Bart De Wever : dernières infos et analyses

Engie se déclare "ouvert au dialogue concernant la politique énergétique fédérale en matière de nucléaire". Le ministre de l'Énergie l'interprète comme un signal clé. Mais Engie tempère.

La tâche s'annonce difficile pour le gouvernement De Wever, surtout en 2025, où le déficit ne devrait pas se résorber. Le débat fiscal est enclenché par le CD&V.

La Belgique affichait, en 2024, un taux d'emploi de 72,3%, selon les nouveaux chiffres officiels. L'objectif du gouvernement fédéral semble impossible à atteindre.

En quête de consensus sur la taxation des plus-values, le Premier ministre Bart De Wever discute avec les présidents de parti. Sammy Mahdi (CD&V) propose de doubler l'exonération actuelle pour protéger le "petit investisseur à long terme".

Bon nombre d'entreprises immobilières spécialisées dans la logistique espèrent pouvoir croquer en tout, ou en partie, le site Audi Brussels. Parmi elles, les groupes spécialisés Montea et Heylen. Le premier ministre Bart De Wever rendra visite à la direction du site ce jeudi.

Selon le ministre du Budget, Vincent Van Peteghem (CD&V), les investissements dans la défense coûteront 17,2 milliards d'euros sur quatre ans. Et ils devront être compensés.

Chargé d'incarner l'opposition socialiste au gouvernement De Wever, Pierre-Yves Dermagne exige un débat sur la manière de soutenir l'Ukraine.

Ce vendredi, le gouvernement doit confirmer des économies à hauteur de 216 millions pour 2025 en matière de soins de santé suite au dérapage structurel constaté par l'Inami. 145 millions doivent être trouvés pour 2026.

La suppression annoncée des éco-chèques par le nouveau gouvernement fédéral risque de reporter certains actes d'achat, et donc de nuire à certaines filières. L'alimentation bio et la seconde main, par exemple.

Inquiets du contenu de l'accord gouvernemental, les syndicats de la SNCB tirent la sonnette d'alarme et veulent rencontrer le nouveau ministre de la Mobilité pour lui faire part de leurs doléances.

Le Premier ministre Bart De Wever va travailler à une prochaine réforme de l'État avec une cellule dédiée. Les ferments de cette réforme se retrouvent déjà dans l'accord et vont rapidement se faire sentir.

L'Arizona prévoit 3 milliards d'euros de moins pour l'enveloppe bien être, destinée à revaloriser les allocations les plus basses. De quoi s'agit-il concrètement? Qui seront les premiers touchés? Décryptage avec le politologue Jean Faniel.

Dans son accord gouvernemental, Bart De Wever annonce vouloir s'attaquer à une série de thématiques dans le secteur des télécoms. Les mesures prévues visent à soutenir le consommateur et les entreprises. Mais elles ne semblent pas toutes réalisables.

L'Arizona a renoncé à modifier le calcul de l'index. Les interlocuteurs sociaux sont chargés de proposer une réforme du mécanisme. À défaut, le gouvernement pourrait agir d'autorité en cas de nécessité.

Si Bart De Wever (N-VA) s'installe au 16 rue de la Loi, c'est dans ce contexte: il est le chef incontesté et personne ne l'envie pour la tâche qui l'attend. Mais une grande expérience politique et de l'autorité suffisent-elles pour rejoindre la galerie des grands hommes d'État? Le risque qu'un compromis entre cinq partis se réduise à des ajustements marginaux ne peut être écarté.

Au bout du suspense, Bart De Wever est parvenu à forger un accord de gouvernement. Et évite une nouvelle crise politique à la Belgique.

Le leader des nationalistes flamands s’apprête à faire son entrée au 16 rue de la Loi. Mais pourra-t-il vraiment endosser le costume de Premier ministre de tous les Belges?

Les négociations en vue de former un gouvernement fédéral sont toujours en cours à l'École royale militaire à Bruxelles. Que sait-on?