Europe | Closing Bell
Bel 20: +0,64%
FTSE 100: +0,24%
DAX: -0,18%
CAC 40: -0,72%
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La prime de risque sur la dette française a touché un plus haut depuis 2012 ce mercredi. Cela reflète l'inquiétude croissante des investisseurs concernant la trajectoire budgétaire du pays.
Le bitcoin est désormais loin du seuil des 100.000 dollars effleuré en fin de semaine dernière.
Il avance de 3,07% à 94.466 dollars.
La devise américaine recule de 0,85% par rapport à l'euro, à 1,0580 dollar pour un euro.
Les cours du pétrole se stabilisent ce mercredi après une légère baisse la veille à la suite de l'accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, les investisseurs se projetant désormais vers la réunion de l'Opep+ prévue dimanche.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en janvier, prend 0,34% à 73,06 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI) gagne 0,40% à 69,05 dollars.
Le secteur bancaire en France "pâtit de l'augmentation de la prime de risque des obligations d'État françaises, le risque politique étant au centre" de l'attention, commente Lucas Excoffier, trader à Oddo BHF. À Paris, Axa chute de 4,34%, Société Générale de 4,09%, Crédit Agricole de 2,05% et BNP Paribas de 2,10%.
À Francfort, le titre de Commerzbank (-2,08%) continue de reculer alors que les signaux s'accumulent laissant penser que la concurrente italienne UniCredit (+0,29% à Milan) abandonnerait ses visées d'un rachat de la deuxième banque allemande. Deutsche Bank (-1,20%) est également délaissée.
Le Nasdaq lâche maintenant 0,74% et le S&P 500 0,22%.
Le Dow Jones avance de son côté de 0,24%.
HP plonge de 7,21% après avoir publié hier soir un bénéfice inférieur aux attentes de Wall Street au titre de son premier trimestre fiscal.
L'indice PCE de la hausse des prix aux USA est l'indicateur préféré de la Réserve fédérale. Celle-ci en tiendra compte pour prendre sa décision le 18 décembre.
Dell chute de 12,93% après avoir annoncé hier soir une prévision de chiffre d'affaires pour le quatrième trimestre inférieure aux attentes de Wall Street.
La Bourse de New York a ouvert sans grand changement, les investisseurs digérant les chiffres du PIB américain en attendant l'indice des prix PCE, mesure privilégiée par la Réserve fédérale américaine (Fed) pour suivre l'inflation. Le Dow Jones gagne 0,10% à 44.904,68 points. Le S&P 500 recule de 0,13% à 6.013,70 points. Le Nasdaq cède 0,27% à 19.124,27 points.
La deuxième estimation du PIB américain pour le troisième trimestre a montré ce mercredi une croissance de 2,8% en rythme annualisé, signe d'une économie toujours solide, tandis que les inscriptions au chômage dans le pays ont diminué la semaine dernière, à 213.000. "Les données n'étaient pas forcément très éloignées des attentes. Je ne considère pas cela comme une véritable impulsion dans un sens ou dans l'autre (sur la trajectoire de baisse des taux de la Fed)", a déclaré Keith Buchanan, gestionnaire de portefeuille chez Globalt Investments. Les rendements des obligations américaines à court terme ont poursuivi leur baisse après ces deux statistiques, allégeant un peu la pression sur les actions.
Le marché attend désormais la publication à 16h de l'indice des prix PCE pour le mois d'octobre. Les économistes interrogés par Reuters s'attendent à une stagnation à 0,2% en rythme mensuel, mais à une hausse à 2,3% sur une base annuelle après 2,1% en septembre. L'objectif de la Fed est de revenir à une inflation à 2%. "Même si le marché a largement tourné la page sur l'inflation américaine, une lecture négative renforcerait les doutes quant à la nécessité pour la Fed de réduire ses taux en décembre", écrivent les analystes d'ING dans une note.
Le Dow Jones prend 0,19%, tandis que le Nasdaq perd 0,31% et le S&P 500 0,10%.
CrowdStrike a relevé ses prévisions de chiffre d'affaires et de bénéfice annuels après avoir dépassé les attentes avec le chiffre d'affaires du troisième trimestre. Le spécialiste de la cybersécurité mise sur une demande croissante dans un contexte de hausse des menaces en ligne. Le titre recule cependant de 1,5% dans les échanges de préouverture.
L'économie américaine a progressé conformément aux attentes au troisième trimestre, montre mercredi la deuxième estimation des données publiées par le département du Commerce.
Le produit intérieur brut (PIB) de la première économie mondiale a augmenté de 2,8% en rythme annualisé sur la période juillet-septembre, comme le prévoyaient en moyenne les économistes interrogés par Reuters.
L'écart de rendement (spread) entre les obligations françaises et allemandes à dix ans est monté mardi à 90 points de base (pb), le plus haut niveau depuis plus de 12 ans, avant de retomber à environ 85 pb. Le Rassemblement national (RN) a promis de censurer le gouvernement de Michel Barnier si le projet de loi de finances (PLF) pour 2025 du Premier ministre ampute le pouvoir d'achat des Français.
"Les investisseurs restent préoccupés par l'évolution politique en France, notamment en raison des difficultés du gouvernement à approuver le budget de l'année prochaine", soulignent mercredi les analystes d'UniCredit dans une note. "La situation reste instable et un nouvel élargissement du spread OAT-Bund ne peut être exclu", ont-ils ajouté.
Le rendement du Bund allemand à dix ans s'affiche à 2,154%, en repli de 4,5 points de base, suivant la tendance sur les obligations américaines, le rendement des Treasuries à dix ans perdant 3,3 pb, à 4,2692%.
Wall Street est attendue en légère baisse avant la publication de nombreux indicateurs macroéconomiques et les bourses européennes sont dans le rouge, toujours affectées par la menace d'un relèvement des droits de douane aux États-Unis.
Les futures sur indices new-yorkais signalent une ouverture de Wall Street en baisse de 0,10% pour le Dow Jones, de 0,21% pour le Standard & Poor's 500 et de 0,39% pour le Nasdaq dans un contexte d'attentisme.
Le marché attend, entre autres, la deuxième estimation du PIB américain au troisième trimestre et la statistique des revenus et dépenses des ménages, qui comprend l'indicateur d'inflation PCE, particulièrement suivi par la Réserve fédérale américaine (Fed).
À Paris, le CAC 40 perd 1,31%, dans un contexte d'incertitude politique, le gouvernement de Michel Barnier étant menacé par un vote de censure dans le cadre du débat parlementaire sur le budget 2025. À Francfort, le Dax recule de 0,74% et à Londres, le FTSE abandonne 0,03%.
L'indice paneuropéen EuroStoxx 50 de la zone euro glisse de 1,01% et le Stoxx 600 lâche 0,53%.
Le sentiment du marché en Europe est affecté en premier lieu par les valeurs exportatrices, notamment dans le secteur automobile (-1,1%), qui pourrait souffrir des surtaxes douanières annoncées sous la future administration de Donald Trump.
Le président élu américain a en outre désigné mardi soir l'avocat Jamieson Greer, qui avait participé à la guerre commerciale entre Washington et Pékin lors de son premier mandat, au poste de représentant au Commerce.
HP Inc plonge de 8,1% en avant-bourse après avoir publié mardi soir un bénéfice inférieur aux attentes de Wall Street au titre de son premier trimestre fiscal.
Dell chute de 11,5% en avant-bourse après avoir annoncé mardi soir prévoir un chiffre d'affaires pour le quatrième trimestre inférieur aux attentes de Wall Street.
Le moral des consommateurs allemands devrait reculer plus fortement qu'attendu en décembre, les ménages s'inquiétant de l'impact des suppressions d'emplois, selon l'indice de confiance des consommateurs, publié mercredi par l'institut GfK et le Nuremberg Institute for Market Decisions (NIM).
L'indice du moral des consommateurs a chuté à -23,3 points en décembre contre -18,4 points (révisé) le mois précédent et un consensus à -18,6.
Le chiffre pour décembre marque un point bas depuis mai.
Les dernières semaines de l'année se terminent par un recul significatif du climat de consommation.
Wall Street se dirige vers une ouverture en petite baisse. L'indice Dow Jones débuterait en repli de 0,09%. Le S&P 500 abandonnerait 0,18% et le Nasdaq reculerait de 0,35%.
Solvay bondit de 5,53% à 32,85 euros, meilleure progression d'un indice Bel 20 en hausse de 0,45%. Il n'y a pas d'explication immédiate apparent à cette forte hausse. Barclays a toutefois ajusté ce matin son objectif de cours sur la valeur pour la faire passer de 28 euros à 30 euros, tout en confirmant son conseil à "sous pondérer".
OpenAI, créateur de l'interface d'intelligence artificielle (IA) générative ChatGPT, va autoriser ses employés à vendre pour "environ 1,5 milliard de dollars" d'actions de l'entreprise au géant japonais des investissements dans les technologies SoftBank Group, a indiqué mercredi la chaîne CNBC.
SoftBank renforcerait ainsi sa participation dans la start-up américaine, où il avait déjà investi 500 millions de dollars cet automne.
Le montant intermédiaire souscrit après le deuxième jour (26/11/2024) de la campagne des bons d'État s'élève à 16,58 millions d'euros, selon l'Agence de la dette.
Le bon à 1 an récolte près de 13,51 millions d'euros, le bon à 8 ans 3,07 millions.
Double annonce pour le constructeur automobile britannique Aston Martin.
D'une part, il a annoncé, mardi, prévoir que son bénéfice net annuel serait inférieur à ses niveaux de 2023, les retards de livraison de ses modèles ultra-exclusifs Valiant pesant sur ses marges. D'autre part, il a levé environ 111 millions de livres (133,03 millions d'euros) en actions au prix de 100 pence l'unité, soit une décote de plus de 7% par rapport à la dernière clôture du titre.
Ses actions ont clôturé à 107,9 pence mardi. L'action perd actuellement 5% à 102,60 pence.
Delivery Hero souhaite placer plus d'actions que prévu lors de l'introduction en bourse prévue de la filiale du Moyen-Orient Talabat à Dubaï.
En conséquence, 4,65 milliards d'actions, soit 20% des actions Delivery Hero, seront vendues, a annoncé mercredi le fournisseur alimentaire allemand. La société avait précédemment proposé de céder 3,49 milliards d'actions Talabat, soit 15% des actions. La société mère pourrait ainsi recevoir jusqu’à deux milliards de dollars.
Les personnes intéressées peuvent souscrire aux titres Talabat du 19 au 28 novembre. Le prix d'émission devrait être annoncé le 29 novembre. Toutefois, les banques accompagnatrices ont précisé que le prix serait d'au moins 1,60 dirhams (0,41 euro). Les débuts à la Bourse de Dubaï sont prévus pour le 10 décembre.
En bourse, l'action Delivery Hero progresse de 3%.
KBC Research reprend la couverture du titre CMB.Tech, la réouverture (obligée) de l'offre de CMB sur CMB.Tech ayant été bouclée. La recommandation est d'acheter avec un objectif de cours de 15,60 euros.
Les bourses européennes reculent globalement, le président américain Donald Trump semblant déterminé à mettre en place sa politique tarifaire, tandis que les actions françaises souffrent de l'incertitude politique en plein débat parlementaire sur le budget 2025.
À Paris, le CAC 40 chute de 1%. Le Dax à Francfort abandonne 0,32%, tandis que le FTSE à Londres est stable. À Bruxelles, l'indice Bel 20 gagne 0,37%, dans le sillage des gains de Solvay (+2,67%) et d'AvH (+2,34%).
L'EuroStoxx 50 perd 0,69% et le Stoxx 600 cède 0,38%.
Donald Trump a désigné au poste de représentant au Commerce l'avocat Jamieson Greer, qui avait participé à la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine lors du premier mandat du président élu. Lundi, il s'était engagé à imposer d'importants droits de douanes sur les importations en provenance du Canada, du Mexique et de la Chine.
Les déclarations de Donald Trump soulignent sa volonté d'utiliser les droits de douane comme un outil punitif pour résoudre ce qu'il appelle un 'problème qui couve depuis longtemps', ce qui soulève des questions quant à son programme plus large en matière de politique commerciale.
Le compte-rendu de la dernière réunion de politique monétaire de la Réserve fédérale a par ailleurs mis en évidence la circonspection de la banque centrale, qui pourrait baisser ses taux à un rythme plus modéré.
Les chiffres du PIB américain au troisième trimestre ainsi que l'inflation PCE pour octobre permettront de préciser la trajectoire économique américaine.
L'écart de taux entre la France et l'Allemagne touche un plus haut depuis 2012, à 89,4 points de base, les investisseurs s'inquiétant d'une possible censure du gouvernement de Michel Barnier qui remettrait en cause le projet de budget pour 2025.
Selon les stratégistes de Citigroup, la chute du gouvernement pourrait pousser l'écart de rendement à 100 points de base (1%).
La situation pèse sur les banques françaises, BNP Paribas, Société Générale et Crédit Agricole reculant de plus de 2% pour accuser les plus forts replis du CAC 40.
Easyjet gagne 3,44% après ses résultats.
Le roi des espaces de self-stockage Shurgard rapporte qu'il a obtenu quatre permis de construire en France. Il s'agit de trois projets au centre-ville de Paris et d'un à Lyon. Ils sont réalisés en collaboration avec Indigo, le plus grand exploitant de parkings en Europe. Cette société met à disposition de Shurgard quatre parkings dans les deux plus grandes villes de France. L’objectif est de transformer ces lieux en hubs locaux.
Les quatre projets représentent près de 17 millions d'euros. Le rendement immobilier attendu serait conforme aux prévisions de Shurgard, soit 8 à 9 % par an.
Le spécialiste des pompes hépatiques Sequana Medical annonce qu'il bénéficie d'une publication dans la revue médicale Kidney Medicine. Cela concerne les résultats de la recherche sur le DSR 2.0, un traitement potentiel contre l’accumulation excessive de liquide dans l’insuffisance cardiaque. Selon le professeur Jeffrey Testani de l'Université de Yale, les résultats de l'entreprise de biotechnologie ont été "vraiment impressionnants".
Le groupe pharmaceutique UCB annonce qu'il présentera de nouveaux résultats de recherche sur ses médicaments contre l'épilepsie. L'entreprise le fera lors de la réunion annuelle de l'American Epilepsy Society, qui aura lieu du 6 au 10 décembre à Los Angeles (États-Unis). Cela comprend 32 résumés scientifiques du programme de recherche sur l'épilepsie de l'entreprise.
UBS relève sa recommandation sur Melexis à "neutre".
La compagnie aérienne britannique Easyjet annonce un bénéfice net de 452 millions de livres sur son exercice 2023/2024, en hausse de près de 40% par rapport à l'an passé et entame les 12 prochains mois avec optimisme.
"Les perspectives d'Easyjet sont positives", se félicite Kenton Jarvis, actuel directeur financier et qui doit prendre la tête du groupe, cité dans le communiqué. "Nous prévoyons d'augmenter de 25% le nombre de clients qui partent" avec l'offre de séjour Easyjet Holidays, en forte progression sur l'exercice, a-t-il ajouté.
Just Eat Takeaway.com compte se retirer de la cote londonienne le mois prochain, une décision prise en vue de réduire les coûts.
Le géant japonais du divertissement Sanrio, qui exploite les droits du populaire personnage Hello Kitty, s'est effondré mercredi à la Bourse de Tokyo, perdant jusqu'à 17% après l'annonce d'une vente massive de titres -un revers après des mois d'envolée du cours.
L'action Sanrio a terminé la séance en baisse de 14,41% à 4.416 yens, dans un marché tokyoïte en recul de 0,80%.
Après la clôture des marchés mardi, Sanrio avait indiqué procéder à la mise en vente sur le marché d'actions déjà émises, à l'orée d'un nouveau plan de développement du groupe, afin "d'élargir et de diversifier son actionnariat", selon un document transmis au régulateur boursier.
Le cours de Sanrio a plus que doublé cette année, dopé par de forts bénéfices et le succès de son personnage phare Hello Kitty, qui vient de fêter son 50e anniversaire.
Et la popularité de Hello Kitty ne s'essouffle pas : un film de Warner Bros se prépare, un nouveau parc à thème lui sera dédié l'an prochain à Hainan (sud de la Chine).
Les bourses européennes sont attendues en repli à l'ouverture, la nomination de Jamieson Greer au poste de représentant américain au Commerce ravivant les craintes de la mise en place de nouvelles barrières douanières aux États-Unis, ce alors que de nombreux indicateurs seront publiés au cours de la journée.
Les contrats à terme suggèrent une ouverture en recul de 0,39% pour le CAC 40 parisien, contre une hausse de 0,01% pour le FTSE à Londres, un déclin de 0,14% pour le Dax à Francfort et de 0,31% pour l'EuroStoxx 50.
Donald Trump a désigné mercredi l'avocat Jamieson Greer, qui avait participé à la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine lors du premier mandat du président-élu, au poste de représentant au Commerce.
Les mesures prises à l'encontre du Canada et du Mexique ont incité les opérateurs à réévaluer leur positionnement de ces derniers jours, pariant sur une approche plus conciliante de Trump en matière commerciale avec les pays alliés des États-Unis. Cette nomination semble confirmer que Donald Trump est sérieux sur la mise en place de tarifs douaniers.
Donald Trump s'est engagé lundi à imposer d'importants droits de douanes sur les importations en provenance des trois plus grands partenaires commerciaux des États-Unis - le Canada, le Mexique et la Chine.
Aux incertitudes sur la politique commerciale s'ajoute plusieurs indicateurs clés.
En zone euro, l'indice de confiance du consommateur GfK pour décembre en Allemagne devrait rester dégradé, dans un contexte d'incertitude politique lié aux élections législatives anticipées.
Aux États-Unis, le PIB au troisième trimestre et l'indicateur d'inflation PCE pour octobre éclaireront sur le dynamisme de l'économie américaine.
Le compte-rendu de la dernière réunion de politique monétaire de la Réserve fédérale, publié mardi, a montré que les responsables de politique monétaire sont partagés sur l'ampleur de futures baisses de taux d'intérêt.
Les marchés seront clos aux États-Unis jeudi à l'occasion de Thanksgiving, et fermeront plus tôt vendredi.
Lors d'une réunion en ligne mardi, l’entreprise audiovisuelle EVS a fait des annonces à ses investisseurs. Elle a communiqué sur un programme de rachat d’actions propres d’une valeur de dix millions d’euros, étalé sur deux ans. Mais ce sont surtout deux nouveaux contrats commerciaux majeurs qui ont attiré l’attention.
Le premier accord représente un montant unique (hors services récurrents annuels) d’environ dix millions d’euros. Il s’agit d’un partenariat avec la marque d’information internationale Al Jazeera.
Le deuxième contrat, dont la valeur représenterait la moitié de celui d’Al Jazeera, a été signé avec une grande banque américaine. EVS n’est pas autorisée à divulguer le nom de l’institution, ce qui n’est pas inhabituel dans le secteur d’activité de l’entreprise.
Ackermans & van Haaren (AvH) se voit affubler d'un nouvel objectif de cours de la part de l'analyste de Berenberg Grégoire Hermann: de 236 à 239 euros. La recommandation d'achat est maintenue. "La société holding a une nouvelle fois livré de solides résultats pour le troisième trimestre", indique l'analyste. "Ils sont principalement dus aux performances meilleures que prévu de la société de dragage DEME et de la branche Private Banking."
"Comme ces actifs représentent près de 78% de la valeur d'AvH, nous restons convaincus que le holding produira de très bons résultats pour l'exercice 2024", a déclaré Hermann.
Nous continuons de croire que les résultats pour l’ensemble de l’année seront très solides.
L'analyste de Barclays Alex Stewart modifie sa recommandation pour Syensqo de "vendre" à "conserver", tout en gardant son objectif de cours à 86 euros. Ce dernier objectif de cours offre toujours un potentiel de hausse de plus d'un cinquième par rapport au cours de clôture d'hier.
Samsung Electronics, qui a reconnu faire face à une crise en octobre, a remanié sa direction dans le cadre de sa stratégie, donnant la priorité aux semi-conducteurs, indispensables aux technologies de l'intelligence artificielle. Son vice-président, Jun Young-hyun, sera désormais à la tête des activités liées aux mémoires et Han Jin-man, qui dirigeait les activités de l'entreprise dans le domaine des puces aux États-Unis, est nommé à la tête des fonderies.
Le remaniement vise à "renforcer la croissance et la compétitivité future de l'entreprise, en se concentrant sur le secteur des semi-conducteurs", a expliqué Samsung dans un communiqué.
L'annonce est mal reçue en bourse: l'action chute de près de 4%.
Le groupe indien Adani annonce avoir perdu 55 milliards de dollars en valeur boursière depuis l'inculpation aux États-Unis de son patron-fondateur Gautam Adani dans une affaire de corruption. Il a déploré les comptes-rendus "incorrects" des médias à son sujet.
Depuis la notice d'inculpation du département de la Justice américain, le groupe a enregistré une perte de près de 55 milliards de dollars dans la capitalisation boursière de ses 11 entreprises cotées.
Gautam Adani, 62 ans, est soupçonné d'avoir participé au versement de 250 millions de dollars de pots-de-vin à des fonctionnaires indiens pour obtenir des marchés dans l'énergie solaire en Inde.
L'acte d'accusation du procureur fédéral de Brooklyn (États-Unis) l'accuse, avec d'autres dirigeants du groupe et plusieurs intermédiaires, d'avoir "mis en place un système destiné à offrir, autoriser et payer des pots-de-vin à des fonctionnaires du gouvernement indien".
L'acte d'accusation du procureur leur reproche d'avoir caché le "système de corruption alors qu'ils cherchaient à lever des fonds auprès d'investisseurs américains et internationaux".
Une chute progressive et sans bruit à la bourse de Bruxelles pour l'entreprise de construction wallonne Moury Construct . En effet, le cours de l'action est repassé hier mardi en séance sous la barre des 500 euros pour la première fois depuis ses bons résultats annuels du mois de mars. En à peine un mois, le cours de l'action a perdu plus de 100 euros, soit 17%, sans aucune nouvelle.
En conséquence, la trésorerie nette de 262 euros par action représente plus de la moitié du cours de l'action qui a clôturé à 500 euros.
À la veille de Thanskgiving, la séance de ce mercredi sera animée par des statistiques américaines, dont les chiffres du PIB, l'inflation PCE ou encore les minutes de la dernière réunion de la Fed.
Bonjour! Nous démarrons ce live blog avec un retour sur la séance à Wall Street, où l'heure reste à la progression des indices boursiers avec de nouveaux records de clôture à la clef. En effet, la Bourse de New York a terminé en hausse, peu ébranlée par les annonces de Donald Trump qui a promis d'instaurer des hausses de droits de douane contre le Mexique, la Chine et le Canada, le Dow Jones et le S&P 500 enregistrant même de nouveaux records en clôture.
La plupart jugent que le discours est plus agressif que ce seront les droits de douane eux-mêmes.
Le marché n'a guère réagi au compte rendu prudent de la réunion du Comité de politique monétaire de la Fed les 6 et 7 novembre dernier.
Dans ces "minutes", les responsables de la Réserve fédérale sont apparus partagés sur l'ampleur de futures baisses de taux d'intérêt, tout en convenant collectivement que le moment n'était pas opportun pour fournir des indications trop précises sur l'évolution de la politique monétaire aux États-Unis.
Plusieurs valeurs ont pâti de l'annonce d'une hausse de 25% des droits de douane américains sur tous les produits d'importation canadiens et mexicains, et d'une surtaxe de 10% sur les produits importés chinois que Donald Trump affirme vouloir imposer dès son retour à la Maison-Blanche le 20 janvier.
Les constructeurs automobiles Ford et General Motors, qui ont des chaînes d'approvisionnement très dépendantes entre les États-Unis, le Canada et le Mexique, ont perdu respectivement 2,6% et plus de 9%.
L'inquiétude est de voir certains de ces produits devenir plus coûteux et réduire les revenus des entreprises qui fabriquent ces biens à l'étranger. Il y a beaucoup de mouvement en ce moment parce que les investisseurs essaient de se positionner pour janvier et les jours suivants, sans véritable certitude.
Aux valeurs particulières, l'action Amgen a perdu 4,8%, le laboratoire ayant annoncé des résultats en deçà des attentes pour son traitement contre l'obésité.
Les détaillants ont été délaissés, la chaîne de grands magasins Kohl's en tête avec une dégringolade de 17%. "Nous nous attendons à des fêtes de fin d'année difficile et un environnement commercial très compétitif", a déclaré l'entreprise de commerce de détail.