C'est ici que s'achève notre Market Live, lieu rêvé pour suivre l'évolution des marchés en temps réel. L'audition du président de la Fed Jerome Powell se poursuit ce mercredi, à la Chambre des représentants cette fois. Adidas, Agfa-Gevaert, Brenntag et Continental sont attendus sur leurs résultats 2022.
Les marchés d'actions américains ont lourdement reculé après le passage de Jerome Powell devant le Congrès. Voici ce qu'il fallait retenir de la séance à Wall Street.
L'influence du discours de Jerome Powell sur les taux aura été marquée, particulièrement à court terme. Le rendement des bons du Trésor américain à 2 ans a finalement bondi de 12 points de base, touchant un record en 16 ans à 5,02%.
Les indices boursiers américains, dont le Dow Jones et le Nasdaq , ont clôturé en forte baisse mardi après que le président de la Réserve fédérale Jerome Powell a déclaré au Congrès que la banque centrale devra probablement augmenter les taux d'intérêt plus que prévu alors qu'elle cherche à maîtriser une inflation obstinément élevée.
Powell a fait fuir les investisseurs après avoir déclaré aux législateurs américains que la Fed était prête à augmenter les taux par étapes plus importantes si les données économiques suggéraient que des mesures plus strictes étaient nécessaires pour contrôler la hausse des prix. Il s'agissait de ses premières remarques depuis que l'inflation a fait un bond inattendu en janvier et que le gouvernement américain a fait état d'une augmentation inhabituellement importante du nombre d'emplois salariés au cours du mois.
Les traders ont considérablement augmenté leurs paris pour une hausse des taux de 50 points de base en mars après ses commentaires, avec des contrats sur le marché des swaps évaluant à plus de 65% les chances d'une telle décision, contre environ 31% lundi, selon l'outil FedWatch.
Dow Jones: -1,72%
S&P 500: -1,53%
Nasdaq: -1,25%
Le total des crédits à la consommation aux États-Unis a augmenté de 14,8 milliards de dollars en janvier 2023, après une augmentation révisée à la baisse de 10,69 milliards de dollars le mois précédent et en dessous des attentes du marché d'une augmentation de 20 milliards de dollars.
Sur une base annuelle corrigée des variations saisonnières, le crédit à la consommation a augmenté de 3,7% en janvier, après une révision à la hausse de 2,9% le mois précédent.
Les crédits renouvelables, comme les cartes de crédit, ont augmenté de 11,1%, par rapport à une augmentation de 6,9% révisée à la baisse le mois précédent. Les crédits non renouvelables, comme les prêts automobiles et les prêts étudiants, ont augmenté de 1,2%, après une révision à la baisse de 1,3% le mois précédent.
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Le principal avantage de Bank of America est sa technologie, qui lui permet de servir plus de clients à un coût inférieur à celui de ses rivaux, estime Mike Mayo, analyste chez Wells Fargo. Les avantages continus de la mise en œuvre de sa technologie donneront à Bank of America le "meilleur écart de 2023 entre la croissance des revenus et celle des dépenses" et des marges bénéficiaires plus élevées, note l'analyste.
Le CEO Brian Moynihan a prôné les avantages de son mantra de "croissance responsable", qui s'appuie fortement sur la technologie pour servir les clients tout en réduisant les coûts. Le numéro 2 bancaire américain après JPMorgan possède déjà la division de services bancaires aux consommateurs la plus efficace.
"BofA peut désormais servir plus de clients, fournir plus de services, s'engager plus souvent et le faire à moindre coût", explique l'analyste, qui avait écrit en janvier que les actions de Bank of America pourraient grimper de 55% cette année grâce à l'augmentation des marges et des bénéfices.
Le pétrole a plongé le plus fortement depuis début janvier, le témoignage du président de la Réserve fédérale Jerome Powell devant les législateurs ayant fait chuter l'or noir sur les marchés de matières premières.
Le message de Powell selon lequel la banque centrale pourrait relever ses taux plus rapidement que prévu, et à un niveau plus élevé, agissant sur la demande, a étayé un argumentaire baissier fondé sur l'augmentation des stocks américains et un objectif de croissance économique plus faible que prévu de la part de la Chine.
Le baril de Brent de la mer du Nord lâche 3,4% à 83,2 dollars, et le WTI (West Texas Intermediate) américain recule de 3,8%, à 77,4 dollars.
Dick's Sporting Goods a battu les estimations des analystes pour le quatrième trimestre et a donné des perspectives de bénéfices pour l'ensemble de l'année supérieures aux prévisions, suggérant que la demande d'équipements et de vêtements de sport reste forte même si les consommateurs se retirent d'autres catégories discrétionnaires.
Le plus grand détaillant américain d'articles de sport a déclaré qu'il prévoyait des bénéfices de 12,90 à 13,80 dollars par action pour l'année se terminant en janvier 2024, contre 12,03 dollars par action prévu par les analystes. Son bénéfice ajusté du quatrième trimestre de 2,93 dollars par action a dépassé l'estimation moyenne de 2,92 dollars.
"Nos performances constantes et notre solidité financière nous permettent d'augmenter le taux d'investissement dans nos activités afin d'alimenter les opportunités de croissance à long terme et de restituer un capital important aux actionnaires."
Dans le même ordre d'idées, la société basée en Pennsylvanie, a plus que doublé son dividende trimestriel pour le porter à 1 dollar par action. Le titre grimpe de plus de 10%,sa plus forte hausse depuis le 22 novembre. Dick's a été l'une des actions les plus performantes de l'ère de la pandémie, multipliée par plus de sept depuis la fin mars 2020.
La Banque nationale suisse n'a pas encore fait assez pour ramener l'inflation à son niveau cible, selon son président Thomas Jordan. "La politique monétaire de la BNS est encore trop souple pour ramener l'inflation à la stabilité des prix à moyen terme", a-t-il déclaré à l'Université de Zurich. "Nous ne pouvons pas exclure la possibilité d'un nouveau resserrement de la politique monétaire."
Ce discours est sa première apparition publique après que les données de lundi ont montré une accélération surprise de l'inflation suisse. Alors que le pays a toujours la croissance des prix à la consommation la plus faible de toutes les économies développées, elle se rapproche maintenant du pic de 3,5% observé pour la dernière fois en août. Pour aggraver les choses, une mesure sous-jacente, qui exclut les prix volatils de l'énergie et de l'alimentation, suggère que les pressions sur les prix deviennent plus largement enracinées.
Dans le cadre du cycle de resserrement qui a débuté en juin, la BNS a déjà relevé son taux directeur de 175 points de base, les responsables devant se réunir pour leur prochaine décision trimestrielle dans deux semaines. La prévision médiane d'une enquête de Bloomberg prévoit une nouvelle hausse d'un demi-point le 23 mars, mais une hausse de 75 points de base n'est pas exclue, ou la vente de certaines réserves de devises étrangères, a indiqué le président de la BNS.
Les principaux indices de Wall Street sont en forte baisse, après les commentaires bellicistes de Jerome Powell sur les taux.
Le Dow Jones recule d'1,7%, le S&P 500 d'1,6% et le Nasdaq d'1,3%.
Zalando a vu le cours de son action inverser sa tendance durant la séance après la publication de ses résultats, accueillis avec froideur par les analystes.
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En raison du ton belliciste du président de la Réserve fédérale américaine (Fed) Jerome Powell devant le Congrès américain, le marché table désormais sur une hausse des taux de 50 points de base lors de la prochaine réunion du Comité de politique monétaire en mars, selon l'indice FedWatch du Chicago Mercantile Exchange. Auparavant, les investisseurs tablaient sur une hausse de 25 points de base.
Cette hausse serait suivie en mai et en juin par des hausses de 25 points de base, avec un pic de la limite supérieure à 5,75% des Fed Funds, avant une première baisse en janvier 2024 seulement.
Du changement à prévoir dès ce 20 mars au sein de l'AEX d'Amsterdam. L'assureur néerlandais ASR Nederland et la banque ABN Amro seront inclus dans l'indice, a déclaré Euronext dans un communiqué, et Signify le quittera.
Les changements, qui font suite à une révision annuelle de la composition de l'indice, seront mis en œuvre après la clôture des marchés le vendredi 17 mars 2023 et seront donc effectifs à partir du lundi 20 mars, a ajouté Euronext.
Dans des indices du marché américain qui s'enfoncent, le Dow Jones chutant d'1,4% et le Nasdaq de 0,7%, tous les secteurs reculent.
La plainte déposée par le département américain de la Justice contre le rachat de Spirit Airlines par JetBlue Airways en raison de craintes sur une trop grande concentration du secteur font bondir les cours des actions du secteur aérien, qui profiteraient d'un environnement à la concurrence plus saine, puisque ce rachat ferait de JetBlue le 5e transporteur américain de passagers.
Avec une chute de 4% ce mardi, plombée par la chute de l'objectif de cours des analystes de KBC Securities, l'action Proximus a touché, à 8,4 euros, un nouveau record de faiblesse de son cours, au plus bas depuis son introduction en bourse sous le nom Belgacom en 2004, il y a près de 20 ans.
Le titre a perdu la moitié de sa valeur depuis un an, les marchés craignant la future concurrence du roumain Digi, l'arrivée de Telenet en Wallonie, ainsi que les coûts énormes de l'implantation du réseau 5G de l'opérateur historique belge.
Le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, met à nouveau en garde les banques américaines contre les risques qu'elles encourent en s'engageant dans le secteur des actifs numériques. Dans son audition, il a exposé une série de préoccupations concernant les cryptomonnaies et a déclaré que les prêteurs supervisés par les régulateurs devaient faire preuve d'une grande prudence lorsqu'ils s'engageaient dans ce secteur.
"Nous ne voulons pas que la réglementation étouffe l'innovation d'une manière qui favoriserait les opérateurs historiques, mais, comme tout le monde, nous observons ce qui se passe dans l'espace crypto et nous constatons qu'il y a beaucoup d'agitation, de fraude, de manque de transparence et de risques."
Les régulateurs bancaires américains ont adopté une position de plus en plus agressive à l'égard des actifs numériques depuis la faillite de la bourse de crypto-monnaies FTX l'année dernière. Le 3 janvier, la Fed, le Bureau du contrôleur de la monnaie et la Federal Deposit Insurance Corp. ont publié une déclaration brutale affirmant que les risques liés aux crypto-monnaies qui ne peuvent être contrôlés ne devraient pas être autorisés à migrer vers le système bancaire.
Les commentaires de Jerome Powell ont également touché les investisseurs belges ce mardi, qui ont fait reculer nettement le Bel 20 .
Au sein de l'indice phare de la Bourse de Bruxelles, Ageas (voir post précédent), a été une des rares bonnes performances, alors que Proximus a fermé la marche, chutant de 4% sur un avis pessimiste de KBC Securities, suivi par les reculs de plus de 2% de Sofina et d'Umicore .
Hors indice , Mithra s'est envolée de 13%, prolongeant son bond de lundi après ses résultats annuels, et Bois Sauvage a dépassé les 4% de hausse après avoir vu son résultat net grimper de 50% en 2022.
L'assureur Ageas a brièvement grimpé de 5% à la suite d'une information parue sur le site web boursier Street Insider. Selon ce site, Ageas aurait reçu une offre de rachat hostile.
Un groupe de private equity voudrait mettre 50 euros par action sur la table pour l'acquisition de la maison mère d'AG Insurance et d'AG Real Estate. Après un bref rebond à plus de 45 euros, l'action a tout de même clôturé en tête du Bel 20.
Les investisseurs ne semblent donc pas accorder trop d'importance à cette rumeur. Chez Ageas, d'ailleurs, de telles rumeurs reviennent régulièrement, comme en janvier dernier. Étant donné que l'État belge, par l'intermédiaire de son bras financier la SFPI, est récemment devenu un actionnaire important d'Ageas, une reprise est également devenue moins probable.
Le gouvernement belge envisage par ailleurs d'augmenter sa participation dans Ageas grâce au produit de la vente récente des actions BNP Paribas.
Bel 20: -0,76%
AEX: -1,09%
Cac 40: -0,46%
Le département américain de la Justice a contesté l'acquisition de Spirit Airlines par JetBlue Airways pour un montant de 3,8 milliards de dollars ce mardi, en déposant une plainte antitrust visant à bloquer l'opération.
Le département de la Justice a déclaré que le regroupement entraînerait une hausse des prix pour les consommateurs en éliminant Spirit en tant que compagnie low cost. Les États de New York, du Massachusetts et de Washington se sont joints à l'action antitrust. "Si l'acquisition est approuvée, JetBlue prévoit d'abandonner le modèle commercial de Spirit, de retirer des sièges des avions de Spirit et de facturer des prix plus élevés aux clients de Spirit", a déclaré le département de la Justice dans sa plainte.
"Le plan de JetBlue éliminerait la concurrence unique que Spirit fournit, et environ la moitié de tous les sièges de compagnies aériennes à très bas prix dans l'industrie, et laisserait des dizaines de millions de voyageurs confrontés à des tarifs plus élevés et à moins d'options."
L'accord ferait de JetBlue le cinquième transporteur américain en termes de trafic intérieur, ce qui lui donnerait un réseau plus large et la capacité d'attirer les passagers de ses concurrents plus importants. Par ailleurs, le ministère des Transports devrait bloquer le transfert du certificat aérien de Spirit après avoir déterminé que la fusion n'est pas conforme à l'intérêt public. Ce serait la première fois depuis des décennies que l'agence des transports invoque son autorité pour bloquer les transferts de certificats.
Ils remontaient légèrement au début du discours de Powell, ils sont désormais franchement dans le rouge.
Les indices de Wall Street reculent, le Dow Jones lâchant 0,9% et le Nasdaq 0,8%.
Baisse encore plus marquée pour l'indice large S&P 500, qui perd plus d'1%.
Selon le broker, les parts de marché de Proximus en Wallonie sont menacés par les ambitions de Telenet et d'un hypothétique nouvel entrant.
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Les actions de Rivian chutent de plus de 12% alors que le fabricant de véhicules électriques a révélé son intention de lever 1,3 milliard de dollars par le biais de la vente d'obligations convertibles vertes arrivant à échéance en 2029. La société utilisera le produit de l'offre pour financer, refinancer ou investir dans des projets verts actuels et futurs, selon un communiqué publié lundi en fin de journée.
Rivian a l'intention de régler les conversions au moyen d'actions ordinaires ou d'une combinaison de liquidités et d'actions, a indiqué la société. L'émission d'obligations convertibles peut potentiellement diluer la valeur des actions en circulation.
La livre sterling s'est dépréciée à 1,1883 dollar, touchant son niveau le plus faible depuis novembre 2022, les investisseurs s'étant tournés vers le billet vert après les remarques bellicistes du président de la Fed, Jerome Powell.
Powell a déclaré aux législateurs américains que la Fed pourrait avoir besoin d'augmenter les taux d'intérêt plus que prévu pour lutter contre l'inflation, alors que la Banque d'Angleterre devrait augmenter ses taux de 25 points de base supplémentaires ce mois-ci, avant de mettre fin au cycle de resserrement actuel.
La banque centrale britannique a procédé à 10 hausses de taux consécutives depuis la fin de l'année 2021. Catherine Mann, membre du conseil d'administration, a averti mardi que la livre pourrait être vulnérable aux perspectives de la Réserve fédérale et de la Banque centrale européenne.
L'influence du discours de Jerome Powell sur les taux est marquée, particulièrement à court terme. Le rendement des bons du Trésor américain à 2 ans grimpe de 8 points de base, touchant un record en 16 ans à 4,98%.
Le président de la Fed estime qu'il faudra encore du temps pour atteindre la stabilité des prix, c'est-à-dire une inflation à 2%. Les marchés accusent le coup.
Lire notre article | Powell (Fed): Les taux d'intérêt seront "probablement plus élevés" que prévu
Alors que l'audition de Jerome Powell a désormais démarré (voir notre direct en vidéo dans le post de 15h50), les indices US regagnent une partie du terrain qu'ils lâchaient après que les remarques préparées avaient été publiées.
Le Dow Jones recule maintenant de 0,5% et le Nasdaq de 0,7%.
La séance pourrait s'annoncer très volatile et les indices devraient fluctuer durant l'intervention du président de la Fed, comme lors de ses dernières prises de parole en public.
Selon Jerome Powell, la Fed est désormais consciente que les indicateurs économiques peuvent être un signe que la banque centrale américaine devrait faire plus pour tempérer l'inflation, peut-être même en revenant à des augmentations de taux plus importantes que les sauts d'un quart de point que les responsables avaient prévu de maintenir. "Si l'ensemble des données devait indiquer qu'un resserrement plus rapide est justifié, nous serions prêts à augmenter le rythme des hausses de taux", indique le président de la Fed.
Bien que l'inflation "se soit modérée" depuis son pic de l'année dernière, Powell a déclaré que "le processus de retour de l'inflation à 2% est loin d'être achevé et qu'il sera probablement semé d'embûches". Les membres de la commission bancaire du Sénat interrogeront Powell après ce témoignage, une audition similaire étant prévue mercredi devant la commission des services financiers de la Chambre des représentants.
Dans son témoignage, Powell a indiqué qu'une grande partie de l'impact de la politique monétaire de la banque centrale pourrait encore se faire sentir, le marché du travail maintenant un taux de chômage de 3,4%, du jamais vu depuis 1969, et de fortes hausses de salaires. Dans un commentaire qui pourrait bien être repris par certains sénateurs démocrates, Powell a laissé entendre que le marché du travail devrait s'affaiblir pour que l'inflation diminue dans le vaste secteur des services.
"Pour rétablir la stabilité des prix, nous devrons constater une baisse de l'inflation dans le secteur (des services), et il est très probable que les conditions du marché du travail s'assouplissent."
Les paroles de Jerome Powell sur un relèvement plus fort que prévu des taux semblent quelque peu effrayer Wall Street.
Après une ouverture à l'équilibre, le Dow Jones lâche désormais 0,5% et le Nasdaq trébuche de 0,9%.
Les taux obligataires, eux, remontent logiquement, le rendement à 10 ans des bons du Trésor reprenant 3 points de base à 3,99%.
Le billet vert grimpe, et l'euro recule de près de 0,9%, à 1,0593 dollar.
Le principal taux directeur de la Fed, qui grimpe depuis un an pour juguler l'inflation, pourrait continuer son ascension au-delà de 5,1%, niveau auquel les responsables de l'institution le voyaient jusqu'à présent s'arrêter, avertit son président Jerome Powell.
"Les données économiques les plus récentes sont plus fortes que prévu, ce qui suggère que le niveau final des taux d'intérêt sera susceptible d'être plus élevé que prévu", a déclaré le président de la Fed devant une commission du Sénat. Les responsables de la Fed avaient publié leurs dernières prévisions en décembre, et les actualiseront les 21 et 22 mars, lors de leur prochaine réunion.
Les actions de WW International , maison mère de Weight Watchers bondissent de plus de 30% dès les premiers échanges après la publication des résultats de la société.
La société a, en outre, déclaré qu'elle ferait l'acquisition de Sequence, une plateforme de télésanté par abonnement axée sur la gestion du poids chronique, pour un prix d'achat net de 106 millions de dollars. La transaction devrait être finalisée au cours du deuxième trimestre 2023.
Jerome Powell, président de la Réserve fédérale américaine (Fed), s'exprimera dès 16 heures devant le Congrès pour discuter de sa politique monétaire et de ses effets sur l'économie.
Suivez en direct cette intervention avec la retransmission officielle du Sénat américain.
Les actions sont restées quasi stables à l'ouverture ce mardi, les traders attendant les derniers commentaires du président de la Réserve fédérale Jerome Powell sur l'état de l'économie. Le Dow Jones recule de 0,1% et le Nasdaq prend 0,2%.
Mardi et mercredi, le président de la Fed, Jerome Powell, témoignera devant le Congrès de la situation de l'économie américaine et de l'évolution des taux d'intérêt. Ces commentaires pourraient déterminer l'orientation du marché à court terme, ou du moins au cours de cette semaine riche en données économiques, dont le point culminant sera le rapport sur l'emploi de février, publié vendredi.
"Le témoignage de Powell devant le Congrès et l'objectif de croissance décevant de la Chine devraient faire baisser les actifs à risque cette semaine, alors que nous attendons la dernière réunion de la Banque du Japon de Kuroda et le rapport sur l'emploi américain de vendredi", explique l'analyste Ajay Rajadhyaksha de Barclays. Les indices US avaient fini en léger recul lundi.
Dow Jones: -0,01%
S&P 500: +0,07%
Nasdaq: -0,05%
Le stratégiste Mike Wilson de Morgan Stanley, un éminent baissier de Wall Street qui s'était montré optimiste lundi en prédisant un rallye à court terme sur le S&P 500, estime qu'il existe encore un risque de baisse de 20% pour certaines des grandes valeurs technologiques et des meme stocks, sans préciser lesquelles.
Ce "bear" de la bourse a déclaré à Bloomberg que les valorisations sont hors limites, même sans récession des bénéfices. "Dans l'ensemble, la croissance de ces actions, même les titres cycliques qui sont allés trop loin aujourd'hui, pourrait avoir une baisse de 20%, sans aucun problème", a déclaré Wilson. Il a ajouté qu'il pourrait même voir certains noms faire faillite.
Bien qu'il ait déclaré dans sa note de lundi qu'il s'attendait à ce que les actions se redresseraient à court terme, il prévient que le S&P pourrait tester le plus bas niveau d'octobre à mesure que les fondamentaux se détériorent. L'année dernière, Wilson a été classé numéro un dans l'enquête Institutional Investor après avoir correctement prédit la chute des actions de 2022. En octobre, il a correctement prédit une reprise des actions américaines.
Un groupe bipartisan de 12 sénateurs américains présentera mardi un projet de loi qui donnerait à la secrétaire au commerce, Gina Raimondo, de nouveaux pouvoirs pour interdire l'application vidéo TikTok, détenue par le chinois ByteDance, et d'autres technologies basées à l'étranger si elles représentent une menace pour la sécurité nationale, a déclaré le sénateur Mark Warner.
"Je pense qu'il s'agit d'une menace pour la sécurité nationale", a déclaré Warner sur CNBC, ajoutant que le projet de loi donnerait à Mme Raimondo "la possibilité de prendre une série de mesures d'atténuation pouvant aller jusqu'à l'interdiction" de TikTok.
Wall Street est attendue dans de faibles variations à l'ouverture et les bourses européennes affichent de légers gains à mi-séance, les investisseurs étant dans l'attente de l'intervention de Jerome Powell, le président de la Réserve fédérale américaine (Fed) devant le Congrès.
Les futures sur indices new-yorkais signalent une ouverture de Wall Street en hausse de 0,06% pour le Dow Jones, mais une progression de 0,14% pour le Standard & Poor's 500 et de 0,26% pour le Nasdaq.
En Europe, l'Euro Stoxx 50 se tasse de 0,05%. Bruxelles et Francfort sont à l'équilibre. Paris progresse de 0,18% tandis qu'Amsterdam cède 0,25%.
Jerome Powell doit s'exprimer ce mardi à 16h devant la commission bancaire du Sénat et certains analystes, à l'image de Craig Erlam de la société Oanda, espèrent que le président de la Fed confirmera ses propos du 1er février selon lesquels le processus de désinflation a commencé, au risque d'effrayer les marchés.
Les récentes données économiques et les commentaires des responsables de la Fed ont toutefois incité les traders à réévaluer leur trajectoire des taux d'intérêt aux États-Unis. La probabilité d'une hausse du coût du crédit de 50 points de base ce mois-ci est désormais de 28%, tandis que le pic des taux est vu à 5,46% d'ici septembre, selon le baromètre Fedwatch de CME Group.
À notre avis, la barre pour réaccélérer le rythme des hausses de taux est élevée et la Fed préférerait une trajectoire moins agressive et un maintien de sa politique restrictive plus longtemps, si nécessaire.
Ces dernières années, nous avons assisté à un essor considérable des trackers. Les trackers sont également appelés ETF ou fonds passifs. Nos collègues de L'Investisseur vous expliquent l'essentiel à connaître avant d'investir dans ce type d'actifs.
Le marché obligataire respire, les traders réduisant leurs paris sur de nouvelles hausses des taux en Europe après une enquête de la Banque centrale européenne montrant que les attentes en matière d'inflation de la part des ménages ont reculé en janvier.
Les rendements des obligations de référence allemandes et italiennes à 10 ans reculent de l'ordre de 8 points de base, à respectivement 2,68% et 4,47% Sur l'échéance deux ans, le recul est de l'ordre de 6 points de base, à 3,24% et 3,68%.
Le taux belge à 10 ans baisse de 6,6 points, à 3,26%, et de 5,4 points, à 3,244%.
Une enquête de la BCE a montré que les anticipations d'inflation sont tombées à 2,5% en janvier, contre 3% en décembre (voir post de 13h55).
Les anticipations d'inflation des consommateurs dans la zone euro ont baissé en janvier, contrairement à celles concernant la croissance des salaires, montre une étude publiée par la Banque centrale européenne (BCE).
La médiane des anticipations d'inflation à 12 mois a été revue à 4,9%, contre 5,0% un mois plus tôt, tandis que celle à trois mois a reculé plus nettement, à 2,5% contre 3%, précise l'enquête réalisée auprès de quelque 14.000 consommateurs dans six des plus grandes économies de la zone euro.
En moyenne, les consommateurs s'attendent à ce que leur revenu nominal augmente de 1,3% à l'horizon d'un an, une hausse modeste compte tenu de la forte croissance des prix, mais supérieure au taux de 1% observé lors de l'enquête de décembre.
Les responsables de la BCE prévoient une croissance du revenu nominal d'environ 5% cette année, le rythme le plus rapide depuis des années et incompatible avec un retour de l'inflation à 2%, l'objectif fixé par la banque centrale.
Traton , filiale de Volkswagen (+0,2%), se distingue par un bond de 5,1% à Francfort. Le constructeur de poids-lourds prévoit une hausse des ventes de 5 à 15% cette année après une année 2022 déjà favorable. Le rival Daimler-Truck (+1,5%) est aussi recherché.
Nyxoah poursuit sur sa lancée d'hier. Le titre s'envole de 8,8%, à 5,80 euros, après avoir déjà gagné 7,46% lundi. Depuis vendredi dernier, l'action a bondi de 17%. La société de medtech a fait état, lundi, de progrès dans deux études américaines sur Genio, une pucée implantée chez les patients souffrant d'apnée du sommeil.
L'action reste toutefois encore en deçà du niveau de 17 euros auquel il y avait été introduit en bourse à Bruxelles en septembre 2020.
* META PLATFORMS va supprimer des milliers d'emplois cette semaine, dans le cadre d'une nouvelle salve de licenciements, quelques mois seulement après avoir réduit ses effectifs de plus de 11.000 personnes, a rapporté l'agence Bloomberg lundi. L'action du propriétaire de Facebook gagne 1,6% dans les échanges avant l'ouverture.
* GENERAL MOTORS - Cruise, la filiale spécialisée dans les véhicules autonomes de General Motors, se concentre, cette année, sur la diminution de ses dépenses, a déclaré un haut dirigeant lundi, alors que ce secteur ne se développe pas aussi rapidement qu'attendu.
* RIVIAN va lancer une émission d'obligations pour un montant de 1,3 milliard de dollars, a annoncé le constructeur de véhicules électriques lundi, alors que l'affaiblissement de la demande et la flambée des coûts accentuent la pénurie de liquidités des entreprises du secteur. Dans les échanges en avant-bourse, il perd 7%.
* PARAMOUNT GLOBAL étudie la possibilité de vendre une participation majoritaire dans BET Media Group, a déclaré à Reuters une source proche du dossier.
Arès une envolée hier, les rendements obligataires de la zone euro reculent aujourd'hui. Le taux d'intérêt belge à dix ans baisse de 8 points de base, à 3,25%. Son équivalent allemand affiche un recul similaire, à 2,66%.
Cela se reflète dans les prix des sociétés immobilières sensibles aux taux d'intérêt. Au sein du Bel20, Aedifica grimpe de 1,5%, WDP et VGP de 0,5% et Cofinimmo de 0,12%.
Meta , la société mère de Facebook, Instagram et WhatsApp, prévoit une nouvelle série de licenciements, deux semaines environ après la vague précédente. Des milliers de personnes seraient concernées, selon un rapport publié par Bloomberg.
L'opération pourrait commencer dès cette semaine, selon l'analyste.
En novembre dernier, la firme s'était déjà séparée d'environ 13% de son personnel pour "gagner en efficacité", selon Mark Zuckerberg. Cette fois, ce sont des objectifs financiers qui seraient à l'origine de l'opération. Les directeurs auraient reçu l'ordre de dresser des listes d'employés à licencier.
L'action gagne 1,84% dans les échanges d'avant-bourse.
S&P Global Ratings a abaissé mardi la note de Nissan Motor en catégorie spéculative ("junk"), l'agence de notation estimant que le bénéfice du constructeur automobile japonais, partenaire de Renault, demeurera plus faible qu'initialement prévu dans la perspective d'une année encore difficile.
Dans un communiqué, S&P dit avoir réduit la note financière à long terme de Nissan d'un cran, de "BBB-" à "BB+", ce qui fait entrer le constructeur dans la catégorie des investissements spéculatifs.
Les performances de l'entreprise sont faibles depuis plus de trois ans. L'impact des perturbations dans la chaîne d'approvisionnement mondiale pour les composants automobiles de premier plan se poursuivra probablement en 2023.
Le marché belge des télécoms vit une période difficile, soulignent les analystes de KBC Securities. Proximus et Telenet ont ainsi perdu respectivement 50% et 54% de leur valeur boursière depuis janvier 2022, sous-performant considérablement la moyenne de l'univers des actions télécoms suivies par KBC Securites.
L'explication? Les importants plans d'investissement dans la fibre optique, l'inflation et la probabilité d'une concurrence accrue au-delà de 2024, selon KBCS.
"Bien que nous reconnaissions les valorisations bon marché de Telenet et de Proximus par rapport au secteur, nous ne prévoyons pas de réévaluation à court terme".
L'objectif de cours pour Proximus dégringole et passe de 18 euros à 9,1 euros. Le conseil de conserver est maintenu. Solide révision à la baisse également de l'objectif de cours pour Telenet, qui passe de 40 euros à 16 euros. La recommandation passe d'acheter à accumuler.
Les commandes passées à l'industrie allemande ont de nouveau progressé en janvier sur un mois, de 1,0%, selon les chiffres publiés mardi par l'office fédéral statistique suggérant que l'activité allemande pourrait échapper à la récession.
Les économistes s'attendaient à une progression de 0,7%.
Les actions européennes évoluent dans des marges étroites autour de leur point d'équilibre avant le témoignage du président de la Réserve fédérale américaine, Jerome Powell.
L'indice DJ Stoxx 600 grappille 0,06%. L'Euro Stoxx 50 est à l'équilibre. Bruxelles avance de 0,20%, Paris de 0,07%, et Francfort de 0,11%, mais Amsterdam cède 0,13%.
Les actions technologiques mènent la baisse avant le témoignage du président de la Réserve fédérale américaine, Jerome Powell. Le compartiment cède 0,4%, selon l'indice sectoriel de référence.
Le secteur du luxe est également délaissé, après des statistiques commerciales chinoises moroses. En effet, les exportations et les importations de la Chine ont dévissé sur un an en janvier-février cumulés, pénalisées par une demande atone à l'étranger et une dégradation de la situation sanitaire, dans un contexte de tensions géopolitiques avec Washington. Le géant du luxe LVMH
exposé à la Chine perd 0,6% et Kering
rétrograde de 0,7%.
Zalando
bondit de 3,7%, parmi les meilleures progressions de l'indice Stoxx 600, après avoir annoncé des suppressions d'emplois et qu'il allait se concentrer sur sa rentabilité.
À l'opposé, Hello Fresh
dégringole de 7,3%. L'entreprise allemande spécialisée dans la livraison de paniers-repas prévoit une hausse inférieure aux attentes de son excédent brut d'exploitation ajusté pour cette année, alors qu'elle est confrontée à des coûts de marketing plus élevés dans un contexte de réouverture des économies et de ralentissement des dépenses de consommation.
Henkel
chute de 3,3%. Le fabricant de la lessive Persil et du shampoing Schwarzkopf anticipe une croissance organique des ventes de 1% à 3% pour 2023, citant une demande modérée dans l'industrie.
Carlsberg
perd 2,5% après avoir annoncé que son président directeur général a décidé de démissionner. Le brasseur danois a annoncé, par ailleurs, des ventes au quatrième trimestre légèrement inférieures aux attentes. En outre, il prévoit une croissance organique du bénéfice d'exploitation en 2023 inférieure à celle de l'année dernière.
Zalando gagne 4,2% à la bourse de Francort. Le plus grand détaillant de mode en ligne d'Europe a fait savoir qu'il comptait se concentrer cette année sur l'amélioration de sa rentabilité, notamment en supprimant plusieurs centaines d'emplois, après une chute de son bénéfice et une stagnation de son chiffre d'affaires l'année dernière.
La société a fourni, par ailleurs, des perspectives prudentes pour 2023.
Amsterdam: -0,31%
Bruxelles: -0,12%
Paris: -0,27%
Francfort: n.c.
Euro Stoxx 50: -0,25%
Mithra: +9,36%
Zalando: +4,81%
Réunis en conseil d'entreprise extraordinaire, les syndicats de Delhaize ont appris que la direction souhaitait voir passer tout son réseau intégré belge en franchise.
3,34%. C'est le nouveau pic de taux d'intérêt sur la dette belge à 10 ans, un record depuis mars 2012. Le taux d'intérêt sur deux ans est maintenant de 3,35% et est supérieur au taux d'intérêt sur dix ans pour la première fois depuis de nombreuses années.
Le taux d'intérêt à deux ans est plus sensible aux attentes dans la politique de la Banque centrale européenne et donc les déclarations du directeur de la BCE Holzmann résonnent avec les taux d'intérêt à court terme.
L'inflation dans la zone euro reste beaucoup trop élevée, si bien que le risque d'une remontée insuffisante des taux de la Banque centrale européenne (BCE) est bien plus important que celui d'un relèvement excessif, a déclaré lundi Robert Holzmann, l'un des membres du Conseil des gouverneurs de l'institution.
Le risque d'un resserrement excessif semble minuscule par rapport au risque d'en faire trop peu. Nos décisions de politique monétaire doivent continuer à montrer les 'dents' jusqu'à ce que nous observions une convergence crédible vers notre objectif qui soit également ressentie par le grand public.
Les bourses européennes devraient ouvrir sans grand changement à quelques heures de l'intervention très attendue du président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, au Congrès à Washington.
Les premières indications disponibles donnent une parfaite stabilité pour l'Euro Stoxx 50 et le Dax à Francfort, et un gain de 0,15% pour le FTSE à Londres.
À deux semaines de la prochaine réunion de politique monétaire, Jerome Powell sera entendu à 16h par la commission bancaire du Sénat américain, avant une audition similaire devant la Chambre des représentants mercredi.
Les observateurs seront attentifs aux indications qu'il pourrait faire sur le marché du travail américain, l'évolution des conditions économiques depuis la réunion de février et la trajectoire de l'inflation.
Après avoir mené une remontée des taux d'intérêt à un rythme soutenu l'année dernière, la Fed a opté, lors de ses deux dernières réunions, pour un relèvement de 25 points de base. Mais la résilience de l'économie et la ténacité de l'inflation observées depuis ont alimenté les craintes que la banque centrale se fasse à nouveau plus agressive.
Les contrats à terme sur les fonds fédéraux évaluent à 76% la probabilité que la Fed augmente ses taux de 25 points de base le 22 mars et à 24% la probabilité d'une augmentation d'un demi-point.
Zalando, le numéro un européen de mode en ligne, prévient que son chiffre d'affaires pourrait reculer en 2023 en raison d'un contexte économique plus difficile depuis la pandémie de coronavirus.
Le groupe allemand a fait état d'un chiffre d'affaires de 10,34 milliards d'euros en 2022, dans le bas de sa fourchette de prévision annuelle. Il estime l'évolution de son chiffre d'affaires pour 2023 entre une baisse de 1% et une croissance de plus de 4%.
Zalando a déclaré en outre qu'il continuerait à se concentrer sur l'amélioration de la rentabilité en 2023, notamment en supprimant plusieurs centaines d'emplois dans de nombreuses équipes.
Alors que les consommateurs sont revenus aux achats en magasin après la pandémie, l'adoption du commerce électronique s'est inversée plus que prévu initialement, bien qu'à des niveaux plus élevés qu'avant la pandémie.
Mithra , l'entreprise liégeoise spécialisée dans la santé féminine, a enregistré un chiffre d'affaires de 67 millions d'euros l'année passée, contre 22,7 millions en 2021, selon ses résultats annuels publiés ce mardi. Ce montant repose en grande partie sur l'accord de licence signé avec le groupe Gedeon Richter pour la commercialisation du Donesta, le traitement contre les effets indésirables de la ménopause.
Le chiffre d'affaires est supérieur aux attentes du consensus Bllomberg qui anticipait 50 millions d'euros.
L'ebitda de la société biopharmaceutique wallonne est évalué à -14,3 millions d'euros, contre -77,5 millions l'année précédente. Mithra fait aussi état d’une diminution de sa perte nette, à 59 millions d'euros, contre 116 millions en 2021.
En 2022, les revenus liés aux ventes de la pilule contraceptive Estelle s’élèvent à 9,2 millions d'euros.
La position de trésorerie s'élevait à 28,3 millions d'euros à la fin 2022.
Le plus important dans les chiffres annuels de Bois Sauvage publiés lundi: la société holding rapporte que la filiale bioplastique Futerro recherche jusqu'à un demi-milliard de capitaux frais. Futerro est spécialisé dans la production de PLA, un bioplastique renouvelable à base d'acide lactique. L'actionnaire majoritaire de Futerro est Finasucre, la société sucrière de la famille Lippens.
Voici les principaux éléments qui ressortent par ailleurs des résultats 2022
Suite à la migration de Shurgard du Luxembourg vers Guernesey le 17 février 2023, la société annonce que les actions seront négociées sous un nouveau code ISIN GG00BQZCBZ44 à partir du 15 mars 2023.
La dernière date de négociation des actions sous l'ISIN LU1883301340 sera le 14 mars 2023. Les systèmes de négociation et de règlement d'Euronext et de LuxCSD seront mis à jour pour utiliser le nouvel ISIN à partir de la date effective. À cette date, chaque action avec l'ISIN luxembourgeois sera échangée contre une action avec le nouvel ISIN de Guernesey.
Auparavant, nous avions prévu que notre taux d'imposition effectif serait d'environ 22% en 2025 et nous pensons aujourd'hui que, sur la base de la mise en place du statut de SIR au Royaume-Uni, ce taux sera d'environ 18%.
L'opération implique également que Shurgard bénéficie du statut de REIT britannique depuis le premier mars. "Ce changement de statut apporte de nombreux avantages", selon Marc Oursin, CEO. "Auparavant, nous avions prévu que notre taux d'imposition effectif serait d'environ 22% en 2025 et nous pensons aujourd'hui que, sur la base de la mise en place du statut de SIR au Royaume-Uni, ce taux sera d'environ 18%. De plus, le déménagement nous permet d'être mieux positionnés pour prendre part aux opportunités d'investissement présentes sur le marché britannique."
La Reserve Bank of Australia (RBA) a augmenté ses taux d'intérêt de 25 points de base à 3,6%, ce qui constitue la dixième hausse successive et porte les taux à leur niveau le plus élevé depuis mi-2012.
Ces hausses font l'objet de critiques de la part des ménages qui ont des emprunts et voient ainsi le coût de leurs prêts augmenter alors que les Australiens sont confrontés à l'emballement des prix de l'alimentation et de l'énergie.
L'inflation mondiale reste très élevée. Il faudra un certain temps avant que l'inflation ne revienne aux taux visés.
Le cabinet d'études de marché Roy Morgan a estimé l'an dernier qu'un ménage australien sur cinq était en situation de "stress hypothécaire" et avait du mal à rembourser ses emprunts.
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Les indices actions européens sont attendus en petite hausse, reflet d'un marché sur ses gardes dans l'attente des auditions du chef de la Réserve fédérale américaine (Fed) Jerome Powell devant le Congrès.
L'Euro Stoxx 50 progresserait de 0,12%, le Dax à Francfort grimperait de 0,12% et le FTSE 100 à Londres de 0,22%.
Bonjour! Nous démarrons ce live blog avec un retour sur la séance à Wall Street. Les indices principaux de New York - le Dow Jones et le Nasdaq - ont fini en ordre dispersé au terme d'une séance où ils avaient évolué majoritairement dans le vert. Voici ce qu'il faut retenir de la séance à Wall Street.
