La Belgique se profile clairement comme une économie de connaissances. Notre pays s’est fixé l’objectif européen de consacrer 3% de son PIB à la recherche et développement à l’horizon 2020.
Les investissements dans l’informatique ne sont pas seulement synonymes de gains de productivité et d’amélioration du service. Ils sont aussi indispensables à la survie de l’entreprise à plus long terme.
Tant les administrations fiscales que les entreprises veulent se montrer plus performantes, sans concession en matière de qualité. Ce n’est possible qu’en continuant d’investir dans de nouveaux systèmes et solutions… ou en misant sur l’innovation.
La Belgique est confrontée à un double problème. Par rapport à nos voisins, nous hébergeons trop peu de start-ups. Et celles-ci se montrent trop peu ambitieuses. Notre pays manque cruellement d’entrepreneurs audacieux, de ceux qui partent à la conquête du monde avec un produit innovant. Le programme EYnovation leur vient en aide.
De vastes archives pleines de caisses, de cahiers et de journaux… Soyons honnêtes: pour de nombreux experts-comptables, la numérisation se conjugue toujours au futur proche davantage qu’au présent. Mais pas pour les experts-comptables EY entrés de plain-pied dans un univers numérique où ils entrevoient de nombreuses opportunités: "Nous sommes prêts à jouer notre rôle de trusted business advisors."
"Grâce à la déduction pour revenus d’innovation, la Belgique est en mesure de se présenter comme une destination fiscalement attrayante pour les activités à forte intensité de R&D." Cette nouvelle déduction remplace la déduction pour revenus de brevets, supprimée l’an dernier à la demande de l’OCDE.
Avec une boutique en ligne accessible depuis le monde entier, vous augmentez considérablement vos débouchés. Malheureusement, vos obligations en matière de TVA se multiplient elles aussi.