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La fiche S, mode d'emploi

Plus de 10.000 personnes, à l'instar d'Omar Ismaïl Mostefaï qui s'est fait exploser vendredi soir dans la salle de concerts parisienne du Bataclan après avoir tiré sur les spectateurs, font en France l'objet de fiches dites "S" de renseignement, notamment des islamistes radicaux. Ces fiches comportent plusieurs niveaux de dangerosité et sont alimentées par les services de renseignement français et étrangers.