Et si Snoop Dogg remplaçait Musk à la tête de Twitter?
Trouver quelqu'un "d'assez fou" pour prendre la direction de Twitter, telle est la tâche qui incombe à Musk, qui a accepté de démissionner à cette unique condition.
"Je démissionnerai de mon poste de CEO de Twitter dès que j'aurai trouvé quelqu'un d'assez fou pour prendre le poste!". Telle est la réponse d'Elon Musk au résultat du sondage qu'il avait lancé ce week-end quant à son avenir à la tête du réseau social.
Interrogé à la mi-novembre par un tribunal du Delaware sur sa rémunération chez Tesla, le milliardaire avait déjà annoncé sa volonté de trouver un CEO qui lui permettrait de dégager du temps pour ses autres entreprises. La quête serait-elle réellement lancée?
Selon le Financial Times, même si Musk prétend que personne ne veut d'un tel job, certaines mains semblent se lever.
Dès sa prise de contrôle de Twitter, Musk avait créé une "War Room", une sorte de comité de redressement. À son bord, on trouve Jason Calacanis, investisseur et podcasteur, David Sacks, ancien cadre de PayPal et Sriram Krishnan, fidèle de la première heure et partenaire d'Andreessen Horowitz, ex-cadre de Twitter.
Qui pour remplacer Musk?
Dès sa prise de contrôle de Twitter, Musk avait créé une "War Room", une sorte de comité de redressement. À son bord, on trouve Jason Calacanis, investisseur et podcasteur, David Sacks, ancien cadre de PayPal et Sriram Krishnan, fidèle de la première heure et partenaire d'Andreessen Horowitz, ex-cadre de Twitter.
Calacanis s'est ainsi aussi lancé dans le jeu du sondage pour voir si les twittos le préférerait à Sacks comme futur CEO. "Serial entrepreneur" dans le segment du net, Jason Calacanis est à l'origine de Rising Tide Studios, une société de médias qui publiait des documents imprimés en ligne.
Des voix qui comptent
David Sacks est un autre vétéran de la Silicon Valley. Ces dernières années, on l'a vu investir dans plus de 20 licornes aux noms tels que AirBnB, Bird, Facebook, Lyft, Reddit, Slack, SpaceX, Twitter ou encore, Uber.
Tant Sacks que Calacanis sont des voix qui comptent dans le monde des technologies.
Sriram Krishnan est, lui, un ingénieur logiciel d'origine indienne. Alors membre du personnel cadre, il avait quitté Twitter l'an dernier pour travailler aux cotés d'Horowitz dans sa société de capital-risque.
Il avait toutefois récemment twitté "aider temporairement M. Musk". Depuis, son nom est devenu célèbre auprès des nombreux salariés indiens amers du licenciement sans ménagement de l'ancien CEO Parag Agrawal et d'autres cadres d'origine indienne.
Le Financial Times avance, lui, ses propres noms: Sheryl Sandberg, directrice opérationnelle de Facebook, est vue comme la force motrice des prouesses publicitaires de l'entreprise.
Sérieux s'abstenir
Le Financial Times avance, lui, ses propres noms: Sheryl Sandberg, directrice opérationnelle de Facebook, est vue comme la force motrice des prouesses publicitaires de l'entreprise. En cas de refus, le quotidien suggère Sarah Friar, ex-directrice financière de la société de paiement Square Inc.
Le sondage de Musk a aussi ouvert la porte à des "candidatures spontanées" lancées en boutade comme celle de Tom Anderson, le créateur de l'ancêtre MySpace ou du rappeur Snoop Dogg.
À l'affirmation de Musk disant que la "question n'est pas de trouver un PDG, la question est de trouver un PDG qui peut maintenir Twitter vivant", Edward Snowden affirme qu'il accepte "les paiements en Bitcoin".
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