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Wall Street termine dans le rouge | Netflix s'envole en après-bourse, Tesla à l'équilibre

La Bourse de New York a fini en net recul ce mercredi, alors que les taux obligataires ont grimpé au plus haut depuis 2007 face aux inquiétudes concernant le conflit au Proche-Orient. Netflix et Tesla au rapport en après-bourse.
  • Au menu ce jeudi

    C'est ici que s'achève notre Market Live, lieu idéal pour suivre l'actualité des marchés en temps réel. Demain, les investisseurs vont devoir naviguer entre une déferlante de résultats d'entreprises en France, un indicateur du secteur immobilier chinois et l'indice d'activité manufacturière de la région de Philadelphie (Fed) pour octobre.

  • En savoir plus sur les résultats de Tesla

    Tesla vient de publier des résultats pour le troisième trimestre inférieurs aux attentes du marché, alors que sa marge brute a baissé.

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  • Netflix fait mieux qu'attendu, hausse de plus de 10% des abonnés

    La plateforme de streaming Netflix publie des résultats meilleurs qu'attendu au troisième trimestre, avec une hausse nette de ses abonnés de plus de 10% sur un an, selon un communiqué.

    D'un trimestre à l'autre, le groupe de Los Gatos (Californie) a gagné 8,76 millions d'abonnés, pour atteindre 247,1 millions fin septembre.

    Le titre prend 9% après la clôture de la Bourse.

  • Wall Street finit en recul, plombée par la hausse des taux obligataires

    La Bourse de New York a fini en net recul alors que les taux obligataires ont grimpé au plus haut depuis 2007 face aux inquiétudes concernant le conflit au Proche-Orient, tandis que la saison des résultats n'en est qu'à son début. L'indice Dow Jones a perdu 0,98%, le Nasdaq a cédé 1,62%, le S&P 500 a lâché 1,34%, selon des résultats provisoires. 

  • Tesla annonce une baisse de sa marge au troisième trimestre

    La marge brute de Tesla  au troisième trimestre a diminué par rapport à l'année précédente, le constructeur de véhicules électriques ayant réduit ses prix pour stimuler la demande face à la hausse des taux d'intérêt. 

    La société a fait état d'une marge brute de 17,9% pour le trimestre clos en septembre, contre 25,1% un an plus tôt, alors qu'elle n'avait pas encore commencé à réduire ses prix. Au deuxième trimestre, Tesla a enregistré une marge brute de 18,2 %.

    Le chiffre d'affaires total a augmenté de 9% en glissement annuel au troisième trimestre pour atteindre 23,4 milliards de dollars. Ce chiffre est inférieur aux attentes des analystes, qui voyaient 24,06 milliards de dollars.  

    L'action Tesla perdait environ 2% dans les échanges d'après-bourse. 

  • Wall Street | Closing Bell

    Dow Jones: -0,98%

    S&P 500: -1,34%

    Nasdaq: -1,62%

  • Le pétrole accélère, entre baisse des stocks américains et menace de l'Iran

    Les cours du pétrole ont rebondi, réveillés par l'appel de l'Iran à un embargo pétrolier sur Israël et la chute des stocks de brut américain, sous l'effet d'une hausse des exportations et de la demande intérieure.  

    Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre a pris 1,77%, pour clôturer à 91,50 dollars. Son équivalent américain, le West Texas Intermediate (WTI), avec échéance en novembre, a lui gagné 1,91%, à 88,32 dollars. Les deux références sont au plus haut depuis deux semaines.  

    Selon des propos rapportés par le site Didban Iran, le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, a appelé les pays à population à majorité musulmane à boycotter Israël, notamment en suspendant leurs livraisons d'or noir à l'Etat hébreux. "Cela suscite des craintes de voir le conflit s'étendre et perturber les approvisionnements" en pétrole, a estimé Andy Lipow, de Lipow Oil Associates. 

  • À suivre: les résultats de Tesla et Netflix

    Deux géants américains s’apprêtent à publier leurs résultats à la clôture de la Bourse de New York.

    "Le principal débat sur Tesla porte sur la question de savoir si l'action va être réévaluée à la baisse, si le rythme des livraisons ralentit et si les nouveaux modèles sont moins rentables".

    Tom Narayan
    Analyste chez RBC Capital Markets
  • Le Livre Beige de la Fed considère la croissance américaine comme stable ou légèrement plus faible

    Les perspectives de l'économie américaine sont stables ou pourraient montrer une expansion plus faible, a déclaré la Réserve fédérale dans son enquête Livre Beige.

    "Les perspectives à court terme de l'économie ont été généralement décrites comme stables ou avec une croissance légèrement plus faible", a déclaré la Fed mercredi dans le rapport, publié deux semaines avant chaque réunion du Comité fédéral de l'open market (FOMC) qui fixe la politique. "Les tensions sur le marché du travail ont continué à s'atténuer dans tout le pays."

    La plupart des districts ont indiqué peu ou pas de changement dans l'activité économique depuis le rapport de septembre, selon le Livre Beige compilé par la Fed de St Louis en utilisant des informations recueillies jusqu'au 6 octobre. 

    "Les dépenses de consommation ont été mitigées, en particulier chez les détaillants généraux et les concessionnaires automobiles, en raison des différences de prix et d'offres de produits".

    Livre Beige
  • Le Nasdaq perd 1%

    La Bourse de New York perdait toujours des plumes, préoccupée par le conflit au Moyen-Orient, des résultats d'entreprises peu satisfaisants et des taux d'intérêt encore hauts.

    Le Dow Jones perdait ainsi 0,4%. Le S&P 500, plus large, cédait 0,7%, tandis que le Nasdaq, à forte coloration technologique, abandonnait 1%.

  • ANALYSE | L'or a retrouvé son statut de valeur refuge

    Le métal précieux est en train d'enregistrer l'un de ses meilleurs mois de l'année. Et ce, alors que d'autres valeurs refuge comme les obligations d'État font grise mine.

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  • Morgan Stanley plonge après la chute des bénéfices

    L'action Morgan Stanley  connait sa plus forte chute depuis juin 2020. Pour cause: les négociateurs de l'entreprise ont enregistré la plus forte baisse des commissions à Wall Street et son unité de gestion de patrimoine a enregistré les flux les plus faibles depuis plus de trois ans.  

    Les revenus de la banque d'investissement ont chuté de 27% et l'activité de négociation de titres à revenu fixe s'est effondrée, entraînant une baisse des bénéfices. Le chiffre d'affaires de 6,4 milliards de dollars de l'activité de gestion de patrimoine de la société a été inférieur aux estimations des analystes, et les nouveaux actifs nets se sont élevés à 35,7 milliards de dollars, soit le niveau le plus bas depuis la pandémie. 

    L'action chutait de 7,7% dans les échanges new-yorkais, ce qui la place sur la voie de la plus forte baisse post-résultats depuis au moins dix ans. 

    Les investisseurs se concentrent probablement sur "ce qui a entraîné les tendances plus faibles des nouveaux actifs nets en particulier, et s'il s'agit des revenus d'intérêts nets, étant donné que les taux semblent plus élevés pour plus longtemps", ont écrit les analystes de Goldman Sachs dans une note avant que les marchés ne s'ouvrent. 

    "Les nouveaux actifs nets ont été inférieurs aux prévisions à long terme de Morgan Stanley. "

    Goldman Sachs
  • Waller (Fed): on peut attendre les données pour décider si des hausses de taux sont nécessaires

    Le gouverneur de la Fed, Christopher Waller, veut "attendre, regarder et voir" si l'économie américaine poursuivait sa progression ou s'affaiblissait face aux hausses de taux décidées jusqu'à présent par la Fed. Ce dernier envoie ainsi un signal fort indiquant que la Réserve fédérale ne relèverait pas ses taux d'intérêt lors de sa prochaine réunion, mais qu'elle pourrait le faire plus tard.  

    "Si l'économie réelle s'affaiblit, nous aurons plus de latitude pour attendre avant de procéder à de nouvelles hausses de taux et laisser la récente hausse des taux à long terme faire une partie de notre travail", a souligné Waller dans des remarques préparées pour le séminaire de l'European Economics & Financial Center à Londres.

    "Mais si l'économie réelle continue à montrer une force sous-jacente et que l'inflation semble se stabiliser ou se réaccélérer, un nouveau resserrement de la politique est probablement nécessaire malgré la récente hausse des taux à long terme". 

  • Cenergy Holdings: Corinth Pipeworks remporte un contrat de 30 millions d'euros

    Dans un communiqué de presse publié à la clôture des bourses européennes, Cenergy Holdings  annonce que Corinth Pipeworks, son segment tubes d’acier, a remporté un contrat de plus de 30 millions d'euros. Ce dernier concerne la fabrication et la fourniture de tubes d’acier soudés à haute fréquence (HFW) pour le projet de transport et de stockage de CO2 de Porthos.

    "Les tubes seront fabriqués dans les installations de Corinth Pipeworks en Grèce, et les travaux d'installation en mer commenceront comme prévu en 2026", précise la holding d'origine grecque active dans l'industrie métallurgique.

  • Atenor trouve un locataire important à Varsovie

    Le promoteur immobilier urbain Atenor  a obtenu un bail important pour le nouvel immeuble de bureaux Lakeside à Varsovie, qui sera occupé avant la fin de ce trimestre. 

    Lux Med Group, un acteur majeur du marché des soins de santé privés en Pologne, loue plus de 13.000 m² d'espace de bureaux dans l'immeuble Lakeside. Il occupe ainsi plus de la moitié du bâtiment de 23.850 m². Lux Med s'y installera au cours du second semestre 2024.

    Avec ce nouveau contrat, Lakeside est désormais loué à 80%, a déclaré Atenor dans un communiqué de presse.

  • Le Bel 20 finit sur une baisse d'1,5%

    L’indice vedette de la Bourse de Bruxelles a perdu environ 1,5%. Les autres grandes bourses européennes ont aussi perdu du terrain, prudentes face à une situation mouvante au Proche-Orient, ainsi que des tensions sur les taux obligataires et sur le marché du pétrole.

    Toutes les valeurs du Bel 20 ont ainsi terminé dans le rouge. Melexis , Aperam  et surtout Barco  ont toutefois signé les plus fortes baisses, cette dernière ayant perdu plus de 12% suite à la publication de ses résultats trimestriels.

    Hors indice, Intervest  a bondi de plus de 35% après l’offre de rachat de la société de capital-investissement TPG. Fountain  a, de son côté, chuté de plus de 13%.

  • Europe | Closing Bell

    Bel 20: -1,56%

    AEX: -0,98%

    Cac 40: -0,91%

  • USA: le rendement des bons du Trésor à 10 ans dépasse les 4,9% pour la première fois depuis 2007

    Les rendements américains grimpaient, le taux à 10 ans atteignant même un nouveau record pluriannuel ce mercredi. Les investisseurs digèrent notamment les dernières données économiques et parient que les politiques des banques centrales vont rester restrictives de longs mois encore.

    Le rendement du Trésor à 10 ans gagnait près de 8 points de base pour atteindre 4,916%, ce qui le place au-dessus de 4,9 % pour la première fois depuis 2007. Dans le même temps, le rendement du Trésor à 2 ans s'échangeait à 5,229%, soit une hausse de près de 2 points de base, après avoir atteint mardi des niveaux qui n'avaient plus été vus depuis 2006.

  • L'Opep ne prévoirait pas d'action immédiate après l'appel de l'Iran à un embargo contre Israël

    L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ne prévoit pas de tenir une réunion extraordinaire ou de prendre des mesures immédiates, alors que le ministre iranien des Affaires étrangères a appelé les membres de l'Organisation de la coopération islamique (OCI) à imposer un embargo pétrolier et d'autres sanctions à Israël, ont déclaré quatre sources du groupe de producteurs à Reuters.

    Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir Abdollahian, a appelé mercredi les membres de l'OCI à imposer un embargo pétrolier ainsi que d'autres sanctions à Israël, et à expulser tous les ambassadeurs israéliens.

    Quatre sources au sein de l'Opep, qui produit un tiers du pétrole mondial et comprend plusieurs pays arabes dont l'Iran, ont déclaré qu'aucune action immédiate ou réunion d'urgence n'était prévue par le groupe après les commentaires de Téhéran. "Nous ne sommes pas une organisation politique", a déclaré l'une des sources.

    Interrogé sur une possible réduction de la production de pétrole des pays arabes en représailles aux actions d'Israël à Gaza, le secrétaire général du Conseil de coopération du Golfe (CCG), Jasem al-Budaiwi, a déclaré que le CCG était attaché à la sécurité énergétique et ne devait pas utiliser le pétrole comme une arme.

  • ANALYSE | L'affaire Kanye West coûte moins cher à Adidas que prévu, les actionnaires soulagés

    La fin de la collaboration avec le rappeur, sur fond de propos antisémites, pèsera moins sur les résultats annuels d'Adidas qu'initialement prévu. L'action en a profité ce mercredi.

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  • Les bourses encore sur la retenue

    Les marchés reculent, coincés entre la hausse des prix du pétrole, après de nouveaux épisodes de tensions au Proche-Orient, des résultats d'entreprises peu satisfaisants et des taux encore hauts.

    Wall Street a ouvert en baisse: vers 16h55, le Nasdaq perdait 0,6%, le S&P 500 0,85% et le Dow Jones 1,05%.

    En Europe, Paris reculait de 0,83%, Francfort de 1% et Londres de 1,07%, des pertes accrues depuis la fin de matinée. À Bruxelles, le Bel 20 perdait 1,54%, Barco enregistrant la plus forte baisse au sein de l’indice.  

  • USA: baisse nettement plus élevée que prévu des stocks de pétrole (-4,5 millions de barils)

    Les stocks commerciaux américains de pétrole brut ont diminué beaucoup plus, la semaine dernière, que ne le prévoyait le marché, selon des chiffres publiés mercredi par l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA).  

    Ces réserves commerciales ont fondu de 4,5 millions de barils durant la semaine achevée le 13 octobre, alors que les analystes ne tablaient que sur une baisse de 550.000 barils, selon un consensus établi par l'agence Bloomberg. 

  • Les valeurs qui bougent à Wall Street

    Outre Nvidia, voici les principales valeurs à suivre à la Bourse de New York, ce mercredi:

    • United Airlines connaissait un trou d'air (-8,10%), malgré des résultats meilleurs que projeté par le marché. La compagnie a abaissé ses prévisions pour le quatrième trimestre, du fait de l'augmentation du coût du kérosène, mais aussi de la possible suspension prolongée de ses vols vers et à destination de Tel-Aviv.
    • Le fournisseur aéronautique Spirit Aerosystems décollait (+24,55%) après l'annonce du renforcement de son partenariat avec Boeing. Ce nouvel accord devrait augmenter le chiffre d'affaires du groupe de près de 200 millions de dollars en net d'ici 2033.
    • Morgan Stanley était sanctionnée (-6,9%), malgré des résultats meilleurs qu'attendu. La banque d'affaires payait notamment les performances jugées décevantes de son activité de gestion d'actifs.
    • Procter & Gamble était, lui, salué (+2,85%) pour ses résultats supérieurs aux projections des analystes. Les hausses de prix pratiquées par le groupe de Cincinnati (Ohio) lui ont permis de compenser une baisse de ses volumes écoulés (-1%).
    • Quant à l'assureur Travelers (+1,83%), les investisseurs retenaient davantage la croissance du chiffre d'affaires (+14%), supérieur aux attentes, que la baisse du bénéfice net, en deçà des anticipations, du fait d'une augmentation du coût des sinistres.
  • L'or et le pétrole grimpent

    Les investisseurs ont toujours le regard rivé sur le Proche-Orient et le conflit entre le Hamas palestinien et Israël, qui présente un risque d'escalade dans toute la région. Mardi, une frappe sur un hôpital de Gaza, dont Israël et les Palestiniens s'accusent mutuellement, a fait des centaines de morts et provoqué un vent de colère au Proche-Orient.

    Cet événement "met en évidence une probabilité bien plus grande qu'estimé jusqu'ici d'une éventuelle propagation du conflit", ainsi, "la prudence à court terme devrait largement dominer" les marchés, a estimé Sebastian Paris Horvitz, directeur de la recherche de LBP AM.

    "Il est certain qu'une intensification du conflit est susceptible de faire peser des risques sur l'approvisionnement mondial en pétrole, la région étant une zone de production majeure".

    Stephen Innes
    Analyste de Spi AM

    Après avoir pris plus de 3% en début de séance, les prix du pétrole se tassaient un peu, mais restaient orientés en hausse. Vers 16h15, le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en décembre, prenait 0,5% à 91,35 dollars. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain, avec échéance en novembre, avançait de 1,74% à 88,17 dollars.

    Autre signe de prudence des investisseurs, l'once d'or s'échangeait pour 1.969,20 dollars, un plus haut depuis début août.

  • ANALYSE | Les trois scénarios économiques de la guerre en Israël

    À ce stade, la guerre en Israël n'a pas d'impact réel sur le marché pétrolier. Mais une confrontation directe avec l'Iran changerait complètement la donne.

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  • Les demandes de prêts hypothécaires aux Etats-Unis atteignent leur plus bas niveau depuis 28 ans

    Une mesure des demandes de prêts hypothécaires aux États-Unis est tombée à son plus bas niveau depuis près de trois décennies, alors que les coûts d'emprunt ont augmenté pour la sixième semaine consécutive, ce qui laisse présager un nouveau recul du marché de l'immobilier résidentiel. 

    L'indice global des demandes d'achat ou de refinancement d'un logement de la "Mortgage Bankers Association" a chuté de 6,9% au cours de la semaine qui s'est achevée le 13 octobre, pour s'établir à 166,9. Il s'agit de l'indice le plus faible depuis mai 1995. 

  • La BCE lance la "phase préparatoire" de l'euro numérique

    La Banque centrale européenne (BCE) a annoncé le lancement de "la phase préparatoire", comportant des tests et expérimentations, de l'euro numérique, conçu comme une réponse à la dématérialisation croissante des paiements et aux cryptomonnaies.  

    "Nous devons préparer notre monnaie pour le futur", a déclaré la présidente de la BCE, Christine Lagarde, dans un communiqué, à l'issue de deux années d'évaluation du projet. Cette phase "préparatoire" aura, elle aussi, une durée initiale de deux ans et "ouvrira la voie à une décision future" sur l'éventuelle émission d'un euro numérique. 

  • Wall Street ouvre en baisse, l'incertitude pèse, les taux obligataires aussi

    La Bourse de New York a ouvert en baisse, prudente face à une situation mouvante au Proche-Orient, conjuguée à des tensions sur les taux obligataires et sur le marché du pétrole. Dans les premiers échanges, le Dow Jones effaçait 0,19%, le Nasdaq s'affaissait de 0,35% et l'indice élargi S&P 500 descendait de 0,32%. 

    La frappe contre un hôpital de Gaza mardi a ravivé les tensions au Moyen-Orient, l'Iran et le Hezbollah menaçant Israël de représailles malgré la protection militaire américaine, qui dispose de navires dans la zone. Un sommet entre les pays de la région et les États-Unis, destiné à contenir l'extension du conflit, a par ailleurs été annulé par la Jordanie après le bombardement, ce qui pousse le pétrole à la hausse.  

    Les inquiétudes géopolitiques s'ajoutent à l'attentisme des marchés, qui se préparent à une série de décisions de banques centrales sur les prochaines semaines, dont la Réserve fédérale le 1ᵉʳ novembre.  

    Mercredi, six membres du conseil des gouverneurs s'exprimeront avant que ne soit publié le Livre beige de la Fed, support à sa politique monétaire, tandis que le président de la Fed Jerome Powell s'exprimera plus tard dans la journée. 

  • Nvidia ouvre dans le rouge

    L’action Nvidia  perdait plus de 2%, alors qu’elle avait déjà cédé plus de 4% lors de la séance de mardi. Depuis le début de l’année, le titre demeure toutefois en hausse de près de 200%.

    D’autres fabricants de semi-conducteurs chutaient lors des premiers échanges, comme Intel  (-0,8%) et Advanced Micro Devices  (-2,3%).

    Pour cause: ces entreprises pourraient être contraintes de déplacer certaines opérations hors des pays qui sont dans le champ d'application des restrictions à l'exportation des États-Unis. Morgan Stanley a, en conséquence, réduit son objectif de cours pour Nvidia en raison de ce qu'il a appelé des contrôles d'exportation "draconiens". Les sociétés asiatiques liées aux puces d'intelligence artificielle ont aussi chuté en bourse après l'annonce des États-Unis.

    Même si les restrictions n'affecteront pas beaucoup les estimations à court terme, elles peuvent éroder les perspectives à long terme de Nvidia.

    Kunjan Sobhani
    Analyste chez Bloomberg Intelligence
  • Wall Street | Opening Bell

    Dow Jones: -0,06%

    S&P 500: -0,36%

    Nasdaq: -0,72%

  • L'action United Airlines bat de l'aile en avant-bourse

    United Airlines a abaissé mardi sa prévision de bénéfice pour le quatrième trimestre en raison d'une hausse des coûts, ce qui fait chuter l'action de 4,7% en avant-bourse. Le bénéfice ajusté par action est attendu entre 1,50 et 1,80 dollar pour le trimestre se terminant en décembre, contre 2,06 dollars attendus par le consensus, et en deçà des 2,46 dollars par action d'il y a un an.

  • Update | Le point sur la tendance boursière

    Wall Street est attendue en baisse, tandis que les bourses européennes déclinent, inquiètes de l'escalade des tensions au Moyen-Orient malgré le rebond de l'activité en Chine et de bons résultats d'entreprises.

    Les futures sur indices new-yorkais suggèrent une ouverture de Wall Street dans le rouge, de 0,2% à 0,5%.

    En Europe, l'indice Euro Stoxx 50 perd 0,52% tandis que le Stoxx 600 abandonne 0,46%.

    Entre solidité macro, tensions sur les taux, risque géopolitique extrême et résultats micro positifs pour l’instant, les actifs risqués continuent d’hésiter en mode consolidation. La publication d’une croissance chinoise plus forte qu’attendu ne parvient pas à tirer les actifs risqués à la hausse sur fond de renforcement des tensions au Moyen-Orient.

    Les stratégistes de Natixis


    Six membres du conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale s'exprimeront mercredi avant Jerome Powell, président de l'institution, tandis que le Livre beige de la Fed et des données sur la construction de logements aux Etats-Unis sont attendus dans la journée.

  • L'once d'or au plus haut depuis septembre

    L'once d'or s'échangeait pour 1.961 dollars, un plus haut depuis début septembre.

    L'or est souvent considéré comme une valeur refuge, et les investisseurs ont tendance à affluer vers lui en période d'incertitude économique.

    Stephen Innes
    Analyste de SPI AM
  • Philippe Vlerick et Charles Beauduin soutiennent Atenor

    Les hommes d'affaires de Flandre occidentale Philippe Vlerick et Charles Beauduin participeront chacun pour 10 millions d'euros au prochain tour de table du promoteur immobilier Atenor .

    L'action Atenor progresse de 4,6% à 12,60 euros.

  • La morosité des activités de fusions-acquisitions plombe les résultats de Morgan Stanley

    Le bénéfice de Morgan Stanley a chuté d'environ 9% au troisième trimestre, freiné par la léthargie des activités de fusions-acquisitions. La hausse des provisions pour créances douteuses a également joué un rôle.

    Le bénéfice pour le trimestre clos le 30 septembre s'est élevé à 2,4 milliards de dollars, soit 1,38 dollar par action diluée, a rapporté la banque mercredi. Les analystes tablaient sur 1,28 dollar selon LSEG (connu auparavant sous le nom de Refinitiv). Un an avant, le bénéfice était encore de 2,6 milliards de dollars, soit 1,47 dollar par action diluée.

    Le chiffre d'affaires total de Morgan Stanley provenant de la banque d'investissement a chuté de 27% à 938 millions de dollars au cours du trimestre.

    "Même si l'environnement de marché est resté mitigé ce trimestre, la société a enregistré des résultats solides", a déclaré le PDG James Gorman dans un communiqué. "Nos activités d'actions et de titres à revenu fixe ont bien évolué sur les marchés, et la gestion de patrimoine et de placements a généré des revenus plus élevés."

    L'action Morgan Stanley perd 2,7% à 78,20 dollars.

  • P&G dépasse les attentes

    Les ventes et les bénéfices trimestriels de Procter & Gamble ont dépassé les attentes du marché, aidés par une demande constante pour ses produits de soins personnels et de nettoyage ainsi que par des hausses de prix.

    Le fabricant du shampoing Pantene a vu ses prix grimper globalement de 7% au premier trimestre, tandis que le volume total de ses ventes a chuté de 1%, conformément aux niveaux observés au trimestre précédent.

    Connu pour ses produits tels que les rasoirs Gillette, les brosses à dents Oral-B et le savon à vaisselle Dawn, P&G a déclaré que sa marge brute s'était améliorée de 460 points de base pour atteindre 52% au cours du trimestre clos le 30 septembre.

    P&G s'attend désormais à une croissance des ventes comprise entre 2 et 4% pour l'exercice 2024, par rapport à son estimation précédente d'une hausse de 3 à 4%.

    Les actions de la société ont augmenté d'environ 1,7% lors des échanges avant commercialisation.
     

  • Le pétrole en hausse sur les craintes d'escalade du conflit entre Israël et le Hamas

    Les cours du pétrole progressent encore, après une frappe ayant fait des centaines de morts dans un hôpital de Gaza, qui fait craindre une escalade potentiellement régionale de la guerre entre Israël et le Hamas.

    • Le baril de Brent de la mer du Nord progresse de 2,49% à 92,14 dollars.
    • Son équivalent américain, le West Texas Intermediate (WTI), coté à New York, se renforce de 2,65% à 87,70 dollars

    "Les prix du pétrole Brent sont de nouveau en hausse ce mercredi, touchant leur plus haut niveau depuis le début de la crise" entre Israël et le Hamas, note Ricardo Evangelista, analyste d'ActivTrades.

  • UPDATE | Briefing actions belges

  • Kepler Cheuvreux sur Intervest: "Qui est la prochaine cible?"

    Les analystes de Kepler Cheuvreux reviennent sur l'offre de la société de capital-investissement TPG, basée à San Francisco et gérant plus de 139 milliards de dollars, sur Intervest.

    "Le 9 octobre, nous avions émis l'hypothèse que la suspension de l'action pourrait donner lieu à une éventuelle offre publique d'achat de la part d'un tiers. Cette spéculation est devenue réalité. Le prix de l’offre s’élève à 21 euros, soit 52% au-dessus du cours de bourse de jeudi (5 octobre). Nous avons estimé lundi dernier une fourchette de 'juste valeur' de 19,1 à 20,7 euros. Le prix de l'offre s'inscrit dans le haut de gamme de la fourchette, que nous considérons comme une bonne affaire pour les actionnaires existants."

    En conséquence, les analystes modifient leur conseil de "conserver" à "accepter l'offre". L'objectif de cours passe de 15 euros à 21 euros.

    Cet accord pourrait relancer le secteur immobilier, qui continue de se négocier à un prix très réduit. Qui est la prochaine cible ?

    Les analystes de Kepler Cheuvreux
  • Voici ce qui gâche la fête chez UCB

  • L'inflation européenne révisée en légère baisse en septembre

    L'inflation en zone euro est ressortie en septembre légèrement en dessous de la première estimation d'un mois sur l'autre, montrent mercredi les données définitives publiées par Eurostat.

    Sur un an, l'indice des prix à la consommation calculé aux normes européenne (IPCH) a augmenté de 4,3%, en ligne avec la première estimation "flash".

    D'un mois sur l'autre, l'inflation dans les 20 pays ayant adopté la monnaie unique a progressé de 0,3%, contre une estimation "flash" de 0,5%.

    Hors énergie et produits alimentaires non transformés, l'inflation ressort en septembre à 0,2% en rythme mensuel et à 5,5% en rythme annuel, contre des estimations "flash" de respectivement 0,3% et 5,5%.

    Une mesure plus étroite encore de l'évolution des prix, qui exclut également l'alcool et le tabac, montre que l'inflation est ressortie à 0,2% d'un mois sur l'autre et à 4,5% en glissement annuel, en ligne avec les premières estimations.

  • UCB: de +5,2% à -5,5%

    L'action UCB joue aux montagnes russes, peinant à profiter de l'annonce (très attendue) de l'appprobation de Bimzelx dans le traitement du psoriasis aux Etats-Unis. L'explication de la volte-face des investisseurs réside peut-être dans cette explication de Jefferies.

    Le broker note que le feu vert de la FDA est accompagné d'un avertissement concernant d'éventuels effets secondaires comme de potentielles idées suicidaires ("suicidal ideation") et un éventuel impact sur le foie durant les douze premiers mois du traitement.

    Après avoir gagné jusqu'à 5,2% en début de matinée, le titre s'est retourné à la baisse pour chuter de 5,5%. Il perd actuellement 1,7% à 77,74 euros.

  • ABB en baisse

    Le groupe d'ingénierie helvético-suédois ABB a publié un bénéfice net en hausse de 145% pour le troisième trimestre, à 882 millions de dollars (833 millions d'euros), dopé par un gain sur la cession de ses activités de transmission de puissance à AcBel.

    Toutefois, les analystes anticipent une réduction des marges au quatrième trimestre. Du coup, le titre lâche près de 5% à Zurich.

  • Solvay: le vote sur la scission se tiendra le 8 décembre prochain

    Les actionnaires de Solvay se prononceront sur la scission du groupe en deux sociétés distinctes lors d'une assemblée générale extraordinaire le 8 décembre prochain, annonce le géant de la chimie belge.

    Le chimiste annonce avoir reçu des décisions des autorités fiscales en Belgique et aux États-Unis confirmant que l'opération bénéficiera, sous réserve de certaines conditions, "d'un traitement fiscal favorable pour Solvay et ses actionnaires belges et américains".

    L'ensemble sera détaillé dans le prospectus qui sera publié à la mi-novembre par Syensqo (la nouvelle entité dédiée à la chimie de "spécialité").

    L'identité des dirigeants des deux futures entités demeure pour l'heure incertaine, de même que l'avenir de la CEO actuelle, Ilham Kadri.

  • Le point sur la tendance boursière

    Les bourses européennes sont globalement en légère baisse, le risque géopolitique au Proche-Orient prenant le pas sur les données économiques et les résultats d'entreprises, tandis que ASML pèse sur le compartiment technologique.

    Amsterdam recule de 0,43%, Francfort se tasse de 0,06%, Paris lâche 0,04%. De son côté, Bruxelles abandonne 1,23%, lesté par la dégringolade boursière de Barco (-17%).

    Les contrats à terme à Wall Street préfigurent également une baisse, de 0,2% pour le Dow Jones, de 0,3% pour le Standard & Poor's 500 et le Nasdaq, au lendemain d'une séance globalement stable mais marquée par la chute du secteur des semi-conducteurs, Washington ayant dit envisager de cesser les livraisons à la Chine de processeurs destinés à l'intelligence artificielle.

    Sur le front géopolitique, la colère gronde au Proche-Orient après une frappe contre un hôpital de Gaza qui a fait des centaines de victimes selon les bilans palestiniens, mais dont Israël réaffirme mercredi ne pas en être à l'origine. La crainte d'un embrasement dans la région se renforce alors que le président américain Joe Biden effectue ce mercredi une visite en Israël.

    Cette menace, comme en témoigne la nouvelle flambée des cours du pétrole, prend le pas sur les nouvelles en provenance de Chine, où le produit intérieur brut (PIB), en hausse de 4,9% au troisième trimestre en rythme annuel, a dépassé les attentes. Les bons chiffres des ventes au détail chinoises, en progression de 5,5% en septembre, sont également relégués au second plan.

    La publication à 11h des prix mensuels à la consommation en zone euro pourrait cependant ramener l'économie au coeur des préoccupations, alors que les grandes banques centrales commencent à se réunir dès la semaine prochaine. En Grande-Bretagne, l'inflation s'est maintenue à 6,7% sur un an en septembre.

    Sur le plan de la microéconomie, les publications se poursuivent avec deux résultats particulièrement attendus à Wall Street, ceux de Netflix et Tesla.

  • Adidas accélère le pas

    Adidas grimpe de près de 4%, porté par une activité "meilleure que prévu" au troisième trimestre, et par la vente des derniers stocks de baskets Yeezy, après l'arrêt de sa collaboration avec le rappeur Kanye West.

    L'équipementier sportif s'attend à ce que ses revenus "diminuent d'un taux de pourcentage bas à un chiffre", contre "moyen à un chiffre" auparavant, a-t-il déclaré dans un commniqué.

    Son bénéfice d'exploitation hors effets exceptionnels devrait quant à lui "atteindre 100 millions d'euros" plutôt que "le seuil de rentabilité" dans les précédentes estimations.

    GBL détient une participation de 7,6% dans Adidas.

  • ASML Holding chute lourdement

    ASML Holding chute de 4,3%, alors que le fabricant d'équipements de semi-conducteurs a mis en garde contre une stagnation de ses ventes en 2024, après avoir publié des résultats du troisième trimestre conformes aux attentes des analystes.

    L'annonce d'ASML plombe un compartiment des valeurs technologiques déjà mis sous pression par Nvidia, Nordic Semiconductor ou encore les tensions sur les taux d'intérêt.

    L'indice Stoxx 600 des valeurs technologiques abandonne 1,3%.

  • Barco: -15%

    Barco chute de 15% à 14,34 euros, alors que le groupe spécialiste de l'imagerie a abaissé une fois de plus ses attentes concernant ses résultats annuels.

  • Voici le briefing actions belges

  • |Opening bell|

    Amsterdam: -0,53%
    Bruxelles: +0,31%
    Paris: -0,10%
    Francfort: n.c.

    Euro Stoxx 50: -0,21%
    DJ Stoxx 600: -0,15%

    Intervest: +35,70% à 20,30 euros
    Hyloris: +8,27%
    Biosenic: +5,44%
    UCB: +3,23%
    Barco: -12%

  • L'inflation a stagné en septembre au Royaume-Uni

    L'inflation a stagné en septembre au Royaume-Uni à 6,7% sur un an, restant à un plus bas depuis février 2022, selon les données publiées mercredi par l'Office national des statistiques, qui trompent néanmoins les attentes des économistes qui s'attendaient à une petite baisse.

    Les prix des produits alimentaires ont continué de baisser, de même que ceux des meubles et articles ménagers, mais les carburants automobiles ainsi que les restaurants et hôtels ont contribué à tirer les prix vers le haut, a précisé l'ONS dans son rapport mensuel.

  • ASML prévoit un avenir radieux

    Le néerlandais ASML, acteur clé dans la construction mondiale de microprocesseurs, annonce une légère baisse de son chiffre d'affaires et de son bénéfice net au troisième trimestre, dans un secteur marqué par les tensions entre la Chine et les États-Unis.

    Le premier équipementier européen pour l'industrie des semi-conducteurs a néanmoins confirmé ses attentes de voir ses ventes grimper de 30% en 2023 et prévoit une croissance "significative" en 2025 après une année de transition en 2024.

    Le chiffre d'affaires de l'entreprise a baissé à à 6,67 milliards d'euros au troisième trimestre 2023, contre 6,9 milliards d'euros au deuxième trimestre.

    Le bénéfice net s'est quant à lui établi à 1,89 milliard d'euros, contre 1,9 milliard d'euros l'an dernier à même époque.

    Le directeur général d'ASML, Peter Wennink, anticipe toutefois une croissance significative pour 2025.

    L'industrie des semi-conducteurs est actuellement au point-bas du cycle et nos clients s'attendent à ce que le point d'inflexion soit visible d'ici la fin de cette année. Sur la base de notre perspective actuelle, nous adoptons une vision plus conservatrice et prévoyons un chiffre d'affaires similaire à 2023 en 2024. Nous prévoyons une croissance significative en 2025.

    Peter Wennink
    Le directeur général d'ASML
  • Reprise des cotations pour Intervest

    La cotation des titres Intervest peut reprendre, annonce la FSMA. L'action est suspendue depuis le 6 octobre 2023 à 12h54. Depuis lors, le groupe américain TPG a annoncé vouloir lancer une offre à 21 euros par action sur la SIR.

  • Jefferies plus optimiste pour Umicore

    L'analyste Charlie Bentley de Jefferies relève sa recommandation sur Umicore à "conserver" contre "sous performance", indiquant que le fabricant de composants pour batteries voit ses difficultés de financement se réduire.

  • Feu vert américain également pour Hyloris

    Au-delà d'UCB, Hyloris reçoit également un feu vert américain de la FDA aujourd'hui, trois ans après son introduction en bourse. La société peut commercialiser son nouveau médicament contre la douleur aux États-Unis. Des millions d'euros de revenus en perspective.

    Le médicament est connu en dehors des États-Unis sous le nom de Maxigesic IV, mais aux États-Unis, il porte le nom de marque commerciale Combogesic IV.

    "Le sentiment dans le secteur biotechnologique n'est pas très bon en ce moment. Les gens veulent voir des succès, et ils les obtiennent maintenant", déclare Stijn Van Rompay, PDG et actionnaire principal.

  • Trading update trimestriel morose chez Barco

    Le carnet de commandes de Barco affiche un niveau de commandes de près de 240 millions d'euros au cours du troisième trimestre, avec une croissance pour Enterprise et Entertainment, et une baisse pour Healthcare. Cela représente une diminution de 1% par rapport à la même période l’année dernière.

    Le chiffre d'affaires trimestriel s'élève à 229,6 millions d'euros. Ce chiffre est inférieur aux attentes consensuelles. En effet, les analystes attendaient environ 260 millions d'euros.

    Barco ne s'attend plus à une croissance du chiffre d'affaires pour l'ensemble de 2023, alors que cet été, l'objectif était encore d'un peu moins de 10%. Ceci avec une marge bénéficiaire "d’environ" au lieu de "supérieure" à 14%.

    La direction de Barco reconfirme ses prévisions à long terme de retour à une croissance à un chiffre du chiffre d'affaires, avec un objectif d'une marge d'EBITDA comprise entre 14 % et 18 % pour 2024 et les années suivantes.

  • Briefing d'avant-bourse

    Les bourses européennes sont attendues sur une note prudente, le risque géopolitique étant susceptible d'être encore au premier plan malgré la publication de nombreux résultats et indicateurs économiques, dont les chiffres de l'inflation en zone euro et au Royaume-Uni, alors que de grandes banques centrales doivent se réunir à partir de la semaine prochaine.

    L'Euro Stoxx 50 est attendu en petite hausse de 0,05%. Francfort débuterait sur un gain de 0,25%, Londres gagnerait 0,24%.

    Comme dans les précédentes séances, les investisseurs devraient garder un œil sur l'évolution de la situation au Proche-Orient où la colère gronde après une frappe contre un hôpital de Gaza, alors que le président américain Joe Biden effectue ce mercredi une visite en Israël dans le but d'éviter un embrasement dans la région.

    En Europe, ASML, SAP ou encore Deutsche Börse publient leurs comptes trimestriels.

    Dans la soirée, le marché prendra connaissance à 20h du Livre beige de la Réserve fédérale américaine (Fed), qui sert de base de travail à son comité de politique monétaire, dont la réunion est prévue les 31 octobre et 1er novembre.

    En zone euro et au Royaume-Uni, où les banques centrales respectives doivent se réunir le 26 octobre et le 2 novembre, les chiffres des prix à la consommation seront à surveiller.

  • Résultat d'exploitation en hausse mais résultat net en forte baisse pour WDP

    La SIR WDP a publié ses résultats pour le troisième trimestre ce mercredi matin, dans un communiqué

    • Au 30 septembre, le résultat EPRA est en hausse de 24%, à 217,7 millions d'euros, contre 175,9 millions un an plus tôt. Par action, la hausse se limite à 12% en glissement annuel, à 1,06 euro par action, en raison de l'augmentation du nombre d'actions en circulation.
    • La valeur du portefeuille immobilier baisse de 191 millions d'euros en neuf mois, pour une valeur totale de 6,7 milliards d'euros. 
    • Le résultat net (part de groupe) atteint 48,7 millions, contre 588,7 millions un an plus tôt (-91,7%). "La différence entre le résultat net et le résultat EPRA est principalement due à la diminution de valeur du portefeuille et à la variation négative de la juste valeur des instruments de couverture d’intérêts", explique l'entreprise. 
    • Le rendement locatif net passe à 5,3%, contre 4,7% au Q3 2022. Le taux d'occupation est stable, à 98,8% (-2 points de base en un an). Les loyers à périmètre constant sont en hausse de 6%, contre +3,5% à la même période l'an dernier. 
    • La marge est stable, à 91%, contre 91,5% à la fin septembre 2022.
    • Le ratio d'endettement est de 40,2%, alors qu'il s'établissait à 40,8% il y a un an. Le coût de la dette reste inchangé, à 1,9%.
    • Sous réserve de circonstances exceptionnelles, WDP confirme ses prévisions de résultat EPRA annuel, à 1,40 euro par action. Le dividende 2023 devrait s'élever à 1,12 euro brut par action, pour un ratio de distribution faible de 80%, détaille WDP.
  • La FDA approuve le Bimzelx d'UCB comme médicament contre le psoriasis

    C'est la nouvelle que les investisseurs attendaient depuis des semaines maintenant: UCB a reçu le feu vert de la FDA américaine pour le Bimzelx en tant que médicament contre le psoriasis modéré à sévère chez les adultes.

    Bimzelx doit reprendre le rôle de l'actuel médicament vedette Cimzia en tant que principal moteur de revenus plus tard cette décennie.

  • Feu vert américain pour le Zylbrisq d'UCB

    Après Rystiggo, UCB est autorisée à lancer également le Zylbrisq sur l'important marché américain pour le traitement de la myasthénie grave, une maladie musculaire rare. Un deuxième rival donc pour le blockbuster d'Argenx, Vvygart.

  • Les prix du pétrole bondissent

    Les prix du pétrole bondissent alors que les tensions s'intensifient au Moyen-Orient après que des centaines de personnes ont été tuées dans une explosion dans un hôpital de Gaza, suscitant des inquiétudes quant à d'éventuelles perturbations de l'approvisionnement en pétrole de la région.

    > Le baril de Brent grimpe de 2% à 91,68 dollars
    > Le baril de West Texas Intermediate (WTI) augmente de 2,4% à 88,73 dollars

    Les marchés ont revu à la hausse la prime de risque après qu'environ 500 Palestiniens ont été tués mardi dans une explosion dans un hôpital de la ville de Gaza, que les responsables israéliens et palestiniens se sont mutuellement imputés.

    La Jordanie a ensuite annulé un sommet qu’elle devait accueillir avec le président américain Joe Biden et les dirigeants égyptiens et palestiniens.

  • La croissance chinoise supérieure aux attentes

    La bonne nouvelle du jour: la deuxième économie mondiale, la Chine, se porte un peu mieux que prévu. Au troisième trimestre, la Chine a enregistré une croissance de 4,9%, légèrement meilleure que les 4,5% attendus en moyenne par les économistes, laissant penser que son rebond récent pourrait lui permettre d'atteindre l'objectif de croissance annuelle fixé par Pékin.

    La statistique des ventes au détail pour le mois de septembre a, elle, affiché une hausse de 5,5%, contre un consensus de +4,9%, après une augmentation de 4,6% en août.

    Les analystes demeurent toutefois prudents sur l'économie chinoise, au regard des difficultés persistantes du secteur clé de l'immobilier, note Harry Murphy Cruise, économiste chez Moody's Analytics, qui juge la reprise économique de la Chine "encore à ses balbutiements".

  • Voici votre podcast matinal

    Le Brief, le podcast matinal quotidien, 7 infos, dès 7h.

  • OPA sur Intervest

    Après dix jours de spéculations autour d'Intervest , l'annonce est tombée: le groupe américain TPG lance une offre à 21 euros par action Intervest Offices & Warehouses.

    L'offre à 21 euros implique une prime de 52% par rapport au dernier cours.

    Les analystes de Kepler Cheuvreux estimaient il y a quelques jours qu'une offre entre 19,1 et 20,7 euros serait "honnête" ("fair").

  • Wall Street en ordre dispersé | Nvidia sous pression

    Bonjour à toutes et tous et bienvenue sur le "market live" de L'Echo, l'endroit idéal pour suivre les principaux événements de cette séance de bourse du mercredi 18 octobre.

    Hier mardi, la Bourse de New York a terminé sur une note contrastée, à la fois satisfaite de la bonne santé de l'économie américaine et inquiète de la voir inciter la banque centrale américaine (Fed) à durcir encore sa politique monétaire. Les ventes au détail ont progressé plus que prévu en septembre et la production industrielle a augmenté le mois dernier, contrairement aux attentes.

    Le Dow Jones a grignoté 0,04%, l'indice Nasdaq a perdu 0,25% et l'indice élargi S&P 500 a fini proche de l'équilibre (-0,01%).

    Côté valeurs, l'action Nvidia a chuté de 4,7% à la Bourse de New York, notamment après l’annonce par l’administration américaine de nouvelles restrictions à l’exportation des semi-conducteurs vers la Chine.

    Par ailleurs, la salve de résultats trimestriels prévue pour la fin de la semaine a incité les investisseurs à la prudence.

    Enfin, les espoirs d’éviter une escalade de la guerre entre Israël et le Hamas ont du plomb dans l'aile, maintenant que les deux parties se rejettent la responsabilité de l’attaque meurtrière contre un hôpital à Gaza et que les consultations en Jordanie ont été annulées.

    ©EPA-EFE

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