Tous les Belges ou presque (92%) se disent de plus en plus conscients de la nécessité de consommer de façon durable. Pourtant, près 68,8% d’entre eux reconnaissent ne pas appliquer ce principe lors de leurs achats. C’est ce que révèle une étude récente diligentée par le producteur d’emballages Tetra Pak(1). Le seuil d’accès aux produits durables doit être abaissé. C’est pourquoi Fairebel et Tetra Pak ont développé un packaging durable offrant une facilité d’utilisation maximale assortie d’une qualité irréprochable.
Le nouvel emballage de Fairebel et Tetra Pak s’inscrit dans la stratégie “Farm to Fork”, un volet essentiel du Green Deal européen. Tetra Pak et Fairebel garantissent la durabilité tout au long de la chaîne de production. Par exemple, les deux entreprises ne tiennent pas uniquement compte de l’environnement mais aussi de leur personnel.
“Le nouvel emballage se compose à 87% de matières premières végétales, est 100% recyclable et entraîne 36% d’émissions de CO2 en moins”, détaille Frank Vandewal, Sustainability Director chez Tetra Pak. “En outre, nous avons remplacé les matières premières fossiles par du plastique fabriqué à partir de sucre de canne, ce qui réduit la quantité de plastique nécessaire de 180.000 kilos pour la seule production de Fairebel.”
Aucun compromis
Avec leur emballage innovant et durable, les deux entreprises souhaitent pousser leurs clients à choisir des produits laitiers issus de producteurs locaux. Il est vrai que 80% des Belges estiment que les emballages durables contribuent à lutter contre le réchauffement climatique, et que 60% considèrent l’emballage des produits comme important. Près de la moitié des personnes interrogées (46%) sont prêtes à payer davantage pour un produit moins polluant. Malgré tout, une grande majorité (61%) juge que la qualité du produit et sa facilité d’utilisation comptent plus que son impact environnemental. C’est pourquoi les deux entreprises investissent des sommes considérables pour atteindre un équilibre entre durabilité, qualité et confort d’usage.
“Nous savons que la qualité est essentielle pour les consommateurs et qu’ils ne sont pas prêts à faire des concessions”, confie Erwin Schöpges, président de Fairebel, producteur de lait issu du commerce équitable. “C’est pourquoi la durabilité est totalement intégrée dans notre offre. Nos produits locaux de qualité sont issus d’un circuit court, à un prix honnête pour le consommateur et le producteur. En tant que partenaires, nous gérons la logistique, le marketing, et négocions un prix équitable avec les acheteurs. Notre nouvel emballage nous permet d’accomplir un pas de plus vers la durabilité de notre produit. De cette manière, nous proposons aux consommateurs un équilibre idéal sans le moindre compromis lors du choix de nos produits.”
Bouchon plus large, emballage rond
La facilité d’utilisation joue un rôle crucial lors de l’achat de boissons. L’emballage doit être maniable, pouvoir s’ouvrir et se refermer aisément et laisser le produit s’écouler sans se renverser. L’étude menée pour Tetra Pak révèle que plus d’un consommateur sur trois considère la qualité de l’emballage comme déterminante lors du choix d’un produit. Un message reçu cinq sur cinq par Fairebel et Tetra Pak.
“Lors du développement de notre nouvel emballage, nous avons investi massivement dans la durabilité mais aussi dans la qualité du contenu et dans sa facilité d’utilisation”, éclaire Erwin Schöpges. “Nous avons par exemple mis au point un bouchon à visser très pratique, d’un diamètre plus grand, et incliné la partie supérieure du carton pour aider au versement du lait. En outre, l’emballage est rond, ce qui rend plus aisée la prise en main par le consommateur. Lors du développement de cet emballage, nous avons écouté avec attention les souhaits des consommateurs. Nous voulons répondre au mieux aux besoins de notre groupe-cible.”
(1) Enquête en ligne menée en septembre 2021 auprès de 1.000 Belges, à la demande de Tetra Pak, par un bureau d’analyse indépendant. Les personnes interrogées étaient représentatives de la population en terme de régime linguistique, de genre, d’âge et de niveau d’études. La marge d’erreur maximale est de 3,02%.