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Les valeurs financières accentuent leur déprime

Les Bourses ont encore été malmenées ce lundi. Le Stoxx 600, qui avait déjà perdu 7% à la veille du week-end, recule encore de 4,11%. Les actions financières accusent des pertes moyennes de 7 à 8% selon leur indice 600 sectoriel.
  • Les Bourses européennes ont accentué leurs pertes ce lundi. L'indice Stoxx 600 qui avait déjà reculé de 7,03% vendredi, a encore perdu 4,10% à 308,77 points. Il  se rapproche ainsi de son plus bas niveau touché au début de cette année (302 points).Des 19 sous-groupes sectoriels de cet indice, Ceux des services financiers (-8,6%) des Loisirs (-8,4%) et des banques (-7,7%) ont subi les plus grosses pertes. Ceux des valeurs plus défensives ont enregistré des baisses inférieures à 2%.  

    Du côté des principaux indices nationaux,  le CAC 40 de Paris a chuté de 2,97% à 3.984,72 points et le DAX 30 de Francfort de 3,02% à 9.268,66 points.
    A Londres, la fermeté des actions des mines d'or a permis d'atténuer la chute des valeurs du secteur financier. Le FT 100 a fini en repli de 2,55% à 5.982,20 points.

    Après avoir déjà perdu 6,40% vendredi, l’indice Bel 20 a encore lâché 4,06% lundi. Il a achevé la première séance de la semaine quasi à son plus bas du jour, à 3.141,13 points. Depuis son plus plus haut point de 2016 (3.905,71 points), l’indice porte ses pertes à 19,6%. 
    Le secteur financier compte aussi pour beaucoup dans la nouvelle baisse du Bel 20. KBC a abandonné 11,17% à 40,24 euros, ING 7,80% à 8,61 euros. Le titre de l’assureur Ageas a pour sa part perdu 6,82% à 30,34 euros.

    A la clôture des places européennes, le S&P 500 affichait une baisse de 1,4% à la Bourse de New York.

    L'or atténue son bond

    Sur les marchés des changes, l'euro a cédé 2,35% face au dollar à 1,1027. La livre sterling a encore effacé 2,88% de sa valeur contre leuro à 1,1965 et 3,5% contre le dollar à 1,3197.

    Du côté de l'or, l'once évoluait en début de soirée à 1.321 dollars. Dans la matinée, elle était montée jusqu'à 1.355 dollars.

    Enfin, déjà en baisse de 4,9% vendredi, le baril de brent perdait encore 2,5% à 47,20 à Londres. 

  • Wall Street accentue son repli et perd 2%

    There's the Dow down over 300 points. https://t.co/gNG9zpagZS pic.twitter.com/RieO8GWZX0— Joe Weisenthal (@TheStalwart) June 27, 2016

  • Wall Street ouvre en baisse, plombée par les bancaires

    La Bourse de New York a débuté dans le rouge lundi dans le sillage des places européennes, l'incertitude sur les conséquences du vote des Britanniques pour une sortie de l'Union européenne continuant de préoccuper les investisseurs et d'alimenter l'aversion au risque.

    Quelques minutes après le début des échanges, l'indice Dow Jones perd 178,40 points, soit 1,03%, à 17.222,35. Le Standard & Poor's 500, plus large, recule de 1% à 2.017,13 et le Nasdaq Composite cède 1,08% à 4.657,30.

    Au même moment en Europe, la Bourse de Londres abandonne 1,91% et l'indice large européen Stoxx 600 près de 3% tandis que la livre sterling se déprécie de 3,2% face au dollar.
    A Wall Street, les valeurs financières restent les plus exposées: Citigroup

    , Bank of America et JPMorgan perdent entre 2,1% et 3,1%.

    Malgré ces mouvements, le secrétaire au Trésor américain, Jack Lew, a déclaré sur CNBC ne pas croire à une nouvelle crise financière liée au Brexit.

  • |Wall Street: opening bell|

    Dow Jones

    : -0,64%

    S&P 500: -0,66%

    Nasdaq Composite

    : -0,91%

  • >INTEL envisage la vente de sa filiale de cyber-sécurité Intel Security, précédemment connue sous le nom de McAfee, du nom du spécialiste des antivirus acheté en 2011 pour 7,7 milliards de dollars, écrivait le Financial Times dimanche.

    >MEDTRONIC a annoncé lundi l'acquisition de l'équipementier médical HEARTWARE INTERNATIONAL moyennant 1,1 milliard de dollars, une opération qui doit lui permettre d'accroître sa gamme dans les troubles cardiaques.

    >ENERGY TRANSFER EQUITY a obtenu un jugement favorable vendredi qui permettrait à l'exploitant américain de gazoducs de renoncer au rachat à 20 milliards de dollars (18 milliards d'euros) de son concurrent Williams Cos.

    >SOLARCITY. Deux membres supplémentaires du conseil d'administration de l'entreprise proches d'Elon Musk ont renoncé à participer aux votes sur l'offre d'achat de TESLA MOTORS, afin d'apaiser les craintes suscitées par le projet en terme de conflits d'intérêts.

  • Wal Street attendue en repli modéré

    Les futures sur les trois principaux indices américains laissent présager une ouverture en repli avec une amplitude comprise entre -0,52% et -0,68%.

  • Black monday pour les banques européennes

    Le segment bancaire de l'indice européen Stoxx 600 affiche un repli de 7,5% ce lundi.

    ©Bloomberg

  • Les plus gros chocs boursiers et leur rebond depuis 1945 https://t.co/WrrLmVxXCR— Stéphane Wuille (@stephanewuille) June 27, 2016

  • Galapagos investit dans Pharnext

    La société biopharmaceutique française Pharnext, qui développe des traitements pour des maladies neurodégénératives, a lancé lundi son introduction en Bourse, confiante malgré les incertitudes des marchés financiers après le Brexit, et avec l'ambition de lever environ 36,4 millions d'euros. Ce montant, basé sur la valeur médiane de la fourchette indicative du prix de l'offre, comprise entre 10,82 et 13,20 euros par action nouvelle.

    Pharnext peut déjà compter sur des engagements de souscription totalisant 23 millions d'euros de la part de ses actionnaires historiques, parmi lesquels figurent le groupe pharmaceutique Ipsen et le fonds de capital-risque Truffle Capital, mais aussi de nouveaux investisseurs dont l'Institut Mérieux, le groupe Dassault et la biotech belge Galapagos

    , qui se sont engagés "dans les trois dernières semaines". Galapagos s'est engagé à hauteur de 2,7 millions d'euros.
     
    Créée en 2007, son entreprise développe de nouveaux traitements pour des maladies neurodégénératives sévères sans solution thérapeutique satisfaisante, comme la maladie génétique héréditaire rare de Charcot-Marie-Tooth de type 1A et la maladie d'Alzheimer.

    Son portefeuille comprend deux traitements en phase de développement clinique avancé, l'un en phase III dans la maladie de Charcot-Marie.

     

    .@Pharnext lance son introduction en bourse sur #Alternext aujourd'hui > https://t.co/Ssp0tW3mG7 pic.twitter.com/0m3aaXCS11— Pharnext (@Pharnext) 27 juin 2016

  • KBC au plus bas depuis deux ans

    L'action KBC

    chute de plus de 10% dans l'après-midi.

  • Venez commenter l'actualité boursière avec nous dès 12h30 (->13h30)

  • La mi-séance en 5 points

    1. Les marchés européens poursuivent sur la tendance baissière entamée vendredi dans la foulée du Brexit.
    2. Le Bel 20 perd plus de 2%.
    3. KBC chute de 7%.
    4. La livre sterling a touché un plus bas depuis 1985.
    5. Les biotechs belges sont en hausse.
  • Le biotechs belges à contre-courant

    En dépit de la tendance baissière générale qui se poursuit ce lundi dans la foulée du Brexit, certaines biotechs belges connaissent une séance haute en couleurs. C'est le cas notamment de :

    Celyad

    ASIT Biotech

    Thrombogenics

    TiGenix

  • La livre à un plus bas depuis 195

    *POUND DROPS TO $1.3224, FALLING BELOW FRIDAY'S POST-VOTE LOWhttps://t.co/MdAO8tWTmI pic.twitter.com/15ec9eMcJ0— Bloomberg Markets (@markets) June 27, 2016

  • Goldman, BofA abaissent leurs prévisions pour la livre sterling

    Bank of America Merrill Lynch et Goldman Sachs ont abaissé leurs prévisions à court terme pour la livre sterling

    à des niveaux tout juste inférieurs à ses niveaux actuels, estimant que le potentiel de nouvelles pertes pour la devise britannique sous le coup du "Brexit" paraît limité d'ici la fin de l'année.

    A la suite du plus fort décrochage quotidien que la livre ait subi dans l'histoire contemporaine, les deux banques ont dû revoir en baisse leurs prévisions pour 2016, de près de 30 cents dans le cas de Bank of America Merrill Lynch.

    Goldman Sachs s'attend de son côté à ce que la livre se traite à son niveau actuel de 1,34 dollar en fin d'année et prévoit une remontée progressive de la monnaie britannique dans les trois mois à venir après des creux touchés contre l'euro et le dollar.

     

    The pound falls to $1.33 as #Brexit slump continues https://t.co/CMIG4JNo3S pic.twitter.com/3lZt0qvy6p— Bloomberg (@business) 27 juin 2016

  • En raison d'un environnement international lourd et compliqué, et de problèmes internes accumulés depuis longtemps et profondément enracinés, les fondements d'une économie chinoise stable ne sont pas solides. Mais l'économie chinoise, pilier du commerce mondial, ne connaîtra pas d'atterissage brutal.

    Li Keqiang
    Premier ministre chinois

  • Plongeon des valeurs bancaires, immobilières et aériennes à Londres

    Certaines valeurs des secteurs bancaire, aérien et immobilier plongeaient lundi matin à la Bourse de Londres, à la suite de la décision du Royaume-Uni de quitter l'Union européenne.

    La compagnie EasyJet

    chutait ainsi de 16% à la suite d'un avertissement sur ses résultats tandis que Royal Bank of Scotland (RBS) dévissait de plus de 15%. L'indice FTSE-100 des principales valeurs perdait un peu plus de 1%

  • Voici le briefing actions belges du jour

    Briefing actions (27 juin) - Solvay, AB InBev, Proximus, ING, Delhaize, Nyrstar, EVS, ASIT https://t.co/Xc0aO7QIiJ pic.twitter.com/3DK6Rg81fa— Stéphane Wuille (@stephanewuille) June 27, 2016

  • Nouveau net recul des bancaires

    Les valeurs bancaires reculent de nouveau nettement lundi en Europe, alors que plusieurs analystes anticipent un durcissement des conditions de marché pour les banques européennes, avec une pression à la baisse sur leurs revenus et leur rentabilité, après la décision de la Grande-Bretagne de quitter l'Union européenne.

    Les banques britanniques, hors zone euro, comme Barclays et Royal Bank of Scotland, sont particulièrement sanctionnées.

    Les élections législatives de dimanche en Espagne, qui n'ont toujours pas permis de dégager de majorité évidente pour le pays, ajoutent également à l'incertitude politique sur le Vieux Continent.

  • Les crédits au secteur privé en zone euro accélère un peu en mai

    Les banques de la zone euro ont octroyé en mai 1,1% de crédits au secteur privé de plus qu'en mai 2015, une progression légèrement plus marquée que le mois précédent, selon des chiffres publiés lundi par la BCE.

    En avril, cet indicateur très suivi, car étroitement corrélé à l'activité économique dans le bloc monétaire, avait grimpé de 1% en avril, selon un chiffre revu légèrement à la baisse par la Banque centrale européenne, qui avait initialement annoncé une croissance de 1,1%.

  • Le point sur la situation sur les marchés

    Les indices actions européens évoluent en légère baisse ce matin, profitant d'une accalmie après avoir été déstabilisée par le Brexit qui a causé vendredi l'un de ses pires plongeons depuis la crise financière de 2008.

    Les investisseurs prennent un peu de recul après la déroute subie vendredi à l'unisson des autres places financières, surpris par la victoire des partisans du Brexit, à savoir une sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne.

    Les investisseurs semblent par ailleurs quelque peu rassurés par les propos du ministre britannique des Finances George Osborne assurant que l'économie britannique était assez robuste pour affronter les turbulences du Brexit.

    Pour le courtier Aurel BGC, "la volatilité devrait rester forte dans les prochains jours" et "les investisseurs devraient rester très prudents tant l'incertitude est élevée".

    Le marché suivra de près les nouvelles concernant les suites du Brexit, tant au Royaume-Uni qu'au niveau européen.

  • Madrid salue la victoire des conservateurs

    La Bourse de Madrid gagne brièvement plus 3%, après la victoire des conservateurs aux élections de ce dimanche.

  • Easyjet sur le flanc

    La compagnie aérienne britannique EasyJet

    a estime que la décision des Britanniques de quitter l'Union européenne affectera son chiffre d'affaires à hauteur d'au moins 5% sur le second semestre.

    "Après le résultat du référendum sur l'UE, nous estimons que l'été sera probablement marqué par des incertitudes supplémentaires pour l'économie et les consommateurs et nous prévoyons en conséquence que le chiffre d'affaires par siège à taux de change constant au second semestre devrait baisser d'au moins 5% par rapport au second semestre 2015", a indiqué la société dans un communiqué.

    Cette annonce faisait flancher le titre EasyJet en Bourse qui souffre déjà de plusieurs autres maux.

     

    ©Photo News

  • "L'incertitude des acteurs du marché concernant les développements politiques reste élevée après ce week-end, vu que non seulement au Royaume-Uni, ce qui va se passer après le vote en faveur du Brexit n'est pas clair, mais aussi en Espagne le flou domine après les nouvelles élections législatives."

    Christian Schmidt
    Analyste de la banque Helaba

  • Eutelsat révise ses objectifs financiers

    Eutelsat

    ouvre en baisse de 1% après avoir annoncé un réexamen de ses objectifs financiers.

  • Citigroup achète les télécoms européennes, vend les utilities

    Citigroup relève le secteur télécom européen à surpondérer et abaisse celui des "utilities" à sous-pondérer à la suite du brexit.

  • | Opening Bell |

    Les marchés européens ouvrent en légère baisse, profitant d'une relative accalmie tout en étant encore sous le coup du Brexit qui a causé vendredi l'un de ses pires plongeons depuis la crise financière de 2008.

    • Amsterdam: -1,11%
    • Bruxelles: -0,62%
    • Francfort: -0,55%
    • Londres: n.c.%
    • Paris: -0,73%
  • Delhaize vend sa chaîne de magasins pour animaux Tom&Co

    Delhaize annonce la vente de la chaîne de magasins pour animaux Tom&Co.

  • Le marché obligataire européen se stabilise

    Les obligations de l'Allemagne sont encore recherchées ce matin, faisant office de valeurs refuges en raison des incertitudes liées au Brexit, alors que les taux d'emprunt des pays du sud se stabilisaient.

    Vers 08H40 (06H40 GMT), le taux d'emprunt à 10 ans de l'Allemagne reculait à -0,083% contre -0,047% vendredi à la clôture sur le marché secondaire, où s'échange la dette déjà émise.

    De même, le taux de la France baissait à 0,353% (contre 0,385%). Il avait touché un nouveau plus bas historique à 0,248% vendredi.

    Les dettes des pays du sud de la zone euro, dont les taux d'emprunt se sont envolés vendredi, se stabilisaient.

    Le taux de l'Espagne baissait à 1,594% (contre 1,632%), alors les conservateurs sont sortis renforcés dimanche des élections législatives en Espagne, mais sans obtenir de majorité. Le taux de l'Italie reculait à 1,550% (contre 1,557%).

  • Tokyo au rebond

    La Bourse de Tokyo a entamé la semaine en forte hausse, notamment sur des espoirs de mesures du gouvernement japonais pour contrer les effets négatifs du Brexit, qui avait fait plonger l'indice Nikkei de près de 8% vendredi tandis que le yen s'envolait.

    Le Nikkei des 225 valeurs vedettes a gagné 2,39% (+357,19 points) lundi, à 15.309,21 points.

  • Accord définitif entre Sanofi et Boehringer pour l'échange de leurs actifs

    Sanofi et Boehringer Ingelheim ont scellé des accords définitifs sur l'échange de la division de santé animale du laboratoire français, Merial, contre celle de santé grand public du groupe allemand.

    Comme prévu lors de l'annonce du lancement de négociations exclusives en décembre, Boehringer Ingelheim versera 4,7 milliards d'euros en espèces à Sanofi pour Merial, valorisé 11,4 milliards d'euros par la transaction, en plus de la cession de sa division de santé grand public, valorisée 6,7 milliards d'euros.

  • Nyrstar vend sa mine d'El Toqui au Chili

    Le fondeur de zync Nyrstar

    annonce la vente de la mine El Toqui au Chili à l'Australien Laguna Gold Limited pour un total de 25 millions de dollars.

    Ce montant est scindé en deux parties. D'abord un paiement en cash de 12 millions de dollars à la clôture de la transaction et ensuite des paiements d'étape de 13 millions de dollars, répartis sur une période de quatre ans à partir de la clôture de la transaction.

    Début janvier, Nyrstar avait annoncé lancer un processus de vente de ses mines, face au déclin des prix des produits miniers. Cette transaction s'inscrit donc dans ce cadre.

     

  • La Chine réduit le niveau de référence du yuan

    Devant ce regain de vigeur de la monnaie américaine, suite au Brexit, la banque centrale chinoise (PBOC) a fixé lundi le niveau de référence du yuan à son plus bas niveau depuis fin 2010 face au dollar afin d'éviter une appréciation trop forte de sa monnaie dommageable pour ses exportations. Il s'agit de la plus forte diminution journalière depuis la spectaculaire dévaluation d'août 2015 qui avait ébranlé les marchés.

    La banque centrale chinoise (PBOC) a fixé à 6,6375 yuans pour un dollar - une dépréciation de 0,91% par rapport à vendredi - le taux du renminbi (autre nom de la monnaie chinoise) par rapport au billet vert, selon les chiffres du China Foreign Exchange Trade System.

    C'est son plus fort abaissement journalier depuis août 2015, lorsque la Chine avait ébranlé les places financières mondiales en dévaluant brutalement le yuan d'environ 5% en une semaine face au dollar, faisant trembler les investisseurs mondiaux.

    Pékin autorise une variation quotidienne du yuan dans une limite de 2% à la hausse ou à la baisse par rapport au billet vert, assurant ainsi son contrôle sur sa monnaie.

     

  • Les marchés donnés en nette baisse

    Les Bourses européennes sont attendues en repli de plus de 2% en ouverture, au vu des premières indications disponibles, toujours sous le choc de la décision prise par la Grande-Bretagne la semaine dernière de quitter l'Union européenne (UE).

    L'indice cac 40 pourrait ouvrir en baisse de 99 points (-2,4%), le FTSE cèderait 160 à 172 points, soit
    2,6% à 2,8%, et le DAX abandonnerait 190 à 200 points, soit 2,0% à 2,1%.

    Le ministre britannique des Finances George Osborne devrait présenter, ce lundi à 6h GMT, les mesures économiques que le gouvernement entend prendre en réponse au vote en faveur du Brexit, a annoncé dimanche son porte-parole.

  • Tokyo repasse dans le vert

    La Bourse de Tokyo, qui avait pris de plein fouet l'annonce de la victoire du camp du "Out" dans la nuit de jeudi à vendredi et clôturé la dernière séance de la semaine sur une chute de 7,92%, est repassée dans le vert. Après avoir ouvert sur une hausse de 1,34%, l'indice Nikkei

    a poursuivi sa progression et prend 239,03 points, soit 1,6%, à 15.191,14 points un peu plus d'une heure de la clôture. L'indice Topix gagne lui 1,04% à 1.217,99 points. Les actions chinoises sont également en hausse, l'indice CSI 300 et l'indice composite de Shanghai Composite gagnant tous deux un peu de 0,8%.

  • La livre et l'euro continuent de chuter

    La livre sterling

    et l'euro ont poursuivi leur mouvement de recul sur les marchés financiers en Asie où les investisseurs s'inquiètent toujours des répercussions de la victoire du camp du "Brexit" au référendum de jeudi dernier au Royaume-Uni.

    Après avoir plongé de plus de 10% face au dollar vendredi dans la journée et atteint son niveau le plus bas depuis 1985, la devise britannique avait fini à 1,3662 dollar vendredi soir à New York. Elle cède ce lundi 2,2% supplémentaire à 1.3399 dollar. La devise britannique continue aussi de reculer face au yen, à 136,14 yens contre 139,64 vendredi, la devise japonaise jouant son rôle de valeur refuge.

    L'euro est également sous pression, cédant 0,95% face au dollar à 1,1010.

     

    "Je pense que la livre va continuer à sombrer, tout comme l'euro, tandis que le dollar et le yen vont avoir les faveurs des cambistes. Le marché n'a pas digéré l'impact du référendum britannique."

    Marito Ueda
    Responsable des changes chez FX Prime à Tokyo

  • Les marchés vont tenter de panser les plaies du Brexit

    Ebranlées par le choix inattendu du Royaume-Uni de sortir de l'Union européenne, les principales Bourses européennes vont tenter cette semaine de panser les plaies de ce vendredi noir en y voyant plus clair sur les conséquences du Brexit.

    Jusqu'à jeudi encore elles grimpaient fortement, sûres du maintien du Royaume-Uni dans l'Union européenne, mais les Britanniques en ont décidé autrement et la chute n'en a été que plus rude pour les principales Bourses européennes vendredi. Effaçant d'un trait tous ses gains de la semaine, Francfort a ainsi lâché 6,82%, sa pire séance depuis la crise de 2008, Paris 8,04%, Madrid 12,35%, Milan 12,48%.

    Dans ce paysage, Londres s'en sort moins mal qu'attendu, avec une baisse du FTSE-100 limitée à 3,15%. L'indice a même gagné 1,95% sur la semaine.

    Outre quelques indicateurs comme l'inflation et le chômage en Allemagne, la confiance économique et le chômage en zone euro ou encore l'inflation en France, c'est encore le Brexit qui sera sur les lèvres de tous les investisseurs cette semaine.

     

    "Après cette onde de choc, les investisseurs vont tout particulièrement la réaction de la Réserve fédérale américaine et de la Banque centrale européenne."

    Alexandre Baradez
    Analyste de IG France

  • "Si l'on regarde les groupes du S&P 500, 2,9% de leurs revenus viennent du Royaume-Uni. S'il y a une récession là-bas, on passera peut-être à 2,5%. L'effet direct sur les groupes aux Etats-Unis est extrêmement réduit et tout cela ne mérite pas plus que la baisse de 3% vendredi à Wall Street."

    Gregori Volokhine, de Meeschaert Financial Services

  • Good morning!

    Bonjour à vous. Si vous cherchiez le "market live" de L'Echo, ne bougez plus vous y êtes et, grâce à lui, vous ne manquerez rien des principaux développements de cette séance de Bourse du lundi 27 juin 2016.

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