L'arrivée du challenger Digi a fortement secoué Proximus en bourse. Guillaume Boutin, CEO de l'opérateur historique, doit trouver la parade pour calmer les critiques.
Ce mardi, le Parlement fédéral a demandé des comptes au CEO de Proximus. L'exercice est indispensable. Mais pour être audible, le pouvoir public doit garder une ligne cohérente dans sa critique.
Ce mardi, Guillaume Boutin, le patron de Proximus, a été auditionné au Parlement. Il a notamment répondu aux critiques sur le cours de bourse de l'opérateur.
L'action Proximus se négocie à un niveau plancher depuis son introduction en bourse. Peu d'analystes pensent qu'elle va fortement rebondir dans les prochains mois.
Estimant que des transactions artificielles auraient pu être effectuées par Proximus dans le cadre du rachat d'un opérateur indien, la N-VA veut faire réaliser un audit externe sur l'opérateur.
L'opérateur a annoncé la vente de ses 267 pylônes installés au Luxembourg à un fonds international. Cette opération s'intègre dans le plan de désinvestissement de 500 millions d'euros du groupe.
Le CEO de Proximus est sous le feu des critiques du MR et de la N-VA, estomaqués par l'évolution du cours de l'entreprise. Elle a perdu 75% de sa valeur en cinq ans. Logique? Analyse de la stratégie d'un patron, visiblement incompris des politiques et du marché.
Attaqué par le MR et la N-VA, Guillaume Boutin, le CEO de Proximus, souhaite être entendu par le Parlement fédéral. Pour le patron, les critiques sont basées sur des informations erronées.
La N-VA souhaite "réévaluer" la position de Guillaume Boutin, CEO de Proximus. Les libéraux francophones appellent également à un changement de direction au sein du groupe.
Proximus renonce à son application bancaire. Avec un produit qui ne se distinguait pas de la concurrence et l'impossibilité de miser sur le marketing, les chances de réussite semblaient bien minces.
Après de bons résultats, l'annonce d'une collaboration avec Telenet et le renouvellement du contrat de son CEO, Proximus a enchaîné les communications plutôt positives. Le marché n'est toutefois pas convaincu.
Proximus relèvera-t-il ses prévisions pour 2024 à l’occasion de la publication de ses résultats semestriels ce vendredi? ING estime qu’il y a de la marge pour le faire.
Proximus estime avoir toutes les armes pour devenir un leader mondial de la communication digitale. Le rachat de Route Mobile lui permet d'affiner sa stratégie mondiale et sa transformation.
Après l'acquisition de Route Mobile, Proximus fait le point ce lundi sur ses ambitions internationales. Le marché a réagi prudemment aux annonces de l'opérateur.
Lors de son assemblée générale ce mercredi, Proximus a reçu plusieurs questions de la part de ses actionnaires concernant la faiblesse du cours de l'action. Le groupe s'attend à une amélioration.
Le régulateur du marché a publié ce jeudi une cartographie du déploiement de la 5G. 87% des ménages bénéficient d'une couverture en extérieur et 68% en intérieur. Sous l'angle territoire, l'IBPT constate que seulement 65% du pays est couvert.
Avec le départ mitigé de Doktr et l'offre de Banx menacée, les récentes diversifications de Proximus peinent à convaincre. Certainement pas de quoi décourager son CEO.
Publicité
Messages sponsorisés
Echo Connect offre aux organisations l'accès au réseau de L'Echo. Les partenaires impliqués sont responsables du contenu.
Partner Content offre aux organisations l'accès au réseau de L'Echo. Les partenaires impliqués sont responsables du contenu.
Ces messages ont été soumis, les entreprises sont responsables pour le contenu.