hausse de la demande pour ses nouvelles lignes de baskets Pegasus Premium et Vomero 18.

    L'action du fabricant d'Air Jordan augmente de 3,9% dans les échanges après-clôture.

    Le géant des articles de sport a appliqué des réductions sur ses principales franchises lifestyle, Air Jordan 1, AirForce 1 et Dunk, afin de liquider les anciens stocks et de se concentrer sur l'innovation. Une sage décision qui a stimulé l'intérêt des acheteurs.

    Les nouvelles baskets lancées ont également bien performé, offrant ainsi une bouffée d'oxygène au fabricant d'articles de sport après plusieurs trimestres de faible demande.

    Le chiffre d'affaires du troisième trimestre de l'entreprise a chuté de 9% pour atteindre 11,3 milliards de dollars, contre une baisse attendue de 11,5% à 11,01 milliards de dollars, selon des données compilées par LSEG.

    Le plan d'économies de 2 milliards de dollars de Nike, comprenant des réductions d'emplois, un resserrement de l'approvisionnement de certains produits et une réduction des couches de management, lui a permis d'enregistrer un bénéfice trimestriel par action de 0,54 $. Les analystes s'attendaient en moyenne à un bénéfice de 0,29 $ par action.

  • Wall Street termine à nouveau en baisse, le S&P 500 et le Nasdaq en recul

    Les indices boursiers américains ont à nouveau clôturé en baisse jeudi, le S&P 500 et le Nasdaq reprenant leur chute qui les avait récemment fait entrer en territoire de correction. Mercredi, les marchés avaient pourtant rebondi grâce aux commentaires optimistes du président de la Réserve fédérale, Jerome Powell. Mais cet élan positif s’est estompé dès le lendemain...

    L’indice élargi S&P 500 a reculé de 0,22% pour clôturer à 5.662,89 points. Le Nasdaq Composite a perdu 0,33%, terminant la séance à 17.691,63 points, pénalisé par les baisses d’Apple et d’Alphabet . De son côté, le Dow Jones Industrial Average a légèrement fléchi de 11,31 points (-0,03%) pour clôturer à 41.953,32 points.

    La banque centrale américaine a par ailleurs indiqué qu’elle anticipait un ralentissement de la croissance économique et, au moins temporairement, une inflation plus élevée. "C'est très volatil. L’actualité est très instable", a déclaré Stephen Massocca, vice-président senior chez Wedbush Securities à San Francisco. "Le marché y est très attentif, et beaucoup de choses dépendront de l’évolution de certains événements au cours des prochaines semaines." "Nous sommes en train d’atteindre un plancher, mais lorsque j’analyse les nouvelles à court terme, je n’ai pas beaucoup d’espoir que nous sortions soudainement de cette situation", a-t-il ajouté.

    Le secteur technologique a été le plus faible des 11 principaux secteurs, tandis que l’énergie a progressé, soutenue par une hausse de près de 2% des prix du pétrole après l’annonce de nouvelles sanctions américaines liées à l’Iran.

    Accenture a chuté de 7,26% après que la société de conseil a révélé, lors de la présentation de ses résultats du deuxième trimestre, que son activité Federal Services avait perdu des contrats avec le gouvernement fédéral en raison des efforts de réduction des dépenses sous l’administration Trump.

  • Wall Street | Closing Bell

    Dow Jones: -0,03%

    S&P 500: -0,22%

    Nasdaq: -0,33%

  • Les investisseurs individuels américains restent inhabituellement baissiers

    L’optimisme des investisseurs individuels quant à l’évolution des marchés actions au cours des six prochains mois a légèrement progressé cette semaine, selon l’enquête de l’American Association of Individual Investors (AAII) publiée par CNBC, mais il reste en dessous de la moyenne historique pour la 10ᵉ fois en 12 semaines.

    La part des investisseurs haussiers est passée à 21,6%, contre 19,1% la semaine précédente, mais demeure bien inférieure à sa moyenne historique de 37,5%. De leur côté, les opinions baissières ont légèrement reculé à 58,1%, contre 59,2%, tout en restant bien au-dessus de leur moyenne historique de 31,0% pour la 16ᵉ fois en 18 semaines. Le reste des répondants se montrent neutres sur les perspectives boursières.

    L’enquête de cette semaine marque une première depuis le lancement du sondage à la fin des années 1980: c'est la première fois que la proportion d'investisseurs baissiers sur les marchés reste au-dessus de 57% pendant quatre semaines consécutives.

  • BCE: Robert Holzmann relance l'idée d’un décuplement des réserves obligatoires

    Une augmentation pouvant aller jusqu'à dix fois du montant que les banques doivent déposer sans intérêt auprès de la Banque centrale européenne (BCE) pourrait atténuer les difficultés financières des banques centrales nationales de la zone euro, a déclaré Robert Holzmann, membre du Conseil des gouverneurs de la BCE.

    "Un taux de 5% à 10% de réserves obligatoires non rémunérées réduirait considérablement la subvention implicite dont bénéficient actuellement les banques commerciales, tout en renforçant le bilan des banques centrales", a affirmé Holzmann jeudi.

    Actuellement, les banques sont tenues de conserver 1% de certaines de leurs dettes – principalement des dépôts de clients – sous forme de réserves obligatoires auprès de la BCE.

  • Les prix du pétrole clôturent en hausse après l'annonce de nouvelles sanctions américaines liées à l'Iran

    Les prix du pétrole ont augmenté jeudi après l'annonce de nouvelles sanctions américaines liées à l'Iran et la montée des tensions au Moyen-Orient, qui ont compensé la vigueur du dollar.

    Les contrats à terme sur le Brent ont clôturé en hausse de 1,22 dollar, soit 1,72%, à 72 dollars le baril. Le contrat américain West Texas Intermediate (WTI) pour avril, qui expirait jeudi, a gagné 1,10 dollar, soit 1,64%, pour s'établir à 68,26 dollars. Le contrat WTI pour mai, plus activement échangé, a progressé de 1,16 dollar, soit 1,73%, à 68,07 dollars.

    Les États-Unis ont annoncé jeudi de nouvelles sanctions visant des entités impliquées dans le commerce du pétrole iranien, y compris, pour la première fois, une raffinerie indépendante chinoise ainsi que des navires ayant approvisionné ces installations.

  • UBS envisage de déplacer son siège en cas d'exigence de capital supplémentaire de 25 milliards de dollars

    Selon des sources citées par Bloomberg, UBS envisagerait de transférer son siège social si la Suisse lui imposait de détenir 25 milliards de dollars de capital supplémentaire, une mesure actuellement à l'étude par les autorités.

    La banque craint qu'une telle exigence ne compromette sa compétitivité face à ses rivaux internationaux.

    Toute modification devra encore être approuvée par les autorités, et un éventuel durcissement des exigences en capital ne prendrait effet qu’en 2028, laissant le temps aux parties prenantes de trouver un compromis.

  • General Motors et Hyundai Motor proches d'un accord sur les véhicules électriques

    General Motors et Hyundai Motor seraient sur le point de conclure un accord permettant au constructeur sud-coréen de partager ses modèles de fourgons utilitaires électriques avec le fabricant américain, selon un rapport de Reuters.

    Cet accord pourrait également inclure la fourniture par General Motors de pick-ups à Hyundai, qui les vendrait sous sa propre marque, d’après une source anonyme citée dans le rapport.

    L'action General Motors progresse légèrement en fin de séance.

  • L’or marque une pause après un record

    Les prix de l'or reculent légèrement jeudi après avoir atteint un niveau record plus tôt dans la séance, tout en conservant une perspective haussière portée par la possibilité de baisses de taux signalée par la Réserve fédérale et par les incertitudes géopolitiques et économiques persistantes.

    À 15h38 GMT, l'or au comptant était en baisse de 0,3%, à 3 038,79 dollars l’once, en raison de prises de bénéfices, après avoir atteint un sommet historique de 3 057,21 dollars.
    Les contrats à terme sur l'or aux États-Unis ont quant à eux clôturé en hausse de 0,1%, à 3 043,80 dollars l'once.

    "Les spéculateurs essaient de tirer parti du marché et de prendre quelques bénéfices... Je pense qu'à chaque nouveau record de l'or, nous observons un certain niveau de résistance", a déclaré Alex Ebkarian, directeur des opérations chez Allegiance Gold.

  • Perplexity AI en pourparlers pour lever des fonds à une valorisation de 18 milliards de dollars

    La start-up d'intelligence artificielle Perplexity AI est en pourparlers pour lever des fonds à une valorisation de 18 milliards de dollars, a rapporté Bloomberg News jeudi, ce qui représente une augmentation substantielle par rapport à la valorisation de 9 milliards de dollars rapportée par Reuters en novembre.

    La société a discuté de la levée de fonds entre 500 millions et 1 milliard de dollars dans cette levée de fonds, selon le rapport.

  • Le point sur la séance à Wall Street

    • Accenture : L’action chute de 7% après que le géant du conseil a publié des résultats décevants pour le deuxième trimestre de l’exercice. L’entreprise a enregistré un bénéfice de 2,82 dollars par action pour un chiffre d’affaires de 16,66 milliards de dollars. Les analystes interrogés par FactSet tablaient sur un bénéfice de 2,81 dollars par action pour des revenus de 16,62 milliards de dollars.
    • Microchip Technology: Le fabricant de semi-conducteurs perd 4,8% après l’annonce d’un plan d’émission d’actions convertibles de 1,35 milliard de dollars, dont une partie des produits nets sera utilisée pour rembourser la dette et financer les coûts des transactions de call limitées, un instrument dérivé.
    • Coty : L’action de la société de cosmétiques a progressé de 1,8% après une révision à la hausse de la part de Citi, passant de "neutre" à "acheter". L’analyste Filippo Falorni a souligné que la vente de la participation de l’entreprise dans la marque de soins capillaires Wella d’ici la fin de l’année n’était pas encore pleinement reflétée dans l’évaluation actuelle.
    • Stellantis Le constructeur automobile chute de 3,6% après que Piper Sandler a abaissé la note de l’action à "neutre", citant une incertitude croissante entourant l’entreprise.
    • Meta Platforms : La société mère de Facebook a gagné 2,5%, récupérant ainsi une partie des pertes subies cette semaine.
    • PDD Holdings : L'action progresse de 3,2% après les résultats du quatrième trimestre. PDD a annoncé un bénéfice ajusté de 18,53 yuans par action et des revenus de 110,6 milliards de yuans, soit 15,2 milliards de dollars. Les analystes interrogés par FactSet s’attendaient à un bénéfice de 19,85 yuans par action et à des revenus de 113,6 milliards de yuans.
    • ProAssurance : L’action de l’assureur bondit de 48% après l’annonce de son acquisition par The Doctors Company, un assureur en responsabilité civile médicale, dans le cadre d’une offre en numéraire de 25 dollars par action. La transaction devrait être finalisée au premier semestre 2026, valorisant l’entreprise à environ 1,3 milliard de dollars.
  • Hyloris voit sa perte nette réduite de plus de moitié

    Le groupe pharmaceutique Hyloris a publié ses résultats annuels. En 2024, son chiffre d'affaires a augmenté de 138%, atteignant plus de 10 millions d'euros, soutenu par une hausse des redevances et des paiements de jalons (+305%). La perte nette a diminué de 59%, s'établissant à 6,3 millions d'euros, soit le niveau le plus bas depuis l'introduction en bourse. La position de trésorerie s'élevait à 23,6 millions d'euros à la fin de l'année 2024.

    "En 2024, nous avons élargi notre pipeline avec deux nouveaux candidats produits, et deux autres depuis le début de cette année", ont déclaré les co-CEO Stijn Van Rompay et Thomas Jacobsen. "Bien que les ventes en soient encore à un stade précoce, elles continuent de croître."

  • L'Europe finit en repli, la politique monétaire domine

    Les bourses européennes ont terminé en baisse jeudi, et Wall Street était hésitante à la mi-séance, plusieurs grandes banques centrales ayant averti d'un contexte économique incertain. À Paris, le CAC 40 a fini sur une perte de 0,95% à 8.094,2 points. Le Footsie britannique a reculé de 0,09% et le Dax allemand a reflué de 1,18%. L'indice EuroStoxx 50 a perdu 1,0% et le FTSEurofirst 300 0,41%. Le Stoxx 600, affecté par des prises de bénéfice dans le compartiment bancaire (-1,72%) et celui de l'industrie (-1,03%), a fini en repli de 0,43%. 

    Sur le plan monétaire, la Réserve fédérale américaine (Fed), la Banque d'Angleterre (BoE), la Banque nationale Suisse (BNS) et la banque centrale de Suède (Riksbank) ont estimé, dans leur communiqué de politique monétaire, que l'économie était désormais confrontée à une grande incertitude liée à un risque de guerre commerciale mondiale qui pourrait raviver l'inflation. La présidente de la Banque centrale européenne (BCE), Christine Lagarde, a dit pour sa part qu'une guerre commerciale d'ampleur pèserait sur l'activité. 

    Aux valeurs, BNP Paribas a reculé de 2,05% alors que la première banque française a l'intention de réduire d'environ un tiers son réseau d'agences en France d'ici 2030, selon Les Echos. Sodexo a plongé de 17,14% en réaction à la baisse de ses perspectives pour l'exercice 2025. Valneva a pris 5,97% après avoir dit anticiper des ventes de 170 à 180 millions d'euros pour cette année. Esso a grimpé de 13,95% après ses résultats annuels.

    Deutsche Bank a cédé 2,03% alors que le groupe bancaire allemand va licencier près de 2.000 personnes en 2025 via une réduction "significative" du nombre de ses succursales. RWE a abandonné 3%, le producteur d'électricité ayant annoncé son intention de réduire ses investissements dans un contexte d'incertitude. 

  • Le Bel 20 termine en baisse

    À l'instar des bourses européennes, le Bel 20 a terminé en recul, avec les risques économique et géopolitique. L'indice star de la Bourse de Bruxelles a lâché 0,26%, à 4.487,84 points. Elia signe la plus forte hausse du jour, suivi par WDP et AvH . Solvay est lanterne rouge, tandis que Melexis et KBC ferment la marche.

    En dehors de l'indice, Keyware Technologies a grimpé de 6,80% tandis que Celyad a lâché 9,84%.

  • Europe | Closing Bell

    Bel 20: -0,26%

    Footsie 100: -0,02%

    Dax: -1,10%

    CAC 40: -0,86%

    Stoxx 600:-0,37%

  • ProAssurance en forte hausse après une offre d'achat

    La société d'assurances ProAssurance a reçu une offre d'achat de la part de son concurrent The Doctors, proposant 25 dollars par action en numéraire. En réponse à cette proposition, le titre a bondi de 48%, atteignant ainsi 23 dollars.

    Paul Newsome, analyste chez Piper Sandler, considère cette offre comme une prime significative par rapport au prix de clôture de mardi, et au-delà de la valeur comptable de l'entreprise. Il précise: "Les investisseurs risquent de se focaliser sur les préoccupations concernant l'approbation de l'autorité de la concurrence, mais selon nous, il n'y a pas de risques majeurs à ce sujet. Aux États-Unis, le marché des assurances est extrêmement compétitif, avec un grand nombre d'acteurs."

  • L'action Madison Square Garden Sports en hausse après la vente des Boston Celtics

    L'action Madison Square Garden Sports progresse de plus de 2% après l'annonce de la vente des Boston Celtics à un groupe d'investisseurs dirigé par William Chisolm pour 6,1 milliards de dollars, un montant qui rehausse la valorisation des franchises NBA.

    Madison Square Garden Sports détient les New York Knicks, ainsi que leur équipe de développement en ligue mineure et l'équipe de NHL, les New York Rangers. En revanche, le Madison Square Garden, salle emblématique où jouent les Knicks et lieu d'événements majeurs, est détenu par une entité distincte, Madison Square Garden Entertainment.

  • L'engagement politique d'Elon Musk crée une "crise de marque" pour Tesla

    Tesla par-ci, Tesla par-là. Après Baird, c'est au tour de Wedbush, par l'intermédiaire de l'analyste Dan Ives, d'estimer que l’implication du CEO Elon Musk dans la politique a plongé les actionnaires dans l’incertitude.

    "On assiste à ce que j’appellerai une crise de marque – un véritable tourbillon de crise de marque", a déclaré Ives jeudi sur CNBC dans l’émission Squawk on the Street. "Musk doit trouver un équilibre entre son rôle de CEO de Tesla et son implication dans le ministère Doge. Et selon moi, il est crucial qu’il prenne du recul par rapport au Doge."

    Il souligne que Tesla est devenu un symbole politique, ce qui, selon lui, est néfaste pour n’importe quelle marque. Bien qu’il reconnaisse la force de la technologie de Tesla, il estime que les investisseurs sont frustrés par les distractions causées par les engagements politiques de Musk.

  • CoreWeave lance une IPO de 2,7 milliards de dollars

    CoreWeave, un fournisseur de services cloud spécialisé dans l’intelligence artificielle et l’une des start-ups les plus en vue du secteur, prévoit de lever jusqu’à 2,7 milliards de dollars lors de son introduction en bourse.

    Soutenue par Nvidia, l’entreprise et certains de ses investisseurs proposent des actions à un prix compris entre 47 et 55 dollars l’unité, selon un document déposé jeudi auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis. CoreWeave met en vente environ 47 millions d’actions, tandis que les actionnaires actuels cèdent 1,8 million d’actions supplémentaires.

    Si le prix atteint le haut de cette fourchette, CoreWeave afficherait une capitalisation boursière de 26 milliards de dollars sur la base des actions en circulation mentionnées dans le document. Selon les calculs de Bloomberg, la valorisation totale de l’entreprise, en tenant compte des actions diluées, pourrait atteindre 32 milliards de dollars.

  • Le "death cross" de retour pour l'action Nvidia et l'indice Russell 2000

    Le schéma baissier connu sous le nom de "death cross" vient d’apparaître sur les graphiques du Russell 2000, pour la première fois en 17 mois, ainsi que sur l’action Nvidia , une première depuis trois ans.

    Ce phénomène se produit lorsqu’une moyenne mobile à court terme (généralement la moyenne mobile à 50 jours) croise à la baisse une moyenne mobile à long terme (généralement la moyenne mobile à 200 jours). De nombreux analystes de Wall Street considèrent cette croix baissière comme un signal indiquant qu’un simple repli à court terme évolue en une tendance baissière plus durable.

  • Baird reste baissier sur Tesla

    L’avenir à court terme de Tesla semble compromis à la fois sur le plan de la demande et de l’offre, selon Baird.

    L’analyste Ben Kallo a réitéré sa position de "valeur baissière fraîchement sélectionnée" sur le constructeur de véhicules électriques. Il pointe notamment la baisse de la demande des consommateurs, en partie due aux prises de position politiques controversées du CEO Elon Musk.

    Par ailleurs, la reprise de la production du Model Y devrait entraîner des livraisons inférieures aux prévisions initiales, estime Kallo, qui s’attend à ce que ces perturbations, ainsi que des problèmes de chaîne d’approvisionnement, persistent au deuxième trimestre.

    "Il est difficile de distinguer l’impact de l’offre et de la demande sur les livraisons du premier trimestre, d’après les données communiquées par des sources tierces. Quelle qu’en soit la cause, nous pensons que les inquiétudes liées à l’influence de Musk sur l’image de Tesla, combinées à la montée en cadence de la production du Model Y, alimenteront les arguments baissiers sur la demande, créant ainsi un obstacle à court terme."

    Ben Kallo
    Analyste chez Baird
  • Wall Street efface ses pertes et passe dans le vert

    Après une ouverture en baisse, les marchés américains ont rebondi et s'affichent désormais dans le vert. Le Dow Jones progresse de 0,67%, tandis que le Nasdaq grimpe de 0,81%, et le S&P 500 de 0,61%.

  • L'Union européenne reporte à mi-avril ses mesures douanières visant des produits américains

    L'entrée en vigueur des contre-mesures douanières sur les produits américains, prévue le 1ᵉʳ avril, est reportée au milieu du mois, a annoncé la Commission européenne.

  • UBS: "Les signaux rassurants de la Fed suggèrent qu'il est temps de réinvestir ses liquidités"

    Les déclarations apaisantes de Jerome Powell, mercredi, ont rappelé aux investisseurs l'importance d’optimiser leurs liquidités, selon UBS Global Wealth Management.

    "Depuis 1945, les rendements cumulés des actions (S&P 500) sont plus de 200 fois supérieurs à ceux des liquidités, ce qui confirme que leur sous-performance à long terme est un phénomène structurel."

    Solita Marcelli
    Directrice des investissements chez UBS pour le continent américain

    UBS estime qu’il est d’autant plus crucial cette année de réinvestir son excédent de trésorerie. La banque recommande de privilégier des obligations de haute qualité et de maintenir une exposition aux actions, tout en mettant en place des stratégies de couverture. Elle prévient également que "les taux sur les liquidités peuvent chuter rapidement en cas de ralentissement économique inattendu".

  • Accenture dans le dur

    Accenture plonge de 8% après avoir indiqué jeudi que les initiatives de l'administration Trump pour réduire les dépenses fédérales ont entraîné des retards et des annulations de nouveaux contrats.

  • Lendemain de Fed pour Wall Street

    La Bourse de New York se cherche une direction, entre les inquiétudes liées aux droits de douane américains et les annonces de la Réserve fédérale qui a mis en garde contre un contexte économique incertain.

    L'indice Dow Jones grimpe de 0,11%, le S&P 500 avance de 0,14% et le Nasdaq avance de 0,20

    Les investisseurs redoutent que la position agressive du président Donald Trump en matière de politique commerciale alimente l'inflation, tout en faisant basculer l'économie en récession, perturbant ainsi le cycle d'assouplissement de Réserve fédérale américaine.

    La Fed a maintenu mercredi inchangé l'objectif de taux des "fed funds", mais son président, Jerome Powell, a indiqué que la banque centrale attendrait plus d'éclaircissements sur les impacts de la politique de Donald Trump. La banque a par ailleurs revu à la hausse ses prévisions d'inflation pour cette année et parallèlement abaissé ses perspectives de croissance économique pour 2025.

  • Wall Street en recul, l'effet de la Fed a disparu

    La Bourse de New York a ouvert dans le rouge, au lendemain de la décision de la banque centrale américaine (Fed) de maintenir ses taux inchangés, les investisseurs se concentrant désormais sur les perspectives économiques aux États-Unis revues en baisse par l'institution.

    Dans les premiers échanges, le Dow Jones recule de 0,49%, le S&P perd 0,60% et le Nasdaq 0,75%.

  • L'Europe s'enfonce à la baisse | Wall Street donnée en recul | Les actifs jugés plus sûrs recherchés

    Les indices actions européens s'enfoncent à la baisse, les investisseurs choisissant de prendre leurs bénéfices après que la banque centrale américaine (Fed) a révisé à la baisse les perspectives de croissance économique des États-Unis.

    Wall Street a terminé en hausse mercredi, après la conférence de presse tenue par le président de la Fed, Jerome Powell, mais les contrats à terme des trois principaux indices étaient dans le rouge. Celui du S&P 500 recule de 0,5%, le Nasdaq de 0,60% et le Dow Jones de 0,34%.

    En Europe, après une ouverture hésitante, les marchés ont tranché: à la mi-journée, la Bourse de Paris recule de 1,11%, Francfort abandonne 1,61% et Milan 1,7%. Stable toute la matinée, Londres lâche finalement 0,33% après que la Banque d'Angleterre (BoE) a laissé son taux directeur inchangé à 4,5%, se concentrant sur l'inflation malgré la croissance stagnante du Royaume-Uni.

    "Il y a beaucoup d'incertitude économique en ce moment", a souligné Andrew Bailey, le gouverneur de la BoE, dans une déclaration jointe à la décision.

    Les marchés digèrent des déclarations similaires du président de la banque centrale américaine (Fed), qui a tenu une conférence de presse mercredi.

    Les investisseurs s'orientaient davantage vers des actifs jugés plus sûrs, comme les obligations et le dollar.

    Le billet vert avançait de 0,66% par rapport à la monnaie unique, à 1,0835 euro pour un dollar.

    Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d'État américains à dix ans se détendait à 4,185%, contre 4,24% à la clôture mercredi.

    ©EPA
  • L'indice "Philly Fed" se dégrade moins que prévu en mars

    Les conditions d'activité dans la région de Philadelphie se sont dégradées moins que prévu en mars, montre l'enquête mensuelle de l'antenne locale de la Réserve fédérale publiée jeudi.

    L'indice "Philly Fed" a reculé à 12,5, après 18,1 en février.

    Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un chiffre de 8,5.

    La composante des nouvelles commandes a reculé à 8,70 en mars, contre 21,90 en février.

    Le sous-indice des perspectives d'activité ressort, pour sa part, à 5,60 ce mois-ci, contre 27,80 un mois plus tôt.

    Le sous-indice de l'emploi a progressé, quant à lui, à 19,70, après 5,30 en février.

    Celui des prix acquittés grimpe encore, ressortant à 48,30 en mars, contre 40,50.

  • La Banque d'Angleterre maintient son principal taux à 4,50%

    La Banque d'Angleterre (BoE) a, comme prévu, laissé inchangé jeudi son principal taux directeur à 4,50%, après l'avoir abaissé d'un quart de point lors de sa dernière réunion de politique monétaire, en février.

    Le comité de politique monétaire (MPC) de la BoE a voté par huit voix contre une en faveur de ce statu quo sur les taux.

    Depuis le début de l'actuel cycle d'assouplissement de sa politique monétaire, entamé en août 2024, la BoE a réduit ses taux de seulement 75 points de base, un rythme plus lent que celui des principales banques centrales dans le monde.

    Le principal taux directeur de la BoE avait grimpé à 5,25% à la suite d'un total de 14 hausses entre décembre 2021 et août 2023.

  • Christine Lagarde (BCE): "L'inflation en zone euro pourrait rebondir rapidement"

    L'inflation en zone euro pourrait rebondir rapidement, mais la croissance chuterait en cas de guerre commerciale d'ampleur avec les États-Unis, a déclaré Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne (BCE), ce jeudi.

    Dans le cas où les États-Unis imposeraient des droits de douane de 25% aux importations européennes, la croissance de la zone euro diminuerait de 0,3 point de pourcentage sur la première année, un impact qui progresserait à 0,5 point de pourcentage dans le cas où l'Union européenne riposterait, a prévenu la dirigeante, qui s'exprimait devant les députés européens réunis à Bruxelles.

    À court terme, des mesures de rétorsion européennes et un euro affaibli par une demande américaine pour les produits européens plus faible, ajouteraient environ un demi-point de pourcentage à l'inflation. Cet impact s'estomperait à moyen terme, le recul de l'activité étouffant les pressions inflationnistes.

    Christine Lagarde
    Présidente de la BCE
  • Nouveau record pour l'or

    L'or a grimpé à un nouveau sommet historique ce jeudi après la décision de la Réserve fédérale (Fed) de maintenir ses taux d'intérêt, que le marché peine à interpréter. L'once d'or a atteint 3.057,49 dollars, avant de réduire son avance à 3.032,87 dollars.

  • Le concurrent d'UCB et d'argenx ne parvient pas à convaincre avec un nouveau médicament

    L'américain Immunovant a publié, hier, une mise à jour de recherche sur son médicament Batoclimab pour le traitement de la myasthénie grave, une maladie musculaire.

    Cette mise à jour pourrait concerner également les actionnaires d'UCB et d'argenx , car les deux acteurs belges sont actifs dans le même domaine, avec respectivement les médicaments Rystiggo et Vyvgart.

    Les premières conclusions semblent rassurantes pour les actionnaires d'UCB et d'Argenx: le médicament d'Immunovant est certes efficace, mais il ne répond pas aux critères élevés de Vyvgart.

    À Wall Street, Immunovant a clôturé pratiquement stable après une séance en montagnes russes hier. Argenx se négocie actuellement en hausse de 0,5%, UCB est en baisse de 1,4% aujourd'hui. Les investisseurs ne semblent donc pas particulièrement impressionnés par la concurrence.

  • La dette mondiale dépasse les 100.000 milliards de dollars

    La dette publique mondiale a dépassé le seuil historique des 100.000 milliards de dollars (92.030 milliards d'euros) en 2024, a annoncé l'OCDE ce jeudi, tandis que les coûts d'emprunt ne cessent d'augmenter, et demeurent bien plus élevés qu'avant la hausse généralisée de 2022, laissant les emprunteurs face à des choix difficiles. Et ces coûts sont susceptibles de continuer à augmenter en 2025, à un moment où les gouvernements sont confrontés à d'importantes dépenses.

    "Cette combinaison de coûts plus élevés et d’une dette plus élevée risque de restreindre la capacité future d’emprunt à un moment où les besoins d’investissement sont plus grands que jamais", a prévenu l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) dans son rapport annuel sur la dette.

    Dans ce contexte, les gouvernements et les entreprises doivent s'assurer que leurs emprunts soutiennent la croissance et la productivité à long terme, a déclaré Serdar Celik, responsable des marchés de capitaux et des institutions financières à l'OCDE.

    "S'ils le font de cette façon, nous ne serons pas inquiets. S'ils ne le font pas de cette façon, cela ajoutera une dette supplémentaire et coûteuse, sans augmenter la capacité productive de l'économie. Alors, nous connaîtrons des temps plus difficiles."

    Cette combinaison de coûts plus élevés et d’une dette plus élevée risque de restreindre la capacité future d’emprunt à un moment où les besoins d’investissement sont plus grands que jamais.

    L'OCDE dans son rapport annuel sur la dette
  • Degroof Petercam sur IBA: "Le report de l'objectif de marge de rebit est un inconvénient majeur"

    Les résultats et prévisions d'IBA passent mal sur Euronext Bruxelles. Le titre chute de 8,4%, à 11,94 euros.

    Il y a des éléments positifs et des éléments négatifs dans les résultats publiés ce matin, indique Laura Roba, analyste chez Degroof Petercam. Elle déplore toutefois que la marge de rebit de 10% soit retardée de deux ans, ce qui est "un inconvénient majeur". La direction maintient la trajectoire, mais souhaite se montrer plus prudente compte tenu de la volatilité des prises de commandes et du contexte macroéconomique actuel, explique-t-elle.

    L'analyste devrait revoir ses estimations pour IBA sur base des résultats. 

    Degroof Petercam a une recommandation d'achat et un objectif de cours de 20 euros sur IBA.

  • "La communication de la Fed est insuffisante pour susciter de nouvelles positions courtes sur le dollar"

    Le dollar progresse légèrement, la Réserve fédérale ayant indiqué qu'elle n'était pas pressée de baisser davantage ses taux cette année en raison des incertitudes entourant les droits de douane américains.

    Les responsables politiques américains anticipent deux baisses de taux d'intérêt d'un quart de point plus tard cette année, soit la même prévision médiane qu'il y a trois mois, malgré une croissance économique plus lente et une inflation plus élevée. Mercredi, la Fed a maintenu son taux directeur au jour le jour dans une fourchette de 4,25% à 4,50%.

    Nous ne sommes pas pressés d'agir. Notre politique monétaire actuelle est bien placée pour faire face aux risques et aux incertitudes auxquels nous sommes confrontés… La bonne chose à faire est d'attendre d'avoir plus de clarté sur l'évolution de l'économie.

    Jerome Powell
    Président de la Fed

    Les commentaires de Jerome Powell et le communiqué de la Fed ont souligné les difficultés rencontrées par les décideurs politiques face au projet du président Donald Trump d'imposer des droits de douane sur les importations en provenance des partenaires commerciaux des États-Unis, ainsi que son impact sur l'économie.

    La communication de la Fed est probablement insuffisante pour susciter de nouvelles positions courtes sur le dollar.

    Francesco Pesole
    Stratège FX chez ING



  • Le point sur la tendance boursière

    Les marchés boursiers européens sont hésitants, après que la banque centrale américaine (Fed) a révisé ses prévisions de croissance pour les États-Unis, rassurant toutefois un peu les investisseurs sur les conséquences des droits de douane sur l'inflation.

    "La Fed a maintenu sa politique monétaire inchangée et le ton mesuré de Powell concernant le risque de récession et l'inflation a apaisé les investisseurs", commentent les analystes de Natixis.

    Wall Street a terminé en hausse mercredi après la conférence de presse tenue par le président de la Fed, Jerome Powell.

    Ce matin, les indices boursiers se montrent plus hésitants. L'Euro Stoxx 50 cède 0,14%. Francfort abandonne 0,42% et Paris 0,28%. Londres est en hausse de 0,24%.

    Le sentiment de marché était plutôt positif après que Jerome Powell a indiqué que la Réserve fédérale ne voyait pas la nécessité de mener des actions drastiques face à la guerre commerciale de Donald Trump.

    Les analystes de Natixis

    La Fed table sur une accélération de l'inflation à 2,7% sur un an (contre 2,5% en décembre). Toutefois, le marché retient que si Jerome Powell a reconnu que les droits de douane pourraient retarder les progrès en matière d'inflation, il a aussi déclaré que l'impact des droits de douane sur l'inflation serait "transitoire".

    Les responsables de la Fed prévoient une croissance du produit intérieur brut (PIB) bien moins soutenue, à 1,7% à la fin de l'année (contre 2,1% prévu auparavant). Ils ont aussi légèrement relevé le taux de chômage attendu, à 4,4% (contre 4,3% précédemment).

  • RTL prend une valise

    Le groupe de médias RTL Group (-8,4% à Francfort) a vu son bénéfice baisser l'an dernier, malgré une performance meilleure qu'attendu, grâce à la réduction des pertes en streaming et aux économies de la filiale de production Fremantle. Le chiffre d'affaires est resté stable, à 6,25 milliards d'euros, mais la pub TV a chuté de 6,4% au dernier trimestre.

  • L'action Sodexo n'est pas dans son assiette

    Sodexo voit son action représentative chuter de 15% en matinée, après avoir annoncé "baisser ses perspectives financières pour l'exercice 2025". Le groupe de restauration collective et de services prévoit une croissance "plus faible qu'attendu en Amérique du Nord". Il estime désormais la hausse de son chiffre d'affaires entre 3% et 4%, contre 5,5% à 6,5% précédemment.

  • La BNS a bien réduit ses taux

    La Banque nationale suisse (BNS) a réduit ses taux directeurs de 25 points de base, poursuivant l'assouplissement de sa politique monétaire dans un contexte de repli de l'inflation.

    La BNS a ramené son principal taux directeur de 0,5% à 0,25%, son niveau le plus bas depuis août 2022.

    Cet assouplissement permet à la Banque nationale de garantir que les conditions monétaires demeurent appropriées compte tenu de la pression inflationniste faible et des risques accrus de révision à la baisse de l’inflation.

    La BNS
  • Kepler Cheuvreux sur Hyloris: "Cette étape renforce la dynamique de l'action"

    Les analystes de Kepler Cheuvreux réagissent au communiqué d'Hyloris publié ce matin (voir post de 9h28).

    "Bien qu'il n'y ait pas d'impact à court terme sur la valorisation ou les revenus, cette étape positive s'ajoute à la dynamique opérationnelle dont Hyloris a récemment fait preuve à travers une série d'étapes cliniques et réglementaires", précisent les analystes. La société de biopharmacie "renforce ainsi ses fondamentaux commerciaux et ses perspectives de croissance à long terme, tout en soutenant la dynamique de l'action", ajoutent-ils.

  • Pourquoi Hyloris bondit en bourse

    Hyloris bondit de 7,2%, à 6,86 euros. La société biopharmaceutique spécialisée dans la reformulation de médicaments a annoncé ce matin avoir reçu une recommandation positive du Comité indépendant de contrôle des données (IDMC). Elle porte sur la poursuite de l'étude Alenura à la suite d'une évaluation intermédiaire.

  • Sodexo: -15%

    Sodexo ouvre en baisse de 15% après la publication de ses résultats annuels.

  • Esso: +18%

    Esso ouvre en hausse de 18% après ses résultats annuels

  • |Opening bell|

    • Amsterdam: -0,07%
    • Bruxelles: +0,15%
    • Paris: -0,13%
    • Francfort: n.c.
    • IBA: +4,13%
    • Proximus: +0,22%
    • Sodexo: le titre est suspendu après ses résultats 2024
    • Esso: le titre est suspendu après ses résultats 2024
  • Deux CEO intérimaires pour Proximus

    Proximus annonce la nomination de Jan Van Acoleyen comme CEO intérimaire à partir du 16 avril et de Mark Reid comme CEO interimaire de Proximus Global.

  • Les prix à la production progressent de 0,7% sur un an en février

    Les prix à la production en Allemagne, un indicateur clé de l'inflation, ont progressé de 0,7% sur un an en février, a déclaré jeudi l'Office fédéral de la statistique.

    Les analystes interrogés par Reuters attendaient en moyenne une hausse de 1,0% après 0,5% en janvier.

  • BNP Paribas, Sodexo, Sanofi, RWE, Deutsche Bank... Les valeurs à suivre en Europe

    * BNP PARIBAS - La première banque française a l'intention de réduire d'environ un tiers son réseau d'agences en France d'ici à 2030, ce qui devrait se traduire par quelque 500 fermetures d'agences, a rapporté, mercredi, le quotidien français Les Echos.

    * SODEXO a revu à la baisse, ce jeudi, ses perspectives pour l'exercice 2025, le groupe anticipant désormais une croissance interne du chiffre d'affaires comprise en 3% et 4%, contre une fourchette de 5,5% à 6,5% auparavant, en raison d'une croissance interne plus faible qu'attendue en Amérique du Nord.

    * SANOFI a conclu un accord définitif avec Dren Bio pour l'acquisition de DR-0201, "un anticorps bispécifique ciblé qui engage les cellules myéloïdes pour la déplétion robuste des lymphocytes B".

    * VALNEVA s'attend à des ventes de 170 à 180 millions d'euros en 2025, générant des flux de trésorerie positifs pour l'ensemble des activités commerciales.

    * SAFRAN a proposé la vente d'une activité en Amérique du Nord comme mesure corrective face aux préoccupations de l'Union européenne portant sur son offre de rachat de 1,8 milliard de dollars des activités de commandes de vol de Collins Aerospace, a déclaré une source proche du dossier mercredi. 

    * ESSO - Le groupe pétrolier a fait état, mercredi, d'une forte baisse de son bénéfice ajusté avant intérêts, impôts, dépréciation et amortissement (ebitda) annuel, à 58 millions d'euros, contre 964 millions un an plus tôt, touché par la baisse significative des marges de raffinage observée au second semestre 2024.

    * PRUDENTIAL a affiché, ce jeudi, une hausse de son bénéfice opérationnel ajusté avant impôts pour l'exercice 2024, l'assureur ayant bénéficié de solides performances dans ses segments d'activité en Asie et en Afrique.

    * DEUTSCHE BANK va licencier près de 2.000 personnes en 2025 via une réduction "significative" du nombre de ses succursales, a déclaré, mercredi, Christian Sewing, son président du directoire.

     * RWE, le plus grand producteur d'électricité d'Allemagne, a déclaré jeudi qu'il réduirait ses investissements de plus d'un cinquième jusqu'à la fin de la décennie, invoquant l'incertitude entourant les rendements des énergies renouvelables, les risques géopolitiques ainsi que les contraintes de la chaîne d'approvisionnement.

  • Briefing d'avant-bourse

    Les bourses européennes sont attendues en baisse, après que la Réserve fédérale américaine (Fed) a décidé mercredi de maintenir ses taux à leurs niveaux actuels.

    Les contrats à terme suggèrent une ouverture en repli de 0,13% pour l'Euro Stoxx 50. Londres abandonnerait 0,19%, Francfort débuterait sur une note quasi stable.

    Comme prévu, la Réserve fédérale américaine (Fed) a maintenu l'objectif de taux des "fed funds" inchangé et a notamment laissé entendre qu'elle pourrait réduire les coûts d'emprunt d'un demi-point de pourcentage d'ici à la fin de l'année.

    Les responsables de la Fed n'ont revu que légèrement à la hausse leurs prévisions d'inflation pour cette année (2,7%, au lieu de 2,5%), et légèrement à la baisse les perspectives de croissance économique pour 2025 (1,7%, au lieu de 2,1%), en dépit des guerres commerciales déclenchées par Donald Trump.

    Néanmoins, Jerome Powell, le président de l'institution, a souligné que davantage de clarté était nécessaire pour pouvoir baisser de nouveau les taux, tant les impacts des mesures de l'administration Trump sont incertains.

    L'activité, autour de laquelle les craintes se multiplient, souffrirait de taux maintenus à des niveaux restrictifs plus longtemps qu'attendu.

    Pour l'instant, le marché actions ne le perçoit pas ainsi, mais si la Fed continue d'exercer une pression sur l'économie, les bénéfices pourraient se retrouver entre le marteau (l'incertitude commerciale et le programme DOGE défavorable à la croissance) et l'enclume (des taux Fed élevés par rapport à une croissance en déclin).

    Florian Ielpo
    Responsable de la macro chez Lombard Odier IM
  • IBA renoue avec les bénéfices | L'objectif de marge glisse de 2026 à 2028

    La société de technologie médicale IBA a enregistré un bénéfice net de 9 millions d'euros au cours de l'exercice 2024 sur un chiffre d'affaires en hausse de 7%, soit l'image miroir de la perte de 9 millions d'euros de l'exercice 2023 (voir tableau ci-dessous). Le dividende augmente de plus de 40%, à 0,24 euro brut.

    Le spécialiste des systèmes de protonthérapie pour le traitement du cancer avait promis un meilleur second semestre 2024 après le premier semestre, au cours duquel il avait tout juste atteint l'équilibre opérationnel après une poussée de croissance.

    En attendant que le carnet de commandes se traduise en chiffre d'affaires – comme cet accord pouvant aller jusqu'à 400 millions en Espagne pour dix systèmes conclu fin 2022 –, la division "autres accélérateurs" de l'entreprise brabançonne wallonne affiche des performances particulièrement bonnes. Il s’agit d’accélérateurs destinés à des applications industrielles, telles que la stérilisation d’équipements médicaux et d’aliments emballés, ainsi que de radio-isotopes médicaux destinés aux diagnostics.

    Pour 2025, le PDG Olivier Legrain table sur un résultat opérationnel "d'au moins 25 millions d'euros". Cela semble assez conservateur: les analystes interrogés par le fournisseur d’informations Bloomberg s’attendent à une moyenne de 37 millions.

    Olivier Legrain fournit également aux investisseurs de nouvelles prévisions à long terme qui paraissent plus réalistes.

    Pour la période 2024-2028, la croissance moyenne du chiffre d'affaires serait de 5 à 7%, en partie grâce au contrat espagnol mentionné. Jusqu'à présent, la barre a été fixée à une croissance moyenne de 15% sur les cinq années de 2022 à 2026. Et la marge bénéficiaire n'atteindra pas 10% en 2026, mais en 2028. Cela aussi semble être un ajustement à la réalité : en 2024, la marge était de 3,5%, soit un tiers de l'objectif à long terme.

  • Le choix de vendre ou pas le stock d'or belge appartient à la Banque nationale

    Il revient à la Banque Nationale de Belgique (BNB) de prendre de façon autonome des décisions sur les réserves d'or de la Belgique, a-t-elle fait savoir mercredi, à l'heure des discussions sur la façon de financer les investissements dans la Défense.

    Les spéculations autour d'une telle réserve d'or ont dopé l'action BNB qui a augmenté de 40% en cinq semaines.

  • Hyloris, IBA, la BoE... Ce qu'il faut suivre ce jeudi 20 mars

    L'audition de la présidente de la BCE Christine Lagarde, le rapport de l'OCDE sur la dette et la décision de politique monétaire au Royaume-Uni sont les principaux rendez-vous macroéconomiques du jour. CK Hutchison, Hybrid Software, Hyloris, IBA et Lanxess figurent parmi les entreprises au rapport.

  • Jerome Powell (Fed): "Toute hausse des prix sera transitoire"

    Bonjour! Bienvenue sur ce "Market live" du jeudi 20 mars. Les marchés asiatiques évoluent, pour la majorité d'entre eux, sur une note positive après que le président de la Banque centrale américaine (Fed) a laissé entendre que toute hausse des prix à la consommation causée par les droits de douane serait de courte durée.

    "L'incertitude (est) inhabituellement élevée" dans la première économie mondiale, a déclaré, mercredi, Jerome Powell, le président de la Fed.

    L'institution a maintenu, sans surprise, ses taux à leur niveau actuel (dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,50% depuis décembre), le temps que le brouillard se dissipe sur les effets des politiques du nouvel exécutif américain.

    La Fed a également prévu une accélération de l'inflation et une croissance moins soutenue pour 2025 aux États-Unis.

    L'inflation a commencé à repartir à la hausse. Nous pensons que c'est en partie dû aux droits de douane, et que les progrès sur l'inflation pourraient être décalés dans le temps cette année. Toute hausse de l'inflation sera transitoire.

    Jerome Powell
    President de la Fed

    "L'inflation a commencé à repartir à la hausse. Nous pensons que c'est en partie dû aux droits de douane, et que les progrès sur l'inflation pourraient être décalés dans le temps cette année", a estimé le président de la Fed. Toute hausse de l'inflation sera "transitoire", a-t-il toutefois anticipé.  

    Par ailleurs, le risque de récession augmente aux États-Unis, sans être "élevé", a-t-il estimé, rappelant que la banque centrale ne faisait "pas ce type de prévision". 

    À New York, au terme des annonces de la Fed, Dow Jones, Nasdaq et S&P 500 ont terminé en hausse.

    La même tendance s'observe ce jeudi dans la plupart des bourses asiatiques - Séoul, Singapour, Taipei ou encore Manille-, ainsi qu'à Sydney et Wellington.

    ©EPA

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