1. Les marchés
  2. Live blog
live

Wall Street termine en ordre dispersé | Séance difficile pour la tech | Unitedhealth a soutenu le Dow

La Bourse de New York a clôturé en ordre dispersé, dans l'attente de données sur l'inflation américaine qui pourraient fournir une indication sur le calendrier de baisse des taux de la Banque centrale américaine (Fed).
  • Le pétrole en hausse, toujours poussé par les sanctions contre la Russie

    Les cours du pétrole ont accéléré, propulsés par les nouvelles sanctions annoncées vendredi par les Etats-Unis et le Royaume-Uni contre le secteur énergétique russe, qui laissent présager une diminution de l'offre sur le marché mondial.

    Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en mars, a gagné 1,57% à 81,01 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, pour livraison en février, a grimpé de 2,94% à 78,82 dollars.

  • Wall Street crispée par l'attente des chiffres de l'inflation US

    La Bourse de New York a fini en ordre dispersé, les investisseurs abandonnant l'espoir d'une baisse des taux de la Réserve fédérale en 2025. Le Dow Jones a gagné 0,86% à 42.297,12 points. Le S&P 500 a pris 0,16% à 5.836,22 points. Le Nasdaq a reculé de son côté de 0,38% à 19.088,102 points. Alors que les récents résultats économiques font craindre une pression persistante sur les prix, les commentaires des responsables de la Fed ont poussé les rendements obligatoires à la hausse. Le S&P a enregistré des pertes hebdomadaires au cours de quatre des cinq dernières semaines. Les rendements des bons du Trésor ont légèrement augmenté, le rendement de Treasuries à 10 ans atteignant un sommet de 14 mois à 4,805 %.

    Les menaces de tarifs douaniers brandis par Donald Trump ont aussi participé à l'inquiétude quant à une reprise de l'inflation. Les marchés anticipent une baisse des taux de la Fed d'environ 27 points de base cette année, avec une probabilité de 52,9 % pour une baisse en juin. "Il y a une inquiétude à voir des chiffres d'inflation plus élevés. Je ne suis pas si sûr que ce soit vraiment le cas, mais c'est en quelque sorte notre inquiétude ici et il va falloir du temps avant que nous observions à nouveau des taux plus bas", a déclaré Tim Ghriskey, de Ingalls & Snyder à New York. 

    Côté valeurs, le secteur de l'énergie américain a grimpé, dans le sillage du pétrole, renforcé par le dernier train de sanctions imposés sur le pétrole russe. De son côté, Moderna a chuté de 16,8% après avoir réduit ses prévisions de ventes pour 2025 de 1 milliard de dollars citant un lancement lent de son vaccin contre le virus respiratoire syncytial (VRS) et une faible demande pour les vaccins contre le Covid-19.

  • Les marchés US terminent en ordre dispersé

    Le Dow Jones a pris 0,86% à 42.297,12 points.

    Le Nasdaq a perdu 0,38% à 19.088,10 points.

    Le S&P 500 a gagné 0,16% à 5.836,22 points.

  • Les actionnaires de Gimv donnent le feu vert pour une augmentation de capital

    Aujourd'hui, lors de son assemblée générale extraordinaire (AGE), la société d'investissement Gimv a annoncé que ses actionnaires ont approuvé une potentielle augmentation de capital. 

    Cette approbation a été obtenue lors d'une deuxième session, car lors de la première assemblée générale extraordinaire de décembre, le quorum requis n'avait pas été atteint. Cette fois-ci, aucun quorum n'était nécessaire, permettant ainsi qu'un taux de participation de 39% suffise pour valider l'augmentation de capital envisagée.

    Gimv a annoncé que les propositions pour organiser une augmentation de capital potentielle, ainsi que les autorisations nécessaires, ont été approuvées à une quasi-unanimité. Le 22 janvier, le groupe d'investissement tiendra une journée dédiée aux investisseurs, où il détaillera ses projets d'augmentation de capital et ses ambitions de croissance pour les années à venir.

  • Brunello Cucinelli échappe aux turbulences du marché du luxe

    Alors que de nombreuses maisons de luxe ont peiné l'année dernière face à une clientèle en retrait, le groupe de mode italien Brunello Cucinelli a affiché une croissance impressionnante pour 2024.

    Le chiffre d'affaires a progressé de 12,2% pour atteindre 1,3 milliard d'euros. L'entreprise se montre également optimiste pour 2025, mettant en avant un carnet de commandes exceptionnel et un début prometteur pour la saison printemps-été à venir.

    Aux côtés d'Hermès, Prada et, dans une moindre mesure, du géant du luxe LVMH, Brunello Cucinelli fait partie d'un cercle restreint de marques de luxe qui échappent à la morosité ambiante du secteur. Leur stratégie? Cibler sans complexe les consommateurs les plus fortunés, insensibles aux effets de l'inflation et fidèles à leurs habitudes d'achat.

    En Bourse de Milan, les investisseurs valorisent cette maison de mode exclusive à environ 7,5 milliards d'euros.

  • Smartphoto réalise une acquisition britannique

    Smartphoto, la boutique en ligne spécialisée dans les cadeaux personnalisés, a récemment acquis System Insight Holdings, une entreprise britannique reconnue pour son expertise en photographie événementielle et de souvenirs, opérant sous le nom commercial d'Image Insight.

    Bien que cette acquisition soit de taille modeste, elle représente une étape stratégique pour Smartphoto. L'année dernière, System Insight a généré un chiffre d'affaires d'environ 6 millions d'euros. Le montant de l'acquisition s'élève à 8 millions de livres sterling, soit environ 9,5 millions d'euros, que Smartphoto a réglé en espèces.

    Le prix d'achat pourrait être ajusté à la hausse en fonction des performances futures d'Image Insight, offrant ainsi à Smartphoto une opportunité de croissance supplémentaire sur le marché britannique.

  • Situation contrastée à Wall Street

    À Wall Street, la situation demeure contrastée à un peu plus d'une heure de la clôture. La hausse des taux d'intérêt à long terme exerce une pression sur les marchés boursiers, affectant particulièrement le Nasdaq, qui affiche actuellement une baisse de 0,7%. En revanche, le S&P 500 montre une meilleure résistance avec une légère diminution de 0,1%.

    Le Dow Jones se distingue avec une progression de 0,7 %. Parmi les trente entreprises de cet indice industriel, vingt sont en hausse. UnitedHealth , un poids lourd de l'indice, joue un rôle majeur dans cette dynamique positive.

    Après avoir subi une pression à la suite de l'assassinat très médiatisé du PDG de sa division assurance maladie, l'action UnitedHealth se redresse. La nouvelle administration Trump pourrait être bénéfique pour les primes que les assureurs santé comme UnitedHealth peuvent imposer à leurs clients.

    Par ailleurs, Caterpillar , Amgen et 3M contribuent également à la hausse du Dow Jones.

  • "Honeywell travaille à la scission de ses activités"

    D'après Bloomberg, Honeywell , le conglomérat industriel américain, envisage de scinder ses activités. Les divisions aérospatiale et matériaux, en particulier, pourraient bénéficier d'une plus grande visibilité et d'une meilleure appréciation des investisseurs si elles devenaient des entités indépendantes, selon certains analystes.

    Bien que Honeywell réfléchisse depuis un certain temps à une telle opération – les conglomérats n'étant plus vraiment en vogue sur les marchés boursiers – la situation s'est accélérée depuis l'arrivée de l'actionnaire activiste Elliott. Ce dernier a acquis une participation d'environ 5 milliards de dollars et, selon Bloomberg, pousse discrètement en faveur d'une scission.

    Lors des premiers échanges, l'action Honeywell a bondi de 5%, mais ce gain s'est réduit à 0,4% par la suite.

  • Avec Marguerite Bérard à sa tête, ABN Amro doit devenir une vraie "banque privée"

    ABN Amro a choisi Marguerite Bérard pour succéder à son CEO. Major de sa promo à l'ENA devant Macron, cette Française passée chez Sarkozy et BNP Paribas devra mener à bien la privatisation de la banque néerlandaise, et sa montée en gamme.

    Notre portrait de Marguerite Bérard

  • J&J recherché après son accord avec Intra-Cellular Therapies

    Le géant pharmaceutique Johnson & Johnson  est recherché (+1,72%) après avoir annoncé un accord définitif avec Intra-Cellular Therapies (+34,23%), spécialisée dans les traitements contre les troubles neurologiques.  

    "Johnson & Johnson va acquérir toutes les actions en circulation d'Intra-Cellular Therapies, (...) pour une valeur totale d'environ 14,6 milliards de dollars", a annoncé le groupe dans un communiqué ce lundi. 

  • 2025, l'année de la rentabilité pour argenx

    Après avoir généré des ventes totales de 2,2 milliards de dollars l'année dernière, argenx entend bien devenir rentable en 2025, avec des coûts évalués à 2,5 milliards de dollars.

    Notre article sur les chiffres d'argenx

  • Le pétrole continue de monter

    Les prix du pétrole avancent pour la troisième séance consécutive ce lundi après l'imposition de nouvelles sanctions sur le pétrole russe, le Brent étant même susceptible de dépasser les 85 dollars à court terme selon une note publiée par Goldman Sachs dimanche.

    Le Brent avance de 1,88% à 81,26 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) de 2,99% à 78,86 dollars.

  • Les taux en ordre dispersé

    Les rendements obligataires des deux côtés de l'Atlantique continuent leur flambée après le rapport sur l'emploi américain et sur fond d'inquiétudes quant à la reprise de l'inflation après l'arrivée au pouvoir de Donald Trump.

    Le rendement des Treasuries à dix ans gagne 2,0 points de base (pb) à 4,7944%, le deux ans 0,7 pb à 4,4025%.

    Le rendement du Bund allemand à dix ans cède 0,3 pb à 2,5890%, tandis que le deux ans gagne 0,2 pb à 2,2950%.

    Le Gilt britannique à 30 ans a atteint un plus haut depuis 1998 lors de la séance, gagnant 2,5 points de base à 5,4320%.

  • Et si la Fed en avait terminé avec les baisses de taux?

    Le prochain changement des taux directeurs US pourrait être une hausse, estiment les économistes de Bank of America. Les marchés tablent encore sur une baisse.

    Notre article sur la Fed

  • Le dollar avance, la livre reflue

    Le dollar continue son ascension, accentuant la pression sur les autres devises sur fond de spéculations quant à la politique monétaire américaine en 2025.

    Le billet vert avance de 0,24% face à un panier de devises de référence. L'euro perd 0,32% à 1,0210 dollar, tandis que la livre sterling (-0,37%) se voit plombée par la hausse des rendements obligataires et par le manque de confiance dans l'économie britannique.

  • Massacrée ces derniers mois, l'action Elia peine à rebondir

    L'action Elia limitait la casse ce lundi matin au sein du Bel 20 suite au conseil d'achat d'UBS, après que le titre du gestionnaire du réseau de transport électrique a lourdement chuté la semaine dernière. Mais l'action a progressivement effacé tous ses gains.

  • Biomérieux et Eurazeo salués

    À Paris, Biomérieux a gagné 4,05% sur la séance après l'annonce d'un accord pour acquérir la start-up norvégienne SpinChip Diagnostics tandis qu'Eurazeo a avancé de 3,86% après un relèvement de la recommandation de Goldman Sachs à "acheter".

  • L'Europe clôt en baisse, l'avenir des taux US inquiète

    Les bourses européennes ont terminé en baisse après une séance marquée par les incertitudes quant à l'avenir de la politique monétaire américaine. À Paris, le CAC 40 a terminé en baisse de 0,3% à 7.408,64 points. Le Footsie britannique a clos en baisse de 0,29% et le Dax allemand de 0,38%. L'indice EuroStoxx 50 a terminé en baisse de 0,48%, le FTSEurofirst 300 de 0,5% et le Stoxx 600 de 0,55%. Le rapport sur l'emploi de vendredi, couplé à la possibilité grandissante que l'inflation reprenne de plus belle si Donald Trump venait à imposer des droits de douane salés sur ses principaux alliés commerciaux, a pratiquement anéanti les espoirs de voir le cycle des réductions de la Réserve fédérale se poursuivre en 2025.

    "Le marché est toujours en mode retrait. Les baissiers ont renforcé la pression la semaine dernière, en particulier après le rapport sur l'emploi solide de vendredi et les inquiétudes qui en ont découlé autour de la possibilité que la Fed ne baisse pas ses taux directeurs avant longtemps", a déclaré Chris Larkin, directeur de la branche "trading et investing" d'E*Trade chez Morgan Stanley. Entre temps, malgré la folie vendeuse qui s'est emparée des marchés des rendements la semaine dernière, les obligations d'État des deux côtés de l'Atlantique demeurent fébriles.

    Au Royaume-Uni, le Gilt à 30 ans a atteint son niveau le plus haut depuis 1998 alors que la livre sterling bat en retraite sur fond de préoccupations quant aux finances du gouvernement britannique. Les marchés fixeront à présent toute leur attention sur l'indice des prix à la consommation pour le mois de décembre aux États-Unis, qui sera publié mercredi et qui est attendu en hausse de 2,9% sur un an. Un résultat surprise pourrait contraindre la Réserve fédérale à faire marche arrière et envisager une hausse de ses taux d'ici la fin de l'année.

  • Le Bel 20 lâche près de 1%

    L'indice phare de la Bourse de Bruxelles a perdu 0,82% à 4.199,03 points. Il a été freiné par Galapagos (-5,35%), Lotus Bakeries (-2,41%), UCB (-1,97%) et KBC (-1,48%).

    Deux valeurs ont pu terminer dans le vert: WDP et argenx , qui ont pris quelque 0,5%.

  • Europe | Closing Bell

    Bel 20: -0,82%

    FTSE 100: -0,26%

    DAX: -0,38%

    CAC 40: -0,31%

  • Wall Street reste en ordre dispersé

    Le Dow Jones gagne 0,29%, tandis que le Nasdaq recule de 1,35% et le S&P 500 de 0,60%.

  • Le bitcoin cède du terrain

    Le bitcoin recule de 3,11% à 91.690 dollars. 

  • Le prêt-à-porter américain en vitrine

    L'enseigne américaine de prêt-à-porter Abercrombie & Fitch dévisse de 15,52% à New York après avoir annoncé des prévisions de ventes annuelles pour son exercice 2024-2025 inférieures aux attentes du marché.

    La chaîne de magasins de vêtements de sport Lululemon , connue pour ses pantalons de yoga, gagne quant à elle 1,89%, après avoir relevé les objectifs financiers de son quatrième trimestre. 

  • Le pétrole grimpe

    Les cours du brut continuent de grimper en réaction aux sanctions prises principalement à l'encontre du secteur énergétique russe par les gouvernements américain et britannique vendredi.  

    Le prix du baril de Brent de la mer du Nord prend 1,04% à 80,59 dollars et celui de son équivalent américain, le WTI, gagne 1,39% à 77,63 dollars.

  • La tech en repli

    Les incertitudes économiques pèsent sur le secteur technologique, chèrement valorisé aux Etats-Unis. 

    À Wall Street, Nvidia recule de 3,41%, Tesla de 2,04%, Alphabet  de 1,72% et Apple de 2,36%.

    En Europe, STMicroelectronics lâche 2,85%, ASML 2,50% et BE Semiconductor Industries 2,64%.

  • US Steel avance

    US Steel gagne 2,7% après que l'entreprise a déclaré samedi soir que l'administration Biden entendait repousser la mise en œuvre d'une disposition ordonnant le blocage de la fusion du sidérurgiste et du japonais Nippon Steel.

  • Moderna chute après avoir revu ses prévisions

    Moderna perd 19,5% après avoir réduit ses prévisions de ventes pour 2025.

  • Les acteurs de la santé US à la fête

    United Health , CVS Health et Humana gagnent entre 3,5% et 4,7% après que les États-Unis ont proposé des taux de remboursement pour 2026 pour les plans Medicare Advantage gérés par des assureurs privés.

  • Le secteur de l'énergie monte

    Le secteur énergétique est en hausse après que les États-Unis ont imposé de nouvelles sanctions sur le pétrole russe. Exxon Mobil , Chevron et Occidental Petroleum gagnent chacun entre 1,3% et 2,3%.

  • Wall Street sans direction, les taux directeurs au coeur des préoccupations

    La Bourse de New York a ouvert en ordre dispersé, reculant à mesure que s'étiolent les espoirs des investisseurs d'une baisse des taux directeurs de la Réserve fédérale en 2025. Le Dow Jones prend 0,03% à 5.779,08 points et le S&P 500 recule de 0,77% à 5.782,02 points. Le Nasdaq cède 1,35% à 18.903,664 points. Le S&P 500 a perdu presque tous les gains accumulés depuis l'élection présidentielle américaine, plombé par les inquiétudes autour d'une potentielle reprise de l'inflation et d'une hausse des taux d'intérêt après le retour de Donald Trump à la Maison Blanche la semaine prochaine.

    Après que le dernier rapport sur l'emploi du département du Travail a chamboulé les attentes en matière de baisses des taux de la Réserve fédérale, la flambée des rendements obligataires et du dollar renforcent la pression sur un marché d'actions déjà perturbé par les appréhensions des investisseurs. Car si le nombre d'emplois créés en décembre semble au premier abord être une bonne nouvelle, il a relancé les débats autour de la politique à venir de la Réserve fédérale, qui pourrait se voir contrainte de faire marche arrière sur ses dernières réductions des taux en cas de reprise de l'inflation.

    L'indice de volatilité VIX, qui reflète le taux de préoccupation des investisseurs, a atteint 22, le même niveau que le jour de la présidentielle américaine, un jour pourtant particulièrement stressant pour les marchés.

  • Les marchés US ouvrent en ordre dispersé

    Le Dow Jones avance de 0,02%, tandis que le Nasdaq perd 1,55% et le S&P 500 0,86%.

  • Campine : +37% en un mois

    Au sein des small caps bruxelloises, le spécialiste du recyclage Campine signe un record à l'occasion du premier fixing de la journée à 136 euros. Depuis que Campine a annoncé à la fin de l'année dernière avoir atteint des chiffres records pour 2024, l'action a gagné 37% en un mois.

  • Le secteur des mines d'or brille un peu moins

    Le secteur des mines d'or est en baisse en pré-ouverture, suivant la baisse des prix de l'or à la suite des dernières données sur l'emploi américain ayant renforcé les prévisions de biais prudent de la Réserve fédérale américaine (Fed). Barrick Gold perd 1,7% dans les échanges avant-bourse tandis que les actions cotées aux États-Unis des mineurs sud-africains AngloGold Ashanti et Sibanye Stillwater chutent respectivement 1,12% et 3,7%.

  • Moderna en manque de souffle

    Moderna dégringole de 19% dans les échanges d'avant-bourse. La société a réduit ses prévisions de ventes pour 2025 de 1 milliard de dollars, citant un lancement lent de son vaccin contre le virus respiratoire syncytial (VRS) et une faible demande pour les vaccins contre le Covid-19.

  • Une acquisition à 15 milliards de dollars pour J&J

    Johnson & Johnson va racheter le fabricant de médicaments Intra-Cellular Therapies pour environ 14,6 milliards de dollars, renforçant ainsi sa présence sur le marché des traitements des troubles neurologiques. Le titre grimpe de 0,4% dans les échanges d'avant-bourse.vement de 1% et 2,8%.

  • Update | Le point sur la tendance boursière

    Wall Street est attendue en baisse et les bourses européennes reculent, fléchissant à mesure que les investisseurs abandonnent l'espoir d'une baisse des taux de la Réserve fédérale en 2025.

    Les futures sur indices new-yorkais signalent une ouverture de Wall Street en baisse, indiquant un recul de 0,08% pour le Dow Jones, de 0,56% pour le Standard & Poor's-500 et de 0,83% pour le Nasdaq.

    À Paris, le CAC 40 perd 0,49%. À Francfort, le Dax recule de 0,39% et à Londres, le FTSE 100 cède 0,29%.

    L'indice Euro Stoxx 50 est en baisse de 0,61%.

    Après la publication, vendredi, d'un rapport sur l'emploi aux États-Unis bien au-dessus des attentes, les marchés ne prennent même plus en compte la possibilité d'une unique baisse des taux de la Réserve fédérale en 2025.

    Après un très bon rapport sur l'emploi, nous estimons que le cycle de réductions est terminé. Le débat devrait se tourner vers une hausse des taux (de la Fed, NDLR), qui pourraient être à l'ordre du jour si l'indice "core PCE" dépasse les 3% et que les attentes quant à l'inflation sont déstabilisées.

    Aditya Bhave
    Economiste en chef adjoint pour les États-Unis chez BofA
  • Elia contre la tendance d'un Bel 20 qui accélère à la baisse

    Boosté par des commentaires d'UBS, Elia grimpe de 0,71%, à 63,45 euros, soit aussi la meilleure progression au sein d'un indice Bel 20 qui creuse ses pertes. L'indice bruxellois de référence lâche 1%, à 4.191,71 points, poussé à la faute par Galapagos (-2,63%), KBC Group (-2,60%), Ageas (-1,8%) ou encore Melexis (-1,62%).

  • Wall Street donnée en baisse

    La bourse de New York est indiquée en baisse. L'indice Dow Jones est indiqué en recul de 0,29%, le S&P 500 rétrograderait de 0,79% et le Nasdaq 100 reculerait de 1,2%.

  • Recticel sous les 10 euros

    Le cours de l'action du spécialiste de l'isolation Recticel est passé sous la barre des 10 euros pour la première fois depuis fin 2023, sans qu'il n'y ait d'explication immédiate à ce mouvement.

    Ces derniers mois, l'entrepreneur flamand occidental Filip Balcaen, par l'intermédiaire de sa société holding Baltisse, a acheté pour près de 5 millions d'euros d'actions Recticel à des prix beaucoup plus élevés. En 2022, le groupe autrichien Greiner voulait mettre 13,50 euros sur la table avec une offre pour Recticel. Mais comme le prix en bourse était plus élevé, cela n’a pas été un succès.

    Le titre perd actuellement 2,20%, à 9,77 euros, dans un marché bruxellois en baisse de 1%.

  • La chute de la livre sterling se prolonge

    La chute de la livre se poursuit, le gouvernement britannique peinant à calmer les inquiétudes du marché sur la lourde dette et la croissance morose au Royaume-Uni, face à un dollar porté par une économie américaine solide.

    La livre chute de 0,66% face à la monnaie américaine, à 1,2125 dollar, après un nouveau plus bas de la devise britannique depuis novembre 2023, à 1,2102 dollar. Elle perd 0,10% face à l'euro, à 84,08 pence pour un euro.

    En parallèle, les taux d'emprunt des obligations britanniques restent proches des sommets atteints la semaine dernière, quand ils avaient enregistré un record depuis 2008 pour les rendements des emprunts à 10 ans de l'État britannique, et depuis 1998 pour ceux à 30 ans.

  • Le secteur de l'énergie, les semiconducteurs, US Steel... Les valeurs à suivre à Wall Street

    * Le SECTEUR DE L'ÉNERGIE américain grimpe dans les échanges avant-bourse dans le sillage des prix du pétrole, renforcés par le dernier train de sanctions imposé sur le pétrole russe. Exxon Mobil prend 0,74%, Chevron 0,9% et Occidental Petroleum 1,3%.

    * LES SEMICONDUCTEURS - Les nouvelles dispositions de l'administration Biden, qui visent à renforcer le contrôle des exportations de semi-conducteurs, pourraient mettre à mal la position des États-Unis dans le secteur, a déclaré un dirigeant de NVIDIA lundi dans un communiqué.

    * U.S. STEEL - La présidence Biden va repousser la mise en œuvre d'une disposition ordonnant le blocage de la fusion du sidérurgiste et du japonais Nippon Steel, ont déclaré samedi soir les deux entreprises. Le titre prend 1,6% avant la cloche.

    * RUMBLE a annoncé vendredi soir avoir signé un contrat "Cloud" avec le gouvernement d'El Salvador, faisant grimper l'action de 9,9% avant l'ouverture.

    * ELI LILLY a déclaré lundi avoir porté plainte contre deux spas médicaux qui vendraient des produits non approuvés disant contenir du tirzepatide, l'ingrédient principal de son médicament blockbuster contre l'obésité Zepbound.

  • Opération d'envergure dans le secteur de la grande distribution en Belgique

    Delhaize, l'enseigne locale belge d'Ahold Delhaize , a conclu un accord avec le groupe Louis Delhaize pour acquérir toutes les actions de Delfood, la structure qui chapeaute les supérettes Louis Delhaize et ses 323 magasins dans toute la Belgique. Ahold Delhaize perd 0,25%.

    "Cette acquisition concerne tous les points de vente Louis Delhaize ainsi que ceux approvisionnés par Delfood, les services logistiques et le siège social en Belgique", précise le groupe de distribution.

    Delhaize entend ainsi étendre sa position sur le marché belge de la distribution, en particulier dans le segment de la proximité.

    La transaction qui devrait être finalisée d'ici fin 2025 est soumise à l’approbation de l’Autorité belge de la concurrence (ABC).

  • MDxHealth anticipe un chiffre d'affaires plus élevé qu'attendu

    La société belgo-américaine, MDxHealth, spécialisée dans les diagnostics, anticipe un chiffre d'affaires pour le quatrième trimestre et l'exercice 2024 d'environ 24,7 et 90,0 millions de dollars respectivement, ce qui représente une croissance annuelle de 28% pour les deux périodes.

    Le chiffre d'affaires annuel est supérieur aux prévisions de l'entreprise, qui anticipait un montant de "87 à 89 millions de dollars".

    Pour 2025, la société anticipe des revenus de 108 à 110 millions de dollars, ce qui représente une croissance d'une année sur l'autre de 20 à 22%.

    MDxHealth affichait, à la fin de l'année dernière, un solde de trésorerie de 46,8 millions de dollars.

    L'action MDxHealth est cotée à Wall Street, à partir de 15h30 donc. Dans les échanges électroniques d'avant l'ouverture, l'action s'envole plus de 11%.

  • Voici la réponse de Telenet à Digi

    Après Proximus , avec ses marques Scarlet et Mobile Vikings, et Orange Belgium , avec ses marques Hey!, Telenet réagit à l'arrivée de Digi en tant que quatrième opérateur mobile en Belgique.

    Telenet offre ainsi aux abonnés BASE plus de volume de données pour le même prix. Conséquence: Base devient moins cher que Digi pour les gros consommateurs de données. D’autant plus que l'entreprise offre une réduction supplémentaire à vie à ceux qui s’inscriront en ligne dans les semaines à venir.

    Proximus perd 0,20%, à 5,02 euros, et Orange Belgium lâche 0,40%, à 14,80 euros.

  • Update | UBS sur Elia: "Nous pensons que l'augmentation de capital a été intégrée dans les cours"

    Un peu plus de détail sur la décision d'UBS d'initier la couverture de l'action Elia avec une recommandation d'achat.

    "Elia offre une croissance des bénéfices deux fois plus rapide que ses concurrents, tandis que l'action se négocie avec une petite prime par rapport à ces concurrents", a déclaré UBS. "Nous pensons que la prime est trop faible au vu du profil de croissance supérieur."

    Les analystes reconnaissent le risque de dilution entourant une augmentation de capital. "Mais même en prenant cela en compte, nous prévoyons que le bénéfice par action augmentera en moyenne de 9% par an jusqu'en 2030. Pour ses pairs, ce chiffre est de 2 à 6%. "Nous pensons que l'augmentation de capital a été intégrée dans les cours."

  • TotalEnergies monte avec le pétrole

    Le groupe pétrogazier TotalEnergies , poussé par la hausse des prix du brut, gagne 0,63%, à 55,60 euros.

    Le Brent de la mer du Nord, la référence mondiale du pétrole, évolue au-dessus de la barre symbolique des 80 dollars, poussé par de nouvelles sanctions occidentales contre la Russie. Le département du Trésor américain a annoncé, vendredi, des sanctions contre plus de 180 navires ainsi que les grandes compagnies pétrolières russes Gazprom Neft et Surgutneftegas, respectant ainsi "l'engagement du G7 de diminuer les revenus russes issus de l'énergie". 

    Le baril de pétrole de qualité Brent gagne 1,4%, à 80,86 euros, et son équivalent américain WTI engrange 0,72%, à 74,24 dollars.

  • UBS "achète" Elia

    UBS initie la couverture d'Elia Group avec une recommandation d'achat. L'objectif de cours est de 96 euros, ce qui implique un potentiel de hausse de 52,5% par rapport au dernier cours de clôture de 62,95 euros de l'action vendredi.

    Elia gagne 2,30%, à 64,45 euros, en tête des hausses d'un indice Bel 20 en baisse de 0,62%. La hausse du cours de l'action Elia intervient après plusieurs séances négatives pour l'action. Vendredi, l'entreprise a vu son cours chuter de 5,6%, à 63 euros, pour terminer ainsi sur un recul hebdomadaire de 18%. La capitalisation du groupe a fondu d’environ un milliard d’euros en à peine cinq jours, les investisseurs s'inquiétant des besoins en capitaux considérables du gestionnaire de réseau électrique.

  • AB InBev atteint son plus bas niveau depuis 2020

    Peu de temps après son ouverture, AB InBev a chuté de 1,66%, à 44,89 euros, ce qui signifie que le géant de la bière a enregistré son prix le plus bas depuis l'automne 2020. L'action est sous pression depuis des mois en raison d'un cocktail de problèmes et, depuis la fin de la semaine dernière, de l'avertissement de son rival Constellation Brands.

  • Le point sur la tendance boursière

    Les bourses européennes évoluent en baisse, malgré la progression du secteur pétrolier, toujours pénalisées par les solides données sur l'emploi américain publiées vendredi, qui ont éloigné la perspective d'une nouvelle baisse prochaine des taux d'intérêt de la Réserve fédérale

    À Paris, le CAC 40 perd 0,64%. À Francfort, le Dax recule de 0,65%, tandis que le FTSE 100 cède 0,33%.

    L'indice Euro Stoxx 50 est en baisse de 0,84% et le Stoxx 600 recule de 0,52%.

    "Good news is bad news": les marchés européens continuent de réagir à la publication de l'emploi américain pour décembre, vendredi, qui a révélé que l'économie américaine avait créé 256.000 emplois contre 160.000 attendus par le consensus des analystes.

    Les investisseurs ont déjà réduit leurs attentes de réduction des taux de la Réserve fédérale américaine (Fed) à seulement 27 points de base pour l'ensemble de l'année 2025, confirmant la vision d'un biais prudent de la Fed.

    Ces anticipations, qui font grimper les rendements obligataires, pèsent parallèlement sur les actions technologiques. L'indice Stoxx 600 du compartiment abandonne 1,5%, plus forte baisse sectorielle.

    À l'inverse, les valeurs pétrolières (+0,83%) bénéficient de la hausse des cours du brut après les nouvelles sanctions américaines contre le pétrole russe qui pourraient affecter les exportations de Moscou vers la Chine et l'Inde.

    ©Bloomberg
  • BioMérieux achète SpinChip, le titre monte

    BioMérieux bondit de 5,2%, après l'annonce d'un accord pour acquérir la start-up norvégienne SpinChip Diagnostics.

  • |Opening bell|

    • Amsterdam: -0,40%
    • Bruxelles: -0,42%
    • Paris: -0,34%
    • Francfort: n.c.
    • Argenx: -0,84%
    • DEME: +0,86%
    • TINC: +0,37%
    • Elia: +0,48%
  • La BCE va devoir viser le "juste milieu" sur les taux

    Les marchés anticipent plus de baisse de taux d'intérêt dans les mois à venir, mais il faut "s'assurer de trouver le juste milieu dans l'évolution des taux d'intérêt", affirme l'économiste en chef de la BCE Philip Lane dans une interview au quotidien autrichien Der Standard publiée sur le site de la BCE.

    Depuis juin dernier, la BCE a réduit ses taux de 100 points de base, ramenant son principal taux directeur à 3,0% après une série de hausses sans précédent destinées à maîtriser l'envolée des prix, accentuée par la guerre en Ukraine.

    L'inflation en zone euro a nettement diminué, passant d'un pic à 10% fin 2022 à 2,4% en décembre 2024, grâce notamment à une baisse des prix de l'énergie. Cependant, pour atteindre durablement l'objectif de 2%, une nouvelle baisse de l'inflation des services, actuellement à 4%, sera nécessaire.  

    Si les taux d'intérêt baissent trop rapidement, il sera difficile de maîtriser l'inflation dans les services.

    Philip Lane
    Économiste en chef de la BCE

    Mais les gardiens de l'euro ne souhaitent pas non plus maintenir les taux "trop élevés trop longtemps", au risque de faire chuter l'inflation globale bien en dessous de l'objectif, ce qui serait "également non souhaitable", prévient-il. Il importe donc de trouver "une voie médiane" sur l'évolution du loyer de l'argent qui ne soit "ni trop agressive ni trop prudente", a-t-il ajouté.

    Une autre priorité est de veiller à ce que l'économie, encore pénalisée par les taux élevés, ne croisse pas "trop lentement", car cela risquerait de stabiliser l'inflation "en dessous de l'objectif", selon Philip Lane.

    La BCE prévoit une croissance de 1,1% en zone euro cette année et de 1,4% en 2026. Or, de tels taux de croissance faibles "représentent un défi majeur" et il serait "préférable que l'Europe croisse plus rapidement", selon l'économiste en chef.

    Cependant, la BCE exclut, pour l'instant, le risque de récession dans la région, un scénario qui justifierait "une accélération spectaculaire de l'assouplissement monétaire", conclut-il.

  • Briefing d'avant-bourse

    Les bourses européennes sont attendues en légère baisse, les investisseurs digérant les données sur l'emploi américain publiées vendredi.

    Les contrats à terme suggèrent une ouverture en baisse de 0,34% pour l'Euro Stoxx 50, de 0,14% pour le FSTE 100 à Londres et de 0,20% pour le Dax à Francfort.

    Les perspectives de taux de la Réserve fédérale américaine (Fed) pèsent sur les indices européens au début d'une semaine chargée avant le retour de Donald Trump à la présidence des États-Unis.

    Le rapport sur l'emploi américain, publié vendredi et qui a montré que l'économie américaine avait créé 256.000 emplois en décembre, contre 160.000 attendus par le consensus des analystes, a renforcé les attentes de biais prudent de la Fed.

    Les marchés ont déjà réduit les attentes de réduction des taux de la Fed à seulement 27 points de base pour l'ensemble de l'année 2025, alors que l'inflation CPI pour décembre sera publiée mercredi et que cinq responsables de la Fed doivent s'exprimer au cours des prochains jours.

    La semaine sera marquée, en outre, par l'ouverture de la saison des résultats outre-Atlantique avec les banques, JP Morgan, Wells Fargo, Citigroup et Goldman Sachs ouvrant le bal dès mercredi.

    L'investiture de Donald Trump le 20 janvier marquera ensuite le début d'une période chargée pour l'économie mondiale, qui devra naviguer entre les promesses du candidat républicain durant la campagne et les décisions réellement prises, notamment sur les droits de douane.

    En Europe, la politique monétaire sera aussi au menu des marchés avec la publication de données dans les principales économies de la zone euro ou encore des "minutes" de la dernière réunion de politique monétaire de la Banque centrale européenne jeudi.

  • "L'euro atteindra la parité d'ici à l'été"

    La semaine passé s'est clôturée sur une perte importante pour Wall Street, après la publication d'un rapport sur l'emploi américain très positif. Le rapport alimente les craintes selon lesquelles la banque centrale américaine devrait au moins procéder à une pause prolongée dans ses baisses de taux.

    Et cela stimule le dollar américain, car on s'attend à ce que la Banque centrale européenne continue de réduire ses taux d'intérêt: l'EUR/USD baisse de 0,35%, à 1,019 dollar ce matin, un nouveau plus bas depuis novembre 2022.

    Goldman Sachs estime que ce n'est qu'une question de temps avant que l'euro ne tombe à parité avec le dollar. Le courtier estime que l'euro tombera à parité ce printemps et que la monnaie unique ne vaudra plus que 0,97 dollar d'ici à l'été.

    Le Wall Street Journal, dans sa chronique influente "Heard on the Street" de ce week-end, a parlé d'une "inclinaison baissière" de la courbe des rendements. En un mot: la hausse actuelle des taux d’intérêt n’est pas tant motivée par l’optimisme concernant l’économie (américaine), mais plutôt par le fait que les investisseurs exigent une prime de risque plus élevée en raison des craintes liées aux tarifs douaniers, à la hausse de l’inflation et à un déficit budgétaire incontrôlable. Un cocktail qui, ironiquement… rend les obligations attrayantes.

  • DEME remporte un contrat "substantiel" à Taiwan

    L'entreprise belge de dragage DEME a remporté un contrat pour l'installation de fondations et d'une sous-station offshore pour un parc éolien à Taiwan. L'entreprise l'a signalé dans un communiqué de presse.

    DEME a remporté la commande par l'intermédiaire de sa coentreprise taïwanaise CDWE, qui comprend également le constructeur naval taïwanais CSBC.

    Le contrat représente entre 150 et 300 millions d'euros pour DEME, un montant que l'entreprise qualifie de "substantiel". La construction est prévue pour le premier trimestre 2026.

    Le parc éolien Fengmiao 1, développé par Copenhagen Infrastructure Partners, sera situé à 35 kilomètres au large de Taichung et fournira 500 MW d'énergie renouvelable aux entreprises taïwanaises.

  • Argenx publie ses résultats préliminaires 2024

    Argenx publie ses résultats financiers préliminaires pour 2024. La société de biotechnologie rapporte ainsi des ventes nettes mondiales de produits d'environ 737 millions de dollars et 2,2 milliards de dollars respectivement pour le quatrième trimestre et l'année 2024, selon des données non auditées.

    Au 31 décembre 2024, argenx disposait d'environ 3,4 milliards de dollars en liquidités, équivalents de trésorerie et actifs financiers courants.

    Sur la base de ses plans d'exploitation actuels, argenx prévoit que ses dépenses en 2025 s'élèveront à environ 2,5 milliards de dollars.

    Par ailleurs, pour atteindre les objectifs fixés dans sa " Vision 2030 ", argenx s'est fixé les priorités suivantes pour 2025:

    1. Élargir l'opportunité mondiale de VYVGART
    2. Lancer VYVGART SC en tant que seringue préremplie
    3. Réaliser 10 études d'enregistrement et 10 études de preuve de concept pour alimenter la croissance du pipeline autour de l'efgartigimod, de l'empasiprubart et de l'ARGX-119
    4. Faire progresser quatre nouvelles molécules vers la phase 1 de développement, élargissant ainsi la prochaine vague d'innovation
    5. Générer une valeur durable grâce à un investissement continu dans le programme d'innovation en immunologie, axé sur les médicaments de première classe à base d'anticorps
  • La Chine exporte en masse avant le retour de Donald Trump

    Les exportations chinoises ont atteint un niveau record en 2024, selon des données officielles publiées ce lundi, au moment où le retour au pouvoir de Donald Trump fait craindre une reprise des tensions commerciales entre Pékin et Washington.

    En 2024, le montant des exportations chinoises a dépassé pour la première fois les 25.000 milliards de yuans, pour atteindre 25.450 milliards de yuans (environ 3.400 milliards d'euros, NDLR), en augmentation de 7,1% par rapport à l'année précédente.

    Lu Daliang
    Un porte-parole des douanes chinoises

    En décembre, elles ont bondi de 10,7% par rapport à l'année précédente, selon les données des douanes chinoises, dépassant confortablement les prévisions de +7,5% des économistes sondés par l'agence Bloomberg.

    La vitalité des exportations en fin d'année a été en partie liée à la constitution de stocks par des entreprises étrangères, anticipant une hausse des droits de douane sous le mandat de Donald Trump, estiment une partie des économistes.

    Les importations ont également grimpé, à 18.390 milliards de yuans (environ 2.390 milliards d'euros) en 2024, soit une hausse plus modeste de 2,3% par rapport à l'année précédente, selon les douanes chinoises. 

    Au total, les échanges commerciaux ont augmenté de 5% en 2024 par rapport à 2023, atteignant le niveau record de 43.850 milliards de yuans (environ 5.841 milliards d'euros), a ajouté le vice-ministre de l'Administration générale des douanes, Wang Lingjun, ce lundi.

    La position de la Chine comme premier pays au monde en matière de commerce de biens en sort encore davantage sécurisée.

    Wang Lingjun
    Vice-ministre de l'Administration générale des douanes
  • "Le cycle de réduction de taux de la Fed est terminé"

    Les marchés se replient ce lundi à Hong Kong et en Chine continentale, après la publication des chiffres de l'emploi américain qui laissent présager une pause dans le calendrier de baisse des taux de la Banque centrale américaine (Fed).

    L'indice Hang Seng de la Bourse de Hong Kong perd 1,09%. L'indice composite de Shanghai cède 0,31% et celui de Shenzhen 0,21%.

    La Bourse de Tokyo est fermée ce lundi en raison d'un jour férié.

    En Asie, les investisseurs digèrent encore les créations d'emplois qui ont de nouveau accéléré aux États-Unis en décembre, signe de la solidité de l'économie américaine.

    Sur le dernier mois de l'année 2024, 256.000 emplois ont été créés, davantage qu'en novembre, dont les chiffres ont été révisés en légère baisse (212.000 contre 227.000 initialement), ramenant le chômage à 4,1% (-0,1 point), selon les données officielles publiées par le département américain du Travail vendredi.

    Ces statistiques sont fortement susceptibles d'orienter les anticipations sur la politique monétaire de la Fed, car ses missions sont d'assurer à la fois la stabilité des prix et le plein emploi. Tant que l'emploi reste solide, la Fed peut continuer à se concentrer sur la lutte contre l'inflation, qui n'est toujours pas revenue au niveau espéré de 2%, son objectif de long terme.

    Compte tenu de la résistance du marché du travail, nous pensons désormais que le cycle de réduction de la Fed est terminé.

    Adtiya Bhave
    Analyste de la Bank of America

Plus sur Les Marchés

Messages sponsorisés