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Wall Street clôture sans direction | Inquiétudes sur les taux

Les marchés américains ont fini en petite hausse, sauf le Dow Jones, après une clôture également mitigée en Europe, les investisseurs étant toujours sous le coup des paroles de Powell (Fed) sur les taux. Tesla en nette baisse. Le Bel 20 fait peau neuve.
  • Au menu des investisseurs ce jeudi

    C'est ici que se clôture notre Market Live, lieu idéal pour suivre les marchés en temps réel, de Bruxelles à New York. Jeudi, Dassault Aviation, Hugo Boss et JC Decaux publieront leurs résultats annuels avant l'ouverture. GBL et Immobel sont attendus après bourse. Euronext communiquera la nouvelle composition du Cac 40. Côté macroéconomique, les investisseurs suivront les données hebdomadaires sur l'emploi aux États-Unis, les chiffres de l'inflation et des prix à la production en Chine.

  • Les 5 choses à retenir de la séance à Wall Street

    Les indices Nasdaq et Dow Jones ont évolué dans le désordre à New York, alors que les investisseurs se concentraient sur la deuxième partie de l'audition de Jerome Powell, président de la Réserve fédérale, devant le Congrès des États-Unis. Voici ce qu'il fallait retenir de la séance à Wall Street.

    • Le président de la Fed a indiqué devant la Chambre des représentants "qu'aucune décision" n'avait été prise sur la prochaine hausse de taux du comité de politique monétaire, qui se tiendra dans deux semaines, et que celle-ci reposera sur les données économiques.
    • De nouvelles publications ont démontré la force du marché du travail américain, notamment l'enquête ADP qui recense 242.000 créations d'emplois dans le secteur privé, plus qu'attendu, mais aussi le nombre d'offres d'emplois disponibles publié par le département du Travail, plus élevé que prévu.
    • La Banque du Canada a décidé de maintenir son taux à 4,75% lors de sa réunion de ce mercredi, marquant la première pause dans le resserrement d'une des grandes institutions monétaires mondiales.
    • Tesla  a chuté de plus de 3%, alors que l'administration américaine de la sécurité routière mène une enquête sur des volants tombés de leur socle au sein de ses SUV Model Y aux États-Unis.
    • Le Livre Beige de la Fed a démontré que l'économie américaine s'est montrée résiliente en ce début d'année, marquée par des dépenses de consommation stables et une stabilisation de l'activité manufacturière, mais avec des perspectives moins optimistes.
  • Perte plus lourde en 2022 pour MDxHealth

    La société de diagnostic belge MDxHealth , qui se concentre sur la détection du cancer de la prostate, a vu son chiffre d'affaires augmenter de 67% pour atteindre 37,1 millions de dollars l'année dernière, annonce-t-elle dans un communiqué.

    En raison de l'augmentation des coûts, la perte d'exploitation a augmenté de 41% pour atteindre 37,9 millions de dollars. Avec 44 millions de dollars, la perte nette est, elle, supérieure de moitié à celle de 2021.

    À la fin de l'année dernière, MDxHealth disposait de 15,5 millions de dollars de liquidités. Entre-temps, la position de trésorerie s'est renforcée pour atteindre 55,9 millions de dollars grâce à une augmentation de capital mise en œuvre en février/mars qui a permis de lever 40,4 millions de dollars nets.

    MDxHealth, aussi côtée sur le Nasdaq , confirme qu'elle vise un chiffre d'affaires de 65 à 70 millions de dollars en 2023.

  • Uber pourrait introduire sa division logistique en bourse

    Uber étudie la possibilité de se séparer de sa branche logistique Uber Freight dans le cadre d'une vente ou sous la forme d'une société distincte cotée en bourse, afin de se concentrer sur la location de véhicules avec chauffeur et la livraison de nourriture, selon des sources.

    Une introduction en bourse est l'issue la plus probable, a déclaré une source. Si la société opte pour une introduction en bourse, celle-ci pourrait ne pas avoir lieu avant l'année prochaine et dépendra des conditions du marché, a déclaré une autre source. Un porte-parole d'Uber a refusé de commenter ce qu'il a qualifié de rumeurs.

    L'action du groupe gagne 2% en après bourse.

  • Les marchés US finissent sur une note timide après la deuxième audition de Powell

    Les actions américaines ont clôturé en légère hausse, à l'exception du Dow Jones, les investisseurs étant confrontés aux messages du président de la Réserve fédérale Jerome Powell et aux données économiques américaines avant les prochains rapports sur l'emploi et l'inflation qui devraient déterminer la trajectoire de la future hausse des taux de la banque centrale américaine.

    Lors de son deuxième jour de témoignage devant le Congrès mercredi, Powell a réaffirmé son message de mardi, à savoir des hausses de taux d'intérêt plus importantes et potentiellement plus rapides, mais a déclaré que le débat était toujours en cours et que la décision dépendait des données qui seront publiées avant la réunion dans deux semaines.

  • Wall Street | Closing Bell

    Dow Jones: -0,18%

    S&P 500: +0,14%

    Nasdaq: +0,40%

  • Les indices US annulent leurs pertes

    Pour terminer la séance de Wall Street, le S&P 500 ainsi que le Nasdaq sont finalement repassés dans le vert, remontant respectivement de 0,2% et 0,4% environ.

    Le Dow Jones , lourd en valeurs industrielles ou sensibles au cycle économique, recule encore de 0,2%.

  • Le spectre d'une récession revient agiter les marchés

    L'inversion de la courbe des taux est de plus en plus marquée à travers le monde, à commencer par les États-Unis. Mais les économistes ne croient toujours pas à un "hard landing".

    Lire notre article | Le spectre d'une récession revient agiter les marchés

  • Le pétrole rattrapé par les craintes face au relèvement des taux américains

    Les prix du pétrole, sans direction claire en début de séance, ont finalement terminé en baisse, les craintes liées aux conséquences d'un relèvement plus fort que prévu des taux américains reléguant au second plan la baisse des stocks de brut aux États-Unis.

    Le baril de Brent de la mer du Nord a cédé 0,8%, pour clôturer à 82,7 dollars et le West Texas Intermediate (WTI) américain a lâché 1,2%, pour finir à 76,7 dollars.

    La perspective de taux plus hauts qu'anticipé pèse sur les cours du pétrole car "elle fait grimper le dollar", et rend donc moins attractifs les barils libellés dans la monnaie américaine, et "elle ravive les craintes d'une récession et, par ricochet, d'une moindre demande en énergie", remarque Andy Lipow du cabinet Lipow Oil Associates.

  • Trois actions qui font le grand écart ce mercredi

    Alors que les indices Dow Jones et Nasdaq évoluent collectivement dans le rouge, quelques titres se démarquent par des variations très importantes ce mercredi.

    • Diversey Holdings , fournisseur de produits d'entretien et d'hygiène, a fait un bond de plus de 37% après avoir accepté d'être racheté par Solenis en numéraire dans le cadre d'une transaction évaluée à 4,6 milliards de dollars.
    • United Natural Foods , entreprise d'aliments biologiques, chute de 28% après avoir publié des résultats pour son deuxième trimestre fiscal qui n'ont pas été à la hauteur des attentes des analystes.
    • Stitch Fix , société spécialisée dans les services de stylisme, a vu ses actions chuter de plus de 5% après avoir annoncé un chiffre d'affaires plus faible que prévu pour le dernier trimestre ainsi qu'une perte également pire qu'attendu.
  • Nouveau plus bas depuis août 2021 pour le gaz naturel

    Le prix du gaz naturel européen continue de reculer jour après jour. Ce mercredi, le contrat à terme d'un mois sur le marché TTF néerlandais a lâché plus de 3%, tombant à 41,9 euros du mégawattheure, au plus bas depuis le 20 août 2021.

  • Démarrage soutenu pour l'économie américaine en 2023, selon le Livre Beige de la Fed

    L'économie s'est montrée résiliente pour commencer la nouvelle année, marquée par des dépenses de consommation stables et une stabilisation de l'activité manufacturière, selon les contacts interrogés dans le dernier Livre beige de la Réserve fédérale.

    "L'activité économique globale a légèrement augmenté au début de l'année 2023", a déclaré la Fed mercredi dans le rapport, publié deux semaines avant chaque réunion du Comité de politique monétaire.

    Toutefois, les perspectives sont moins optimistes. "Dans un contexte d'incertitude accrue, les contacts ne s'attendent pas à ce que les conditions économiques s'améliorent beaucoup dans les mois à venir", indique le rapport. Celui-ci est basé sur des informations collectées par les 12 antennes régionales de la Fed jusqu'au 27 février et compilées par la Fed de New York.

  • De nouvelles restrictions pour les équipements de semi-conducteurs néerlandais à destination de la Chine

    Les Pays-Bas préparent des restrictions sur certaines machines de fabrication de puces, dans un contexte de pression exercée par les États-Unis pour limiter l'accès de la Chine à la technologie critique des semi-conducteurs. Plus précisément, les Pays-Bas proposent de contrôler les exportations de produits de photolithographie dits "DUV", en élargissant les restrictions qui existent déjà pour les machines de lithographie qui sont essentielles à la production des puces les plus avancées, selon une lettre envoyée par le ministre du Commerce extérieur du gouvernement aux législateurs mercredi.

    Les règles devraient être publiées avant l'été. "Les Pays-Bas considèrent qu'il est nécessaire, pour des raisons de sécurité nationale et internationale, que cette technologie soit mise sous contrôle dès que possible", a déclaré la ministre Liesje Schreinemacher dans la lettre. Le géant néerlandais du secteur ASML a déclaré dans un communiqué distinct mercredi que les mesures n'auront "pas d'effet important sur nos perspectives financières" pour 2023 ou d'autres scénarios à plus long terme.

  • Colruyt sort du Bel 20 pour la première fois en trente ans

    Melexis et Barco font leur entrée au sein de l’indice phare de la Bourse de Bruxelles, au détriment de VGP et Colruyt. Ce dernier était membre du Bel 20 depuis 30 ans.

    Lire notre analyse | Colruyt sort du Bel 20 pour la première fois en trente ans

  • Vivendi se heurte aux règles de la concurrence pour le rachat de Lagardère

    Vivendi est confronté aux règles de la concurrence européenne pour mener à terme son projet de rachat de Lagardère , a déclaré mercredi le président de son directoire, alors qu'il ne reste qu'une semaine au groupe pour proposer des remèdes à Bruxelles. La Commission européenne a ouvert en novembre dernier une enquête approfondie sur le projet, estimant que l'opération était susceptible de réduire de manière significative la concurrence sur le marché du livre en raison d'un rapprochement entre Editis et Hachette (Lagardère).

    L'autorité de la concurrence européenne a transmis ses griefs au groupe basé à Paris, dont le principal actionnaire est le milliardaire Vincent Bolloré , a précisé le président du directoire de Vivendi, Arnaud de Puyfontaine, pendant un call avec des journalistes. "Nous poursuivons nos échanges constructifs avec la Commission européenne sur les remèdes qui pourraient être proposés", a-t-il indiqué.

  • Silvergate chute alors que les régulateurs discutent de la manière de résoudre la crise de la crypto-banque

    Les actions de Silvergate Capital chutent de 6% à la suite de discussions avec les régulateurs fédéraux sur les moyens d'éviter l'effondrement de la banque en difficulté. Les responsables de la Federal Deposit Insurance Corp. ont discuté avec la direction des moyens de sauver l'entreprise, selon des personnes familières avec le sujet. L'une des options possibles consiste à faire appel à des investisseurs pour renforcer les liquidités de Silvergate, a déclaré l'une de ces personnes.

    Le prêteur n'a pas encore pris de décision sur la manière de gérer ses difficultés financières, ont déclaré les sources. Les examinateurs de la FDIC ont été autorisés à se rendre dans les bureaux de la banque par la Réserve fédérale, qui est le principal superviseur fédéral du prêteur.

  • Voici le nouveau Bel 20

  • D'Ieteren d'humeur généreuse après une année record

    Le holding bruxellois a enregistré des résultats record en 2022 et supérieurs aux attentes. Il augmente sur cette base son dividende de 43% pour atteindre les 3 euros par action.

    Lire notre article D'Ieteren d'humeur généreuse après une année record

  • Le Bel 20 remanié par Euronext

    Euronext vient d'annoncer les changements annuels de l'indice Bel 20 de la Bourse de Bruxelles.

    L'opérateur boursier exclut le groupe de distribution Colruyt et la société d'immobilier logistique VGP de l'indice. La cause est très probablement la chute du cours des deux sociétés au cours de l'année écoulée. Le premier critère est en effet la capitalisation flottante des membres, et le deuxième la vélocité des actions (plus de 35% des titres flottants doivent avoir changé de mains sur l'année).

    Deux anciens du Bel 20 font leur retour pour remplacer ces deux sortants, il s'agit du groupe de semi-conducteurs Melexis et du spécialiste de l'imagerie Barco .

    Euronext informe par ailleurs de la révision de son nouvel indice Bel ESG . GIMV , Ontex et VGP le rejoignent, alors qu'Aperam , Barco et Shurgard en sortent.

  • Endettement et dividende en hausse pour Care Property Invest

    La SIR spécialisée dans l'immobilier de soin Care Property Invest  a annoncé un bénéfice par action pour 2022 de 1,24 euro, légèrement supérieur à l'objectif de 1,19 euro par action qu'il s'était fixé. Les revenus locatifs se sont élevés à 54,4 millions d'euros et le taux d'occupation a atteint 100%, comme l'année dernière.

    Cela laisse suffisamment de place pour un dividende brut de 1 euro par action pour l'exercice 2022. Grâce au régime fiscal favorable pour les SIR de soins (15% de précompte au lieu de 30% pour les autres sociétés), il reste 85 centimes d'euro nets. Au dernier cours de l'action, cela implique un rendement net du dividende de 7,1 pour cent.

    7,1%
    Rendement net du dividende de Care Property Invest
    Care Property offre un dividende particulièrement attrayant.

    "Nous sommes confrontés à un environnement macroéconomique changeant et nous adapterons notre croissance en conséquence", a indiqué la société dans son communiqué de résultats. Care Property ne cache pas que 2022 a été une année difficile. L'augmentation rapide des taux d'intérêt a obligé les acteurs de l'immobilier à s'adapter à une nouvelle réalité. L'entreprise indique avoir ajusté ses ambitions de croissance.

    Cela signifie que Care Property Invest limitera sa croissance de manière que le taux d'endettement ne dépasse pas 50%, alors qu'il a bondi de 11% sur l'année écoulée, passant de 47,06% à 52,37% à la fin de l'année.

    L'année dernière, Care Property a annoncé 16 nouveaux projets pour une valeur d'investissement totale de 211 millions d'euros.

  • Le dividende de D'Ieteren bondit de près de 50% pour 2022

    D’Ieteren  a poursuivi sa trajectoire de croissance en 2022 grâce à l’ensemble de ses activités ainsi qu’à la contribution de TVH sur toute l’année et à la première contribution de PHE sur une période de cinq mois. L’indicateur clé de performance du Groupe (KPI), le résultat consolidé ajusté avant impôts, part du Groupe – s’établit à €733,4 millions d'euros, en hausse de 50,9% par rapport à 2021 en incluant PHE et de 42,9% en excluant PHE. Sur une base comparable, en excluant PHE et TVH pour les deux périodes, le KPI a progressé de 27,6% en glissement annuel.

    3 euros
    Dividende brut de D'Ieteren pour 2022
    Le Conseil d’Administration propose un dividende ordinaire brut de 3 euros par action pour l’exercice 2022 (contre 2,10 euros en 2021).


    Pour 2023, en supposant qu’il n’y ait pas une escalade des tensions géopolitiques ni d’autres événements majeurs imprévus et dans un environnement macroéconomique caractérisé par une croissance limitée de la demande et par une continuation de l’inflation, D’Ieteren Group s’attend à ce que son résultat consolidé ajusté avant impôts, part du Groupe, s’élève à environ 900 millions d'euros. Cette amélioration devrait être portée par une croissance continue provenant des activités et par la contribution de PHE sur l’ensemble de l’année (contre seulement les cinq derniers mois en 2022).

  • Statu quo pour le Bel 20

    L'indice de la Bourse de Bruxelles est resté quasi stable ce mercredi, l'enthousiasme des investisseurs étant limité par les commentaires de Jerome Powell, président de la Fed américaine.

    Au sein du Bel 20 , la moitié des actions a fini en hausse, l'autre moitié en baisse. Cofinimmo a dépassé les 2% de hausse, tandis qu'Elia , VGP et Aedifica ont reculé de plus d'1% chacune.

    Hors indice , Mithra a à nouveau bondi, de près de 13%, suivi les près de 9% de Celyad , alors qu'Agfa-Gevaert  a chuté de plus de 3% après ses résultats.

  • Les bourses européennes clôturent en ordre dispersé

    Bel 20: -0,08%

    AEX: +0,24%

    Cac 40: -0,20%

  • Powell (Fed): "Nous n'avons pris aucune décision concernant la réunion de mars"

    Le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, a souligné que les décideurs politiques n'avaient pas encore pris de décision quant à l'ampleur de la hausse des taux d'intérêt prévue ce mois-ci et a déclaré qu'elle dépendrait des données relatives à l'emploi et à l'inflation.

    "Nous n'avons pris aucune décision concernant la réunion de mars", a déclaré Powell à la commission des services financiers de la Chambre des représentants lors de sa deuxième journée de témoignage devant le Congrès. Le président de la Fed a réitéré son message de mardi selon lequel la banque centrale américaine est susceptible de relever ses taux d'intérêt plus que prévu et qu'elle pourrait accélérer le rythme en fonction des données économiques.

  • Tendance mitigée dans les secteurs de Wall Street

    Dans des indices dispersés, le Dow Jones lâchant 0,2% et le Nasdaq gagnant 0,4%, les secteurs évoluent dans le désordre général.

    • L'immobilier (+1,7%) et la technologie (+0,7%) sont en tête, en particulier les semi-conducteurs (+2%).
    • L'industrie, les valeurs financières et la consommation non cyclique sont tous proches de l'équilibre.
    • Les plus fortes baisses sont à retrouver dans les valeurs de consommation cyclique (-0,4%) et l'énergie (-0,8%).
  • Tesla dérape de plus de 3% après l'ouverture d'une enquête de sécurité

    L'action Tesla chute de plus de 3%, au plus bas en plus d'un mois, et quasi dernière du S&P 500 ce mercredi.

    La société fait l'objet d'une enquête de la part des autorités américaines (voir post de 15:28) à la suite de plaintes selon lesquelles le volant peut se détacher de certains nouveaux véhicules Model Y lorsqu'ils sont utilisés. La National Highway Traffic Safety Administration a déclaré avoir connaissance de deux incidents au cours desquels le volant s'est détaché de la colonne de direction alors que les conducteurs conduisaient ces SUV.

  • Les offres d'emploi aux États-Unis baissent mais restent trop élevées pour la Fed

    Les postes vacants chez les employeurs américains ont reculé au début de l'année, mais restent historiquement élevés, soulignant un déséquilibre persistant entre l'offre et la demande de main-d'œuvre qui soutient un niveau plus élevé des taux d'intérêt de la Réserve fédérale.

    Le nombre de postes disponibles a diminué à 10,8 millions en janvier, contre 10,5 millions attendus et 11,2 millions le mois précédent, selon l'enquête JOLTS (Job Openings and Labor Turnover Survey) du département du Travail. Malgré cette baisse, le rapport met en évidence une demande robuste de travailleurs qui dépasse largement l'offre, ce qui a exercé une pression à la hausse sur les salaires et, par conséquent, sur l'inflation.

  • Sony demande au Royaume-Uni de forcer Microsoft à vendre Call of Duty ou de s'opposer au rachat d'Activision

    Sony  a demandé à l'autorité britannique de la concurrence de bloquer l'accord de 69 milliards de dollars conclu par Microsoft avec Activision Blizzard  ou de l'obliger à vendre le jeu à succès Call of Duty, car il n'existe pas d'autre solution pour éviter de nuire aux consommateurs sur les marchés des jeux dans le cloud et des consoles de jeux.

    L'autorité britannique de la concurrence et des marchés a déclaré le mois dernier, dans des conclusions provisoires, que l'opération pourrait entraîner une diminution substantielle de la concurrence pour les joueurs britanniques. Elle a proposé un certain nombre de mesures correctives, notamment la vente du jeu Call of Duty le plus vendu ou le blocage total de l'opération.

    Depuis, Microsoft a déclaré que l'accord ne pouvait être conclu sans Call of Duty. Le géant a déjà conclu des accords de licence à long terme avec Nintendo et Nvidia dans le but d'apaiser les régulateurs mondiaux.  Mais Sony a déclaré que le comportement passé de Microsoft montre que les mesures correctives ne sont pas suffisantes dans ce cas-ci.

  • La Banque du Canada met son resserrement monétaire sur pause à 4,5%

    La Banque du Canada a maintenu son principal taux directeur inchangé à 4,5% lors de sa réunion de ce 8 mars, comme indiqué précédemment, et a déclaré qu'elle devrait continuer à maintenir le taux à son niveau actuel si les conditions économiques évoluent globalement conformément aux attentes formulées dans son dernier rapport sur la politique monétaire.

    Cette décision fait suite à une hausse de 25 points de base des taux d'intérêt en janvier et marque le premier coup d'arrêt dans la campagne de resserrement des principales autorités monétaires mondiales, la Banque du Canada ayant choisi de changer de priorité et de soutenir la croissance.

    La croissance du PIB canadien a stagné au quatrième trimestre 2022, en deçà des projections de la banque centrale. Entre-temps, la baisse des prix de l'énergie soutient le ralentissement des prix à la consommation, ce qui renforce les arguments en faveur d'une pause dans le cycle de resserrement de la banque. L'inflation a ralenti à 5,9% en janvier après avoir atteint son pic de 8,1% en juin, et la banque continue de s'attendre à ce que l'inflation tombe à 3% au milieu de l'année.

  • La Banque nationale de Pologne maintient son taux inchangé

    La Pologne a maintenu les coûts d'emprunt inchangés pour le sixième mois consécutif, alors que l'inflation diminue par rapport à son niveau le plus élevé depuis un quart de siècle et que les décideurs politiques se concentrent sur le ralentissement de la croissance économique.

    L'organe de fixation des taux de la Banque nationale de Pologne (BNP) a maintenu le taux de référence pour le zloty à 6,75% mercredi, conformément aux prévisions des 31 économistes interrogés par Bloomberg. La BNP présentera ses prévisions d'inflation plus tard dans l'après-midi, ce qui permettra de savoir dans quel délai la banque s'attend à ce que la croissance des prix passe de 17,2% en janvier à sa fourchette cible de 1,5% à 3,5%.

    Les trois derniers relevés mensuels de l'inflation étant inférieurs aux attentes des analystes, il est de plus en plus probable que le gouverneur de la banque centrale, Adam Glapinski, annonce bientôt la fin du cycle de resserrement de la politique monétaire de la Pologne, ce qu'il s'est jusqu'à maintenant abstenu d'annoncer.

  • BMW va investir 500 millions de livres dans l'usine britannique de Mini

    BMW prévoit d'investir environ 500 millions de livres sterling (560 millions d'euros) dans son usine d'Oxford, au Royaume-Uni, où elle fabrique ses modèles Mini, a rapporté Sky News. L'investissement comprendra une subvention de 75 millions de livres du fonds de transformation automobile du gouvernement britannique et garantira la production future de l'usine, selon Sky News. BMW a refusé de commenter le rapport.

    Tout nouvel investissement constituerait une rare lueur d'espoir pour la construction automobile au Royaume-Uni, où la production a atteint son niveau le plus bas depuis 66 ans en 2022. Mini a annoncé à la fin de l'année dernière qu'elle transférait la production de véhicules Mini électriques en Chine dans le cadre de son partenariat avec un acteur chinois.

  • CrowdStrike grimpe après ses résultats meilleurs que prévu

    Les actions de l'entreprise de cybersécurité CrowdStrike prennent près de 4% dans les premiers échanges, après des résultats meilleurs que prévu pour le quatrième trimestre et de fortes prévisions pour l'année à venir.

    La société a généré un bénéfice par action de 47 cents pour un chiffre d'affaires de 637 millions de dollars. Les analystes interrogés par Refinitiv avaient prévu 43 cents pour un chiffre d'affaires de 625 millions de dollars. Le flux de trésorerie disponible a en outre dépassé les 200 millions de dollars pour le trimestre.

  • Warren Buffett remet la main au portefeuille pour Occidental Petroleum

    L'action du secteur de l'énergie Occidental Petroleum grimpe de près de 4%, largement en tête du S&P 500, alors qu'un nouveau dépôt réglementaire a montré que la holding Berkshire Hathaway de Warren Buffett a augmenté sa participation déjà importante dans la société au cours des dernières séances.

    Le conglomérat basé à Omaha a acheté près de 5,8 millions d'actions de la compagnie pétrolière en quelques transactions distinctes vendredi, lundi et mardi, marquant la première fois que "l'Oracle d'Omaha" a augmenté sa participation dans la société depuis septembre dernier.

  • Les marchés américains ouvrent sans direction

    Les actions américaines au sein du Dow Jones et du Nasdaq sont plutôt stables dans les premiers échanges, tentant de se remettre de la chute généralisée de mardi, stimulée par les commentaires du président de la Réserve fédérale Jerome Powell qui a suggéré que les taux d'intérêt pourraient avoir besoin d'être plus élevés pendant plus longtemps.

    Le rapport sur les emplois privés de février, plus élevé que prévu, suggère que l'économie reste forte malgré la campagne de hausse de la Fed, ce qui renforce les inquiétudes des investisseurs quant à une augmentation plus importante des taux d'intérêt. 

    Ce mercredi, les investisseurs suivront de près les nouvelles remarques de Powell devant la commission des services financiers de la Chambre des représentants. Par ailleurs, le président de la Fed de Richmond, Tom Barkin, s'exprimera également sur le marché du travail.

  • Wall Street | Opening Bell

    Dow Jones: +0,02%

    S&P 500: +0,07%

    Nasdaq: +0,19%

  • Tesla fait l'objet d'une enquête après que les volants se sont détachés pendant la conduite

    Tesla fait l'objet d'une enquête de la part des autorités américaines à la suite de plaintes selon lesquelles le volant peut se détacher de certains nouveaux véhicules Model Y lorsqu'ils sont utilisés. La National Highway Traffic Safety Administration a déclaré avoir connaissance de deux incidents au cours desquels le volant s'est détaché de la colonne de direction alors que les conducteurs conduisaient ces SUV.

    L'évaluation préliminaire, ouverte le 4 mars, concerne environ 120.089 véhicules, selon un dossier publié sur le site web de la NHTSA. Les véhicules concernés ont été livrés aux propriétaires sans le boulon de retenue qui maintient le volant en place, a déclaré l'agence. La NHTSA évalue actuellement "la portée, la fréquence et les processus de fabrication associés à cette condition".

  • Les taux hypothécaires américains poursuivent leur progression

    Le taux d'intérêt moyen pour les prêts hypothécaires à taux fixe sur 30 ans aux États-Unis a augmenté de 8 points de base à 6,79% au cours de la semaine se terminant le 3 mars 2023, selon les données de la Mortgage Bankers Association (MBA).

    6,79%
    Taux moyen d'un prêt hypothécaire à 30 ans
    Le taux des crédits hypothécaires grimpe à nouveau aux États-Unis.

    Les coûts d'emprunt ont augmenté pour la quatrième semaine consécutive, d'un total de 61 points de base, atteignant des sommets inégalés depuis novembre, en raison des prévisions selon lesquelles la Fed devrait maintenir sa politique monétaire restrictive pendant une période plus longue, ce qui a poussé les rendements obligataires à la hausse.

  • Le déficit commercial américain continue de se creuser

    Le déficit commercial des États-Unis a continué de se creuser en janvier par rapport au mois précédent, sous l'effet d'une baisse de l'excédent lié aux services, selon des données publiées mercredi par le département du Commerce.

    Le déficit des biens et services avec le reste du monde a atteint 68,3 milliards de dollars, en hausse de 1,6% par rapport à décembre, légèrement en retrait cependant par rapport aux attentes des analystes, qui anticipaient plutôt 68,7 milliards de dollars.

  • Volkswagen met l'Europe de côté et privilégie une usine de batteries américaine

    Le constructeur automobile allemand Volkswagen met sur pause son projet d'usine de batteries en Europe de l'Est pour donner la priorité à une usine similaire en Amérique du Nord.

    Lire notre article Volkswagen met l'Europe de côté et privilégie une usine de batteries américaine

  • Les contrats à terme sur Wall Street résistent à l'enquête ADP

    À Wall Street, les contrats à terme sur les principaux indices boursiers ont brièvement creusé leurs pertes après la publication des chiffres de l'enquête ADP pour le mois de février.

    La Bourse de New York devrait progresser modestement, sur base des dernières indications disponibles. Le Nasdaq débuterait sur un gain de 0,14%. Le Dow Jones et le S&P 500 gagneraient de l'ordre de 0,06%.

  • L'emploi privé accélère en février aux États-Unis

    Le secteur privé aux États-Unis a créé plus d'emplois qu'attendu en février, montre mercredi l'enquête mensuelle du cabinet ADP.

    Cette enquête recense 242.000 créations de postes le mois dernier alors que les économistes interrogés par Reuters en prévoyaient en moyenne 200.000.

    ADP a révisé en hausse les résultats de l'enquête de janvier, qui font état désormais de 119.000 emplois créés, contre 106.000 initialement.

  • Update 2 | Le point sur la tendance boursière

    Wall Street est attendue proche de l'équilibre à l'ouverture et les bourses européennes évoluent dans de faibles variations, les investisseurs digérant les propos de Jerome Powell sur une possible accélération de la hausse des taux d'intérêt alors que le président de la Réserve fédérale américaine (Fed) doit encore s'exprimer devant la journée et qu'un indicateur sur l'emploi est également prévu.

    Les futures sur indices new-yorkais signalent une ouverture de Wall Street en hausse de 0,06% pour le Dow Jones, de 0,07% pour le Standard & Poor's 500 et de 0,12% pour le Nasdaq.

    En Europe, l'Euro Stoxx 50 gagne 0,3%. Bruxelles perd 0,32%, Paris est à l'équilibre et Amsterdam grappille 0,08%. À Francfort, le Dax gagne en revanche 0,33%, grâce au compartiment de l'automobile.

    Devant la commission bancaire du Sénat américain, Jerome Powell a déclaré mardi que la Fed était prête à une politique encore plus agressive, si nécessaire, pour contrôler l'inflation. Il doit s'exprimer de nouveau à 16h devant la commission des services financiers de la Chambre des représentants alors que la prochaine réunion de politique monétaire de la Fed est prévue les 21 et 22 mars.

    Avant cela, les investisseurs auront pris connaissance à 14h15 de l'enquête du cabinet privé ADP sur l'emploi aux États-Unis en amont de la publication vendredi du rapport officiel en la matière du département du Travail.

    Depuis les dernières déclarations de Jerome Powell, les anticipations de relèvement des taux se sont accentuées et les traders tablent désormais avec une probabilité de 64,1% sur une hausse du coût du crédit de 50 points de base ce mois-ci, tandis que le pic des taux est évalué à 5,64% d'ici septembre.

    Rick Rieder de BlackRock estime que les taux de la Fed pourraient même culminer à 6% et demeurer à ce niveau pendant une période prolongée.

  • Les valeurs à suivre à Wall Street

    * TESLA recule de 1,3% en avant-Bourse après la décision de Berenberg d'abaisser sa recommandation sur le constructeur automobile à "conserver" contre "acheter".

    * BOEING est sur le point de conclure une commande avec Japan Airlines pour au moins 20 avions 737 MAX, rapporte l'agence Bloomberg mercredi.

    * OCCIDENTAL PETROLEUM progresse de 3,1% en avant-Bourse après la décision de BERKSHIRE HATHAWAY, le groupe de Warren Buffett, de porter à 22,2% sa participation dans la compagnie pétrolière.

    * WEWORK bondit de 8% en avant-Bourse, le groupe étant en discussions avec des investisseurs pour restructurer l'encours de sa dette de plus de trois milliards de dollars et lever davantage de liquidités, a rapporté mardi le New York Times.

    * GENERAL ELECTRIC va réduire sa participation dans le loueur d'avions AERCAP HOLDINGS AER.N avec la cession de 18 millions d'actions, d'une valeur de 1,12 milliard de dollars (1,06 milliard d'euros), via sa filiale GE Capital US Holdings. L'action AerCap reculait d'environ 4% dans les transactions hors séance.

    * FORD MOTOR a annoncé mercredi une remise de 40.000 yuans (5.400 euros) sur ses SUV électriques Mustang Mach-E en Chine jusqu'à fin avril.

    * Le directeur général de JETBLUE, Robin Hayes, a fermement défendu dans un entretien accordé à Reuters le projet d'acquisition de SPIRIT AIRLINES pour 3,8 milliards de dollars (3,6 milliards d'euros), estimant qu'il permettra aux passagers d'économiser de l'argent, alors que le département américain de la Justice s'oppose à cette opération.

    * SILVERGATE CAPITAL avance de 1,2% en avant-Bourse, les autorités américaines étant en discussion avec le spécialiste des cryptoactifs pour lui permettre de poursuivre ses activités, a rapporté mardi soir l'agence Bloomberg.

    * WALMART - La filiale au Mexique et en Amérique centrale du groupe américain, Walmex WALMEX.MX a annoncé mardi soir son intention d'investir environ 27 milliards de pesos (1,41 milliard d'euros) dans la région cette année.

  • Christine Lagarde: "La BCE fera tout ce qu'il faudra pour rétablir la stabilité des prix"

    La présidente de la Banque centrale européenne (BCE), Christine Lagarde, a promis de faire "tout ce qu'il faut" pour rétablir la stabilité des prix, lors d'un colloque à l'Organisation mondiale du commerce à Genève.

    "Nous allons restaurer la stabilité des prix et nous ferons tout ce qu'il faut", a assuré Mme Lagarde, se référant à la forte inflation qui frappe la plupart des pays de la zone euro et que la Banque centrale, qu'elle dirige, a pour mandat de combattre.

    Mme Lagarde a aussi souligné "que les premières victimes d'une inflation élevée sont les défavorisés, les vulnérables, les moins bien payés, ce sont les femmes."

    La semaine dernière, elle avait suggéré que les hausses de taux d'intérêt de l'institution qu'elle dirige allaient se poursuivre au-delà du mois de mars pour juguler l'inflation.

  • UPDATE | Briefing actions belges

  • Du rififi à la BCE

    Ignazio Visco reproche à certains de ses confrères au sein du conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne de s'exprimer publiquement sur la trajectoire qu'ils souhaitent voir pour les taux d'intérêt de l'institution monétaire.

    Je n'apprécie pas les commentaires de mes collègues concernant des relèvements futurs et prolongés des taux.

    Ignazio Visco
    Gouverneur de la Banque d'Italie et membre du conseil des gouverneurs de la BCE

    "L'incertitude est si grande que nous avons convenu en tant que conseil des gouverneurs de décider réunion après réunion, sans 'forward guidance' (le pilotage des anticipations sur la politique monétaire, ndlr)", a déclaré le gouverneur de la Banque d'Italie lors d'un discours à Rome, s'écartant du texte préalablement transmis.

    "C'est pourquoi je n'apprécie pas les commentaires de mes collègues concernant des relèvements futurs et prolongés des taux", a poursuivi Ignazio Visco.

    Ces remarques, inhabituellement directes, mettent en évidence le fossé grandissant entre les responsables de la BCE.

  • Colruyt: à quand en emporte le vent?

  • Degroof Petercam: "TINC devra peut-être lever des fonds cette année"

    "Avec une trésorerie nette de 33,5 millions d'euros et 69 millions d'euros d'investissements engagés sur ces 12 à 24 prochains mois, il est raisonnable de s'attendre à ce que TINC lève des capitaux pour financer sa croissance future", déclare Joren Van Aken, analyste chez Degroof Petercam. "Cela peut se faire en s'endettant, mais l'investisseur en infrastructure peut également émettre de nouvelles actions."

    Van Aken dit que l'approche conservatrice de TINC a porté ses fruits. "Nous expliquons le solide bénéfice par action par le taux d'actualisation stable avec lequel il est calculé. L'entreprise ne ressent pas le besoin de l'augmenter au même rythme que la hausse des taux d'intérêt. C'est possible car TINC a souvent été trop conservateur avec le taux d'actualisation ces dernières années."

    L'analyste a une recommandation de "conserver" et un objectif de cours de 13,50 euros (contre 14,50 euros) pour l'action. Il souligne que la stabilité des flux de trésorerie et la croissance des dividendes font de TINC un titre défensif. "Mais soyez conscient de la liquidité limitée."

  • Udpate | Le point sur la tendance boursière

    Les bourses européennes reculent encore éprouvées par les propos du patron de la Réserve fédérale américaine de la veille qui ont ouvert la porte à une politique monétaire plus restrictive qu'anticipé, dopant le dollar et faisant bondir les taux courts américains.

    Bruxelles cède 0,8%, Paris abandonne 0,23%, Amsterdam rétrograde de 0,22%. Francfort est à l'équilibre, profitant d'une bonne nouvelle venue de la production industrielle allemande qui a rebondi en janvier, suggérant que l'activité allemande pourrait échapper à la récession.

    En Asie, Tokyo a bien résisté (+0,48%) grâce à la baisse du yen face au dollar, mais la Bourse de Hong Kong a perdu 2,35% après les avertissements de Jerome Powell, mais aussi devant la perspective d'un contrôle renforcé du secteur financier chinois par Pékin.

    Le patron de la Fed Jerome Powell a fait chuter les places occidentales mardi en se tenant prêt à accélérer de nouveau le rythme des hausses du principal taux directeur de l'institution et le pousser plus haut que prévu afin de lutter contre l'inflation persistante aux États-Unis.

    La Fed a toujours insisté sur le fait qu'elle décidait en fonction des données économiques et les commentaires de Powell semblent refléter cette approche au vu des récentes statistiques, plus robustes que prévu.

    Michael Hewson
    Analyste de CMC Markets


    Dans ce contexte, les investisseurs surveilleront au cours de la séance le rapport Jolts qui mesure le nombre d'emplois vacants aux États-Unis et les créations d'emplois dans le seul secteur privé qui seront publiées dans l'enquête mensuelle ADP/Stanford Lab.

    Ils écouteront ensuite à nouveau Jerome Powell qui s'exprimera cette fois devant la commission des services financiers de la Chambre des représentants.

  • L'économie en zone euro a stagné au quatrième trimestre

    L'économie de la zone euro a stagné sur les trois derniers mois de 2022, par rapport au trimestre précédent, montrent les statistiques révisées publiées par Eurostat.

    Une précédente estimation donnait le produit intérieur brut (PIB) des 19 pays partageant la monnaie unique en hausse de 0,1%, après une progression de 0,4% au troisième trimestre.

    Par rapport au quatrième trimestre 2021, le PIB a augmenté de 1,8%, contre +1,9% estimé auparavant.

    L'institut européen de la statistique a également revu à la baisse la croissance de l'emploi dans la zone euro, à 0,3% d'un trimestre sur l'autre, contre 0,4% annoncé précédemment. Sur un an, elle est confirmée à 1,5%.

    Eurostat estime que 165 millions de personnes avaient un emploi dans la zone euro durant la période octobre-décembre, soit 3,6 millions de plus qu'à la fin de 2019, juste avant la pandémie de Covid-19.

  • Degroof Petercam sur Agfa-Gevaert: "Les résultats trimestriels sont clairement un raté"

    Degroof Petercam revient sur les résultats d'Agfa-Gevaert . Les résultats trimestriels sont clairement un raté, entièrement à mettre sur le compte de la division "Digital Print & Chemicals" qui a déçu, explique l'analyste Kris Kippers.

    "Le groupe fait ce qu'il peut mais son exposition à la Chine et le retard dans la mise en place des hausses de prix nécessaires ont clairement impacté les marges plus lourdement que prévu. Suite à la cession de la division Offset et à la baisse de ses engagements de retraite, le groupe améliore lentement son profil. Nous ne pensons pas que les chiffres seront bien accueillis, mais l'amélioration progressive vers une entreprise active dans les soins de santé avec un profil de risque plus faible devrait apporter un soutien."

    En attendant, Kippers maintient sa recommandation d'achat avec un objectif de cours de 5 euros. Il devrait toutefois ajuster ses estimations après la réunion d'analystes d'aujourd'hui.

  • La FSMA met en garde contre AB Investment

    La FSMA met le public en garde contre les activités d’AB Investment, une entreprise qui offre en Belgique des services d’investissement au grand public.

  • L'action Adidas marque le pas

    L'action Adidas marque le pas à la Bourse de Francfort, l'équipementier allemand ayant fait savoir un peu plus tôt ce matin qu'il réduirait son dividende versé au titre de 2022, alors que sa séparation avec le rappeur et créateur de mode Kanye West pourrait conduire cette année à sa première perte annuelle en trente ans.

    L'équipementier sportif allemand va proposer un dividende pour 2022 de 0,70 euro par action lors de son assemblée générale du 11 mai, contre un coupon de 3,30 euros par action versé au titre de 2021.

    L'action Adidas reculait de 1% à 143,06 euros.

    Adidas a placé en octobre sous revue son partenariat avec Kanye West après des déclarations controversées du rappeur. Le groupe a prévenu le mois dernier que le fait de ne pas vendre le stock existant de vêtements de la marque Yeezy allait réduire son chiffre d'affaires d'environ 1,2 milliard d'euros en 2023 et son bénéfice d'exploitation d'environ 500 millions d'euros.

    Le rappeur Kanye West.
    Le rappeur Kanye West. ©AFP
  • Le point sur la tendance boursière

    Les bourses européennes refluent à nouveau, encore éprouvées par les propos du patron de la Réserve fédérale américaine mardi qui ont ouvert la porte à une politique monétaire plus restrictive qu'anticipé, dopant le dollar et faisant bondir les taux courts américains.

    Bruxelles rétrograde de 0,6%, Paris cède 0,10%, Amsterdam lâche 0,24% et Francfort se tasse de 0,07%. Quant à l'Euro Stoxx 50, il est en petite hausse de 0,07%.

  • Voici le briefing actions belges

  • Continental sur les chapeaux de roues

    L'action du fabricant de pneumatiques Continental bondit de 6%, en tête de l'indice Stoxx 600 après la publication de ses résultats 2022 et de ses prévisions 2023.

    Le bénéfice net de Continental en 2022 a chuté de 95,4% en glissement annuel à 67 millions d'euros, a déclaré mercredi l'équipementier automobile, plombé par des effets exceptionnels négatifs, des taux d'intérêt plus élevés et des dépréciations d'actifs liées à la Russie.

    La société, qui avait annoncé une marge pour 2022 de 5% dans ses résultats préliminaires en janvier, prévoit une marge de 5,5-6,5% pour cette année sur des ventes consolidées comprises entre 42 et 45 milliards d'euros, en hausse par rapport aux 39,4 milliards de l'année dernière.



  • KBC Securities abaisse l'objectif de cours d'Agfa

    KBC Securities maintient son conseil d'achat pour Agfa-Gevaert après le rapport annuel peu encourageant, mais abaisse l'objectif de cours de 4,9 à 4 euros.

    "Même si Agfa prévoit un retour à la rentabilité en 2023, nous nous attendons à devoir revoir à la baisse nos prévisions pour cet exercice", indique l'analyste Guy Sips. Pourtant, il y a aussi des points positifs. "Le fait que la vente d'Offset Solutions soit finalisée en avril permettra à Agfa de se concentrer davantage sur les autres activités."

  • Agfa-Gevaert: -6%

    L'action Agfa-Gevaert plonge dans les premiers échanges. Le titre décroche de 6,8% à 2,675 euros, après des résultats annuels mal reçus par le marché.

  • |Opening bell|

    Amsterdam: -0,38%
    Bruxelles: -0,57%
    Paris: -0,27%
    Francfort: n.c.

    Euro Stoxx 50: -0,25%

    Agfa-Gevaert: -5,57%

  • Update | Briefing d'avant-bourse

    Les bourses européennes devraient ouvrir en baisse, toujours sous le coup des déclarations de Jerome Powell, le président de la Réserve fédérale, qui a ouvert la porte à des hausses de taux plus importantes pour lutter contre une inflation trop élevée.

    L'Euro Stoxx 50 devrait reculer de 0,37%. Paris abandonnerait 0,42%, Amsterdam 0,39%, Francfort 0,35% et Londres 0,22%.

    Entendu mardi par la commission bancaire du Sénat américain, Jerome Powell a adopté un ton résolument plus restrictif que ce à quoi s'attendaient les marchés, en déclarant que l'institution monétaire pourrait être amenée à augmenter ses taux plus que prévu en réponse à la solidité de l'économie américaine.

    Ces propos ont eu pour principal effet de relancer les spéculations sur la possibilité que la Fed revienne à des hausses de taux d'un demi-point dès sa prochaine réunion dans deux semaines, une perspective défavorable aux actions mais qui profite au dollar.

  • Les valeurs à suivre en Europe

    * THALES a annoncé mercredi une hausse de son Ebit et de son chiffre d'affaires en 2022, des résultats portés par une augmentation de la demande malgré les tensions persistantes sur les chaînes d'approvisionnement.

    * CASINO a annoncé mardi avoir entamé l'étude d'un nouveau projet de cession d'une partie de sa participation dans la chaîne de supermarchés brésilienne Assaí pour un montant d'environ 600 millions de dollars.

    * AIRBUS a annoncé mardi avoir remporté 124 commandes nettes et livré 66 appareils sur la période janvier-février.

    * GEBERIT a enregistré un bénéfice net plus élevé que prévu en 2022, a annoncé mercredi le groupe suisse de sanitaires et de plomberie, qui a fait part d'un manque de visibilité sur ses perspectives à cause "des incertitudes géopolitiques et des risques macroéconomiques actuels".

    * BRENNTAG prévoit une baisse de son excédent brut d'exploitation cette année en raison d'un environnement macroéconomique incertain.

    * SIEMENS devait annoncer mardi un investissement de plus de 220 millions de dollars dans la construction d'une usine de fabrication de wagons en Caroline du Nord, ont indiqué la Maison blanche et le groupe allemand.

  • Agfa-Gevaert plonge dans le rouge

    Le groupe Agfa-Gevaert a réalisé un chiffre d'affaires de 490 millions d'euros au quatrième trimestre 2022, en hausse de 1,3% sur un an. Hors effet de change, les ventes sont en baisse de 2,8%. Les deux analystes constituant le consensus Bloomberg anticipaient 497 millions d'euros.

    L'ebitda recule de 23,2%, passant à 21 millions d'euros au quatrième trimestre de l'année dernière, contre 27 millions un an avant, en raison de l'inflation continue des coûts, des lockdowns en Chine, d'une demande plus faible sur les marchés non-santé et des tensions géopolitiques.

    Le résultat net de la période atteint -186 millions d'euros (-18 millions pour le T4 2021), portant à 223 millions d'euros la perte encaissée par Agfa-Gevaert sur l'ensemble de l'exercice 2022 (-14 millions d'euros au titre de 2021). Une perte qui s'explique notamment par "des réductions de valeurs significatives au niveau des divisions Radiology Solutions et Offset Solutions".

    Par ailleurs, la vente de la division "Offset Solutions" à Aurelius Group est "en bonne voie", précise Agfa-Gevaert. Le closing de l'opération est prévu pour la première semaine d'avril 2023, ajoute le groupe spécialiste de l'imagerie.

    Dans l'ensemble, le groupe Agfa-Gevaert s'attend à "une reprise de la rentabilité au cours de l'année 2023".

  • La production industrielle allemande augmente plus que prévu en janvier

    La production industrielle allemande a augmenté beaucoup plus que prévu en janvier, montrent les données publiées mercredi par l'institut fédéral de la statistique.

    La croissance de la production industrielle allemande a atteint 3,5% en janvier par rapport à décembre. Les analystes interrogés par Reuters tablaient en moyenne sur une augmentation de 1,4%.

    L'évolution positive "a été tirée en particulier par la forte croissance de la fabrication d'équipements électroniques (...) et de produits chimiques", a déclaré l'office de la statistique.

    La fabrication de véhicules et de pièces détachées automobiles, ainsi que la fabrication de produits pharmaceutiques, ont en revanche nettement baissé, a ajouté Destatis.

  • Adidas sabre dans le dividende

    Adidas annonce qu'il prévoit de réduire son dividende 2022 à 0,70 euro par action, contre 3,30 euros auparavant, après une année marquée par des pertes importantes dues à la rupture de contrat avec le rappeur et créateur de mode américain Kanye West.

    Le fabricant de vêtement de sport allemand soumettra cette proposition de réduction du dividende lors de l'assemblée générale du 11 mai.

    Il a par ailleurs confirmé le recul sur un an de 83% de son résultat net en 2022, à 254 millions d'euros, dans un environnement difficile et après la fin brutale de sa collaboration avec Kanye West.

    "2023 sera une année de transition" en commençant à "bâtir un modèle profitable à partir de 2024", a déclaré le nouveau patron du groupe Bjorn Gulden, après la perte nette de 482 millions d'euros subie au dernier trimestre.

    L'arrêt en octobre des baskets Yeezy liées au rappeur américain a fait perdre 600 millions d'euros de chiffre d'affaires sur ce trimestre.

    Comme déjà indiqué en février, la fin de la collaboration Kanye West, après les propos à caractère antisémite proférés par ce dernier, devrait conduire à voir le groupe afficher en 2023 au mieux un résultat d'exploitation nul et au pire un solde négatif de 700 millions d'euros, selon le sort réservé aux millions de chaussures stockées.

  • Le dollar accentue sa hausse

    Face à un panier de devises de référence, le dollar prend 0,12%, accentuant sa hausse de 1,24% de la veille, toujours soutenu par la perspective d'un resserrement monétaire plus marqué aux États-Unis.

    L'euro, à 1,0538 dollar, évolue au plus bas en deux mois.

    Comme le billet vert, les rendements des emprunts d'État américains sont orientés à la hausse, à 4% pour le dix ans et à 5,06% pour le deux ans, qui inscrit son plus haut niveau depuis juin 2007.

    L'écart entre ces deux taux s'est creusé jusqu'à -108,12 points de base, son plus bas niveau depuis août 1981. Une telle inversion est considérée comme un signe avant-coureur de récession.

  • Briefing d'avant-bourse

    Les bourses européennes devraient ouvrir en baisse, toujours sous le coup des déclarations de Jerome Powell, le président de la Réserve fédérale, qui a ouvert la porte à des hausses de taux plus importantes pour lutter contre une inflation trop élevée.

    L'Euro Stoxx 50 est attendu en recul de 0,23%, le Dax de 0,26% et le FSTE 100 à Londres de 0,19%.

    Entendu mardi par la commission bancaire du Sénat américain, Jerome Powell a adopté un ton résolument plus restrictif que ce à quoi s'attendaient les marchés, en déclarant que l'institution monétaire pourrait être amenée à augmenter ses taux plus que prévu en réponse à la solidité de l'économie américaine.

    Ces propos ont eu pour principal effet de relancer les spéculations sur la possibilité que la Fed revienne à des hausses de taux d'un demi-point dès sa prochaine réunion dans deux semaines, une perspective défavorable aux actions mais qui profite au dollar.

    "Une telle décision serait probablement peu judicieuse et montrerait que la banque centrale ne sait pas ce qu'elle fait", estime Michael Hewson chez CMC Markets. "Il est de loin préférable de procéder à un nouveau relèvement de 25 points et de modifier les "dot plot" (les anticipations de taux des responsables de la Fed, ndlr) pour indiquer que d'autres relèvements de 25 points sont susceptibles de suivre".   

    Jerome Powell sera auditionné à 16h à la Chambre des représentants cette fois mais les investisseurs attendent désormais surtout la publication vendredi du rapport mensuel du département du Travail américain, puis les chiffres de l'inflation la semaine prochaine.   

  • La valeur du portefeuille de Tinc dépasse 500 millions d'euros

    Le gestionnaire d'infrastructures, TINC a réalisé un bénéfice de 21,5 millions d'euros ou 0,59 euro par action pour les six premiers mois d'un exercice exceptionnellement prolongé. De plus, TINC s'est engagé dans de nouveaux investissements pour 50 millions d'euros pour diversifier le portefeuille. "En conséquence, la valeur du portefeuille dépassera 500 millions d'euros", explique le PDG Manu Vandenbulcke.

    Sur base de ces résultats provisoires, la société immobilière vise un avantage de distribuer un minimum de 0,84 euro par action pour les 18 mois de son exercice fiscal prolongé.

    La distribution aura lieu en mai 2024.

  • Morgan Stanley plus optimiste pour Colruyt

    Izabel Dobreva, analyste chez Morgan Stanley passe de "sous-pondérer" à "pondération neutre" sur Colruyt . L'objectif de cours passe de 25,90 euros à 27 euros.

  • Démission du CEO de Wereldhave Belgium

    Dans un communiqué diffusé mardi soir, le Conseil d'Administration de Wereldhave Belgium annonce qu'il a été décidé d'un commun accord que Nicolas Beaussillon quittera ses fonctions de CEO et d'administrateur de la société en date du 31 mars 2023. Ce dernier restera à la disposition de la société dans les mois à venir pour assurer une transition en douceur, précise la société immobilière.

    Le processus de recherche d'un nouveau CEO a été engagé, ajoute Wereldhave Belgium. La société immobilière communiquera en temps utile sur la question.

  • Voici votre podcast matinal

    Le Brief, le podcast matinal quotidien, 7 infos, dès 7h.

  • La Bourse de Tokyo portée par le yen bas

    Soutenue par le yen bas, la Bourse de Tokyo résiste à l'humeur maussade des marchés occidentaux, précipités à la baisse la veille par des propos du président de la Fed suggérant des hausses de taux plus importantes qu'anticipé.

    Après avoir démarré dans le rouge, l'indice vedette Nikkei progresse de 0,52% et l'indice Topix, plus large, gagne 0,33%.

    Le patron de la Réserve fédérale américaine (Fed), Jerome Powell, a laissé entendre mardi que le principal taux directeur de l'institution pourrait monter à un rythme plus rapide et à un niveau plus haut qu'envisagé jusqu'à présent, afin de lutter contre l'inflation persistante aux États-Unis.

    Ces déclarations ont fait plonger la Bourse de New York, les investisseurs redoutant le tribut que ces nouveaux resserrements monétaires risquent de prélever sur l'économie et les bénéfices des entreprises.

    La flambée du dollar face au yen provoquée par la perspective de divergences accrues entre la sévérité monétaire aux États-Unis et la politique ultra-accommodante de la Banque du Japon, dont une décision est attendue vendredi, soutenait cependant les cours à Tokyo, car un yen bon marché dope les résultats à l'étranger des groupes japonais.

  • Wall Street trébuche, sonnée par le discours de Powell

    Bonjour! Nous démarrons ce "market live" ici. Les marchés d'actions américains ont lourdement reculé mardi, après le passage de Jerome Powell devant le Congrès. L'indice Dow Jones a clôturé en baisse de 1,7%, le S&P 500 a perdu 1,5% et le Nasdaq 1,25%.

    • Le président de la Fed, Jerome Powell, a indiqué que le taux final des Fed Funds était susceptible d'être plus élevé que ce que les marchés attendent actuellement, et qu'un affaiblissement du marché du travail pourrait se manifester.
    • Ces propos bellicistes ont fait grimper les taux à court terme, le rendement des bons du Trésor américain à 2 ans gagnant 12 points de base et touchant un record en 16 ans à 5,02%.
    • Ils ont également fait s'apprécier le dollar, qui a bondi face à l'euro, en baisse de 1,27% contre le billet vert, à 1,0550 dollar.
    • Le constructeur de pickups électriques Rivian a plongé de près de 15% après l'annonce d'une émission d'obligation verte convertible d'1,3 milliard de dollars, qui pourrait diluer la valeur des parts des actionnaires existants.
    • Les actions du secteur aérien ont été une oasis dans le désert boursier du jour, profitant de la plainte du département de la Justice contre le rachat de Spirit Airlines par JetBlue Airways en raison d'une concurrence qui disparaitrait sur ce marché fortement compétitif aux États-Unis.
    ©AFP

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