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Wall Street termine dans le rouge vif, Twitter recule de près de 4%, Tesla s'effondre

La Bourse US a clôturé dans le rouge vif, le Nasdaq s'affichant en recul de près de 4%. Twitter a perdu lui aussi près de 4%, tandis que Tesla a subi quant à elle une véritable douche froide, chutant de plus de 12%.
  • À suivre ce mercredi

    C'est ici que se termine ce live, merci à tous de nous avoir suivis. Les investisseurs devront digérer un tsunami de résultats trimestriels ce mercredi. À Bruxelles, on attend notamment les chiffres de Melexis et MDxHealth.

  • Microsoft dépasse les attentes au T3

    Le chiffre d'affaires trimestriel de Microsoft  a battu les attentes de Wall Street ce mardi, galvanisé par une forte demande pour ses activités basées sur l'informatique dématérialisée ("cloud"). 

    Les particuliers et les organisations se sont, en effet, tournés vers les divers produits de Microsoft, tels qu'Outlook et l'application de messagerie professionnelle Teams, pour communiquer lors du passage au travail et à l'apprentissage à domicile, faisant de l'entreprise un des grands gagnants de la pandémie. 

    Aujourd'hui, avec la réouverture des économies, les entreprises s'orientent de plus en plus vers un modèle hybride permettant au personnel de travailler alternativement au bureau et à domicile. Il en résulte une demande continue pour les services "de cloud" de Microsoft, y compris son produit phare de cloud Azure. 

    Le géant de la tech a ainsi fait état d'un chiffre d'affaires de 49,36 milliards de dollars pour le troisième trimestre de son exercice décalé, contre 41,7 milliards de dollars un an plus tôt. Les analystes tablaient, en moyenne, sur un chiffre d'affaires de 49,05 milliards de dollars, selon les données de Refinitiv IBES. 

    Le bénéfice net par action est, de son côté, passé à 2,22 dollars au cours du trimestre, clos le 31 mars, contre 2,03 dollars par action, un an plus tôt. Les analystes s'attendaient à 2,19 dollars par action, selon les données Refinitiv. 

    L'action gagnait 0,25% dans les échanges d'après-bourse.

  • Résultats décevants pour Alphabet, qui recule après-Bourse

    Alphabet, la maison mère de Google, a publié un bénéfice net de 16,44 milliards de dollars pour le premier trimestre, soit 8% de moins qu'il y a un an, quand le géant de la publicité en ligne avait réalisé un trimestre exceptionnel. A 68 milliards de dollars, son chiffre d'affaires a bondi de 23% sur un an, mais est lui aussi légèrement inférieur aux attentes du marché.

    L'action du groupe californien perdait environ 4% lors des échanges électroniques après la fermeture de la Bourse de New York.

  • Paul Stoffels nouveau président du conseil d'administration de Galapagos

    Galapagos annonce ce mardi que les résolutions proposées lors des assemblées extraordinaires et annuelles des actionnaires ont été approuvées, y compris la mise en place d'une nouvelle structure de gouvernance.

    Le nouveau conseil d'administration a nommé le Dr Paul Stoffels en tant que nouveau président.

    Galapagos a terminé en baisse de 2,5% à la Bourse de Bruxelles.

  • Wall Street plombée par les prévisions des entreprises

    La Bourse de New York a fini en nette baisse alors que les investisseurs s'inquiétaient du ralentissement de la croissance économique mondiale et d'une politique plus agressive de la Réserve fédérale américaine (Fed) pour lutter contre l'inflation. Le Dow Jones a cédé 2,38 à 33.240,18 points. Le S&P 500 a perdu 2,81% à 4.175,20 points. Le Nasdaq a reculé de son côté de 3,95% à 12.490,74 points.

    En amont de la publication après-clôture de leurs résultats trimestriels, Alphabet et Microsoft ont chuté tous deux de près de 4%, confirmant la tendance des dernières semaines lors desquelles les valeurs à forte croissance ont décliné avec la perspective que le relèvement des taux d'intérêt pèsent sur leurs bénéfices. Le solide début de la saison des résultats a été éclipsé par les mesures de confinement imposées en Chine face au Covid-19 et par le resserrement de la politique monétaire des principales banques centrales mondiales du fait de la flambée de l'inflation. Tesla a plongé de 12% et pesé lourdement sur le S&P 500 et le Nasdaq, les investisseurs craignant que le patron du constructeur automobile, Elon Musk, vende une partie de ses actions afin de contribuer au financement de son rachat de Twitter pour 44 milliards de dollars.

    Environ un tiers des compagnies du S&P 500 publient d'ici la fin de semaine leurs résultats trimestriels, dont des géants technologiques. Après Microsoft et Alphabet mardi soir, Apple communiquera ses résultats jeudi; la firme à la pomme a fini la séance en recul de 3,7%. "Les résultats ont dans l'ensemble été plutôt bons. Mais cela n'est pas vraiment important dans le tableau général. Il s'agit plutôt de la Fed et d'autres banques centrales, et désormais de la Chine et du COVID", a commenté Ross Mayfield, stratégiste chez Baird, à Louisville dans le Kentucky.

  • Les marchés US terminent dans le rouge

    Le Dow Jones a perdu 2,38% à 33.240,51 points.

    Le Nasdaq a lâché 3,95% à 12.490,74 points.

    Le S&P 500 a reculé de 2,81% à 4.175,19 points.

  • Le pétrole a repris de la vigueur après la baisse de la veille

    Les prix du pétrole, qui avaient chuté hier par crainte de l'impact sur la demande des confinements en Chine, ont repris de la vigueur après des indications que l'Allemagne s'apprête à se libérer des importations russes.

    Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juin a gagné 2,52% à 104,90 dollars. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain pour livraison le même mois a engrangé 3,20% à 101,70 dollars.

  • Le Sénat US confirme Lael Brainard à la vice-présidence de la Fed

    Le Sénat américain a confirmé la nomination de la gouverneur de la Réserve fédérale (Fed), Lael Brainard, comme vice-présidente de la banque centrale, faisant d'elle la première des quatre candidats choisis par le président Joe Biden à lever cet obstacle procédurier.

    Ce vote de confirmation est intervenu en amont de la réunion de politique monétaire de la Fed, la semaine prochaine, lors de laquelle ses responsables devraient acter des mesures plus agressives pour lutter contre l'inflation galopante, en relevant les taux d'intérêt et en réduisant le bilan de la banque centrale.

  • Twitter perd près de 3%, Tesla 11%

    Twitter affiche toujours une nette baisse à un peu plus d'une heure de la clôture après avoir pris plus de 5% hier lors de l'annonce de son rachat par Elon Musk.

    Le milliardaire dont l'entreprise Tesla souffre très fortement à Wall Street aujourd'hui, perdant tout de même près de 11%.

  • Wall Street toujours nettement dans le rouge

    Le Nasdaq perd un peu moins de 3%, le S&P 500 un peu plus de 2% et le Dow 1,82%.

  • Le pétrole gagne du terrain

    Encore en baisse en début de journée après un repli d'environ 4% lundi, le marché pétrolier est repassé dans le vert après les promesses de soutien à l'économie de la banque centrale chinoise.

    Le Brent gagne 2,76% à 105,14 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) prend 3,11% à 101,60 dollars.

  • Les taux toujours proches de leurs plus hauts

    Les rendements obligataire de référence en Europe ont fini en baisse dans le sillage de ceux des bons du Trésor américain mais restent proches de leurs récents plus hauts, la remontée des taux d'intérêt n'étant pas remise en cause. Celui du Bund allemand à dix ans a ainsi reculé de près de quatre points de base à 0,814%, contre 0,974% au plus haut lundi.

    Son recul a été limité par les déclarations de Marin Kazaks, le gouverneur de la banque centrale de Lettonie, qui n'exclut pas trois hausses de taux de la Banque centrale européenne (BCE) d'ici la fin de l'année.

    Le dix ans américain chute de huit points à 2,7395% mais affiche encore près de 40 points de hausse depuis le début du mois.

  • Le dollar au plus haut depuis 2 ans

    Le dollar continue de bénéficier à la fois de son attrait de valeur refuge et de la perspective de la hausse des taux d'intérêt américains, ce qui lui permet d'évoluer au plus haut depuis deux ans face à un panier de devises de référence (+0,38%).

    À l'inverse, le yuan souffre toujours des craintes d'un ralentissement marquée de la croissance chinoise et l'euro creuse ses pertes à 1,0657, non loin de ses plus bas de mars 2020 (-0,50%). 

  • L'auto, la tech et les banques freinés en Europe

    Alors que la quasi-totalité progressait à mi-séance, une majorité des grands secteurs de la cote européenne a fini la journée en baisse. Les replis les plus marqués sont pour l'automobile, dont l'indice Stoxx a cédé 2,41%, pour les technologiques (-2,25%) et pour les banques (-2,25%). En hausse, les matières premières (+1,13%) et l'énergie (+0,92%) ont profité du rebond des cours du cuivre et du pétrole.

    À Paris, la plus forte hausse du SBF 120 est pour le groupe parapétrolier CGG (+3,77%), la plus forte baisse pour Faurecia (-10,74%) après la suspension du dividende décidée par Forvia, l'ensemble né du rachat de l'allemand Hella.

    Ailleurs en Europe, les banques Santander et HSBC ont perdu respectivement 6,79% et 5,53% après leurs résultats tandis que le géant du transport maritime Maersk gagnait 3,17% après avoir relevé sa prévision de bénéfice annuel. 

  • Wall Street accélère ses pertes, le Nasdaq lâche près de 3%

    La Bourse de New York accélère son recul, plombée par les géants de la tech dont les résultats sont attendus cette semaine. Le Nasdaq glisse de 2,82%, à son plus bas niveau depuis mi-mars.

    Le Dow lâche 1,43% et le S&P 500 1,72%.

  • Le recul de Wall Street a étouffé le rebond des actions en Europe

    Les bourses européennes, Londres exceptée, ont fini en baisse, le repli marqué de Wall Street, où la nervosité monte avant les publications de résultats de poids lourds du marché, ayant eu raison du rebond qui avait marqué la première partie de la séance. À Paris, le CAC 40 a perdu 0,54% à 6.414,57 points après être monté en matinée à 6.535,92 et à Francfort, le Dax a abandonné 1,2% alors qu'à Londres, le FTSE 100 grappillait 0,08% grâce à la bonne tenue des valeurs minières et pétrolières. L'indice EuroStoxx 50 a reculé de 0,96%, le FTSEurofirst 300 de 0,76% et le Stoxx 600 de 0,9% après avoir pris jusqu'à 1%.

    Au moment de la clôture en Europe, Wall Street creusait ses pertes, le Dow Jones cédant 1,62%, le S&P 500 1,98% et le Nasdaq 3,1%. Les investisseurs américains, qui avaient salué en fin de séance hier le feu vert de Twitter à l'offre de rachat d'Elon Musk, privilégient désormais la prudence avant les publications de résultats des plus grosses capitalisations du secteur des hautes technologies: Microsoft et Alphabet présenteront les leurs après la clôture, Meta et Qualcomm mercredi, Apple et Amazon jeudi. En attendant, Microsoft cède 2,63%, Alphabet 3,27% et l'indice S&P des hautes technologies 2,9%.

    "Vu la configuration des marchés, si une seule de ces sociétés technologiques publie des résultats inférieurs aux attentes, cela peut devenir dangereux parce que la pente descendante est glissante", estime Julius de Kempenaer, analyste technique senior de StockCharts.com. Cette nervosité liée aux performances des "techs" et à leur capacité à justifier leur valorisation s'ajoute au regain d'inquiétude suscité par la situation sanitaire en Chine, où Pékin tente d'éviter un confinement à grande échelle, et à la remontée prochaine des taux d'intérêt des grandes banques centrales, Réserve fédérale américaine en tête.

  • Sofina, moins bon performeur du Bel 20 depuis le 1er janvier

  • Le Bel 20 dans le rouge

    L'indice phare de la Bourse de Bruxelles a terminé en recul de 0,30% à 4.112,08 points. Il a été particulièrement lesté par Sofina, qui a perdu plus de 4%. Galapagos a cédé 2,50%, Groupe Bruxelles Lambert 1,86%, Aperam 1,78% et Solvay 1,62%.

    À l'inverse, argenx et VGP s'en sont bien sortis, prenant respectivement 1,91% et 1,24%.

  • Europe | Closing Bell

    Bel 20: -0,30%

    FTSE 100: +0,10%

    DAX: -1,17%

    CAC 40: -0,35%

  • Tesla perd près de 9%

    Tesla chute de 8,67% à 911,49 dollars et continue de vivre mal l'engagement de son patron dans le dossier Twitter. Depuis le début de la saga, le titre du constructeur automobile a perdu près de 20%.

  • UPS sanctionné malgré ses bons résultats

    Le service de messagerie et de livraison UPS est en baisse (-3,30% à 183,38 dollars), malgré des résultat supérieurs aux attentes.

    Le groupe a également confirmé ses objectifs et doublé l'enveloppe de son programme de rachat d'actions.

  • Les taux poursuivent leur baisse

    Après un premier coup de pompe hier, les taux se détendent encore un peu plus aujourd'hui, la crainte d'un trou d'air économique dans les mois à venir l'emportant sur l'inflation et le discours très volontariste des membres de la Banque centrale américaine (Fed). Les investisseurs ont toujours les yeux braqués vers la Chine, où la perspective d'un confinement à Pékin se précise un peu plus d'heure en heure, alors que Shanghai, pourtant déjà confiné, a encore enregistré 17.000 nouveaux cas de coronavirus en 24 heures.

    En moins de trois séances, le rendement des emprunts d'Etat américains à 2 ans s'est contracté de 0,28 point de pourcentage, pour se situer à 2,51%, un mouvement inhabituel sur ce marché. Le rendement à 10 ans est lui aussi en baisse, à 2,74%, contre 2,82% la veille.

  • Wall Street préoccupée par la prudence des entreprises US

    La Bourse de New York a ouvert en baisse, contrariée par quelques prévisions décevantes d'entreprises, et en position d'attente avant les publications des géants de la tech. Le Dow Jones recule de 0,75%, le Nasdaq cède 2,19% et le S&P 500 1,15%. "Il semble que le rebond n'aura pas de suite", a commenté, dans une note, Patrick O'Hare, de Briefing.com, en référence à l'inflexion de lundi, qui avait vu les indices se relever en fin de séance, après avoir atteint, à la baisse, des seuils techniques.

    Avant l'ouverture, Wall Street a reçu une volée de nouvelles publications d'entreprises. "On a vu plusieurs grands noms, dont la plupart ont fait mieux qu'attendu, mais d'autres ont lancé des avertissements", a observé Peter Cardillo, de Spartan Capital. Le conglomérat GE (-9,16% à 81,65 dollars), en passe de se scinder en trois entités distinctes, a fait mieux que pronostiqué par les analystes, pour le chiffre d'affaires et le bénéfice net, mais a indiqué s'orienter vers le bas de la fourchette des objectifs annoncés précédemment. Quant à la compagnie aérienne JetBlue (-5,86% à 12,30 dollars), elle va réduire de 10% le volume de ses vols cet été pour améliorer la fiabilité de ses horaires mais aussi prendre en compte la flambée des prix du kérosène et préserver ses marges.

    De son côté, PepsiCo (+0,85% à 175,22 dollars) a relevé sa prévision de chiffre d'affaires sur l'année mais prévenu que le groupe pourrait continuer à être affecté par la volatilité des cours des matières premières ou les perturbations dans la chaîne d'approvisionnement. "Le marché va probablement être hésitant" mardi, "dans l'attente des résultats de Google (Alphabet) et Microsoft", selon Peter Cardillo. A quelques heures de communiquer leurs chiffres trimestriels, les deux mastodontes de la cote faisaient le dos rond, Alphabet lâchant 2,91% et Microsoft 1,60%. Pour Patrick O'Hare, compte tenu du poids de ces valeurs, associées à Meta (ex-Facebook, -3,02%), qui publie mercredi, ou Apple (-1,43%) et Amazon (-3,24%), dont ce sera le tour jeudi, c'est tout le marché qui se mettait en position d'attente mardi. 

  • Twitter ouvre en baisse de près de 2%

    Au lendemain de l'annonce de son rachat par Elon Musk, le groupe commence la séance en recul d'1,81%.

    En chute libre hier (-12,90%), DWAC, le véhicule coté qui doit accueillir la société de Donald Trump dédiée aux médias se redresse (+3,86% à 37,09 dollars). L'ancien président a annoncé qu'il ne retournait pas sur le Twitter version Elon Musk, même si la possibilité lui en était offerte.

  • Les marchés US ouvrent dans le rouge

    Le Dow Jones cède 0,61% à 33.849,83 points.

    Le Nasdaq lâche 1,27% à 12.844,75 points.

    Le S&P 500 recule de 0,74% à 4.264,14 points.

  • USA: les commandes de biens durables rebondissent moins que prévu en mars

    Les commandes de biens durables aux États-Unis ont rebondi moins que prévu en mars, tirées par le secteur des équipements en télécommunications et le secteur automobile qui ont compensé la baisse notable enregistrée dans le secteur de l'aéronautique civile. Le montant total des commandes s'est élevé à 275 milliards de dollars, en hausse de 0,8% par rapport au mois de février dont les données ont été révisées en hausse.

    Cette hausse est moins forte qu'attendu par les analystes, qui tablaient sur +1,1%.

  • Leonardo cède à Thales sa part dans la joint-venture AAC

    Le groupe de défense italien Leonardo a annoncé que son unité américaine DRS avait accepté de vendre la totalité de sa participation dans la joint-venture Advanced Acoustic Concepts (AAC) à une filiale de son rival français Thales. Thales a confirmé que son unité Thales Defence & Security (TDSI) allait acquérir la participation à parts égales de DRS, soit la pleine propriété d'AAC, spécialisé dans l'acoustique sous-marine, dans le cadre de l'accord définitif devant être finalisé au second semestre.

    L'acquisition s'élève à environ 50 millions d'euros, selon deux sources proches du dossier.

  • Les principales valeurs à suivre à Wall Street

    * GENERAL ELECTRIC a annoncé ce mardi qu'il s'attendait à un bénéfice annuel dans le bas de la fourchette de ses prévisions données en janvier en raison de problèmes continus d'approvisionnement et de la hausse des coûts du fret et des matières premières. Le titre reculait de 3,2% en avant-bourse.

    * 3M gagnait 1,6% en avant-bourse après avoir fait état d'un bénéfice trimestriel au-dessus des attentes, à 2,65 dollars par action, alors que le consensus Refinitiv IBES le donnait à 2,31 dollars.

    * PEPSICO a fait état d'un chiffre d'affaires trimestriel meilleur que prévu et a relevé ses prévisions pour l'ensemble de l'année à la faveur d'une demande soutenue pour ses produits.

    * TWITTER - L'action du réseau social était en légère hausse dans les premiers échanges en avant-bourse au lendemain de l'annonce du feu vert du conseil d'administration à l'offre d'achat d'Elon Musk, qui lui a permis de finir en hausse de 5,7%, mais elle reste sous le prix de cette offre (54,20 dollars).

    * WARNER BROS DISCOVERY a publié un chiffre d'affaires trimestriel en hausse de 13% pour ses premiers résultats depuis la fusion entre Discovery et les actifs médias d'AT&T pour 43 milliards de dollars.

    * UPS a vu son bénéfice ajusté augmenter au premier trimestre, le groupe de livraison de colis ayant profité du dynamisme du commerce en ligne pour relever ses tarifs. Le titre gagnait 3,8% en avant-bourse.

    * DIDI - Le projet du groupe chinois de VTC de coter ses actions en Bourse de Hong Kong est suspendu pour une durée indéterminée, rapporte le quotidien South China Morning Post en citant des personnes proches du dossier.

    * VALERO ENERGY a fait état d'un bénéfice au premier trimestre, à 905 millions de dollars, contre une perte de 704 millions sur la période correspondante l'an dernier.

    * WHIRLPOOL gagnait 3% en avant-bourse malgré la révision à la baisse de ses prévisions annuelles de chiffre d'affaires et de bénéfice en raison du ralentissement de la demande par rapport aux niveaux atteints pendant la pandémie.

    * ALPHABET et MICROSOFT figurent parmi les nombreuses entreprises qui publieront leurs résultats trimestriels après la clôture.

  • Les indices américains devraient repartir à la baisse

    Wall Street est attendue en légère baisse, mais les bourses européennes progressent à mi-chemin d'une séance animée par les publications de résultats, dans un contexte de regain d'appétit pour le risque malgré l'inquiétude que continue de susciter la situation sanitaire en Chine.

    → Les contrats à terme sur les principaux indices new-yorkais signalent une ouverture en recul de 0,29% pour le Dow Jones, de 0,29% pour le Standard & Poor's 500 et de 0,33% pour le Nasdaq.

  • La Banque du Japon prolonge de deux jours ses achats illimités d'obligations

    La Banque du Japon (BoJ) a annoncé qu'elle prolongeait de deux jours un plan de rachats illimités d'emprunts d'État (JBG) à dix ans, faisant tomber leur rendement à son plus bas niveau depuis plus d'une semaine. L'offre de la banque centrale, mercredi dernier, d'acheter un montant illimité d'obligations d'État au cours des quatre séances suivantes n'avait pas permis au rendement des JGB à dix ans de reculer sous 0,245%.

    Mais l'annonce d'une prolongation de l'opération jusqu'à jeudi a ramené ce rendement à 0,230%, son plus bas niveau depuis le 15 avril.

    La BoJ a déjà eu recours à cette mesure exceptionnelle ponctuelle en février et en mars dans le but d'éviter au rendement du dix ans de dépasser 0,25%, le plafond implicite que la BoJ fixe autour de son objectif de 0%, alors même que d'autres banques centrales procèdent à des hausses de taux pour contrer la hausse des prix. Mais contrairement à son évolution dans d'autres grandes économies, l'inflation au Japon reste modérée. La BoJ réunit son comité de politique monétaire mercredi et jeudi.

  • UPDATE | Briefing actions belges

     

  • Le pétrole en baisse, lesté par les craintes de destruction de la demande

    Les prix du pétrole restent en baisse, après des pertes importantes essuyées lundi, toujours plombés par les craintes d'un confinement général à Pékin, comme à Shanghai, risquant ainsi de détruire la demande en or noir.

    La Chine affronte depuis mars une flambée épidémique qui touche à des degrés divers de nombreuses provinces. Elle y répond par une stratégie zéro covid, c'est-à-dire principalement par des mises en quarantaine et des dépistages massifs. "Ces mesures ne sont pas de bon augure pour la croissance de la demande de pétrole dans le plus grand importateur de pétrole brut du monde", commente Tamas Varga, de PVM Energy.

    La ville la plus durement touchée est Shanghai, mais plus d'une centaine de cas positifs ont été également recensés depuis la semaine dernière à Pékin. "À Pékin, des tests de masse sont en train d'être déployés dans toute la capitale, suscitant des inquiétudes quant à un verrouillage de toute la ville, comme à Shanghai, et à ce que cela signifierait pour les perspectives de croissance de la Chine", explique Victoria Scholar, analyste chez Interactive investor.

  • L'euro à un nouveau plus bas en deux ans

    L'euro  baisse à un nouveau plus bas depuis plus en deux ans face au dollar américain, les cambistes tablant sur des données robustes venues des États-Unis, le billet vert profitant, en outre, de son statut de valeur refuge.

    "Le dollar a démarré la semaine en trombe alors que les inquiétudes s'amoncellent sur l'effet économique qu'aura la réponse chinoise à la pandémie de Covid-19, ce qui a poussé les investisseurs vers la sécurité", commente Lukman Otunuga, analyste chez FXTM. Alors qu'un strict confinement de la majorité des habitants de Shanghai paralyse la capitale économique chinoise depuis début avril, les mesures de restrictions pourraient être étendues à Pékin, craignent ses habitants.

    Mais l'euro restait en retrait, car "le risque économique causé par le conflit (en Ukraine) est trop élevé pour profiter de la baisse pour acheter", estime Kit Juckes, analyste chez Société Générale.

  • "Un bon point d'entrée pour acheter l'action VGP"

     

  • AB Foods-Primark va augmenter ses prix face à la pression inflationniste

    La chaîne de magasins de prêt-à-porter Primark va augmenter ses prix en raison de l'inflation, a déclaré sa maison mère Associated British Foods  , qui a également lancé un avertissement sur les marges de ses activités alimentaires. Le groupe britannique a dit qu'il n'a pas été en mesure de compenser entièrement la pression sur les coûts chez Primark, et qu'il va donc devoir appliquer des augmentations de prix sélectives sur une partie de son stock automne/hiver.

    "Nous nous engageons à maintenir notre position de leader en matière de prix et d'accessibilité au quotidien, en particulier dans ce contexte d'incertitude économique accrue", a déclaré le directeur général d'AB Foods, George Weston.

  • Le bénéfice net de Banco Santander en forte hausse au T1

    Le géant bancaire espagnol Banco Santander a dégagé un bénéfice net de 2,54 milliards d'euros au premier trimestre, en hausse de 58% sur un an, grâce notamment à de bonnes performances sur le marché européen. Ce résultat est supérieur aux attentes des analystes interrogés par le fournisseur d'informations financières Factset, qui tablaient en moyenne sur 2,35 milliards de bénéfice. Il est également plus élevé que le chiffre du dernier trimestre 2021 (2,27 milliards d'euros).

    "Le premier trimestre a été très solide", s'est félicitée, dans un communiqué, la présidente de Santander, Ana Botin, en mettant en avant la "hausse du nombre de clients" du groupe bancaire et la "progression de ses revenus". La banque espagnole précise disposer désormais de 155 millions de clients dans le monde, soit sept millions de plus qu'au premier trimestre 2021. Parmi eux, 49 millions sont des clients des services en ligne de Santander.

  • Le point sur la séance

    Les principales bourses européennes évoluent en hausse prudente en début de séance après la clôture positive de Wall Street et des résultats d'entreprises contrastés tandis que les incertitudes sur l'économie et la crise sanitaire en Chine demeurent.

    → À Bruxelles, le Bel 20 grimpe de 0,94%. Ailleurs en Europe, le CAC 40 gagne 0,4%, le FTSE 100 prend 0,67% et, à Francfort, le Dax avance de 0,84%. L'indice EuroStoxx 50 est en hausse de 0,67%, le FTSEurofirst 300 de 0,88% et le Stoxx 600 de 0,62%.

    Le début de séance en Europe est animé par une nouvelle série de résultats d'entreprises. L'équipementier automobile Faurecia cède 2,14% après la suspension du versement d'un dividende annuel et les prévisions prudentes de Forvia, issu du rachat de Hella. En tête du Stoxx 600, le géant danois du transport Moller-Maersk prend 6,44% après des résultats trimestriels meilleurs qu'attendu et une prévision d'excédent brut d'exploitation relevée.

    UBS s'octroie 2,43% après avoir publié son meilleur bénéfice net en 15 ans, déjouant les attentes du marché. Toujours dans le domaine bancaire, HSBC abandonne 1,47% à Londres après avoir annoncé une baisse de bénéfice au premier trimestre et qu'un nouveau programme de rachat d'actions était peu probable cette année.

  • Sipef se remet du choc de l'interdiction d'exportation

    Sipef  est l'une des plus fortes hausses sur Euronext Brussels aujourd'hui. La holding gagne environ 4%, compensant complètement la perte de 3,4 % enregistrée lundi. Cette perte a été causée par l'Indonésie, qui avait annoncé une interdiction (temporaire) des exportations d'huile de cuisson à partir du jeudi 28 avril.

    Toutefois, la confusion régnait quant à savoir si l'interdiction s'appliquerait uniquement à l'huile de cuisson, à l'huile de palme raffinée ou également à l'huile de palme brute. François Van Hoydonck, le CEO de Sipef, a expliqué lundi que l'interdiction ne s'appliquerait qu'à l'huile de cuisson. Le ministère indonésien de l'Agriculture a confirmé ce mardi matin qu'il s'agissait uniquement de l'"oléine de palme RBD" et non de l'huile de palme (brute).

  • Maersk revoit à la hausse ses objectifs financiers

    Après un bénéfice record en 2021, le géant danois du transport maritime AP Møller-Maersk continue de profiter à plein de la surchauffe du secteur et devrait dépasser ses objectifs financiers en 2022.

    Pour le premier trimestre, Maersk table sur un chiffre d'affaires de 19,3 milliards de dollars (17,1 milliards d'euros), un ebitda sous-jacent de 9,2 milliards de dollars et un ebit sous-jacent de 7,9 milliards de dollars. "Ce résultat solide s'explique par la poursuite de la situation de marché exceptionnelle au sein du secteur 'Océan', qui a entraîné une baisse de 7% des volumes et une augmentation moyenne de 71% des taux de fret par rapport au T1 2021", a expliqué le numéro un du transport des conteneurs dans un communiqué.

  • Voici le briefing actions belges

     

  • Intervest O&W acquiert un projet logistique à Zeebrugge

    La société immobilière Intervest Offices & Warehouses  a acquis 100% des actions de Lingang Overseas Zeebrugge Modern Industrial Park Development Company et reçoit ainsi 15 ha de terrain en concession dans la Zone logistique maritime (MLZ) de Zeebrugge, où un site de 73.000 m² sera développé. Le prix d’acquisition du bien immobilier pour le calcul du prix des actions s’élève à environ 78 millions d'euros.

    La livraison de l’ensemble du site est prévue en septembre 2022. Lire le communiqué

  • Les principales hausses/baisses en Europe

  • Les principales valeurs à suivre en Europe

    * ORANGE a publié un bénéfice d'exploitation de base (ebitdal) du premier trimestre en hausse de 1%, la croissance de ses activités en Afrique et au Moyen-Orient ayant compensé la baisse des ventes en Espagne et en France. Le groupe a annoncé, par ailleurs, ne pas avoir pour projet de vendre son réseau de poteaux téléphoniques.

    * FAURECIA, HELLA - Forvia, issu du rachat de Hella par Faurecia, a vu ses ventes du premier trimestre augmenter de 1,1% en données organiques, à 5,3 milliards d'euros, et anticipe pour l'exercice 2022 des ventes comprises entre 23 et 24 milliards d'euros et une marge opérationnelle de 4% à 5%.

    * ALSTOM a annoncé ce mardi avoir déposé une demande d'arbitrage devant la Chambre de commerce internationale sur son acquisition de Bombardier Transport. La demande porte sur le manquement à certaines dispositions contractuelles de l'accord de vente.

    * ORPEA, dans la tourmente depuis fin janvier sur fond d'accusations de manquements dans la prise en charge des résidents de ses maisons de retraite, a annoncé, ce mardi, le report de la présentation de ses résultats annuels et la publication des premiers résultats des audits externes indépendants.

    * HSBC a publié, ce mardi, une baisse plus importante que prévu de son bénéfice trimestriel et a écarté la possibilité de procéder à davantage de rachats d'actions cette année alors que la hausse de l'inflation et l'incertitude économique due à la guerre en Ukraine devraient affecter ses perspectives.

    * UBS a publié, ce mardi, une croissance inattendue de son bénéfice net au premier trimestre grâce au dynamisme des transactions.

    * NOVARTIS a fait état d'une augmentation inférieure aux attentes de son résultat opérationnel au premier trimestre, la croissance des ventes de ses nouveaux médicaments ayant été partiellement compensée par des effets de change défavorables.

    * SANTANDER a publié, ce mardi, un bénéfice net au premier trimestre en progression de 58% sur un an grâce à des résultats en hausse en Europe et à une solide performance en Amérique du Sud.

    * BAYER - Le groupe allemand a déclaré lundi soir avoir connu un début d'année "très réussi" grâce, entre autres, à ses activités destinées aux marchés agricoles et il a confirmé sa prévision de bénéfice d'exploitation par action annuel hors effets de change.

    * BMW et Audi, du groupe VOLKSWAGEN, ont suspendu les livraisons de voitures par trains de l'Allemagne vers la Chine en raison de la guerre en Ukraine, rapporte le quotidien économique Nikkei ce mardi.

    * ASSOCIATED BRITISH FOODS a publié un bénéfice semestriel quasiment multiplié par deux grâce à l'amélioration des performances de sa marque Primark avec l'assouplissement des restrictions sanitaires.

    * MAERSK a revu à la hausse sa prévision d'excédent brut d'exploitation annuel après des résultats en hausse au T1.

    * VALNEVA et Pfizer ont annoncé, ce mardi, des données pédiatriques positives de Phase II pour leur candidat vaccin contre la maladie de Lyme, VLA15. 

  • La Bourse de Bruxelles bien orientée à l'ouverture

  • | OPENING BELL |

    AEX +1,49%

    CAC 40 +0,80%

    BEL 20 +0,77%

  • Martins Kazaks: "La BCE peut envisager deux ou trois hausses de taux cette année"

    La Banque centrale européenne (BCE) a suffisamment de marge pour relever ses taux d'intérêt jusqu'à trois reprises cette année, a déclaré Martins Kazaks, l'un des membres du Conseil des gouverneurs, qui plaide pour un retrait rapide des mesures de soutien à l'économie. "Une hausse des taux en juillet est possible et raisonnable", a-t-il dit dans d'un entretien à Reuters. "Les marchés évaluent deux ou trois hausses de 25 points de base d'ici à la fin de l'année. Je n'ai aucune raison de m'y opposer, c'est un point de vue tout à fait raisonnable à adopter."

    "Que cela se produise en juillet ou en septembre n'est pas dramatiquement différent, mais je pense que juillet serait une meilleure option", a ajouté le gouverneur de la banque centrale de Lettonie. Il estime que, dans un premier temps, la BCE devrait relever ses taux de 25 points de base et qu'il n'y a pas de raison particulière pour que la banque centrale s'arrête dans la normalisation de sa politique une fois que les taux seront revenus à zéro, même s'il s'agit d'un seuil psychologique.

  • Les marchés européens devraient connaître un répit après deux jours de fortes pertes

    Les marchés européens devraient connaître, ce mardi, "un répit après deux jours de fortes pertes, provoquées par les inquiétudes concernant l'économie chinoise et le calendrier de resserrement monétaire des banques centrales."

    Michael Hewson
    Analyste de CMC Markets

  • La Big Tech attendue au tournant à Wall Street

    C’est la semaine la plus chargée de la saison des résultats trimestriels à Wall Street, et les géants technologiques américains en seront sans aucun doute le point d’orgue. Le bal sera ainsi ouvert dès ce mardi avec Alphabet, la maison mère de Google, et Microsoft à la clôture des échanges boursiers. Suivront ensuite Meta (Facebook) dès mercredi, avant Apple et Amazon jeudi. D’autres sociétés du secteur, moins fortement valorisées, sont également attendues au rapport, comme Twitter, PayPal ou encore Spotify.

  • Le bénéfice net de Novartis en hausse de 8% au T1

    Le géant pharmaceutique suisse Novartis a publié un bénéfice net en hausse de 8% au premier trimestre, à 2,2 milliards de dollars (2 milliards d'euros). Son chiffre d'affaires s'est accru de 1% par rapport au premier trimestre l'an passé, à 12,5 milliards de dollars, porté par sa division pharmaceutique et par une normalisation de ses activités au sein de sa filiale Sandoz, spécialisée dans les médicaments génériques, dont les ventes avaient pâti de la pandémie début 2021.

    Sa filiale Sandoz, quant à elle, a vu ses ventes en monnaies locales remonter de 8%, à 2,4 milliards de dollars, après un recul au premier trimestre 2021 durant les confinements qui avaient fait baisser la demande pour les traitements pour la toux et les rhumes hivernaux. L'examen de la stratégie de cette filiale progresse, le groupe prévoyant toujours de prendre une décision d'ici "fin 2022 au plus tard", précise-t-il dans son communiqué.

  • Le chiffre d'affaires d'Orange en légère hausse au T1

    Le géant français des télécoms Orange   a enregistré un chiffre d'affaires en hausse de 0,7% sur un an, à 10,58 milliards d'euros, au premier trimestre 2022. Il a été tiré notamment par la zone Afrique et Moyen-Orient et les services de détail. Sur la période, l'excédent brut d'exploitation après loyers (ebitdaal), principal indicateur de rentabilité du groupe, atteint 2,62 milliards d'euros (+1,0%). "Une performance qui conforte l'atteinte de l'objectif 2022 d'une progression entre 2,5% et 3%" de l'ebitdaal, a indiqué Orange dans un communiqué.

    Pour 2023, Orange confirme l'objectif d'un "cash-flow" (flux de trésorerie) organique des activités télécoms d'au moins 3,5 milliards d'euros.

  • Euronav vend un nouveau vaisseau

    Euronav  , un groupe belge spécialisé dans le transport maritime de produits pétroliers, annonce que le Suezmax Bari (2005 - 159 186 tpl) a été vendu pour 21,5 millions de dollars. Cela représente une plus-value d'environ 6,5 millions de dollars, qui sera enregistrée au deuxième trimestre.

    Le navire a été acquis en novembre 2019 dans le cadre d'une coentreprise à parts égales avec des sociétés affiliées de Ridgebury Tankers et des clients de Tufton Oceanic. Lire le communiqué

  • EssilorLuxottica lance une action en justice contre JP Morgan

    EssilorLuxottica   a engagé une action en justice contre JP Morgan aux États-Unis, selon des documents enregistrés lundi soir auprès d'un tribunal fédéral à New York. Le géant franco-italien des lunettes et des verres optiques accuse la banque américaine d'avoir failli à détecter des signaux suggérant des transferts frauduleux et à prévenir son client, cible d'une vaste fraude orchestrée par un groupe de pirates informatiques internationaux pour un montant d'environ 272 millions de dollars.

  • Le dogecoin s'enflamme après le rachat de Twitter par Musk

    Le dogecoin, la cryptomonnaie symbolisée par le "meme" du chien de race Shiba-Inu qui a longtemps été un favori d'Elon Musk, gagne environ 25% après que l'entrepreneur milliardaire a acheté Twitter. "Elon a ouvertement soutenu le dogecoin et a précédemment parlé favorablement de cette crypto", explique Teong Hng, directeur général de la société d'investissement en crypto Satori Research. "Le marché anticipe qu'il pourrait intégrer le dogecoin comme système de paiement, d'où ce rally."

    Les autres cryptomonnaies, du bitcoin à l'éther en passant par le solana et le polkadot, sont restées relativement stables. 

  • Mithra CDMO s'allie avec MedinCell contre le paludisme

    Mithra   a signé un accord de partenariat avec MedinCell pour le développement de deux produits injectables à action prolongée au sein de son Mithra CDMO situé à Liège.

    • Le produit candidat "mdc-STM" de MedinCell est une formulation injectable d'ivermectine à action prolongée (3 mois) visant à réduire la transmission du paludisme, en tuant les moustiques porteurs lorsqu'ils piquent les personnes traitées.
    • Le produit candidat de MedinCell "mdc-GRT" est un traitement sous-cutané à base d'immunosuppresseur tacrolimus pour prévenir le rejet de greffe chez les patients ayant subi une transplantation d'organe.

    "Ces technologies basées sur une libération prolongée et contrôlée du médicament présentent de nombreux avantages pour les patients et offrent des alternatives à la fois efficaces et abordables pour le traitement de maladies chroniques ou pandémiques, comme le paludisme", indique Renaat Baes, Site Director du Mithra CDMO, dans le communiqué.

  • Xior constate une nouvelle ruée vers les kots d'étudiants

    La société immobilière Xior  , spécialisée dans les logements pour étudiants, a enregistré des résultats "conformes aux attentes" pour le premier trimestre. Le résultat EPRA - part du groupe - a bondi de 41%, à 10,17 millions d'euros, soit 0,37 euro par action. Même croissance pour le résultat locatif net, qui atteint 24,81 millions d'euros.

    "Tout comme l’année dernière, il y a une recherche énorme de chambres dans les quatre pays où Xior est active. Début mars, les équipes de location ont à nouveau reçu beaucoup de demandes plus tôt que d’habitude et plusieurs villes ont même déjà été entièrement louées", constate la société dans son communiqué. "Tout comme l’année dernière, la saison locative a débuté nettement plus tôt et des taux de rétention plus élevés (jusqu’à 80%) ont été observés. Dans les pays où la saison locative n’a pas encore commencé officiellement, les demandes sont déjà nombreuses, ce qui donne lieu à des listes d’attente."

    Le taux d'endettement passe de 47,58% à 49,10% fin décembre.

  • Onward Medical armée jusqu'en 2024

    Année 2021 effectuée dans des "conditions contraignantes", mais qui aboutit quand même aux objectifs escomptés. C'est en ces termes que Dave Marver, CEO, présente les résultats annuels de la medtech néerlandaise Onward  .

    Le spécialiste du développement de thérapies visant à restaurer le mouvement affiche sur l'année une perte d'exploitation qui s'est creusée à 28,6 millions d'euros, pour une perte nette accrue à 34,3 millions d'euros, soit -3,62 euros par action.

    À la fin de la période, la trésorerie ressortait à 89,4 millions d'euros. "Nous avons réalisé avec succès deux levées de fonds importantes, dont une introduction en bourse qui a attiré un groupe d'investisseurs de grande envergure des États-Unis, d'Europe et du monde entier. Enfin, nous avons un bilan solide, avec des liquidités pour faire face aux opérations jusqu'à fin 2024. Néanmoins, nous continuerons à explorer les options permettant de lever encore plus de capitaux et d'augmenter nos liquidités par le biais d'activités de financement", lit-on dans un communiqué.

  • UBS enregistre une hausse surprise de son bénéfice au T1

    UBS a enregistré une hausse de 17% de son bénéfice net au premier trimestre, grâce à la vigueur des transactions, contrecarrant les attentes d'une baisse des bénéfices dans un contexte d'incertitudes liées à la guerre en Ukraine. Le bénéfice net de 2,136 milliards de dollars pour le trimestre clos en mars a dépassé les attentes moyennes de 1,79 milliard de dollars, selon un sondage de 21 analystes compilé par la banque suisse.

    "Au premier trimestre, nous sommes restés concentrés sur l'exécution de notre stratégie, la stabilité pour nos clients et la gestion des risques", a déclaré le directeur général Ralph Hamers dans un communiqué. "Nos solides résultats d'aujourd'hui témoignent de notre capacité à atteindre nos objectifs, quelle que soit la toile de fond."

  • Baisse de plus d'un quart du bénéfice net d'HSBC au T1

    La banque HSBC   a annoncé une baisse de plus d'un quart de son bénéfice net au premier trimestre 2022, le patron du géant bancaire invoquant des pertes sur créances plus importantes que prévu, une forte inflation et la guerre en Ukraine. De janvier à mars, HSBC a réalisé un bénéfice net de 2,803 milliards de dollars américains, contre 3,880 milliards lors de la même période de 2021, a indiqué le groupe dans un communiqué.

    "L'augmentation des prêts dans tous les secteurs d'activité et toutes les régions, la bonne croissance dans les services bancaires aux particuliers, l'assurance et le financement du commerce sont de bon augure pour les trimestres à venir", a cependant souligné le CEO du groupe Noel Quinn.

  • Les marchés européens attendus en forte hausse

  • Japon: nouveau repli du chômage en mars

    Le chômage au Japon s'est établi à 2,6% de la population active en mars, une nouvelle petite baisse alors que des restrictions sanitaires instaurées en début d'année à cause du variant Omicron étaient levées. Les économistes du consensus Bloomberg s'attendaient à un taux stable à 2,7%, comme en février.

    Le chômage dans le pays est ainsi revenu en mars à son plus bas niveau depuis avril 2020, dans la phase initiale de la pandémie de Covid-19. "L'emploi devrait continuer à s'améliorer dans les mois à venir, à condition que la réouverture (de l'économie japonaise, NDLR) ne soit pas de nouveau contrariée" par un nouveau variant inquiétant, selon une note de Capital Economics.

  • Good morning!

    Bonjour à toutes et tous! Bienvenue sur le "Market Live" de L'Echo, où vous pourrez suivre "minute par minute" les grandes tendances de l'actualité économique et financière de ce mardi 26 avril 2022.

    Au menu: grosse journée pour les investisseurs en termes de résultats trimestriels. On attend notamment les chiffres des géants technologiques Alphabet et Microsoft.

    Les principaux indices asiatiques évoluent en forte hausse ce matin. Le Nikkei 225 grimpe de 0,72% à Tokyo, le Hang Seng prend 1,89% à Hong Kong et l'indice composite de la Bourse de Shanghai gagne 0,94%.

    ©REUTERS

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