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Wall Street termine en nette hausse, Nasdaq et S&P 500 prennent plus de 2%

Les marchés européens et américains ont terminé en nette hausse, après des achats à bon compte et l'accord politique trouvé en Allemagne sur un plan d'investissement public de centaines de milliards d'euros. Le Nasdaq et le S&P 500 ont pris plus de 2%.
  • Fitch maintient la note de crédit de la France à AA-

    L'agence de notation Fitch a maintenu ce vendredi soir la note souveraine "AA-" de la France, qu'elle avait assortie en octobre d'une "perspective négative", le gouvernement se disant aussitôt "déterminé" à poursuivre le redressement des finances publiques. La perspective négative attribuée le 11 octobre était une menace d'abaissement de la note qui ne s'est pas concrétisée cette fois. Fitch observe que, malgré son "dérapage budgétaire" de 2024 - le déficit public est passé de 4,4% du PIB en 2023 à 6% du PIB - la France conserve une économie "vaste et diversifiée", avec des "institutions fortes et efficaces".

    L'agence de notation relève toutefois que le déficit public reste à un niveau élevé et que sa réduction reste difficile en raison de l'incertitude politique et de l'absence de majorité du gouvernement Bayrou à l'Assemblée nationale. Le ministère de l'Économie français n'a pas tardé à réagir dans un communiqué, "prenant note" de la décision de l'agence Fitch "de confirmer la notation française à AA-, témoignant de la très haute qualité de la signature française, et de maintenir sa perspective négative".

    "Le gouvernement, écrit Bercy, est déterminé à poursuivre la mise en oeuvre de sa trajectoire de consolidation des finances publiques initiée par la loi de finances 2025 et à l'inscrire dans la durée. La résorption de nos déficits est une priorité".

  • Le pétrole avance, profite du rebond des marchés boursiers

    Les cours du pétrole ont progressé ce vendredi, profitant d'un élan d'optimisme sur les marchés boursiers et après avoir beaucoup baissé en peu de temps.  Les prix "tentent de se stabiliser après une baisse assez importante enregistrée" récemment, observe auprès de l'AFP Daniel Ghali, de TD Securities.

    Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en mai, a gagné 1,00% à 70,58 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, pour livraison en avril, a pris 0,95% à 67,18 dollars. 

  • Crown Castle cède ses actifs fibre à EQT et Zayo

    L'entreprise américaine de tours de télécommunication, Crown Castle

    , a vu son action bondir de 8,55% après avoir vendu sa division fibre optique au fonds EQT Active Core Infrastructure et à Zayo Group Holdings pour un montant total de 8,5 milliards de dollars.

    Crown Castle prévoit d'utiliser le produit de cette vente pour réduire sa dette et racheter des actions. Le nouveau programme de rachat d'actions est estimé à environ 3 milliards de dollars. Cette transaction s'inscrit dans le cadre d'une révision stratégique de l'unité, annoncée en décembre 2023, visant à accroître la valeur pour les actionnaires.

  • Rubrik a bondi de près de 28%

    Rubrik

    , le spécialiste de la sécurité des données, bénéficie d'un vent favorable. Le groupe a annoncé une perte inférieure aux prévisions, tandis que ses perspectives de bénéfices dépassent les attentes.

  • Après une semaine chaotique, Wall Street reprend pied

    La Bourse de New York a terminé en forte hausse, poussée notamment par des achats à bon compte après une semaine en net recul marquée par les rebondissements de la politique commerciale américaine.

  • Les marchés US terminent dans le vert

    Le Dow Jones a pris 1,65% à 41.488,19 points.

    Le S&P 500 a avancé de 2,13% à 5.638,94 points.

    Le Nasdaq a gagné 2,61% à 17.754,19 points.

  • Édito | Les pires tarifs douaniers? Ils sont au cœur de l’Europe

    Cette fois, Donald Trump a tiré: l'Europe se voit infliger à son tour des droits de douane américains. Une bravade délétère pour les relations transatlantiques, mais le pire se situe à l'intérieur de nos frontières.

  • Ulta Beauty bondit après ses résultats

    Ulta Beauty

    bondit de plus de 14%. Le détaillant de cosmétiques enregistre une baisse de 1,9% de son chiffre d'affaires, mais les analystes anticipaient une chute plus prononcée.

  • Docusign surfe sur ses bons résultats

    Docusign

    bondit de plus de 15% après avoir dévoilé des résultats trimestriels supérieurs aux attentes.

    Spécialisée dans les signatures électroniques, cette entreprise de logiciels ne cesse d'innover. Avec Docusign IAM, elle propose désormais une plateforme d'IA, renforçant ainsi sa position sur le marché.

  • Les marchés boursiers chinois veulent garder la forme

    Les marchés chinois se distinguent, même s'il existe un net décalage entre l'indice de la Bourse de Hong Kong et les autres indices, comme le CSI 300.

  • Palantir se reprend

    Palantir

    bondit de 9%. Depuis le 19 février, l'action avait plongé de 29% en raison des inquiétudes liées à sa valorisation élevée et aux réductions budgétaires dans le secteur de la défense.

  • Qui est Johannes Huth, le successeur d'Ian Gallienne à la tête de GBL?

    Dans moins de deux mois, le Groupe Bruxelles-Lambert

    accueillera Johannes Huth à sa tête, en remplacement du gendre de feu Albert Frère. Un profil chevronné dans le private equity, à l'origine de l'expansion européenne du géant KKR.

  • Le pétrole rebondit

    Les prix du pétrole rebondissent pour récupérer une partie des pertes de plus de 1% subies lors de la session précédente, en partie en raison des incertitudes liées à la perspective d'un arrêt de la guerre en Ukraine.

    Le Brent prend 0,8% à 70,44 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) gagne 0,83% à 67,10 dollars.

  • OPA sur Roularta, qui s'approche d'une sortie de la cote

    La famille De Nolf lance une OPA, via son véhicule d'investissement Koinon, sur le groupe de médias Roularta qu'elle contrôle déjà à 72%. La société sortirait ainsi de la cote après 27 années de présence en Bourse de Bruxelles.

  • Les taux grimpent

    Les rendements européens obligataires grimpent ce vendredi avec l'accord en Allemagne entre conservateurs, sociaux-démocrates et les Verts sur la réforme du frein à l'endettement. Le rendement du Bund allemand à dix ans a fini sur un gain de 2,1 points de base à 2,8750%. Le deux ans a pris un point de base à 2,1900%.

    Aux États-Unis, les rendements obligataires sont également en hausse, en réponse aux inquiétudes concernant l'impact potentiellement inflationniste des droits de douane. Le rendement des Treasuries à dix ans prend 2,3 points de base à 4,2986%. Le deux ans avance de 5,1 points de base à 4,0044%.

  • Comment "l’effet Trump" a catapulté le cours de l’or jusqu’à 3.000 dollars

    Constamment relancé par de multiples crises ces vingt dernières années, le métal jaune a accéléré son ascension depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche.

    Notre article sur l'ascension de l'or

  • L'euro avance, la livre cède du terrain

    L'euro progresse de 0,29% à 1,0877 dollar, soutenu par les perspectives sur les dépenses de défense en Allemagne. Le dollar perd 0,14% face à un panier de devises de référence.

    La livre sterling recule de 0,16% face au dollar en raison de la contraction surprise de l'économie britannique en janvier.

  • La revue de la semaine

    L'escalade de la guerre commerciale a pesé sur les marchés d'actions. Le S&P 500 est entré en correction, alors qu'en Europe, les investisseurs ont trouvé de l'optimisme avec les dépenses allemandes.

  • Les valeurs de la défense à la fête, Kering lanterne rouge

    Le secteur européen de la défense (+3,91%, 3,92% sur la semaine) a connu une nouvelle journée de fortes hausses, soutenu par l'accord sur le frein à l'endettement en Allemagne. En France, Thales a fini en tête de l'indice CAC 40 avec une hausse de 5,57%, tandis que Safran a pris 2,28%. Rheinmetall a pris 6,29% et Leonardo 7,13%.

    De son côté, Kering a perdu plus de 10%, lanterne rouge du CAC 40, après l'annonce hier soir de la nomination de Demna Gvasalia, qui se fait appeler Demna, au poste de directeur artistique de la marque Gucci, les analystes se montrant peu convaincus par le choix du groupe de luxe français.

  • Nvidia bondit avant la conférence des développeurs

    Nvidia

     bondit de près de 5%, alors que les investisseurs attendent avec impatience la conférence des développeurs Nvidia GTC qui aura lieu la semaine prochaine.

  • L'Europe salue l'accord pour réformer le "frein à l'endettement" en Allemagne

    Les bourses européennes ont terminé en nette hausse, portées par l'accord des partis de la future coalition allemande sur la réforme du "frein à l'endettement" afin d'augmenter les dépenses de défense et relancer la croissance de la première économie européenne. À Paris, le CAC 40 a gagné 1,13% à 8.028,28 points. À Francfort, le Dax a avancé de 1,65% et à Londres, le FTSE 100 a pris 1,05%. L'indice EuroStoxx 50 a fini en hausse de 1,34%, le FTSEurofirst 300 a gagné 1,12% et le Stoxx 600 a pris 1,11%. Sur la semaine, le CAC 40 a abandonné 1,13% et le Stoxx 600 a perdu 1,25%, leur pire performance hebdomadaire depuis la mi-décembre.

    L'Union chrétienne-démocrate (CDU) du futur chancelier Friedrich Merz, le Parti social-démocrate (SPD) et les Verts allemands sont parvenus ce vendredi à un accord sur l'assouplissement des règles fédérales d'endettement, ce qui a fait bondir les rendements obligataires de la zone euro, ainsi que les actions et la monnaie unique. La CDU et le SPD devraient donc désormais disposer de la majorité des deux tiers nécessaire pour adopter la réforme, dernier signe en date d'une évolution rapide des dépenses de défense et d'infrastructure à la lumière des changements de la politique étrangère américaine sous Donald Trump.

    Selon les économistes, cette réforme devrait soutenir la croissance à long terme en Allemagne, confrontée à deux années consécutives de contraction, et dans l'Union européenne (UE). "Dans l'ensemble, c'est une bonne chose. Cela va débloquer la croissance pour l'Allemagne et, plus important encore, cela va peut-être débloquer un nouveau paradigme économique pour l'Europe", a déclaré George Lagarias, économiste en chef chez Forvis Mazars. "Fondamentalement, l'Europe avance et c'est quelque chose que les marchés et les investisseurs attendaient depuis longtemps", a-t-il ajouté.

    Sur le front macroéconomique, les données définitives sur l'inflation allemande, qui montrent une légère diminution en février à 2,6% sur un an, ont été bien accueillies alors qu'elles devraient soutenir les paris d'un nouvel assouplissement de la politique monétaire de la BCE. Cependant, les inquiétudes concernant les droits de douane américains et leur impact sur l'économie persistent et ont pesé sur les marchés sur l'ensemble de la semaine, en particulier aux États-Unis, où le Nasdaq et le S&P 500 sont entrés en zone de correction au fur et à mesure que la guerre commerciale se confirmait.

    L'issue du conflit en Ukraine reste également incertaine, Donald Trump ayant toutefois évoqué vendredi un "très bon" échange de son émissaire avec Vladimir Poutine à Moscou et dit avoir bon espoir de voir s'achever le conflit.

  • Le Bel 20 prend plus de 1%

    L'indice phare de la Bourse de Bruxelles a terminé en hausse de 1,05% à 4.410,12 points. Il a été particulièrement soutenu par Syensqo

    et argenx qui ont pris plus de 3%.

    Trois valeurs ont clôturé dans le rouge: GBL

    , Umicore et UCB qui ont cédé entre 0,2 et 0,4%.

  • Europe | Closing Bell

    Bel 20: +1,05%

    FTSE 100: +1,07%

    DAX: +1,65%

    CAC 40: +1,12%

  • Le pétrole en légère hausse

    Le prix du baril de Brent de la mer du Nord prend 0,34% à 70,39 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate gagne 0,33% à 67,04 dollars.

  • Le dollar recule

    Dans la foulée de données d'inflation pour le mois de février aux Etats-Unis moins fortes qu'attendu cette semaine, le billet vert recule de 0,22% par rapport à l'euro, à 1,0879 dollar pour un euro.

  • Kering chute de plus de 11%

    Kering

    chute de plus de 11% en Bourse, signe que les marchés doutent de la capacité du styliste Demna Gvasalia, choisi comme nouveau directeur artistique de Gucci, à redresser la marque phare du groupe de luxe. Le créateur géorgien quitte Balenciaga, également propriété de Kering et dont il était le styliste depuis 2015, pour rejoindre la marque italienne, selon un communiqué publié hier soir.

    Agé de 43 ans, il remplace Sabato de Sarno, qui a quitté Gucci en février seulement deux ans après sa nomination, au moment où les contre-performances de Gucci plombent l'activité de sa maison mère. "Sa force créative est exactement ce dont Gucci a besoin", selon François-Henri Pinault, PDG de Kering, cité dans le communiqué.

    Les investisseurs semblent plus circonspects. L'action Kering dégringole de plus de 11% à la Bourse de Paris. Depuis le 1er janvier, le titre affiche une baisse de près de 7% après une année 2024 où sa valeur s'était effondrée de 40%.

  • Le plan allemand fait grimper les valeurs de la défense

    Les valeurs européennes de la défense bénéficient des perspectives du plan allemand, car il fera la part belle à l'industrie d'armement du Vieux continent. 

    À Paris, Thales

    s'adjuge 4,56%, tandis qu'à Francfort, Rheinmetall  prend 6,37% et Leonardo 1,66% à Milan.

  • Le secteur bancaire en hausse

    À Francfort, Commerzbank

    prend 3,58% et Deutsche Bank  4,22%.

    À Paris, BNP Paribas

    gagne 2,73% et Société Générale 2,53%.

    À Madrid, Banco Santander

    avance de 2,57%.

  • Les taux continuent de progresser

    Sur le marché obligataire, les taux auxquels les États européens empruntent montent en flèche, car les investisseurs s'attendent à un endettement public plus important de leur part.

    Le taux d'intérêt de l'emprunt allemand à 10 ans s'établit à 2,90%, contre 2,85% à la clôture hier. Son équivalent français est à 3,59%, contre 3,56%, évoluant, comme depuis plusieurs jours, à des niveaux jamais vus depuis 2011. 

  • La dette de l'État fédéral dépasse 528 milliards d'euros

    La dette de l'État fédéral belge s'élevait, fin février 2025, à près de 528,31 milliards d'euros, a annoncé, ce vendredi, l'Agence de la Dette. La dette de l'État fédéral a ainsi augmenté de 8,09 milliards d'euros depuis janvier.

    En termes nets, c'est-à-dire après déduction des placements et des titres en portefeuille, la dette de l'État fédéral a augmenté de 5,35 milliards d'euros en février, pour s'établir à 512,24 milliards d'euros.

    Le solde net à financer s'est ainsi élevé à 5,35 milliards d'euros.

  • Les marchés saluent le plan d'investissement allemand

    Les marchés boursiers sont dans le vert, l'Europe saluant un accord politique conclu en Allemagne sur un plan d'investissement géant, sur fond de tensions commerciales mondiales. La Bourse de Francfort bondit de 1,77%, Paris de 1,20%, Milan de 1,32% et Londres de 0,83%. À Bruxelles, le Bel 20 s'adjuge 1%.

    Avec l'appui des députés écologistes, le dirigeant conservateur Friedrich Merz peut désormais compter sur une majorité des deux tiers nécessaire pour faire adopter les changements constitutionnels permettant un programme de dépenses sans précédent pour réarmer et moderniser l'Allemagne. Le vote sur le texte aura lieu mardi à la chambre basse des députés, le Bundestag.

    "Le paquet législatif proposé par la CDU/CSU et le SPD en matière de hausses des dépenses publiques pour les infrastructures et la défense constitue un tournant", commentent les analystes de Natixis.

  • PepsiCo sur le point de conclure un accord de plus de 1,5 milliard de dollars

    PepsiCo

    est en pourparlers avancés pour acquérir la marque de soda plus saine Poppi dans le cadre d’un accord d’une valeur de plus de 1,5 milliard de dollars, a rapporté Bloomberg News ce vendredi, citant des sources proches du dossier.

    L’annonce officielle de l’acquisition pourrait intervenir dès la semaine prochaine, bien que des retards restent possibles, selon le rapport. Poppi, basé à Austin, au Texas, a été fondé par Allison et Stephen Ellsworth.

  • Trump évoque "un échange productif" avec Poutine

    Donald Trump a évoqué un "très bon" échange avec Vladimir Poutine et dit avoir bon espoir de voir s'achever la guerre entre la Russie et l'Ukraine, dans un message publié sur Truth Social. "Nous avons eu un échange très bon et productif avec le président russe Vladimir Poutine hier", a écrit le président américain. L'émissaire américain Steve Witkoff est arrivé hier à Moscou pour des pourparlers sur la proposition de trêve de trente jours proposée par Washington et acceptée par les Ukrainiens.

    "Il y a une très bonne chance de voir cette horrible, cette sanglante guerre, arriver à son terme", a dit Donald Trump. "Mais à l'heure qu'il est, des milliers de soldats ukrainiens sont totalement encerclés par l'armée russe et se trouvent en très mauvaise et très fragile posture", a-t-il ajouté en lettres capitales. "J'ai fermement demandé au président Poutine d'épargner leurs vies. Ce serait un massacre horrible comme on n'en a pas vu depuis la Seconde Guerre mondiale." 

  • La confiance des consommateurs américains chute en mars

    Le moral des ménages américains s'est dégradé plus que prévu en mars, montrent vendredi les résultats préliminaires de l'enquête mensuelle de l'Université du Michigan.

    Son indice de confiance a reculé à 57,9 en mars après 64,7 en février. Les économistes et analystes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un chiffre de 63,1.

    La composante du jugement des consommateurs sur leur situation actuelle a également diminué à 63,5 après 65,7 le mois précédent.

    Celle des perspectives a aussi reculé en mars à 54,2, contre 64,0 un mois plus tôt.

     L'inflation anticipée à un horizon d'un an a progressé à 4,9% en mars, contre 4,3% en février.

  • "Rebond technique" à Wall Street

    La Bourse de New York évolue en hausse, se redressant légèrement après la séance difficile de jeudi marquée par le durcissement des craintes de guerre commerciale.

    Dans les premiers échanges, l'indice Dow Jones gagne 0,93% et le Standard & Poor's 500, plus large, progresse de 1,36%, après être entré officiellement en zone de correction jeudi et avoir vu s'envoler 4.000 milliards de dollars de capitalisation boursière. Le Nasdaq Composite prend 1,85%.

    L'instabilité suscitée par les politiques douanières du président américain Donald Trump a assombri les perspectives d'investissement, menaçant de faire basculer l'économie américaine dans une phase d'inflation élevée et de ralentissement de la croissance.

    Même si nous commençons à nous habituer au chaos, il semble toujours que la politique américaine soit menée de manière désordonnée. La hausse du marché est un rebond technique.

    Art Hogan
    Stratège en chef chez B Riley Wealth

    La nervosité des marchés se reflète dans la hausse des prix de l'or, qui ont dépassé, ce vendredi, pour la première fois la barre des 3.000 dollars l'once.

    Les investisseurs attendent, par ailleurs, la publication d'un rapport sur la confiance des consommateurs à 15h.

  • Wall Street ouvre en hausse

    Wall Street ouvre en hausse. Le Dow Jones grimpe de 0,62%, le Nasdaq de 1,27% et le S&P 500 de 0,89%.

  • Ekopak tente de rassurer les investisseurs

    Ekopak rassure les investisseurs sur les "rapports incorrects" concernant l'hydroélectricité.

    La société Ekopak, spécialisée dans la purification de l'eau, répond, dans un communiqué de presse, au récent reportage sur le site Apache concernant Waterkracht, un projet visant à fournir des eaux usées purifiées à Anvers comme eau de refroidissement pour l'industrie. Apache écrit que le projet ne survivrait que grâce à l’interférence politique.

    Cela a provoqué de la nervosité en bourse à propos des actions d'Ekopak. Le spécialiste de l'eau parle de "rapports erronés concernant Waterkracht" et déclare qu'il "respecte toujours toutes les obligations et directives légales".

    Ekopak parle également de manière apaisante du lourd fardeau de la dette. "Grâce aux nombreux contrats WaaS (water as a service, ou contrats d'installation et de maintenance à long terme, NDLR) signés, complétés par un pipeline très prometteur, Ekopak est déjà assurée d'un chiffre d'affaires croissant et garanti pour les 20 à 30 prochaines années", précise-t-elle.

    "L'augmentation des contrats WaaS signés s'accompagne de préfinancements et entraîne une augmentation logique et temporaire du taux d'endettement. Le ratio d’endettement diminuera progressivement une fois que les projets WaaS seront opérationnels. De plus, le financement des projets WaaS est entièrement pris en charge par les banques."

    Ekopak se négocie en baisse de 10,7%, à 8,84 euros, après avoir perdu jusqu'à 20,20% en séance et 14% hier.

  • Le point sur la tendance

    Wall Street est attendue en hausse et les bourses européennes progressent, soutenues par les espoirs liés à la hausse des dépenses de défense au sein de l'Union européenne (UE), et particulièrement en Allemagne.

    Les marchés d'actions se dirigent néanmoins vers une perte hebdomadaire après une semaine marquée par le durcissement de la guerre commerciale avec les États-Unis.

    Les futures sur indices new-yorkais signalent une ouverture de Wall Street en hausse de 0,68% pour le Dow Jones, de 0,96% pour le Standard & Poor's-500 et de 1,25% pour le Nasdaq.

    À Paris, le CAC 40 gagne 1,13%. À Francfort, le Dax avance de 1,9% et à Londres, le FTSE 100 prend 0,74%.

    L'indice EuroStoxx 50 est en hausse de 1,26%.

    Les conservateurs et les sociaux-démocrates ont trouvé, ce vendredi, un accord avec les Verts sur la réforme du "frein à l'endettement", qui limite constitutionnellement les dépenses fédérales. Un assouplissement de ce frein permettra notamment d'accroître les investissements dans les infrastructures et la défense, alors que l'UE cherche à renforcer sa sécurité face au désengagement américain.

    Le secteur de l'aérospatiale et de la défense mène ainsi les gains sectoriels du Stoxx 600, avec un bond de près de 2%.

  • Accord historique sur la dette en Allemagne

    L'Union chrétienne-démocrate (CDU) du futur chancelier Friedrich Merz, le Parti social-démocrate (SPD) et les Verts allemands sont parvenus, ce vendredi, à un accord sur la réforme du "frein à l'endettement", qui limite constitutionnellement les dépenses fédérales, a appris Reuters de sources proches des négociations.

    L'accord est en cours d'examen au ministère des Finances, ont précisé certaines de ces sources, une autre déclarant que des détails sont encore en cours de finalisationL'annonce d'un accord a fait bondir les rendements obligataires de la zone euro, ainsi que les actions et la monnaie unique.

    Le Bundestag, chambre basse du Parlement allemand, a entamé, jeudi, une session extraordinaire afin de débattre d'un fonds de 500 milliards d'euros pour les infrastructures et d'une révision constitutionnelle du "frein à l'endettement" dans le but de relancer la croissance du pays et d'augmenter ses dépenses militaires. Un vote est prévu le 18 mars.

    Les Verts avaient signifié, jeudi, leur opposition à une telle réforme, tout en se disant ouverts à des négociations.

  • La perspective d'un accord sur la dette en Allemagne fait bondir les marchés

    La nervosité face à l'escalade des tensions commerciales mondiales laissent place à un certain optimisme des investisseurs alors que la perspective d'un accord imminent en Allemagne sur le plan de plusieurs milliards d'euros pour la défense et les infrastructures a donné un coup de pouce au secteur de la défense et au marché dans son ensemble.

    Selon des sources proches du dossier, la CDU/CSU et le SPD sont parvenus à un accord avec les Verts lors des négociations sur le paquet financier noir-rouge. Les derniers détails seraient encore en cours de négociation.

    L'indice Euro Stoxx 50 gagne 1,3%. Francfort avance de 1,6%, Paris de 1,15% et Londres de 0,60%.

    L'euro progresse de 0,42% à 1,0898 dollar.

    Les rendements obligataires grimpent. Le Bund à dix ans progresse de 7 points de base à 2,921%, et à celui à deux ans de 3 points de base à 2,203%.

  • "Le futur chancelier allemand Friedrich Merz est parvenu à un accord avec les Verts"

    Le futur chancelier allemand Friedrich Merz est parvenu vendredi à un accord avec les Verts sur une augmentation massive des emprunts publics, quelques jours avant un vote parlementaire la semaine prochaine, a indiqué une source proche des négociations. 

    Un compromis sur l'accord de la dette est actuellement examiné par les responsables du ministère des Finances, ont indiqué des sources parlementaires.

    La nouvelle de l'accord a fait bondir les rendements des obligations d'État de la zone euro, les actions et l'euro.

  • BofA: "La correction du S&P 500 n'est pas le début d'un marché baissier"

    La correction de l’indice boursier américain S&P 500 n’est pas le début d’un marché baissier, car une nouvelle baisse entraînerait un ajustement de la politique commerciale et monétaire, a déclaré Michael Hartnett, stratège de Bank of America.

    Le S&P 500 a clôturé plus de 10% en dessous de son pic de jeudi, ce qui a incité les analystes à parler de correction. Par marché baissier, ils entendent une baisse de 20%.

    Wall Street est sous pression, le spectre d'une guerre commerciale et les licenciements au sein du gouvernement fédéral américain ayant alimenté les craintes de récession.

    Hartnett a réitéré sa préférence pour les actions non américaines.

  • Roularta: "Le négoce de nos actions était très limité"

    Lors de la conférence de presse en marge des chiffres annuels de Roularta

    , le PDG Xavier Bouckaert et le directeur financier Steven Vandenbogaerde n'ont pas voulu en dire beaucoup sur les termes de l'offre publique d'achat, car la FSMA doit encore examiner le prospectus.

    Il est clair, cependant, que le manque d’intérêt et de négociation pour l’action a joué un rôle dans la décision de l’actionnaire principal de lancer une offre de rachat. "Le fait que le négoce de nos actions soit devenu très limité est un fait objectif", a déclaré Xavier Vandenbogaerde. "De plus, le marché a généralement réagi plus fortement aux mauvaises nouvelles qu’aux bonnes nouvelles."

  • Kepler Cheuvreux sur D'Ieteren Group: "Une opportunité d'achat au cours actuel"

    Fan mail de Kepler Cheuvreux à l'égard de D'Ieteren Group

    . "Selon nous, le cours actuel de l’action représente une opportunité pour les investisseurs qui ont été mis à l’écart au cours des derniers mois, car le cours de l’action a baissé de 2%, malgré des résultats relativement solides", expliquent les analystes de Kepler Cheuvreux. Ils ajoutent que "cette baisse semble être due à une association injustifiée avec Volkswagen".

    La recommandation d'achat est confirmée, avec un objectif de cours relevé de 170 euros à 185 euros.

  • Reprise des cotations sur les chapeaux de roues pour Roularta

    La cotation de l'action Roularta a repris. Le titre bondit actuellement de 21,7%, à 15,15 euros. Il a grimpé jusqu'à 15,40 euros au plus haut de la séance, soit un gain de 23,69%.

  • L'or passe les 3.000 dollars l'once

    L'or passe pour la première fois le palier des 3.000 dollars l'once, valeur refuge prisée face aux craintes géopolitiques et d'une guerre commerciale, après la menace de Donald Trump de surtaxer les importations de produits alcoolisés européens.

    Il a grimpé à 3.001,20 dollars au plus haut de la séance, avant de revenir à 3.000,88 dollars pour l'instant.

  • L'or d'or titille les 3.000 dollars

    L'or a titillé les 3.000 dollars, à 2.999,53 dollars (+0,35%) avant de se replier à 2.999,24.

  • KBC Securities sur GBL: "La nomination du vétéran du private equity Johannes Huth arrive à point nommé"

    Sharad Kumar, analyste chez KBC Securities, abaisse son objectif de cours pour GBL

    de 100 à 86 euros. Il le fait sur la base d'une mise à jour de son modèle (et des résultats annuels de la société holding), dans laquelle il estime la valeur totale de l'entreprise par action à 132,6 euros. Il applique une remise de 35% sur ce dernier montant. Ce nouvel objectif de cours représente un potentiel de hausse de 28% par rapport au dernier cours de clôture.

    Concernant le départ d'Ian Gallienne, il déclare: "La nomination du vétéran du private equity Johannes Huth arrive à point nommé, alors que GBL cherche à se transformer en une société holding axée principalement sur les sociétés non cotées."

    L'action GBL perd 0,8%, à 67,25 euros, dans un marché bruxellois en hausse de 0,28%.

    La nomination du vétéran du capital-investissement Johannes Huth arrive à point nommé.

    Sharath Kumar
    Analyste chez KBC Securities
  • La baisse de l'inflation en Allemagne est une bonne nouvelle pour la BCE

    L'inflation allemande a légèrement diminué en février, à 2,6% sur un an, ont montré les données définitives de l'Office fédéral de la statistique, indiquant une probable révision à la baisse pour la zone euro, qui soutiendrait un nouvel assouplissement de la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE).

    Les économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne une inflation de 2,8%, comme en janvier et dans la ligne des données préliminaires.

    Sur un mois, cette inflation ressort à 0,5%, alors que les analystes interrogés par Reuters attendaient en moyenne 0,6%.

    Selon les estimations de Pantheon Macroeconomics, un ralentissement de la hausse des prix en Allemagne signifierait que l'inflation dans la zone euro est tombée à 2,3% en février, alors qu'une première estimation donnait une inflation à 2,4%. Les chiffres définitifs seront publiés mercredi.  

    C'est une bonne nouvelle pour la BCE, mais la prudence est néanmoins de mise.

    Cyrus de la Rubia
    Économiste en chef à la Hamburg Commercial Bank
  • L'or améliore encore son record

    L'or améliore encore son record, pour flirter avec la barre des 3.000 dollars. L'once a atteint jusqu'à 2.996,79 dollars (+0,25%) un peu plus tôt ce matin, avant de revenir à 2.995,42 dollars (+0,21%).

  • "Vendez CMB.Tech"

    L'analyste Jorgen Lian, de DNB Markets, réduit sa recommandation sur CMB.Tech

    à "vendre", contre "conserver". L'objectif de cours est de 7 euros, impliquant un recul de 18% par rapport au dernier cours. 

  • L'action Ekopak prend l'eau

    L'entreprise de purification d'eau Ekopak a chuté de 13,9% sur Euronext Bruxelles jeudi et elle recule à nouveau fortement aujourd'hui. L'action perd 9,09%, à 9 euros.

    De plus en plus d’investisseurs s’inquiètent de l’endettement élevé de l’entreprise basée à Tielt. L'incertitude plane également sur le projet hydroélectrique d'Anvers, qui prévoit l'approvisionnement en eaux usées purifiées d'entreprises industrielles.

  • Jefferies sur Kering: "Un basculement inattendu"

    Kering

    chute nettement en bourse, après l'annonce de la nomination de Demna Gvasalia, qui se fait appeler Demna, au poste de directeur artistique de la marque Gucci, les analystes se déclarant dubitatifs sur la validité du choix du groupe de luxe français.

    À Paris, l'action chute de 9,6%, à 226,40 euros, contre un gain de 0,3% pour le CAC 40.

    Demna, ex-directeur artistique de Balenciaga, prendra les rênes de Gucci à partir de juillet 2025. Âgé de 43 ans, il avait fait l'objet, en 2021, d'une controverse liée à une publicité accusée de contenir des images inappropriées impliquant des enfants.

    Il avait ensuite présenté ses excuses sur son compte Instagram. Cédric Charbit, alors président-directeur général de Balenciaga, avait annoncé, quant à lui, la création d'un "conseil à l'image" chargé d'évaluer le contenu des publicités de la marque.

    Gucci, qui représente environ la moitié du chiffre d'affaires de Kering, s'est séparé de son ancien directeur artistique Sabato de Sarno au début du mois de février. La marque a vu ses ventes reculer fortement en 2024.

    Les analystes sont mitigés sur la nomination de Demna, Jefferies soulignant qu'il s'agit d'un "basculement inattendu".

    Selon RBC, les investisseurs attendaient l'arrivée d'un directeur artistique externe, plus en vue, et jugent que celle de Demna pourrait ne pas être suffisante pour renforcer la "signalisation" de la marque.

    Cependant, TD Cowen est plus optimiste et s'attend à ce que Demna "apporte de l'éclat à Gucci", citant sa base de fans fidèles, sa capacité à attirer les jeunes et les nouveaux clients, et la forte théâtralité de ses collections.

  • |Opening bell|

    • Amsterdam: +0,29%
    • Bruxelles: +0,10%
    • Paris: -0,03%
    • Francfort: n.c.
    • GBL : -0,52%
    • Ahold Delhaize: +1,12%
    • Prosus: +2%
    • Carlsberg: +3,9%
    • BMW: -2,3%
    • Daimler Truck: +2,8%
  • L'inflation IPCH légèrement revue à la baisse en Allemagne en février à 2,6%

    L'inflation allemande a légèrement diminué en février à 2,6% sur un an, ont montré les données définitives de l'Office fédéral de la statistique.

    Les économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne une inflation de 2,8%, comme en janvier et dans la ligne des données préliminaires.

    Sur un mois, cette inflation ressort à 0,5% alors que les analystes interrogés par Reuters attendaient en moyenne 0,6%.

  • Suspension de Roularta

    La FSMA indique que l'action Roularta

    sera suspendue dès 9h, à l'ouverture des marchés ce vendredi. La cotation reprendra à 11h, précise-t-elle.

  • Briefing d'avant-bourse

    Les bourses européennes sont attendues en hausse, les investisseurs digérant l'escalade des tensions commerciales avec les États-Unis.

    D'après les premières indications disponibles, l'Euro Stoxx 50 progresserait de 0,36%. Amsterdam de 0,4%, Francfort de 0,33%, Londres de 0,30% et Paris de 0,09%.

    Donald Trump a relancé, jeudi, les craintes de guerre commerciale mondiale, et les inquiétudes potentielles sur la croissance mondiale qui en découlent, en menaçant l'Union européenne de droits de douane conséquents.

    Les incertitudes sont nombreuses en ce qui concerne la fin potentielle de la guerre en Ukraine, l'escalade tarifaire en cours et l'augmentation probable des dépenses de défense en Europe. Le sentiment du marché est négatif aux États-Unis, tandis que les perspectives économiques de la zone euro s'améliorent.

    Les analystes de Société Générale

    Les investisseurs scruteront plusieurs indicateurs attendus avant la séance, comme les prix à la consommation en Allemagne et en France ou la croissance au Royaume-Uni, pour affiner leurs scenarios alors que l'agence de notation Fitch Ratings doit rendre aujourd'hui sa décision sur la dégradation ou le maintien de la note de crédit de la France.

  • OPA de la famille De Nolf sur Roularta à 15,50 euros l'action, en cash

    Selon un avis de la FSMA, Koinon, le véhicule d'investissement de la famille De Nolf et actionnaire de référence de Roularta

     avec 72% des actions en sa possession, a l'intention de lancer une offre publique d’acquisition volontaire conditionnelle en espèces, afin d’acquérir toutes les actions émises par Roularta Media Group.

    L'offre porte sur l'ensemble des actions qui ne sont pas encore en sa possession.

    Un montant de 15,50 euros en cash est offert pour chaque action, soit une prime de 24,5% par rapport au dernier cours de clôture de l'action (12,45 euros).

    Le prix par action de l'offre sera réduit euro pour euro du montant brut de tout dividende ou autre distribution faite par la cible à ses actionnaires avec une date de paiement postérieure à ce 14 mars et antérieure à la date de paiement de l'offre.

    L'offre est soutenue par l'actionnaire familial West Investment Holding, qui s'est irrévocablement engagé à apporter ses titres à l'offre, soit 522.136 actions de la cible ou 3,75% du capital.

    95%
    Le seuil minimum visé par Koinon
    Une condition importante de l’offre est que Koinon souhaite détenir au moins 95% des actions après la fin de la période d’offre.
  • Daimler Truck lance un programme d'efficacité en Europe

    Daimler Truck

    annonce s'attendre à une augmentation de 5% à 15% de son bénéfice d'exploitation ajusté cette année, un objectif qui dépendra des développements macroéconomiques et géopolitiques futurs, en particulier de l'impact possible des tarifs douaniers, a précisé le groupe.

    En 2024, Daimler Truck, l'un des plus grands constructeurs de camions au monde, a fait état d'une baisse de 15% de son bénéfice ajusté avant intérêts et impôts (ebit) à 4,67 milliards d'euros, le groupe citant la baisse de la demande et les défis liés aux coûts sur le marché européen.

    Le conseil d'administration de Daimler Truck a également lancé un programme d'efficacité visant à réduire les coûts récurrents de Mercedes-Benz Trucks en Europe de plus d'un milliard d'euros d'ici à 2030, a déclaré le groupe.

  • BMW: le bénéfice net annuel chute de 36,9% en 2025

    Le constructeur automobile allemand BMW

    a fait état, ce vendredi, d'un bénéfice net annuel en chute de près d'un tiers, plombé par ses ventes en Chine, son plus gros marché.

    Son bénéfice net a chuté de 36,9% sur un an, à 7,68 milliards d'euros, a indiqué le groupe dans un communiqué, dans un contexte de crise de l'industrie allemande, pilier de la première économie européenne.

  • "Achetez Ahold Delhaize"

    Richard Edwards, analyste chez Goldman Sachs, relève sa recommandation sur l'opérateur de supermarchés Ahold Delhaize

    , passant de "neutre" à "acheter".

    L'analyste évoque notamment des perspectives de croissance "solides" des ventes au détail de produits alimentaires aux États-Unis et en Europe. Par ailleurs, Edwards indique que des "premiers signes" indiquent que le récent plan de redressement américain "prend de l'ampleur". L'analyste estime aussi que les objectifs de croissance à moyen terme d'Ahold sont "bien soutenus", grâce à l'acquisition de Profi.

    L'objectif de cours est fixé à 40 euros, contre 39 euros.

    Ahold Delhaize a clôturé à 33,96 euros  jeudi soir.

  • Jour de "shutdown" budgétaire aux États-Unis

    À minuit, le "shutdown": les États-Unis se retrouvent au bord d'une paralysie de l'administration fédérale ce vendredi, en raison de l'absence d'accord au Sénat sur un texte budgétaire soutenu par Donald Trump, mais rejeté par les démocrates qui dénoncent des coupes drastiques.

    La proposition de budget, déjà adoptée par la Chambre des représentants à majorité républicaine, prolongerait le financement de l'État fédéral jusqu'en septembre. Le temps de plancher sur un budget plus conséquent pour l'année entière, avec notamment les fonds nécessaires pour certaines promesses de campagne de Donald Trump, comme son programme d'expulsion de migrants.

    Sans adoption d'un texte avant minuit dans la nuit de vendredi à samedi, le "shutdown" serait décrété, avec à la clé, le chômage technique pour des centaines de milliers de fonctionnaires, le trafic aérien perturbé, ou encore des retards à prévoir dans le versement de certaines aides alimentaires. Une situation très impopulaire aux États-Unis, que démocrates comme républicains – dans le meilleur des mondes – souhaiteraient éviter. 

  • L'indice S&P 500 entre en zone de correction | "L'atterrissage de l'économie pourrait être brutal"

    La Bourse de New York a fini en nette baisse jeudi, le S&P-500 se trouvant en zone de correction, alors que des données rassurantes sur l'inflation ont été éclipsées par les craintes sur la multiplication des droits de douane entre les États-Unis et leurs principaux partenaires commerciaux, qui font planer la menace d'un ralentissement économique, voire d'une récession.

    • L'indice Dow Jones a cédé 1,30%, à 40.813,57 points.
    • Le S&P-500, plus large, a perdu 1,39%, à 5.521,52 points.
    • Le Nasdaq Composite a reculé de 1,96%, à 17.303,01 points.

    Alors que les trois principaux indices de Wall Street ont décliné, le S&P-500 a fini à 10,1% de son record de clôture du 19 février, confirmant qu'il se trouvait en zone de correction.

    Le Nasdaq a enregistré, jeudi, un recul de près de 2% sous l'effet des pertes des valeurs technologiques et des titres associés au secteur.

    De nouvelles annonces sur les droits de douane sont quotidiennes. Le sentiment est horrible sur les marchés. On le constate encore plus dans certains des secteurs sensibles, comme les Sept Magnifiques. Ce n'est vraiment pas génial en ce moment.

    Mike Dickson
    Directeur de la recherche chez Horizon Investments

    L'indice des transports du Dow Jones, considéré comme l'un des baromètres de la santé de l'économie américaine, a enregistré une baisse de 18,9% par rapport à son record de clôture du 25 novembre dernier.

    Il y a un niveau important d'incertitude à propos de l'économie. Une partie de cette incertitude découle des droits de douane, mais pas seulement, et cela suggère aux investisseurs qu'il est possible que l'atterrissage (de l'économie) ne soit pas doux, finalement.

    Chuck Carlson
    Directeur général de Horizon Investment Services

    La journée a donné lieu à un nouvel épisode des guerres commerciales lancées par le président américain Donald Trump. L'Union européenne a annoncé des droits de douane à 50% sur les importations de whisky américain en réponse à la taxation de l'acier et de l'aluminium exportés aux États-Unis. Le chef de la Maison blanche a immédiatement menacé d'une surenchère avec des droits de douane de 200% sur certains alcools européens.

    Des données publiées par le département américain du Travail, qui montrent un ralentissement plus important qu'attendu des prix à la production, se sont inscrites dans la lignée d'un rapport datant de la veille sur les prix à la consommation, confirmant que l'inflation se dirige dans la bonne direction en reculant vers l'objectif de 2% de la Réserve fédérale (Fed).

    Les marchés gardent également un œil sur les débats au Congrès américain à propos d'un projet de loi de financement temporaire destiné à éviter un "shutdown" partiel des administrations fédérales.

    Côté valeurs,

    • Intel  a bondi de 14,6% après avoir nommé un nouveau directeur général en la personne de Lip-Bu Tan, dirigeant expérimenté du secteur des semiconducteurs.
    • Adobe  a chuté de 13,9% à la suite d'une prévision de résultats trimestriels conforme aux attentes.
  • Nouveau record de l'or

    Bonjour! Ce "Market live" du vendredi 14 mars démarre avec un nouveau record de l'or. Le métal jaune, valeur refuge par excellence, s'est hissé, ce vendredi, à un nouveau record historique à 2.993,91 dollars l'once (+0,16% par rapport à jeudi).

    Il est ensuite reparti à la baisse, pour s'afficher à 2.984,19 points (-0,17%).

    Le métal jaune est prisé des investisseurs face à l'escalade de la guerre commerciale, après la menace de Donald Trump de surtaxer les importations de produits alcoolisés européens, et alors que l'UE, la Chine et le Canada ont annoncé des mesures de rétorsion pour répondre aux taxes douanières américaines déjà appliquées.

    L'or bénéficie aussi d'un contexte géopolitique incertain, alors que les conditions d'un cessez-le-feu en Ukraine restent en suspens.

    La forte volatilité des marchés en général pousse les investisseurs à rechercher les métaux précieux. 

    ©Bloomberg

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Wall Street termine en nette hausse, Nasdaq et S&P 500 prennent plus de 2%
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