Publicité

Intelligence artificielle: Google ouvre son chatbot Bard à 180 pays

©AFP

Le chatbot Bard ouvert au grand public et la recherche en ligne rendue plus directe: Google gonfle ses produits à l'intelligence artificielle générative.

Google a ouvert ce mercredi son chatbot d'intelligence artificielle générative Bard à 180 pays en anglais et annoncé l'intégration prochaine de cette technologie (capable de créer des contenus sur demande, en langage courant) à de nombreuses autres plateformes, y compris la recherche en ligne. "Cela fait sept ans que nous sommes avant tout une entreprise d'intelligence artificielle et nous sommes à un tournant", a déclaré Sundar Pichai, le patron du groupe californien, devant des milliers de personnes rassemblées dans son amphithéâtre à Mountain View. "Depuis quelque temps, nous rendons nos produits radicalement plus utiles grâce à l'IA générative, suivant une approche audacieuse et responsable", a-t-il ajouté.

La sortie en novembre de l'interface ChatGPT - conçue par la startup californienne OpenAI, principalement financée par Microsoft - a lancé une course effrénée à l'IA générative, entre enthousiasme exubérant et inquiétudes apocalyptiques. Google a répondu avec sa propre interface, Bard, ouverte au public fin mars. Ce mercredi, l'entreprise a annoncé que le robot conversationnel est désormais disponible en anglais dans 180 pays dans le monde. Le chatbot pourra bientôt converser dans 40 langues et doit devenir multimédia, c'est-à-dire être capable d'intégrer des images dans les questions des internautes et dans ses réponses.

Publicité

Le numéro un mondial de la publicité numérique a aussi montré comment la recherche en ligne va progressivement changer, avec des réponses rédigées aux questions des internautes au-dessus des liens classiques, et la possibilité d'échanger avec l'interface, en demandant des précisions, par exemple.

Publicité
En 2024, le gaz russe transitant par l'Ukraine représente encore 5% du total des importations de l'UE, contre 11% en 2021.
Le gaz russe donne un nouveau coup de chaud aux prix énergétiques européens
La fin d'un contrat permettant le transit de gaz russe par l'Ukraine rajoute une couche de pression sur les prix du gaz, déjà poussés vers le haut par la baisse des importations de GNL, l'utilisation des stocks et le froid.
Messages sponsorisés