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Wall Street termine dans le vert | Twitter a bondi après son rachat

Wall Street a clôturé en hausse. C'est désormais officiel: Elon Musk a racheté Twitter au prix de 54,20 dollars par action. L'action, suspendue peu de temps avant l'annonce, a repris et a fini en hausse de 5,6%.
  • À suivre ce lundi

    C'est ici que se termine ce live, merci à tous de nous avoir suivis. Grosse journée ce mardi pour les investisseurs en termes de résultats trimestriels. On attend notamment les chiffres des géants technologiques Alphabet et Microsoft.

  • Wall Street rebondit, Twitter prend plus de 5%

    La Bourse de New York a fini en hausse, le Nasdaq terminant en forte hausse après l'annonce du rachat de Twitter par le milliardaire Elon Musk, et tirant les valeurs de croissance. Le Dow Jones a gagné 0,63% à 34.026,09 points. Le S&P 500 a pris 0,54% à 4.295,02 points. Le Nasdaq, tiré par le titre Twitter, a enregistré la plus forte hausse (+1,23%) à 12.996,64 points.

    Wall Street évoluait dans le rouge à mi-séance, les craintes d'un ralentissement marqué de l'économie chinoise incitant au repli sur les emprunts d'Etat et sur le dollar tout en plombant le pétrole et les matières premières. L'indice sectoriel S&P de l'énergie a chuté en raison de la baisse de près de 5% du prix du Brent, qui se rapproche des 100 dollars le baril. Les majors pétrolières Chevron et ExxonMobil, ainsi que les sociétés de services pétroliers Schlumberger et Halliburton, ont accusé des pertes de 2 à 7%.

    Côté valeurs de croissances, Twitter a bondi de près de 6% après l'annonce de son rachat par Elon Musk pour 44 milliards de dollars. Alphabet, propriétaire de Google, a progressé avant la publication de son rapport trimestriel mardi après bourse. Microsoft et Meta Platforms, propriétaire de Facebook, ont également enregistré des gains. Près d'un tiers des entreprises de l'indice S&P 500 doivent publier leurs résultats cette semaine.

  • Wall Street | Closing Bell

    Dow Jones: +0,71%

    S&P: +0,58%

    Nasdaq: +1,30%

  • Les confinements en Chine et le dollar fort font plier le pétrole

    Les cours du pétrole ont un peu perdu pied lundi avec la crainte qu'un éventuel confinement massif en Chine, pour faire face à la résurgence du Covid-19 à Shanghai et Pékin, ne déprime la demande d'énergie.

    L'idée que des confinements puissent empêcher les déplacements mais également limiter l'activité industrielle a fait perdre 4,06% au baril de Brent, pour livraison en juin, qui a conclu à 102,32 dollars. En séance, le baril de pétrole de la Mer du Nord est même brièvement passé sous la barre des 100 dollars à 99,66 dollars (-6,55%) pour la première fois depuis deux semaines.  

    Le baril de West Texas Intermediate (WTI) pour livraison le même mois, référence américaine, a cédé 3,45% à 98,54 dollars. Il est aussi descendu en séance au seuil de 95 dollars (-6,50%), proche de son plus bas depuis le début de la guerre en Ukraine. "On a le Covid qui s'étend à Pékin et avec cela, l'inquiétude qu'un confinement général soit imposé" dans la capitale chinoise, a indiqué Bob Yawger de Mizuho USA. 

  • L'euro au plus bas depuis 25 mois face au dollar

    L'euro est descendu lundi, face au dollar, à son plus bas niveau depuis le début de la pandémie de coronavirus, victime du spectre d'un ralentissement économique et du discours musclé de la Banque centrale américaine (Fed). Vers 20h50, la monnaie unique baissait de 0,68%, à 1,0716 dollar pour un euro. Plus tôt, elle avait plongé jusqu'à 1,0697 dollar, pour la première fois depuis le 23 mars 2020.  

    Le "greenback" emportait quasiment tout sur son passage, décrochant un plus haut de 19 mois par rapport à la livre sterling, et de 22 mois face au franc suisse. "Il y a un mouvement général d'aversion au risque", a expliqué Kathy Lien, de BK Asset management, corrélé à une "préoccupation croissante quant à (...) la possibilité d'une contraction" économique "dans plusieurs pays". Guerre, inflation et, en Chine, pandémie, menacent de gripper la croissance, au point de provoquer une récession, s'alarment les cambistes.  "Du coup, cela bénéficie au dollar", adossé à une économie américaine "qui semble faire mieux" que la plupart des autres grandes nations. 

  • Tesla perd plus d'1% après l'annonce du rachat de Twitter

    Tesla a accusé le coup juste après l'annonce, cédant directement plus de 2%, avant de se redresser un peu.

  • La cotation de Twitter reprend

    Le titre s'affiche maintenant en hausse de 6,5%.

  • Twitter officialise son rachat

    Elon Musk a passé un accord avec le conseil d'administration de Twitter pour racheter le réseau social au prix de 54,20 dollars par action, ce qui le valorise à environ 44 milliards de dollars, annonce Twitter dans un communiqué.

    Le patron de Tesla et homme le plus riche au monde devient donc le propriétaire de la plateforme qu'il considère comme "la place publique numérique où les sujets vitaux pour le futur de l'humnité sont débattus", d'après une citation dans le communiqué.

  • L'action Twitter suspendue à Wall Street dans l'attente d'une annonce

    La cotation de l'action Twitter est suspendue à Wall Street, dans l'attente d'une annonce, indique la Bourse de New York NYSE.

    Cette annonce est en réalité l'officialisation du rachat du groupe par le milliardaire Elon Musk.

  • Musk rachète Twitter pour 44 milliards de dollars

  • Twitter accentue sa hausse

    Le titre du groupe avance désormais de plus de 5%, alors que l'annonce de son rachat par Elon Musk est considérée par beaucoup comme "imminente".

  • Les taux reculent

    Le repli sur les valeurs refuges lié à la situation sanitaire en Chine s'est traduit par un repli marqué des rendements dans la zone euro: en fin de séance, celui du Bund allemand à dix ans reculait de plus de 13 points de base à 0,83%, pour revenir à son niveau du 14 avril, jour de la réunion de la Banque centrale européenne (BCE). Son équivalent français perdait alors 11 points à 1,309%.

    Sur le marché américain, le rendement des bons du Trésor à dix ans cède plus de 14 points à 2,7622% et revient lui aussi à son niveau du 14 avril.

  • L'euro au plus bas depuis mars 2020

    Déjà favorisé par la perspective d'une hausse plus rapide des taux américains, le dollar profite à plein du regain d'aversion au risque: l'indice qui mesure ses fluctuations par rapport à un panier de devises de référence, en hausse de 0,56%, a atteint son plus haut niveau depuis plus de deux ans. L'euro revient à 1,0706 dollar (-0,82%), au plus bas depuis mars 2020.

    Le yuan chinois, en repli pour la troisième séance d'affilée, est lui revenu au plus bas depuis un an face au billet vert, malgré l'annonce par la Banque populaire de Chine d'une réduction des réserves de change obligatoires des banques.

  • Le pétrole en très nette baisse

    La crainte d'un ralentissement de la croissance mondiale qui pèserait sur la demande d'énergie favorise le repli des cours du pétrole, qui ont pourtant déjà cédé environ 5% la semaine dernière, un mouvement accentué par l'appréciation du dollar.

    Le Brent abandonne ainsi 6,41% à 99,81 dollars le baril après un plus bas de deux semaines à 99,56 et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) cède 6,38% à 95,56 dollars.

  • Baisse des actions et du pétrole, repli général sur les valeurs refuges

    Les bourses européennes ont terminé en net repli, les craintes d'un ralentissement marqué de l'économie chinoise incitant au repli sur les emprunts d'Etat et sur le dollar tout en plombant le pétrole et les matières premières. À Paris, le CAC 40 a perdu 2,01% à 6.449,38 points, sa plus mauvaise clôture depuis le 15 mars. À Londres, le FTSE 100 a reculé de 1,88% et à Francfort, le Dax a abandonné 1,54%. L'indice EuroStoxx 50 a cédé 2,15%, le FTSEurofirst 300 1,79% et le Stoxx 600 1,81%.

    Les marchés chinois ont vécu leur pire séance depuis février 2020, avec une chute de 5,13% pour l'indice SSE Composite de Shanghaï, le lancement d'une campagne massive de détection du Covid-19 dans l'un des plus grands quartiers de Pékin faisant craindre un nouveau confinement strict, et donc un violent coup de frein à l'activité économique. Cette perspective inquiète d'autant plus que l'économie américaine risque de souffrir dans les prochains mois de la remontée rapide des taux d'intérêt que la Réserve fédérale semble désormais privilégier.

    Face à ces facteurs et dans le contexte de la guerre en Ukraine, la victoire d'Emmanuel Macron à la présidentielle française peine à influencer les marchés, d'autant qu'elle était déjà en grande partie intégrée dans les cours.

  • Moins bon performeur du jour, Aperam perd plus de 25% depuis le 1er janvier

  • Le Bel 20 n'échappe pas à la tendance négative

    L'indice phare de la Bourse de Bruxelles a terminé sur une baisse d'1,51% à 4.124,27 points. Il a été particulièrement freiné par Aperam (-6,17%), Umicore (-4,53%), Ageas (-4,06%) et Sofina (-3,77%).

    Cinq valeurs ont réussi à garder la tête hors de l'eau: il s'agit de Galapagos (+1,50%), Colruyt (+0,87%), Warehouses de Pauw (+0,63%), Elia (+0,34%) et argenx (+0,10%).

  • Europe | Closing Bell

    Bel 20: -1,51%

    FTSE 100: -1,70%

    DAX: -1,50%

    CAC 40: -1,95%

  • Le luxe accuse le coup

    Des craintes sur l'activité en Chine ne sont jamais de bon augure pour le secteur du luxe, très dépendant de ce marché. Prada, coté à Hong Kong, a chuté de 5,05%. En Europe, Richemont et Burberry accusent un repli de respectivement 5,07% et 4,31%, quand Kering recule de 4,20%, Moncler de 3,6% et LVMH de 3,10%.

  • Les matières premières fortement affectées

    Sur les marchés du pétrole et des métaux les prix chutent, avec la perspective d'une demande limitée en Chine, premier importateur mondial de matières premières. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juin baisse de 5,66% à 100,62 dollars. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain pour livraison le même mois cède lui aussi 5,61% à 96,38 dollars.

    Les majors pétrolières américaines comme Exxon Mobil (-4,65%) suivent le mouvement de leurs homologues européennes, BP perdant 4,10%, Shell 3,66% ou encore TotalEnergies 2,69%. Les métaux sont aussi touchés, tout comme les actions des minières: ArcelorMittal recule de 6,30%, Anglo American de 6,17%, Glencore de 5,06% et Rio Tinto de 3,71%.

  • Sodexo négocie avec CVC l'ouverture du capital du pôle tickets-restaurants

    Le groupe de restauration collective Sodexo est en négociation avec le fonds CVC en vue d'une ouverture du capital de son pôle de tickets-restaurants, rapporte le journal Les Echos. Le quotidien ajoute que Sodexo négocie la cession potentielle de 20% à 30% du capital de sa division "Avantages et Récompenses".  Sodexo valorise l'ensemble du pôle à un montant pouvant atteindre quatre milliards d'euros, selon le quotidien, qui cite plusieurs sources.  

    À la Bourse de Paris, l'action Sodexo avance de 2,28% contre un repli de 1,4% pour le CAC 40.

  • +3,5% pour Twitter

    Le titre s'affiche en hausse de 3,51% à l'ouverture de Wall Street. Twitter aurait en fait réexaminé la proposition d’achat d’Elon Musk, alors que le milliardaire a confirmé avoir sécurisé la somme de 46,5 milliards de dollars pour l'acquérir. Le réseau social serait sur le point d'accepter l'offre et pourrait même l'annoncer ce lundi.

  • Wall Street ouvre en baisse, la morosité persiste

    La Bourse de New York a ouvert en nette baisse, l'évolution de l'épidémie de Covid-19 en Chine attisant les craintes de ralentissement économique chez des investisseurs déjà préoccupés par la remontée des taux d'intérêt. Le Dow Jones perd 0,58% à 33.615,48 points. Le S&P 500 recule de 0,66% à 4.243,5 points. Le Nasdaq cède 0,26% à 12.806,20. L'indice de volatilité VIX, baromètre très suivi de la nervosité des investisseurs, évolue au plus haut depuis le 16 mars.

    Les principaux indices boursiers chinois ont subi lundi leur pire recul depuis février 2020 et les actions européennes reculent de plus de 1%, les marchés redoutant de voir les autorités chinoises confiner une partie de Pékin pour tenter de freiner la propagation du Covid-19. Ce risque, qui freinerait forcément la deuxième économie mondiale, pèse entre autres sur les cours du pétrole et de nombreuses matières premières, ainsi que sur les valeurs de ces deux secteurs, comme Chevron (-3,70%) ou Dow (-1,47%).

    Les craintes pour la Chine et la perspective d'une hausse accélérée des taux directeurs de la Réserve fédérale à partir de la semaine prochaine incitent d'autant plus les investisseurs à la prudence que la semaine qui commence sera l'une des plus chargées du trimestre en publications de résultats. À l'agenda des prochains jours figurent entre autres des poids lourds comme Apple, Amazon, Microsoft et Alphabet . Parmi les sociétés qui ont publié avant l'ouverture, Coca-Cola gagne 2,25%, profitant d'un chiffre d'affaires supérieur aux attentes.

  • Les marchés US ouvrent dans le rouge

    Le Dow Jones perd 0,55% à 33.368,06 points.

    Le Nasdaq cède 0,33% à 12.793,34 points.

    Le S&P 500 lâche 0,29% à 12.803,70 points.

  • La BPC va réduire le taux de réserves de changes des banques

    La Banque populaire de Chine (BPC) a annoncé qu'elle allait assouplir ses exigences en matière de réserves de changes dans le but de ralentir la dépréciation du yuan. A partir du 15 mai, le taux de réserves obligatoires de changes que les banques doivent détenir à la banque centrale sera abaissé de 100 points de base, le ramenant de 9% à 8%, afin "d'améliorer la capacité des institutions financières à utiliser les fonds en devises", a indiqué dans un communiqué la BPC.

    En décembre 2021, la BPC avait relevé ce ratio pour les institutions financières de 200 points de base pour rendre plus onéreuse la détention de dollars par les banques chinoises.

  • Facebook devant la justice britannique pour défendre le rachat de Giphy

    Meta  , maison mère de Facebook, est devant la justice pour tenter de faire annuler une décision du gendarme de la concurrence britannique (CMA) qui lui demande d'abandonner sa fusion avec le spécialiste des animations courtes sur internet Giphy.

    Meta fait appel au cours d'un procès qui doit durer quatre jours devant le tribunal d'appel de la concurrence de Londres. La décision ne sera pas forcément rendue à l'issue de l'audience et pourrait en outre elle aussi faire l'objet d'un recours.

    Au terme d'une enquête approfondie qui s'est étirée sur neuf mois et a conduit la CMA à examiner plus de 280.000 documents internes à Meta et à Giphy, le régulateur avait dit craindre que l'acquisition ne favorise la position de marché déjà dominante de Facebook dans la publicité en ligne et par rapport aux autres réseaux sociaux.  "Cette fusion a combiné l'important pouvoir de marché de Meta (...) avec la position de Giphy en tant que fournisseur principal" de Gif au Royaume-Uni, a indiqué la CMA lundi dans une déclaration transmise à l'AFP. 

  • Les principales valeurs à suivre à Wall Street

    * TWITTER gagne 5,6% dans les échanges en avant-Bourse après des informations selon lesquelles le réseau social est sur le point d'accepter l'offre l'achat du milliardaire Elon Musk à 54,20 dollars par action. 

    * COCA-COLA a fait état lundi d'une croissance de son chiffre d'affaires trimestriel plus forte qu'attendu grâce à la hausse des prix et au rebond de la demande dans la restauration et les cinémas.

    * ACTIVISION BLIZZARD, en cours de rachat par Microsoft, a publié lundi un chiffre d'affaires ajusté inférieur aux prévisions pour le premier trimestre, en raison de la faible demande pour le dernier volet de la franchise "Call of Duty".

    * PFIZER perd 1,1% en avant-Bourse après l'annonce du rappel de cinq lots de son traitement de l'hypertension Accupril.

    * BOEING - L'Allemagne va commander au groupe aéronautique 60 exemplaires de l'hélicoptère de transport CH-47F Chinook pour environ cinq milliards d'euros, a rapporté dimanche Bild am Sonntag en citant des sources gouvernementales.

    * APPLE - JPMorgan s'attend à ce que le chiffre d'affaires total et celui tiré de l'iPhone sur l'ensemble de l'exercice en cours soient "légèrement" inférieurs au consensus. Par ailleurs Foxconn, l'un des principaux sous-traitants du groupe, a suspendu l'activité de l'un de ses sites de production en Chine en raison des restrictions sanitaires. Le titre perd 1,1% en avant-Bourse.

    * BROADCOM - Le fabricant de semi-conducteurs est visé par une enquête de la Federal Trade Commission (FTC) américaine après des plaintes lui reprochant d'obliger certains de ses clients à conclure des accords d'exclusivité, a rapporté vendredi le site The Information.

    * KKR - Le groupe de capital-investissement a annoncé lundi avoir levé 19 milliards de dollars (17,7 milliards d'euros) auprès d'investisseurs pour son nouveau fonds dédié au marché nord-américain, le plus important de son histoire.

  • Wall Street attendue dans le rouge

    Wall Street est attendue en nette baisse et les Bourses européennes évoluent au plus bas depuis près d'un mois à mi-séance, les craintes liées à la remontée des taux d'intérêt et à la santé de l'économie mondiale l'emportant largement sur le soulagement procuré à une partie des investisseurs par la réélection d'Emmanuel Macron en France.

    → Les contrats à terme sur les principaux indices new-yorkais signalent une ouverture en repli de 0,82% pour le Dow Jones, de 0,81% pour le Standard & Poor's 500 et de 0,78% pour le Nasdaq.

  • Twitter est sur le point d'accepter l'offre de Musk

    Des rumeurs indiquent que Twitter   et Elon Musk, qui détient une participation d'environ 9,2% dans le réseau social, seraient proches d'un accord sur son éventuel rachat par le milliardaire américain.

  • UPDATE | Briefing actions belges

     

  • Emprunt à 10 ans le plus cher depuis 8 ans pour l'État belge

    L'État fédéral a emprunté 3,8 milliards d'euros sur le marché ce lundi, en plaçant des Olo (obligations linéaires) à 5, 10 et 30 ans auprès des investisseurs institutionnels (banques, fonds, etc.). Ce montant se situe tout en haut de la fourchette d'estimation qui avait été annoncée vendredi (entre 2,8 et 3,8 milliards d'euros).

    Mais pour parvenir à rassembler cette somme en convainquant les investisseurs de lui prêter de l'argent, le Trésor a dû augmenter sensiblement le niveau des taux d'intérêt attachés aux obligations proposées. Par exemple, pour les titres à 10 ans, le taux d'intérêt moyen a atteint 1,4%, soit le niveau auquel l'État belge avait emprunté, en février, via des obligations à... 30 ans. Pour trouver trace d'un emprunt à 10 ans aussi cher pour la Belgique, il faut remonter à juillet 2014: à l'époque, l'État fédéral avait payé 1,5% pour placer des obligations de cette maturité.

    L'appétit des investisseurs pour les titres de dette de la Belgique n'a pas faibli. Le "bid-to-cover ratio" (taux de soumissions satisfaites) a atteint 1,8 pour les Olo à 10 et 30 ans et 1,5 pour les Olo à 5 ans.

  • Le pétrole sombre, le Covid-19 en Chine fait peser des inquiétudes sur la demande

    Les prix du pétrole flanchent avec la perspective d'une demande limitée en Chine, premier importateur mondial de brut, où le gouvernement lutte contre une reprise de la pandémie de Covid-19. "L'humeur du marché souffre de la situation en Chine, où la pandémie de Covid-19 empire", commente Walid Koudmani, analyste chez XTB.

    Alors que la quasi-totalité des 25 millions d'habitants de Shanghai sont confinés depuis début avril, les investisseurs redoutent qu'un scénario similaire s'applique à Pékin, où le nombre de cas détectés augmente. "Comme la Chine est la deuxième économie mondiale, cette situation a un effet direct sur le marché des matières premières", souligne M. Koudmani.

    La demande chinoise de certains types de carburants (essence, diesel et kérosène pour l'aviation) a déjà reculé de 20% en avril 2022 par rapport à un an plus tôt, rapporte l'agence Bloomberg en citant des sources au ministère chinois de l'Énergie.

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  • La Bourse de Bruxelles chute à la mi-journée

  • Morgan Stanley abaisse ses prévisions de croissance en zone euro

    Morgan Stanley a abaissé ses prévisions de croissance en zone euro pour 2022 et 2023, estimant que l'économie du bloc devrait s'affaiblir au second semestre en raison de l'impact de la guerre en Ukraine sur les sources d'énergie russe et l'effet sur la croissance d'un confinement strict en Chine face à l'épidémie de Covid-19. Dans une note publiée ce lundi, Morgan Stanley ramène son objectif de produit intérieur brut (PIB) à 2,7%, contre 3% précédemment, et réduit d'un point de pourcentage sa prévision pour 2023, à 1,3%.

    "Malgré la solidité de l'activité économique démontrée jusqu'à présent contre les facteurs défavorables géopolitiques, nous pensons que des impacts plus significatifs se manifesteront au second semestre de l'année, par le biais de divers canaux de transmission", indique la banque d'investissement.

    2,7
    %
    Morgan Stanley a abaissé ses prévisions de croissance en zone euro pour 2022 et 2023, ramenant son objectif de produit intérieur brut (PIB) à 2,7% et 1,3%.

  • Le bitcoin tombe à son plus bas niveau depuis six semaines

    Le bitcoin poursuit sa descente, les investisseurs se détournant des actifs à risque dans un contexte de resserrement de la politique de la Réserve fédérale. La plus célèbre cryptomonnaie est retombée à son plus bas niveau depuis le 15 mars, et affiche une baisse de plus de 20% par rapport au sommet du mois dernier.  

  • Ubisoft brille sur des rumeurs d'intérêt

    Ubisoft   est en tête du SBF 120 à la Bourse de Paris après des informations de presse sur l'intérêt de plusieurs fonds d'investissement pour l'éditeur de jeux vidéo.

    Plusieurs groupes de capital-investissement, dont les américains Blackstone et KKR, s'intéressent de près au groupe français, a rapporté vendredi Bloomberg en citant des sources proches du dossier. Ubisoft n'aurait pas entamé de "négociations sérieuses" avec des potentiels repreneurs, précise l'agence, ajoutant qu'il n'est pas dit que son principal actionnaire soit prêt à conclure un accord.

    Selon Kotaku, une publication spécialisée dans le secteur du jeu, Ubisoft a travaillé en étroite collaboration avec plusieurs cabinets de conseil ces dernières années, signe que le groupe essaie de mettre de l'ordre dans ses comptes en vue d'une éventuelle vente. "Les développeurs seniors actuels et anciens d'Ubisoft avec lesquels Kotaku s'est entretenu ces derniers mois pensent que la société finira par être vendue alors que le cours du titre baisse [plus de -35% en un an, NDLR] et que les difficultés de production se poursuivent", a écrit Kotaku sur son site samedi.

  • Le dollar grimpe face au yuan et à l'euro avec le covid en Chine

    Le dollar américain monte vivement face à plusieurs grandes monnaies, dont l'euro   et le yuan, profitant de son statut de valeur refuge alors que l'aggravation de la pandémie en Chine fait craindre pour l'économie.

    Le bilan des décès du Covid-19 s'est alourdi, dimanche, à 87 morts à Shanghai, toujours confinée, tandis que la capitale chinoise Pékin a appelé à "agir sans attendre" après un rebond de cas positifs. Le marché chinois fait face lundi "à la fois à la tendance négative qui régnait sur le marché américain en fin de semaine dernière et aux craintes autour de la tolérance zéro de Pékin sur les infections, qui pose un risque pour les perspectives économiques", explique Victoria Scholar, analyste chez Interactive investor.

    Le dollar profite également de la perspective d'un resserrement vif de la politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (Fed), qui a signalé sa volonté d'agir rapidement pour contrer l'inflation.

  • Les actions européennes au plus bas depuis la mi-mars

    Les principaux indices boursiers en Europe chutent d'environ 2% ce lundi, les craintes d'un ralentissement économique en Chine et d'une hausse rapide des taux d'intérêt aux États-Unis ayant éclipsé le soulagement suscité par la victoire électorale du président français Emmanuel Macron au cours du week-end.

    → L'indice STOXX Europe 600 perd 1,87% pour atteindre son plus bas niveau depuis la mi-mars.

    Les secteurs exposés à la Chine, tels que les mines, le pétrole et le gaz, ainsi que les valeurs du secteur du luxe, sont parmi les principaux perdants en Europe, alors que les craintes que Pékin soit sur le point de d'être confinée comme Shanghai se sont accrues.

  • Les actionnaires activistes plus actifs que jamais

    L'activisme actionnarial a le vent en poupe. Alors que commence la saison des assemblées générales, qui permet aux petits porteurs d'actions de faire entendre leur voix, les combats engagés par des actionnaires activistes n'ont jamais été aussi nombreux, montre une analyse de la banque Lazard.

    Selon les chiffres collectés par la banque d'affaires, ces actionnaires rebelles ont lancé 73 nouvelles campagnes dans le monde au premier trimestre 2022, ce qui constitue un record, après 55 campagnes durant les trois premiers mois de 2021 et 59 durant la même période en 2020.

  • Le moral des entreprises allemandes augmente légèrement en avril

    Le moral des entreprises allemandes a connu une légère hausse inattendue en avril, les entreprises étant moins pessimistes après le choc initial de la guerre en Ukraine. L'institut Ifo a déclaré que son indice du climat des affaires a légèrement augmenté pour atteindre 91,8 en avril, contre 90,8 en mars.

    Les économistes et analystes interrogés par Reuters prévoyaient une baisse à 89,1.

  • Le point sur la séance

    Les principales bourses européennes reculent nettement en début de séance ce lundi, les craintes d'un ralentissement économique avec les restrictions liées au Covid-19 en Chine et une hausse rapide des taux d'intérêt aux États-Unis pénalisant l'ensemble des grands marchés actions.

    → À Bruxelles, le Bel 20 chute de 1,61%. Ailleurs en Europe, le CAC 40 perd 1,87%, le FTSE 100 cède 1,84% et à Francfort, le Dax recule de 1,37%. L'indice EuroStoxx 50 est en baisse de 1,84%, le FTSEurofirst 300 de 1,46% et le Stoxx 600 de 1,64%.

    • L'indice Stoxx des ressources de base (-5,54%) et celui de l'énergie (-3,63%) accusent les plus fortes baisses, la crainte d'un confinement long en Chine alimentant les inquiétudes sur la demande de métaux industriels et de pétrole. 
    • Valneva chute de 14,99% après la demande adressée par l'Agence européenne des médicaments au laboratoire français pour obtenir des données supplémentaires sur son candidat vaccin contre le Covid-19. 
    • Philips recule de 10,6% à Amsterdam après avoir annoncé une baisse de son résultat opérationnel trimestriel. 
    • En hausse, Ubisoft gagne 5,59% après un article de l'agence Bloomberg vendredi évoquant l'intérêt de fonds d'investissement pour l'éditeur de jeux. 
    • Le groupe de prêt à porter Ted Baker a pris jusqu'à 4,7% après une information de presse selon laquelle Authentic Brands, propriétaire de Reebok, étudiait la possibilité de faire une offre d'achat.
  • Fuite des investisseurs vers les obligations

    Sur le marché obligataire, les rendements se tassent en raison d'une importante vague d'aversion au risque: le taux allemand à 10 ans, la référence en Europe, perd près de 10 points de base et retombe à 0,87%. Le taux français à 10 ans descend, de son côté, à 1,32%.

    Même tendance de l'autre côté de l'Atlantique. Le taux américain à 10 ans s'éloigne de la barre symbolique de 3% et baisse à 2,82%.

  • Voici le briefing actions belges

     

  • Les principales hausses/baisses en Europe

  • Les principales valeurs à suivre en Europe

    * TECHNIP ENERGIES a publié, ce lundi, un résultat opérationnel ajusté au-dessus des attentes au premier trimestre, à 107,3 millions d'euros.

    * VIVENDI a publié, ce lundi, une hausse de 7,9% de son chiffre d'affaires trimestriel en données organiques, soutenu par la forte progression de son activité de télévision payante avec Canal+ et de son agence de communication Havas.

    * BOLLORE a fait état, ce lundi, d'un chiffre d’affaires du premier trimestre en progression de 28%, à périmètre et taux de change constants, à 5,7 milliards d'euros.
    --> Le communiqué

    * EDF - L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a informé, jeudi, le Luxembourg qu'EDF a mis à l'arrêt en mars le réacteur 3 de sa centrale nucléaire de Cattenom en Moselle, montre un courrier consulté par Reuters, après que le gouvernement du Grand-Duché lui a fait part de son inquiétude sur la sécurité du site situé à proximité de la frontière.

    * VALNEVA a annoncé ce lundi avoir reçu une nouvelle liste de questions de la part de l'Agence européenne des médicaments (EMA) au sujet de son candidat vaccin contre le Covid-19, pour lequel le laboratoire français espère toujours obtenir une autorisation de mise sur le marché au cours de ce trimestre.

    * ROCHE a vu son chiffre d'affaires du premier trimestre augmenter de 10% grâce aux ventes, notamment, de ses traitemements de la sclérose en plaques et de l'hémophilie.

    * PHILIPS a publié, ce lundi, un bénéfice d'exploitation en baisse, l'équipementier médical néerlandais ayant été pénalisé par la pénurie continue de composants et par le rappel massif de ventilateurs respiratoires.

    * JUST EAT TAKEAWAY.COM - Cat Rock, deuxième actionnaire du groupe de livraisons de repas, a appelé, ce lundi, à un remaniement majeur de l'entreprise en votant pour l'éviction de son directeur financier et de plusieurs membres de son conseil de surveillance lors de l'assemblée annuelle le 4 mai.

    * BBVA a annoncé ce lundi qu'elle avait augmenté de 23% le prix de son offre d'achat sur la participation de 50,15% qu'elle ne détient pas dans la banque turque Garanti.

  • Coup de pompe de Bruxelles en début de séance

  • | OPENING BELL |

    BEL 20 -1,57%

    CAC 40 -1,82%

    AEX -2,14%

  • Les ventes de Bolloré bondissent de 33%

    Le conglomérat Bolloré   a vu son chiffre d'affaires bondir de 33%, à 5,7 milliards d'euros, au premier trimestre grâce, notamment, à l'augmentation des tarifs de la manutention portuaire et à l'explosion des prix du pétrole liée à la guerre en Ukraine.

    À taux de change et périmètre constants, l'activité transport et logistique, en croissance de 47%, à 2,4 milliards d'euros, est portée par "la hausse des taux de fret et des volumes dans l'aérien en commission de transport, la bonne performance des concessions portuaires et la poursuite de la reprise des activités logistiques en Afrique", explique le groupe dans son communiqué.

  • Le bénéfice net de Philips plonge au T1

    La société néerlandaise Philips   a annoncé que son bénéfice net pour le premier trimestre avait chuté d'environ un tiers sur un an, pour s'établir à 243 millions d'euros, en raison d'une pénurie mondiale de pièces détachées et d'un rappel massif de ventilateurs. Les ventes ont chuté de 4%, à 3,9 milliards d'euros.

    Les analystes interrogés par la société avaient prévu en moyenne un bénéfice de base ajusté (bénéfice avant intérêts, impôts et amortissements) de 236 millions d'euros, et une baisse des ventes de près de 8%.

    Philips s'attend toujours à ce que les ventes et la rentabilité se redressent au cours du second semestre, à condition que les problèmes actuels ne s'aggravent pas. "Les risques liés à la situation du Covid-19 en Chine, à la guerre entre la Russie et l'Ukraine, aux défis de la chaîne d'approvisionnement et aux pressions inflationnistes (...) peuvent avoir un impact sur notre capacité à convertir notre solide carnet de commandes en ventes et à atteindre notre objectif de marge si les conditions se détériorent davantage", a déclaré le directeur général, Frans van Houten. Lire le communiqué

  • Un important actionnaire de Just Eat n'a plus confiance dans la direction

    L'investisseur activiste Cat Rock Capital Management a exhorté les actionnaires de Just Eat Takeaway.com  à voter contre le directeur financier et le conseil de surveillance de l'entreprise de livraison lors de l'assemblée annuelle de la semaine prochaine, invoquant une "perte de confiance totale" dans la direction.

    Le fondateur et associé directeur de Cat Rock Capital, Alex Captain, a accusé la direction de Just Eat Takeaway d'avoir fourni des perspectives trompeuses aux investisseurs avant deux votes des actionnaires de Grubhub, ce qui a conduit à "deux révisions à la baisse massives des bénéfices en 2021 et brisé la confiance des investisseurs."

  • Campbell Harvey (Duke University): "Aucune action en bourse n'offre une protection suffisante contre l'inflation"

    Campbell Harvey brise le mythe des actions à l’épreuve de l’inflation. Ce professeur d’économie à la Duke University a une réputation à défendre. Il a publié de nombreux articles sur l’investissement optimal et ses recherches lui ont valu de nombreux prix. Il ne ménage donc pas ses critiques envers ses confrères. Selon Harvey, une partie importante des recherches sur les stratégies d’investissement gagnantes semblent être construites sur du sable. Dans la pratique, les résultats obtenus ne semblent pas produire des rendements miraculeux.

    Les actions constituent la plus grande surprise. Un panier de 500 grandes actions américaines – l’indice S&P 500 – appauvrit un investisseur de 7% par an en période d’inflation. Pire: "Aucun secteur n’apporte une protection suffisante contre une inflation forte et en hausse", ajoute Campbell Harvey. Même les actions du secteur énergétique offrent un rendement réel à peine positif.

  • Vivendi affiche un chiffre d'affaires trimestriel en hausse de 7,9%

    Vivendi   a fait état d'une hausse de 7,9% de son chiffre d'affaires au premier trimestre, soutenu par la forte progression de son activité de télévision payante avec Canal+ et de son agence de communication Havas. Le chiffre d'affaires du géant français des médias s'est élevé à 2,38 milliards d'euros au cours des trois premiers mois de l'année, contre 2,10 milliards un an plus tôt.

    Canal+, devenu l'actif le plus important du groupe depuis la scission d'Universal Music Group, a vu ses ventes augmenter de 6%, à 1,45 milliard d'euros. Le chiffre d'affaires de Havas Group s'est établi, quant à lui, à 591 millions d'euros, en hausse de 11,3% à taux de change et périmètre constants.

  • Le point sur les marchés avant l'ouverture

    Les principales bourses européennes sont attendues dans le rouge à l'ouverture, les préoccupations liées à la croissance mondiale avec les anticipations de resserrement monétaire et l'épidémie de Covid-19 en Chine l'emportant sur la victoire sans surprise d'Emmanuel Macron à la présidentielle française.

    "Pour les marchés, ce n'est probablement qu'un modeste soulagement, car les derniers sondages d'opinion avaient déjà laissé entrevoir sa victoire. Le scénario du pire nous a été épargné", a commenté Holger Schmieding, chef économiste chez Berenberg.

  • Les ventes de Roche en hausse de 10% au T1

    Le géant pharmaceutique suisse Roche a publié des ventes en hausse de 10% pour le premier trimestre, à 16,4 milliards de francs suisses (15,9 milliards d'euros), portées par le net rebond de ses activités pharmaceutiques.

    Sa division pharmaceutique, qui génère le plus gros chiffre d'affaires, a affiché une progression de 6% de ses ventes hors effets de change, a indiqué le groupe dans un communiqué, tandis que ses activités de diagnostics ont grimpé de 24% sous l'effet des ventes de tests pour le Covid-19. Lire le communiqué

  • Un court effet Macron sur l'euro

    Après une première réaction positive à la réélection d'Emmanuel Macron comme président de la France, remontant au-dessus de 1,08 dollar dans la nuit de dimanche à lundi, l'euro   fait marche arrière ce matin et a repris sa descente face au billet vert.

    "L'élection française n'étant plus d'actualité, le marché commence à se concentrer sur d'autres préoccupations. Les marchés boursiers sont dans le rouge ce matin, et cette aversion au risque a généralement profité au dollar, ce qui explique pourquoi l'euro a été entraîné un peu plus bas", explique Sim Moh Siong, stratégiste devises, à la Banque de Singapour.

  • "La victoire de Macron a déjà été bien anticipée par les marchés"

    Certains analystes prédisaient un "lundi noir" à la Bourse de Paris en cas de victoire de Marine Le Pen à la présidentielle. La victoire d’Emmanuel Macron annoncée dimanche soir permet d’évacuer un tel scénario, souligne-t-on.

    Vincent Juvyns, "global market strategist" de JP Morgan Asset Management, explique que l’écart de taux entre la France et l’Allemagne s’était détendu ces derniers jours sur les marchés obligataires. Cet écart pourrait encore se détendre un peu ce lundi. L’euro pourrait aussi se reprendre, tout comme les marchés d’actions. "Je pense que la victoire d’Emmanuel Macron a déjà été bien anticipée par les marchés. Je ne m’attends pas à de mouvements significatifs, en particulier sur le coût de financement de l’État français".

  • Les craintes d'un confinement de la Chine plombent les marchés

    Les craintes concernant les conséquences économiques de la politique chinoise stricte de zéro covid se sont intensifiées, alors que des informations selon lesquelles les mesures de confinement pourraient toucher Pékin font chuter les actions, les matières premières et le yuan. 

    → L'indice de référence CSI 300 perd environ 2,5%, effaçant ainsi les gains réalisés suite à l'engagement pris en mars par les autorités de soutenir l'économie. Le yuan onshore est tombé à son plus bas niveau en un an suite aux inquiétudes concernant la hausse des sorties de capitaux et le pétrole a plongé sous les 100 dollars en raison des inquiétudes concernant la demande chinoise.

    La flambée de covid qui a entraîné le confinement d'une grande partie de Shanghai a semblé s'aggraver au cours du week-end après que la Chine a ordonné des tests obligatoires dans un district de Pékin et a verrouillé certains quartiers de la capitale.

  • Twitter entame des négociations avec Elon Musk

    Twitter   a entamé, dimanche, des négociations avec Elon Musk, après que ce dernier a séduit de nombreux actionnaires du réseau social en dévoilant les détails financiers de son offre de 43 milliards de dollars (39,8 milliards d'euros), selon des sources au fait de la question.

    Cette décision ne signifie pas que Twitter acceptera l'offre de 54,20 dollars par action du patron de Tesla, ont précisé les sources. Elle signifie toutefois que Twitter étudie désormais la possibilité de vendre la société à Elon Musk à des conditions intéressantes.

  • Good morning!

    Bonjour à toutes et tous! Bienvenue sur le "Market Live" de L'Echo, l'endroit idéal pour suivre en direct les principales tendances de l'actualité économique et financière de ce lundi 25 avril 2022.

    Au programme: la semaine démarre en douceur pour les investisseurs avec, entre autres, l'indice Ifo. Côté résultats trimestriels, c'est au tour de Vivendi, Philips et Coca-Cola.

    La tendance est teintée de rouge vif ce matin sur les places asiatiques. Le Nikkei 225 chute de 1,92% à Tokyo, le Hang Seng de 2,59% à Hong Kong et l'indice composite de la Bourse de Shanghai perd 2,42%.

    ©Bloomberg

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