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Wall Street termine en nette hausse | Twitter bondit de plus de 22%

La Bourse de New York a clôturé en très nette hausse, alors que Twitter a bondi de plus de 22% après une possible nouvelle offre de rachat de Musk. Les marchés européens avaient eux aussi terminé largement dans le vert.
  • À suivre ce mercredi

    C'est ici que se termine ce live, merci à tous de nous avoir suivis. Les statistiques économiques monopolisent l'agenda ce mercredi, principalement les indices PMI des services en zone euro, les données de l'enquête ADP aux États-Unis et l'indice ISM des services aux États-Unis. À tenir à l'œil également, la réunion de l'Opep+ et les résultats trimestriels de Tesco.

  • L'Opep+ songe à réduire sa production de 2 millions de barils par jour

    L'Opep+ envisage une baisse de sa production allant jusqu'à deux millions de barils par jour (bpj).

    C'est ce qu'a déclaré ce mardi à Reuters une source de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole à la veille d'une réunion du cartel.

  • Wall Street amplifie son rebond avec l'espoir d'une Fed moins agressive

    La Bourse de New York a poursuivi ce mardi son net rebond entamé la veille, alimenté par les grandes valeurs du secteur technologique, premières bénéficiaires du recul des rendements obligataires avec l'espoir de voir la Réserve fédérale devenir moins agressive en matière de hausses des taux d'intérêt. Le Dow Jones a gagné 2,8% à 30.316,32 points. Le S&P 500 a pris 3,06% à 3.790,93 points, sa plus forte hausse depuis mai 2020. Le Nasdaq a avancé de son côté de 3,34% à 11.176,41 points. Le Dow Jones et le S&P 500, tombé vendredi à un plus bas de clôture de près de deux ans après avoir connu en septembre son pire mois depuis mars 2020 et le début de la crise liée au Covid-19, enregistrent ainsi leur plus forte progression sur deux séances depuis avril 2020.

    Valeurs de croissance par excellence, les géants du numérique Apple, Microsoft, Amazon et Alphabet, dont les valorisations sont particulièrement dépendantes du niveau des taux d'intérêt, ont gagné entre 2,5% et 4,5% tandis que l'indice sectoriel Philadelphia SE Semiconductor a grimpé de 4,46%. Au-delà de cette dynamique sectorielle, Twitter s'est envolé de plus de 22% à 52,0 dollars à la suite d'informations selon lesquelles Elon Musk accepterait finalement d'acheter le réseau social au prix annoncé en avril, 54,20 dollars par action, soit 44 milliards de dollars.

    Tesla, dont Elon Musk est le fondateur et directeur général, a en revanche nettement réduit ses gains pour finir sur une hausse limitée à 2,9%. Le secteur bancaire a lui aussi brillé avec des progressions de 4,35% à 5,26% pour Citigroup, Morgan Stanley et Goldman Sachs. La hausse a quoi qu'il en soit été générale, avec seulement une dizaine de valeurs du S&P-500 évoluant en territoire négatif.

  • Twitter clôture en hausse de 22,24% à 52 dollars

    Rappelons que le milliardaire Elon Musk devrait proposer de poursuivre son rachat de Twitter à 54,20 dollars par action.

  • Les marchés US terminent dans le vert

    Le Dow Jones a pris 2,80% à 30.316,32 points.

    Le Nasdaq a gagné 3,34% 11.176,41 points.

    Le S&P 500 a avancé de 3,06% à 3.790,93 points.

  • Twitter reprend, le titre bondit de plus de 20%

    Twitter bondit de plus de 20% à Wall Street après une possible nouvelle offre de rachat du milliardaire Elon Musk.

    L'action Twitter avait été suspendue dans la foulée de la diffusion de cette information. La cotation vient donc de reprendre.

  • Les techs et les banques engrangent

    La baisse des rendements permet aux groupes technologiques comme Apple, Microsoft, Amazon, Alphabet ou encore Meta Platforms de gagner entre 1% et 4%.

    Les banques Wells Fargo, JPMorgan Chase et Bank of America prennent respectivement 4,10%, 4,21% et 3,76%.

  • Pétrole: le WTI au plus haut depuis trois semaines

    Les cours du pétrole ont de nouveau grimpé, poussés par la perspective d'une baisse de production de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et de ses alliés de l'Opep+, ainsi que par le net repli du dollar.

    Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre a gagné 3,36%, pour clôturer à 91,80 dollars. Le prix du baril de West Texas Intermediate (WTI) américain pour livraison en novembre a lui pris 3,45%, à 86,52 dollars, au plus haut depuis trois semaines.

  • Wall Street toujours en nette hausse

    Le Dow gagne 2,36%, le Nasdaq 2,96% et le S&P 500 2,65%.

  • L'acquisition géante d'Equans par Bouygues finalisée

    Le rachat historique par Bouygues à Engie de sa grande entité de services multitechniques Equans a été finalisé, ont annoncé les deux groupes, permettant au conglomérat de se développer fortement sur le marché porteur de la transition énergétique. Le géant du BTP aura payé 6,5 milliards d'euros pour cette acquisition, soit 6,1 milliards de titres d'Equans, plus la reprise de la dette de la société à Engie (800 millions d'euros), moins 400 millions d'euros de trésorerie positive, explique-t-il.

    Engie indique pour sa part que "cette opération (lui) permet de réduire sa dette nette d'environ 7,1 milliards d'euros". L'accord était intervenu entre les deux groupes en novembre 2021.

  • Le patron de Shell invite... à taxer plus les compagnies énergétiques

    Le patron de Shell Ben van Beurden a appelé lors d'une conférence sectorielle à taxer davantage les entreprises énergétiques pour protéger les plus pauvres face à la crise de l'énergie. "Nous ne pouvez pas avoir un marché qui se comporte d'une telle façon (...) qu'il va infliger des dommages à une part importante de la société", a-t-il affirmé lors d'une séance de questions et réponses à la conférence Energy Intelligence Forum, qui se tient à Londres et dure trois jours.

    "D'une manière ou d'une autre, il faut une intervention gouvernementale qui se traduise (...) par la protection des plus pauvres et cela veut probablement dire que les gouvernements doivent taxer les gens dans cette pièce", a-t-il déclaré. "Je crois que nous devons accepter cette réalité sociale", a-t-il insisté. Les bénéfices des entreprises pétrolières et gazières ont flambé depuis la guerre en Ukraine dans la foulée des cours des hydrocarbures. Les poids lourds du secteur étaient montés au créneau contre un impôt spécial décidé par le prédécesseur du Chancelier de l'Echiquier Kwasi Kwarteng et que le nouveau gouvernement conservateur de Liz Truss ne va pas étendre.

    L'ONG Greenpeace se demande pour sa part "ce qu'il va falloir au gouvernement" britannique pour en adopter une, quand même le patron de Shell "soutient une taxe spéciale"... alors qu'une telle taxe permettrait de financer les aides gouvernementales aux factures énergétiques.

  • Le pétrole prend plus de 3%

    A la veille de la réunion de l'Opep+, qui pourrait se solder par une baisse de la production du cartel de plus d'un million de barils par jour (bpj), le Brent avance de 3,21% à 91,55 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) de 3,61% à 86,44 dollars le baril.

  • Ukraine: le PIB s'effondre de 35% sous l'effet de la guerre

    L'économie ukrainienne souffre énormément des effets de la guerre avec la Russie, avec une contraction de son PIB de 35% attendue pour 2022, a estimé ce mardi la Banque mondiale (BM). Un effet dévastateur qui devrait durer du fait "de la destruction de la capacité industrielle, des dommages sur les terres agricoles et de la baisse de la main-d'oeuvre alors que plus de 14 millions de personnes ont été déplacées", détaille la BM dans un communiqué.

    Selon une estimation de l'institution, réalisée début septembre, les besoins pour la reconstruction et la reprise économique atteignent pour l'instant près de 350 milliards de dollars, "ce qui représente plus de 1,5 fois la taille de l'économie ukrainienne avant la guerre" et cette somme est en constante augmentation.

  • Le dollar cède plus d'1%

    Le dollar cède 1,21% face à un panier de devises de référence, les anticipations sur les taux de la Fed pour l'année prochaine étant passées de 4,75% à 4,39%. L'euro en profite pour remonter à 0,9962 (+1,4%).

    La livre sterling, en hausse de 0,91% à 1,1427 dollar, continue de bénéficier de l'abandon du projet de suppression de la tranche supérieure de l'impôt sur le revenu au Royaume-Uni.

    Le dollar australien, en repli de 0,51% face au dollar américain, souffre de la hausse moins forte que prévu des taux de la banque centrale du pays.

  • Les taux ont réduit leurs pertes en clôture

    Le rendement des bons du Trésor américain à dix ans, qui a touché en séance un creux de deux semaines, recule de plus de trois points à 3,619%, après avoir abandonné lundi plus de 20 points. Celui du Bund allemand de même échéance, qui a chuté en séance à 1,77%, au plus bas depuis 19 septembre, a réduit ses pertes en clôture à 1,88%.

    François Villeroy de Galhau, membre du conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE), a déclaré ce mardi que l'institution de Francfort relèverait ses taux directeurs autant que nécessaire pour endiguer l'inflation sous-jacente même si le rythme du resserrement monétaire pourrait ralentir après la fin de l'année.

  • Musk s'apprêterait à conclure un accord avec Twitter

    Le milliardaire Elon Musk devrait proposer de poursuivre son rachat de Twitter à 54,20 dollars par action.

    C'est ce que vient de tweeter un journaliste de Bloomberg.

    L'action Twitter a été suspendue dans la foulée de la diffusion de cette information. La cotation avait été suspendue une première fois pendant 5 minutes, avant de reprendre avec un titre s'envolant jusqu'à +18%, et puis d'être à nouveau arrêté.

  • L'Etat français a lancé le processus de renationalisation complète d'EDF

    L'État français a officiellement lancé le processus de renationalisation de l'entreprise EDF. C'est ce qu'a indiqué dans un communiqué l'Autorité des marchés financiers (AMF), une opération voulue par le gouvernement pour engager la France dans le nouveau nucléaire.

    L'État, qui possède aujourd'hui 84% d'EDF, a déposé son projet d'offre publique d'achat (OPA) "simplifiée" auprès de l'AMF, une première étape dans le processus pour retirer EDF du marché boursier. L'opération, chiffrée à 9,7 milliards d'euros, vise à racheter au prix de 12 euros par action les 16% du capital qu'il ne détient pas encore. Ce montant est le même que celui dévoilé le 19 juillet lors de la présentation détaillée par le gouvernement du projet de renationalisation totale de l'électricien français.

    EDF a terminé en hausse de 0,17% à la Bourse de Paris.

  • Le tourisme et les techs salués

    En Europe, tous les principaux secteurs de la cote ont terminé en territoire positif, le compartiment du tourisme et des loisirs (+6,17%) et celui des nouvelles technologies (+5,07%) affichant les gains les plus importants . La "tech", sensible à l'évolution des taux d'intérêt, a profité de la baisse des rendements, des prévisions optimistes de Samsung Electronics et de Foxconn, ainsi que de l'adoption par le Parlement européen d'une loi sur un chargeur universel pour les appareils électroniques. ASM International, Infineon, STMicroelectronics ont pris respectivement 6,56%, 7,04% et 4,89%.

    Dans l'actualité des entreprises, M6 a chuté de 10,84% en réaction à l'annonce de l'abandon de la vente de la participation de RTL Group, filiale de Bertelsmann, dans le groupe français. Ailleurs en Europe, le chimiste Sika (+6,04%) a été tiré par ses prévisions financières et le lancement du processus de vente d'une partie des activités acquises auprès d'une ex-filiale de BASF.

  • Le regain d'appétit pour le risque se confirme en Europe

    Les bourses européennes ont terminé en forte hausse, les marchés d'actions étant soutenus par le repli des rendements obligataires et du dollar après une nouvelle détérioration de l'activité manufacturière en Europe et aux Etats-Unis qui ravive l'espoir d'une accalmie dans la remontée des taux d'intérêt. À Paris, le CAC 40 a fini sur un gain de 4,24% à 6.039,69 points. Le Footsie britannique a avancé de 2,59% et le Dax allemand a progressé de 3,78%. L'indice EuroStoxx 50 a gagné 4,2%, le FTSEurofirst 300 3,04% et le Stoxx 600 3,05%.

    Le ralentissement de l'activité manufacturière en Europe et aux Etats-Unis, tombée en septembre à un creux depuis 2020, a favorisé le regain d'appétit pour le risque, les investisseurs estimant que ces nouvelles données pourraient conduire les grandes banques centrales à considérer que la hausse du coût du crédit commence à produire ses effets en freinant la demande. La RBA a surpris en Australie en devenant ce mardi l'une des premières grandes banques centrales à relever ses taux de seulement 25 points de base après quatre hausses consécutives de grande ampleur.

    "De toute évidence, la décision d'aujourd'hui de la RBA alimentera les spéculations selon lesquelles d'autres banques centrales commenceront à ralentir le rythme des hausses", écrivent dans une note les analystes de TD Securities. Signe d'un reflux de l'aversion au risque, le dollar et les rendements obligataires reculaient à la clôture des Bourses en Europe, tandis que l'indice de la volatilité refluait de 3,32% à 29,1 points à Wall Street et de 4,71% à 29,26 points sur le Stoxx 600 paneuropéen.

  • Le Bel 20 prend plus de 3%

    L'indice phare de la Bourse de Bruxelles a terminé en hausse de 3,08% à 3.478,72 points. Il a été particulièrement soutenu par Sofina (+7,18%), Solvay (+5,62%) et D'Ieteren (+4,91%).

    Seul VGP a terminé dans le rouge, perdant près de 6% et poursuivant sa chute inexorable, lui a qui a perdu près de 25% sur les cinq derniers jours.

  • Europe | Closing Bell

    Bel 20: +3,08%

    FTSE 100: +2,54%

    DAX: +3,75%

    CAC 40: +4,06%

  • Micron gagne plus de 5%

    Le géant technologique américain Micron va investir jusqu'à 100 milliards de dollars sur plus de 20 ans dans la construction de la plus grande usine de semi-conducteurs aux Etats-Unis. C'est ce qu'il a annoncé ce mardi dans un communiqué. Le projet s'inscrit dans la stratégie du groupe de Boise (Idaho) d'augmenter la production de composants électroniques aux Etats-Unis. Le gouvernement du président américain Joe Biden a fait une priorité de la relocalisation des industries technologiques et de l'investissement aux Etats-Unis.

    Le chantier doit démarrer en 2024 à Clay, dans le nord de l'Etat de New York, où le groupe prévoit de créer 9.000 emplois. Micron estime qu'au total, l'implantation du site devrait créer 50.000 emplois, directement et indirectement. L'annonce intervient après le vote, au Congrès, fin juillet, d'une loi débloquant une enveloppe de 52,7 milliards de dollars pour subventionner la recherche et l'investissement dans les semi-conducteurs aux Etats-Unis.

    Micron, qui se targue d'être l'unique fabricant de mémoires basé aux États-Unis, s'affiche en hausse de 5,31% à la Bourse de New York.

  • La météo fait reculer le gaz

    Le gaz naturel pâtit de prévisions météo douces en Europe. Le contrat à terme du TTF néerlandais, référence du gaz naturel en Europe, coûte 164 euros le mégawattheure (MWh) après avoir reculé jusqu'à 159 euros, un niveau inobservé depuis juillet.

  • Le pétrole en hausse

    Les prix du pétrole sont dopés par des spéculations sur une baisse de production de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et de leurs alliés (Opep+).

    Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre prend 2,73%, à 91,29 dollars. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain pour livraison le même mois gagne 2,71% à 85,90 dollars.

  • Le Nasdaq prend plus de 3%

    Le Nasdaq gagne désormais plus de 3%, tandis que le Dow et le S&P 500 avancent respectivement de 2,5% et 2,8%.

  • Hausse généralisée sur les marchés

    Tous les secteurs se reprennent, valeurs cycliques comme valeurs de croissance.

    Les craintes concernant Credit Suisse, en proie à des rumeurs de faillite, s'estompent: le titre remonte de 3,48% après avoir décroché de plus de 10% lundi en séance.

    Le secteur des semi-conducteurs est particulièrement sur le devant, avec STMicroelectronics (+3,96%) en France, Infineon (+3,98%) à Francfort ou ASML (+4,86%) à Amsterdam.

  • Rivian bondit, Tesla "re"bondit

    Tesla, qui a chuté lundi de 8,6% après ses livraisons de véhicules inférieures aux attentes au troisième trimestre, rebondit de 3,6922%.

    Le constructeur de véhicules électriques Rivian bondit de 7,36% à la faveur d'une confirmation de ses prévisions de production pour cette année.

  • Le dollar poursuit son repli

    Après avoir broyé du noir le mois dernier avec les craintes accrues de récession, les investisseurs ont franchement apprécié la publication d'un ralentissement de l'activité dans le secteur manufacturier aux Etats-Unis et en Europe qui, pour certains, pourrait conduire les banques centrales à ralentir la cadence du resserrement monétaire. Cette publication a eu un effet immédiat sur le marché de la dette, où les rendements souverains ont dégringolé, signe que la demande pour les emprunts d'Etat augmente. Le dollar, qui a aussitôt accéléré sa baisse, poursuit son repli ce mardi.

    L'euro avance de 0,92% à 0,9916 dollar, et la livre de 0,29% à 1,1356 dollar.

  • Wall Street ouvre en hausse, baisse des rendements obligataires

    La Bourse de New York a ouvert en hausse, le recul des rendements obligataires, favorisé par l'espoir d'une accalmie sur les taux d'intérêt des banques centrales, ravivant l'appétit pour le risque dans l'attente de nouvelles données économiques. Le Dow Jones gagne 1,67% à 29.982,14 points. Le S&P 500 progresse de 1,96% à 3.750,88 points. Le Nasdaq prend 2,46% à 11.081,55 points. Aucun indicateur économique majeur ne figure à l'agenda du jour mais les investisseurs attendent mercredi la statistique mensuelle de l'activité des services aux Etats-Unis et, surtout, jeudi et vendredi, l'enquête privée ADP sur l'emploi et le rapport du département américain du Travail en la matière.

    En attendant, la tendance positive est de nouveau alimentée par l'espoir né des données de l'activité manufacturière qui a ralenti en septembre à son rythme le plus faible depuis 2020, ce qui pourrait inciter la Réserve fédérale à modérer la hausse de ses taux prochains taux d'intérêt. Le rendement des bons du Trésor américain à dix ans fléchit de 3,6 points à 3,6171%.

  • Les marchés US ouvrent dans le vert

    Dow Jones, Nasdaq et S&P 500 démarrent cette séance en très nette hausse.

  • Détente sur le front des rendements obligataires

    Le rendement du Bund allemand à dix ans, référence pour l'ensemble de la zone euro, recule de 6,6 points de base, à 1,842%, après avoir touché un creux en séance, à 1,77%, au plus bas depuis le 19 septembre.

    Mardi dernier, il avait atteint un sommet depuis fin novembre 2011, à 2,352%.

    Les anticipations des marchés sur les taux à court terme de la Banque centrale européenne (BCE) pour novembre 2023 sont désormais fixées à environ 2,5%, contre plus de 3% mardi dernier.

    Aux États-Unis, le rendement des bons du Trésor à dix ans recule de près de cinq points, à 3,593%.

  • Les techs européennes recherchées

    Tous les principaux secteurs de la cote européenne sont dans le vert, les meilleures performances étant à l'actif du tourisme (+4,22% pour l'indice Stoxx 600 sectoriel) et des nouvelles technologies (+3,96%). Ce dernier compartiment profite de la détente du marché obligataire, des prévisions optimistes de Samsung Electronics et de Foxconn, ainsi que de l'adoption, par le Parlement européen, d'une législation imposant, à compter de 2024, un chargeur universel pour les appareils électroniques.

    ASM International, Infineon, STMicroelectronics prennent respectivement 5,4%, 4,4% et 4,3%.

  • Cathie Wood à l'achat sur Tesla

    Cathie Wood a acheté des actions Tesla lundi, profitant de la chute des valeurs du constructeur de voitures électriques, en réaction à l'annonce de livraison de véhicules inférieures aux attentes au troisième trimestre.

    Les fonds Ark Investment Management LLC ont acheté 132.213 actions de la société d'Elon Musk lundi, marquant le premier achat de Tesla par la société depuis la mi-juin, selon les données compilées par Bloomberg.

    Tesla a chuté de 8,6% lundi, la plus forte baisse depuis le 3 juin, alors que les problèmes d'expédition et les pénuries de puces pesaient sur les livraisons. L'action a également sous-performé l'indice S&P 500, qui a enregistré sa meilleure journée depuis le 27 juillet. L'action a augmenté de 3% dans les échanges avant l'ouverture des marchés ce mardi, mais elle est toujours en baisse de 31% cette année, sous-performant l'indice de référence américain.

  • Suspension de Xior

    L'action de Xior est suspendue, selon un communiqué de la FSMA. La société immobilière réglementée devrait publier un communiqué de presse sous peu.

    La suspension est effective depuis 13h55. L'action s'échangeait alors à 31,55 euros.

  • Wall Street signalée en forte hausse

    Wall Street devrait débuter en forte hausse: l'indice Dow Jones devrait gagner 1,28% dans les premiers échanges, le S&P 500 progresserait de 1,63% et le Nasdaq de 2,06%.

    En Europe, les principaux indices actions européens progressent solidement. Bruxelles bondit de 2,66%, Amsterdam de 2,74%, Francfort de 2,84% et Paris de 3,41%. L'Euro Stoxx 50 avance de 3,36% et l'indice Stoxx 600 prend 2,43%.

  • "Les marques de Volkswagen se préparent à d'éventuelles IPO"

    Les marques de Volkswagen se préparent à d'éventuelles introductions en bourse (IPO), a déclaré le président du directoire Oliver Blume au journal Handelsblatt de ce mardi, sans préciser si d'autres cotations sont prévues.

    À la suite de l'IPO de Porsche jeudi dernier, des investisseurs s'attendent à ce que d'autres marques fassent l'objet de cotations, ce qui permettrait de débloquer la valeur sous-jacente du groupe allemand, que les dirigeants considèrent comme fortement sous-coté.

    Parmi les marques non cotées actuellement figurent Audi, Lamborghini, Bentley, Skoda, Seat et Cupra.

    Conseillés par une équipe de banquiers, les directeurs généraux et les responsables financiers de chaque marque s'efforcent d'affiner leurs objectifs en tenant compte des marchés financiers, a déclaré Oliver Blume. Les résultats de cet exercice seront présentés l'année prochaine lors d'une journée investisseurs.

    Je pourrais certainement imaginer le groupe Volkswagen comme une sorte de holding pour diverses sociétés cotées. Fait avec sagesse, cela pourrait ajouter une valeur significative et améliorer la compétitivité du groupe et des marques.

    Arndt Ellinghorst
    Expert automobile à la société de données QuantCo

  • Rivian sur les chapeaux de roues en avant-bourse

    Le constructeur de véhicules électriques Rivian bondit de 8,91%, à 34,73 dollars, en avant-bourse, après avoir confirmé ses prévisions de production pour cette année.

  • UPDATE | Briefing actions belges

     

  • Tracker #20 | Celle qui a vendu son micro-ondes pour investir en crypto

    Le marché des cryptomonnaies a perdu 70% de sa valeur depuis son dernier sommet atteint il y a moins d’un an. Pour protéger ses gains, notre invitée de la semaine dans Tracker, Maurgane, nous explique comment elle a converti la grande majorité de ses cryptos en stablecoins. 

     

  • Forte baisse des CDS sur Credit Suisse, l'action remonte

    Le coût pour se protéger contre un risque de défaut de Credit Suisse est en net recul par rapport à la clôture de lundi, suivant le redressement de l'action de la banque suisse dans un contexte d'apaisement des inquiétudes à son encontre.

    Le cours du CDS (credit default swaps) à cinq ans s'affiche ainsi à 308,32 points de base, en repli de 13 points, par rapport au cours de clôture de lundi qui était de 321,10 points, selon S&P Global Market Intelligence.

    Le CDS de Credit Suisse a bondi jusqu'à 355 points lundi, soit une hausse de 57 points depuis le début de l'année, toujours selon les données de S&P Global.

    De son côté, l'action Credit Suisse, qui a touché le mois dernier un creux historique en raison des doutes sur la solidité du groupe, se redresse, ce mardi, à 4,14 francs suisses, en hausse de 5,15%. Le titre accuse néanmoins encore un repli de plus de 50% depuis le début de l'année.

    La banque suisse, confrontée à de multiples scandales et à des pertes financières, finalise un plan de restructuration qui doit être dévoilé le 27 octobre.

  • Deux analystes déterminent une valeur plancher pour VGP

     

  • Les prix à la production montent un peu plus que prévu

    Les prix à la production en zone euro ont augmenté légèrement plus que prévu en août avec la hausse continue des coûts de l'énergie, mais en excluant cette composante volatile, les prix montrent un ralentissement, selon les données publiées par Eurostat ce mardi.

    Les prix producteurs dans les 19 pays qui partagent l'euro ont pris 5,0% sur un mois, portant leur progression à 43,3% sur un an. Les économistes interrogés par Reuters tablaient sur +4,9% d'un mois sur l'autre et +43,1% par rapport à août 2021.

    La flambée des prix de l'énergie a été le principal moteur de la progression de l'indice, avec une hausse de 11,8% sur le mois et de 116,8% sur un an.

    En excluant l'énergie, les prix à la production en août ont augmenté de 0,3% sur un mois et de 14,5% en rythme annuel en août, ce qui marque un ralentissement par rapport à la progression de 0,6% et 15,1% respectivement enregistrées le mois précédent.

  • Update 2 | Le point sur la tendance boursière

    Les marchés européens évoluent en nette hausse en fin de matinée, dans la foulée des deux précédentes séances, les investisseurs reprenant goût au risque en espérant plus de souplesse dans les politiques des banques centrales.

    Les gains varient entre +2,33% à Bruxelles et +2,83% à Paris. L'Euro Stoxx 50 bondit de 2,8% et le Stoxx 600 prend 2,2%.

    "Pour l'instant, nous pouvons tous respirer profondément et profiter de l'ambiance positive qui règne sur les marchés financiers mondiaux", résume l'analyste de Swissquote Ipek Ozkardeskaya.

    L'Australie a relevé mardi ses taux d'intérêts, mais moins que prévu, du fait d'inquiétudes au sujet d'un ralentissement de l'économie mondiale, un tour de vis moins marqué qu'anticipé redonnant du souffle aux marchés actions, après des séances rendues difficiles par le ton agressif des banques centrales.

    Lundi, un indice ISM d'activité dans le secteur manufacturier américain, tombé en septembre au plus faible rythme de progression depuis mai 2020, a soutenu Wall Street, faisant espérer une détente des tours de vis monétaire de la Fed.

  • Les insiders belges font le plein

    Les initiés des sociétés belges cotées estiment que la forte correction de leurs actions offre des opportunités d'achat. Ils ont été du côté des acheteurs en grand nombre ces derniers jours, selon les transactions d'initiés sur le site internet de l'organisme de surveillance des marchés boursiers FSMA. Nous donnons un aperçu:

    - Colruyt . Le PDG Jef Colruyt a acheté des actions de la chaîne de grands magasins en son nom personnel pour un peu moins d'un demi-million d'euros à 22,30 euros pièce. Cela s'est produit après que le cours de l'action a subi une baisse historique la semaine dernière suite à un avertissement sur les bénéfices juste avant l'assemblée générale.

    - WDP . Le co-PDG et actionnaire de référence Tony De Pauw a acheté 5.000 pièces actions du bailleur d'immobilier logistique pour une moyenne de 23,76 euros, bon pour une dépense de 118.797 euros. Le directeur Jurgen Ingels a acquis 25.000 actions pour 582.400 euros. WDP a déjà perdu 40% cette année en raison du malaise des actions immobilières.

    - D'Ieteren . Le président Nicolas D'Ieteren et son épouse Emilie De Pauw ont dépensé 1,7 million d'euros pour 11.890 unités, entre 142 et 148 euros.

    - Deceuninck . Le président Francis Van Eeckhout et sa société Gramo ont acheté 27.166 titres au fabricant de profilés PVC pour 1,93 euro pièce, soit 52.654 euros. D'autres cadres ont dépensé plusieurs dizaines de milliers d'euros pour des actions.

    - Ter Beke . Le PDG Piet Sanders a acquis 250 actions pour 23.850 euros auprès du groupe de produits frais, après en avoir déjà acheté un lot début septembre. Le directeur financier Yves Regniers a acquis des actions pour 115.034 euros au cours des deux dernières semaines.

    - Xior . Le PDG Christian Teunissen a dépensé près de 50.000 euros en actions Xior supplémentaires. La semaine précédente, Aloxe, sa holding avec le coactionnaire Frederik Snauwaert, avait racheté des actions supplémentaires pour 0,55 million d'euros.

    - Retail Estates . Le président Paul Borghgraef a sorti 25.000 euros de son portefeuille pour acheter quelques titres à 50,15 euros par action. Aussi du côté des sociétés immobilières Aedifica et Ascencio, les cadres et les membres du conseil d'administration ont procédé à des rachats d'actions.

  • Chainius Solution (Bit4You) n'a toujours pas les fonds pour s'offrir Beluga

    Chainius Solutions, maison mère de la plateforme de cryptomonnaies Bit4You, n’a pas encore réuni, à ce jour, les fonds nécessaires au paiement du prix pour l’acquisition de 64,73% des actions de Beluga , un holding coté. Pour rappel, à la suite de l’acquisition de ces actions, Chainius Solutions se verrait dans l'obligation de lancer une offre publique d'acquisition sur tous les titres avec droit de vote ou donnant accès au droit de vote émis par Beluga et qui ne sont pas encore en sa possession.

    Le prix proposé par Chainius est de 3,40 euros par action.

    Dans ce contexte, les actionnaires de contrôle de Beluga (Hilos SA et Longeval SA) ont reçu de Chainius une demande de prolongation du délai d’expiration initialement prévu au 30 septembre 2022.

    En vue d’étudier sereinement les options stratégiques, Beluga et ses actionnaires de contrôle ont demandé une suspension de la cotation de ses actions jusqu’à la publication d’un nouveau communiqué.

  • M6 chute en bourse, le groupe n'est plus à vendre

    M6 recule nettement à la bourse de Paris, RTL, filiale de Bertelsmann, ayant renoncé à son projet de céder sa participation de contrôle dans le groupe audiovisuel.

    M6 perd 7,9%, à 11,47 euros, dans un marché parisien en hausse de 2,69%.

    À la suite de l'échec du projet de fusion entre M6 et TF1, en raison des réticences de l'Autorité de la concurrence, RTL avait déclaré avoir été "inondé" de marques d'intérêt pour sa participation de 48,3% au capital de M6.

    "Cependant, RTL Group considère que les risques et incertitudes juridiques sont trop élevés en raison des processus d'approbation requis (...) et du calendrier du prochain renouvellement de la licence de M6", peut-on lire dans le communiqué. "RTL Group a donc décidé de ne pas vendre ou réduire sa participation de 48,3% dans le Groupe M6".

  • VGP repart à la baisse

    L'action VGP repart à la baisse, après avoir gagné jusqu'à 5,53%, à 84 euros, en début de séance.

    Lundi, le titre du promoteur immobilier a connu une séance difficile, en réaction à l'annonce du gel d'un nouveau partenariat avec Allianz Real Estate. L'action VGP a dégringolé en séance de 32,58%, à 66 euros, avant de réduire sa perte à 18,69% (à 79,60 euros).

  • Update | Le point sur la tendance boursière

    Les marchés boursiers mondiaux continuent de progresser, après avoir plongé sous leur plus bas de l'année fin septembre, les investisseurs pariant de nouveau sur plus de souplesse dans la politique monétaire des banques centrales.

    Paris gagne 2,33%, Amsterdam 2,22%, Francfort 1,87% et Bruxelles 1,84%. L'Euro Stoxx 50 avance de 2,80% et le Stoxx 600 de 1,75%.

    En Asie, Tokyo a bondi de 2,96%. Les bourses chinoises sont restées fermées en raison d'un jour férié

    Lundi, Wall Street a repris de la hauteur après avoir touché ses plus bas en fin de semaine: le Dow Jones a gagné 2,66%, le S&P 500 2,59% et le Nasdaq 2,27%.

    Les données américaines ont montré les premiers signes de succès du cycle de resserrement actuel de la Fed pour restreindre l'activité afin de lutter contre l'inflation et peuvent suggérer que le comité monétaire pourrait ne pas avoir besoin de continuer la trajectoire de relèvement des taux directeurs abrupte.

    Stephen Innes
    Gérant chez Spi AM

    Autre signe nourrissant cet espoir, la Banque centrale d'Australie n'a relevé son principal taux directeur que de 0,25 point de pourcentage, contre 0,50 points attendu. Dans la foulée, le coût des emprunts d'État australien chutait.

  • "La baisse de l'action VGP offre un point d'entrée attractif"

    Les analystes reviennent sur la chute de VGP (jusqu'à -32,6% en séance hier), notamment Degroof Petercam. L'analyste Vivien Maquet a mis à jour ses hypothèses d'investissement et, sur base de ses nouvelles estimations, il réduit l'objectif de cours pour l'action VGP à 115 euros, contre 220 euros. La recommandation d'achat est maintenue.

    "Le marché parie sur le scénario le plus négatif", indique l'analyste. Et "comme nous nous attendons à ce que la suspension du gel de joint-venture intervienne au premier 2023 et que VGP dispose de ressources financières suffisantes pour couvrir ses engagements et financer son pipeline engagé avec des alternatives de financement, la baisse du cours de l'action d'hier offre un point d'entrée attractif dans l'histoire de la croissance de VGP". "Notre nouvel objectif de cours offre un potentiel de hausse de 44%."

    VGP gagne 1,51%, à 80,80 euros, dans un marché en hausse de 1,89%.

  • Voici le briefing actions belges

     

  • Le point sur la tendance boursière

    Les marchés européens s'inscrivent en nette hausse en début de matinée, les investisseurs pariant de nouveau sur davantage de souplesse dans la politique monétaire des banques centrales. Les gains tournent autour de 1,7% sur les principales places financières européennes.

  • M6: -5,6%

    M6 perd 5,6%, alors que RTL a renoncé à vendre sa participation de contrôle après l'échec de la fusion avec TF1.

  • |Opening bell|

    Amsterdam: +1,24%
    Bruxelles: +1,27%
    Paris: +1,11%
    Francfort: n.c.

    Euro Stoxx 50: +0,91%
    DJ Stoxx 600: +0,85%

    VGP: +4,55%
    Montea: +4,44%
    IBA: +4,37%
    Galapagos: +2,67%

  • Quelques valeurs à suivre en Europe

    * M6   - RTL GROUP, filiale de  BERTELSMANN, a annoncé lundi avoir renoncé à la vente de sa participation de contrôle dans M6 après l'échec du projet de fusion de ce dernier avec TF1.

    * STELLANTIS   - Le constructeur franco-italo-américain détenait une part de marché de 31,57% en Italie en septembre, selon les calculs de Reuters à partir des données partielles publiées par le ministère italien des Transports, qui font état d'une hausse de 2,78% des immatriculations le mois dernier sur un an.

    * DEEZER a confirmé, ce mardi, ses perspectives pour cette année et s'attend à générer un milliard d'euros de chiffre d'affaires d'ici 2025.

    * SIKA , le spécialiste suisse de la chimie, a annoncé que son chiffre d'affaires 2022 devrait augmenter de plus de 15% en monnaies locales et a officiellement lancé le processus de vente d'une partie des activités de MBCC, une ancienne filiale de BASF acquise l'année dernière.

    * ROCHE a annoncé avoir reçu le feu vert de la FDA des États-Unis pour un diagnostic du cancer du sein.

  • La FSMA va renforcer le contrôle de la publicité sur les cryptos

    La FSMA s'est fixé comme mission de protéger l'investisseur, dans le cadre d'un programme de 20 projets pour l'avenir.

    Jean-Paul Servais, président de la FSMA, rappelle que parmi ces 20 projets, celui du contrôle des cryptomonnaies est en voie d'être finalisé.

    Les footballeurs belges, les influenceurs et les pages de site sur les réseaux sociaux qui font de la publicité pour les cryptomonnaies sont particulièrement dans le viseur des autorités de régulation.

  • Jos Donvil devient le nouveau CEO de bpost Belgium

    Le Conseil d’Administration de bpostgroup a décidé de façon unanime, sur recommandation du Comité de rémunération de bpost , de nommer Jos Donvil au poste de CEO de bpost Belgium. Il succèdera à Jean Muls, dont la collaboration a pris fin.

    Jos Dovil a notamment été à la tête de VOO et de l'opérateur télécom Base. Il a également été directeur général du club de football R.S.C. Anderlecht.

  • Le marché du pétrole continue de monter

    Le marché du pétrole continue de monter, soutenu par des spéculations sur une forte baisse de production de l'Opep+ lors de sa réunion de mercredi, mais les préoccupations concernant l'économie mondiale freinent la hausse des cours.

    Le Brent prend 0,60%, à 89,39 dollars le baril, et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) 0,48%, à 84,03 dollars.

  • Briefing d'avant-bourse

    Les bourses européennes devraient progresser à l'ouverture, le regain d'appétit pour le risque observé lundi étant amené à se confirmer bien que les préoccupations sur l'économie mondiale, l'inflation et les politiques des banques centrales restent d'actualité.

    Les premières indications disponibles donnent une hausse de 1,33% pour le CAC 40 parisien, de 1,51% pour le Dax à Francfort, de 0,71% pour le FTSE à Londres et de 1,44% pour l'EuroStoxx 50.

    Les actions européennes devraient continuer à profiter de l'élan impulsé par Wall Street lundi, l'annonce d'un ralentissement de l'activité dans le secteur manufacturier américain ayant été bien accueillie. Pour certains observateurs, cela laisse, en effet, entrevoir la possibilité que la Réserve fédérale puisse se montrer moins agressive dans le relèvement de ses taux.

    La statistique a montré des signes de réussite du cycle de resserrement monétaire de la Fed et suggère que celle-ci pourrait se passer d'une remontée brutale des taux. Mais il est encore tôt, le modeste rebond des actions américaines ne fait pas une tendance. Les données sur l'emploi américain vendredi seront au centre des préoccupations cette semaine.

    Stephen Innes
    Analyste chez SPI Asset Management

  • IBA met un pied en Géorgie

    IBA annonce le lancement du tout premier centre de production radiopharmaceutique à Tbilissi, la capitale de la Géorgie. Le spécialiste de la protonthérapie pour la lutte contre le cancer, avec l'américain Novatek et l'israélien ElsMed, va démarrer une usine de production de composants radioactifs pour la médecine nucléaire.

    L'usine devrait être opérationnelle d'ici 2024. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) sera étroitement associée à sa construction.

    Le montant de l'investissement n'est pas connu.

  • Fitch confirme la note de VGP

    Après le coup de massue d'hier, l'agence de notation Fitch confirme la cote de crédit du promoteur immobilier VGP : BBB-, le niveau le plus bas de la catégorie 'qualité' (Investment grade).

    Fitch voit le report de la quatrième joint-venture avec la compagnie d'assurance Allianz comme une pause, en raison des conditions du marché, et non comme une clôture de la joint-venture.

     

  • Le CD&V cède son siège de la rue de la Loi à Cofinimmo

    Vendredi dernier, Cofinimmo Offices, filiale à 100% de Cofinimmo, a réalisé le désinvestissement de l'immeuble de bureaux Omega Court, dans la zone décentralisée de Bruxelles. Le montant de la transaction s’élève à environ 28 millions d'euros. Ce qui constitue "une plus-value par rapport à la dernière juste valeur", prévient le CEO du groupe Jean-Pierre Hanin.

    Cette transaction a été suivie, ce lundi, par l’acquisition de l’immeuble de bureaux situé rue de la Loi 89, appartenant au CD&V et adjacent au Loi 85 déjà en portefeuille, dans le CBD de Bruxelles, pour un montant d’environ 7 millions d'euros. "L’acquisition du Loi 89 nous permet d’optimiser le redéveloppement futur de deux immeubles, idéalement situés au cœur du CBD de Bruxelles et du quartier européen. Deux immeubles qui deviendront un nouveau ‘flagship’ de durabilité au sein de notre portefeuille", prévient le CEO.

  • Le Jyseleca de Galapagos n'affecte pas la fertilité

    La biotech basée à Malines a publié, lundi soir, une mise à jour sur son médicament Jyseleca (filgotinib) contre la polyarthrite rhumatoïde. Il en ressort que le Comité des médicaments à usage humain (CHMP), soit le comité scientifique de l'Agence européenne des médicaments (EMA), a émis un avis positif sur la demande d'amendement de Galapagos pour Jyseleca.

    À la suite d'études, il apparaît que l'utilisation du filgotinib n'a pas d'effets indésirables sur les paramètres du sperme ou des hormones sexuelles chez les patients adultes.

    Suite à l'avis positif du CHMP, le texte de la notice concernant l'effet possible du filgotinib sur la production de sperme et la fertilité masculine sera donc supprimé.

  • La banque centrale d'Australie surprend

    La banque centrale d'Australie a surpris les marchés ce matin en relevant son principal taux d'intérêt directeur de 25 points de base, une hausse moins importante qu'attendu, tout en précisant qu'un nouveau resserrement de sa politique monétaire serait encore nécessaire.

    Cela envoie un signal assez important sur le rythme des hausses futures. Les débats vont maintenant porter sur une hausse de 25 points de base ou un statu quo.

    Su-Lin Ong
    Analyste chez RBC Capital Markets

    À l'issue de sa réunion d'octobre, la Reserve Bank of Australia (RBA) a relevé son taux directeur à 2,60%, son plus haut niveau depuis neuf ans. Il s'agit de la sixième hausse de taux de l'institution en six mois.

    La banque centrale avait récemment signalé la possibilité, à un moment donné, d'un ralentissement dans la remontée de son taux, compte tenu de la hausse significative opérée depuis mai.

    Le dollar australien a creusé ses pertes face au dollar américain juste après l'annonce de la décision de la RBA.

  • À suivre ce mardi

    Après les indices PMI de la zone euro, voici, ce mardi, les prix à la production du mois d'août. Une intervention de Christine Lagarde est à tenir à l'œil.

  • Forte hausse attendue en Europe

    Les marchés européens sont indiqués en forte hausse, dans le sillage de Wall Street. L'Euro Stoxx 50 devrait débuter sur un gain de 1,6%, tout comme l'indice Dax de la bourse de Francfort. Londres devrait démarrer en progression de 0,8%.

  • Un courant acheteur dope Wall Street après un mois catastrophique

    Bonjour! Ceci démarre notre "Market live" du mardi 4 octobre. La Bourse de New York a bénéficié, lundi, d'investisseurs à la recherche de bonnes affaires après un mois de septembre calamiteux, et d'un indice ISM d'activité dans le secteur manufacturier tombé en septembre au plus faible rythme de progression depuis mai 2020, faisant espérer une détente des tours de vis de la Fed.

    "Si l'on en juge par les mouvements des actifs à risque, l'économie américaine va commencer à ralentir, et la demande plus faible va ralentir le rythme des hausses de taux d'intérêt américains", a commenté Hideyuki Ishiguro de Nomura Asset Management, cité par l'agence Bloomberg.

    Le Dow Jones a gagné 2,66%, l'indice Nasdaq a pris 2,27% et l'indice élargi S&P 500 a progressé de 2,59%.

     

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