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Kyle, 26 ans, nous raconte dans le podcast Tracker comment il a pris le temps de parfaire son anglais pour améliorer ses compétences en investissement boursier.

Kyle investit en bourse depuis qu'il a quitté l'école secondaire, diplôme en poche. Ses premières expériences étaient plutôt ratées, la faute à de la précipitation conjuguée à un apprentissage lacunaire des marchés. "Mon portefeuille s'est créé au fur et à mesure que mes connaissances se sont développées", explique le 80ᵉ invité de la série de podcasts Tracker. "C’est important de comprendre les informations que l’on reçoit pour prendre de bonnes décisions en bourse", ajoute-t-il.

Et pour bien comprendre la mécanique des marchés, Kyle n'a pas hésité à multiplier les formations, souvent via internet. "La plupart des formations sont payantes et les plus qualitatives étaient données en anglais, j'ai alors décidé de me mettre à fond à l'anglais pour essayer de tout comprendre", nous explique le jeune investisseur de 26 ans, qui, après avoir perfectionné son anglais, se dit à présent "prêt à intégrer le flux d'informations venues de la Bourse de New York".

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Autoformation

Dans cet épisode de Tracker, nous avons également tendu notre micro à Hugues Pirotte, professeur de finance à l'ULB, pour lui demander si la manière dont Kyle a appris à investir est à recommander. Il nous éclaire également sur les manières qui existent pour bien appréhender les marchés à l’heure où l’autoformation, les réseaux sociaux ou encore YouTube sont fortement plébiscités par les apprentis boursicoteurs.

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L'invité de la semaine nous a également ouvert son portefeuille d'investisseur, axé sur les actions technologiques américaines. Cela étant, il ne cache pas son envie d'évoluer vers une gestion plus passive de ses placements, en visant particulièrement les ETF.

Par ailleurs, Kyle a glissé un petit mot à l'attention de notre communauté sur Facebook en posant une question très pertinente à destination des Trackers de L’Echo et des professionnels de la finance, question qui alimentera à coup sûr les débats sur les réseaux sociaux de notre podcast.

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