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La nouvelle marque horlogère suisse Taos fabrique des montres "hyper exclusives"

Une nouvelle marque horlogère a fait son apparition à Genève: Taos. Fondée par Olivier Vaucher et Oliver Gaud, elle propose des montres uniques, conçues comme des œuvres d'art.

Plus de 200 heures, dont au moins 100 heures de gravure: pour réaliser ce cadran, les artisans d’exception de l’Atelier Olivier Vaucher n’ont pas compté leurs heures. Cette attention portée aux métiers d’art est l’atout majeur de la marque horlogère suisse Taos, lancée le mois dernier, fondée par Olivier Vaucher et Oliver Gaud.

Tous deux témoignent d’un long parcours dans l’univers de l’horlogerie. Depuis 1978, Vaucher et son atelier travaillent pour toutes les grandes maisons horlogères. Il regroupe 40 collaborateurs et une quinzaine de corps de métiers, notamment la gravure, peinture de miniatures, l'émaillage et le sertissage. Quant à l’horloger Olivier Gaud, c’est lui qui a fondé la marque Oligo.

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Ici, il 'sagit du modèle "Kaléidoscope".
Ici, il 'sagit du modèle "Kaléidoscope".

Avec Taos, ils se positionnent dans le segment ultra-exclusif de ce marché. Leur première collection se compose de seulement sept montres uniques entièrement réalisées à Genève.

Le modèle "Euphoria" possède un cadran en émail paillonné, une technique qui consiste à insérer un paillon, soit une fine pellicule comme une feuille d’argent, entre deux couches d’émail, créant ainsi des effets de transparence quasi luminescente. La pièce "Kaléidoscope" alterne entre pierres dures en mosaïque et marqueterie autour d'une nacre recouverte d'une applique en or gris gravée et polie à la main.

Le modèle "Euphoria".
Le modèle "Euphoria".

Toutes les montres sont équipées du même mouvement, avec indication des heures et des minutes: le VOP318 automatique, fonctionnant à 4Hz et doté d'une confortable réserve de marche de trois jours. Celui-ci est fabriqué par Telos, concepteur et producteur de mouvements de niche haut de gamme.

| 124.600 euros |
| www.taoswatches.com |

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Benoit Carlier, Alexandre Faletta et François Lecocq.
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